Actrice Malgré Elle (Partie 02)

BÊTA PUBLIQUE

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Elle préféra ne pas parler pour ne pas gâcher ce premier rapport alors qu'il se retirait de sa chatte encore demandeuse.

Lorsqu'il quitta la chambre, se cognant plusieurs fois dans le noir, la jeune femme se doigta pour se calmer un peu car le garçon avait laissé comme un goût d'inachevé.

Elle mit un certain temps pour se rendormir et c'est vers 10h00 qu'elle émergea de nouveau.

Elle se lava rapidement puis descendit, pensant être la dernière. Quelle ne fut sa surprise en ne découvrant personne en bas. Elle avait été une des premières à aller se coucher la veille et ignorait jusqu'à quelle heure les autres avaient veillé.

Elle décida d'aller dans la cuisine pour voir si elle n'y trouverait pas une cafetière pour se faire son petit déjeuner et fut surprise en découvrant qu'il y avait un deuxième lève-tôt.

Fabien était attablé devant un bol vide et il avait l'air pensif.

- Bonjour, lui dit-elle un peu gênée, ne sachant pas trop comment aborder leur rencontre nocturne

- Bonjour, tu es déjà réveillée?

Amandine le regarda en souriant et lui dit.

- Toi aussi tu es bien matinal, surtout à l'heure où tu es retourné te coucher. J'espère que tu as bien récupéré de notre petit jeu nocturne.

La jeune femme lut de l'incompréhension dans son regard, comme si ses paroles n'avaient aucun sens.

- J'ai pas joué, j'ai été me coucher juste après toi et j'ai dormi d'une traite. Pourquoi tu me demandes ça?

- Tu ne t'es pas relevé!

- Non, pourquoi je l'aurais fait.

Le sang de la jeune femme se glaça. Si ce n'était pas Fabien qui était venu dans sa chambre en pleine nuit, qui était venu la baiser!

- C'est quoi ce jeu dont tu parlais?

- Je... plaisantais. J'ai rêvé que je faisais un jeu de société et tu y étais.

- Tu as rêvé de moi?

- Heuu.... Oui et non, il y avait tout le monde.

- Mais j'étais dans ton rêve. Toi aussi tu étais dans le mien.

Le garçon se rendit compte qu'il en avait trop dit et devint tout rouge. Il se leva d'un bond et alla déposer son bol dans l'évier avant de sortir.

Amandine était décontenancée car elle ignorait qui lui avait rendu visite. La seule personne qu'elle écartait automatiquement était Philippe qui avait un sexe bien plus gros que celui de l'homme de cette nuit.

Jusqu'à l'heure du repas, les habitants du manoir arrivèrent les uns après les autres et c'est seulement vers 13h00 qu'ils se mirent tous à table. Ils avaient presque tous des têtes d'enterrement, n'ayant pas récupérés de leur nuit.

C'est à la fin du dîner qu'Alexandre annonça que durant l'après-midi, tout le monde pourrait se reposer à l'exception d'Amandine et de Paul qui allaient venir avec lui pour faire une scène en dehors de la propriété.

Intriguée, la jeune femme demanda un peu plus de détails.

- On partira avec le gros utilitaire afin de pouvoir mettre un vélo dedans. Tu mettras une petite robe d'été et on ira filmer à quelques kilomètres d'ici.

- Où?

- Tu verras, c'est une surprise.

Fabien qui fixait comme à son habitude Amandine, intervint pour la plus grande surprise de tous

- Je peux venir avec vous?

- Heu non, désolé, il n'y a que trois places devant et interdiction de transporter quelqu'un derrière.

Le garçon parut déçu, mais préféra ne pas insister.

Amandine alla se changer après le repas, ne sachant plus trop quoi penser. Elle avait hâte de tourner tout en appréhendant un peu le fait d'ignorer ce que le réalisateur avait prévu. S'il ne s'agissait que de la filmer en faisant du vélo, ils auraient pu le faire autour du manoir.

Elle choisit parmi ses affaires une jolie petite robe à fleurs lui allant au dessus des genoux mais qui se portait sans soutien-gorge et mit une petite culotte en coton, plus confortable pour pédaler.

Une fois dans l'utilitaire, assise sur la place du milieu, elle voulut en savoir plus. Alexandre hésita un peu à divulguer ce qui l'attendait, se contentant de lui dire.

- Nous allons rencontrer des villageois qui m'ont demandé s'ils pouvaient participer au film.

- Des villageois?

- J'espère que ça ne te gêne pas.

- Heu... non.

Elle avait évolué depuis qu'elle était arrivée au manoir car elle se serait sûrement enfuie s'il lui avait proposé ça trois jours plus tôt.

Là, même si elle appréhendait un peu, elle ressentait au fond d'elle une part d'excitation. Elle ignorait ce qu'avait prévu Alexandre mais elle ne se révoltait pas.

Ils s'arrêtèrent peu de temps après sur le bord d'une route étroite et très peu fréquentée. Sans un mot le réalisateur descendit du véhicule et alla sortir le vélo du fourgon.

- On va te filmer dans la ligne droite en train de faire de la bicyclette pour faire un premier plan puis on repartira là où nos amis nous attendent. Attends avant de pédaler qu'on aille se placer au bout de la route.

La jeune femme, obéissante, fit exactement comme le désirait Alexandre. Lorsqu'ils furent en place, elle pédala lentement en se dirigeant vers Paul qui la filma non stop.

Une fois arrivée à leur niveau et après qu'ils aient cessé de filmer, le réalisateur dégonfla un des pneus du vélo avant de le remettre dans le fourgon.

Amandine ne savait pas trop où l'homme voulait en venir mais remonta tout de même dans le véhicule sans rien demander.

Ils reprirent la route et roulèrent durant dix minutes avant de pénétrer dans une cour de ferme dans laquelle trônait un gros tracteur, garé juste à côté d'une vieille Citroën C15.

La bâtisse principale avait l'air plutôt en bon état ce qui n'était pas le cas des granges, sur le côté, qui avaient besoin d'un bon ravalement.

Alexandre alla se garer bien à droite pour éviter que son véhicule ne gêne lors des prises de vue puis fit descendre tout le monde avant de sortir le vélo.

- On va d'abord se présenter et on filmera ensuite.

Amandine était de plus en plus stressée en s'imaginant quels types de scènes l'homme allait lui demander de tourner. Pourtant, elle savait qu'elle le ferait car cela l'excitait même si pour elle tout était nouveau.

Lorsque la porte s'ouvrit, la jeune femme retint son souffle, ne sachant pas qui elle allait découvrir. Dans l'embrasure de l'entrée apparurent alors deux forces de la nature, pas très grands mais costauds comme des bœufs.

Ils ne devaient pas mesurer plus d'un mètre soixante dix mais leurs largeurs d'épaules et le diamètre de leurs bras étaient impressionnants

Pourtant, ce qui troubla le plus la jeune femme, c'était leurs ressemblances. On avait l'impression de voir double en les regardant, surtout qu'ils étaient habillés avec la même salopette bleue.

Ils devaient avoir une trentaine d'années et ils avaient un visage plutôt jovial.

- Je vous présente Rémi et Julien Morin, et voici Amandine et Paul

Tous se serrèrent la main mais les jumeaux regardèrent plus attentivement la jeune femme qui allait être leur partenaire.

- La ferme appartient à nos parents mais ils sont partis quelques jours en vacance.

- Le tournage ne devrait durer que quelques heures tout au plus, leur répondit Alexandre.

Ils rentrèrent dans la grande pièce à vivre qui était plutôt bien entretenue. Rémi alla chercher des verres et une bouteille de vin blanc et sans même demander si tout le monde voulait en boire, il remplit tous les verres.

- Voilà comment je vois les choses, attaqua Alexandre. Amandine va venir frapper à votre porte car son vélo est crevé. Paul la filmera alors qu'elle pousse son vélo en rentrant dans votre cour puis tout se passera ensuite à l'intérieur.

- Et qu'est-ce qu'on devra faire.

- Ma méthode est que je laisse à mes acteurs carte blanche. On filmera en continu et je verrai ensuite au montage ce que je garde.

- On a carte blanche? demanda Julien stupéfait. On peut lui faire ce que l'on veut.

Le réalisateur regarda la jeune femme qui était devenue plus pale que d'habitude.

- Tout à condition qu'il n'y ait aucune violence, n'est-ce pas Amandine.

- Heuu... oui

Les jumeaux regardèrent l'étudiante avant que l'un rajoute.

- Quand on est passé l'autre jour, on ne pensait pas que vous nous re-contacteriez. En plus votre actrice est la plus belle femme qu'on ait jamais vue.

- Dans ce cas prenez beaucoup de plaisir, mon film n'en sera que meilleur.

Amandine avait une drôle d'impression. En les entendant parler elle avait l'impression qu'elle était une pute dont le proxénète négociait sa prestation avec des clients. Pourtant elle n'était pas très loin de la réalité et cela lui plaisait.

*******

La jeune femme poussait son vélo en rentrant dans la cour de la ferme alors que Paul, caméra à l'épaule, la suivait à quelques mètres. Alexandre lui avait rappelé qu'elle était muette et qu'elle pouvait gémir autant qu'elle voulait mais qu'elle ne devait pas prononcer un seul mot.

Lorsqu'elle posa son cycle contre le mur, elle tremblait un peu en frappant à la porte. En voyant un des jumeaux apparaître dans l'embrasure, elle fit avec ses mains les gestes que lui avait montrés Alexandre pour essayer de se faire comprendre. L'homme, souriant, lui fit signe de rentrer.

- Rentre, ma belle, tu dois avoir soif. On réparera ensuite ton vélo.

En temps normal, avec une telle invitation, elle se serait sûrement enfuie en courant mais là, pour le film, elle lui fit un petit signe d'approbation de la tête et le suivit dans la grande pièce.

Ils laissèrent la porte ouverte pour permettre au cameraman de s'engouffrer derrière eux alors qu'Alexandre attendait déjà à l'intérieur, dans un coin pour ne pas gêner.

- Mais qui est cette charmante jeune femme.

C'était le deuxième jumeau qui était resté dedans mais Amandine était incapable de savoir s'il s'agissait de Rémi ou de Julien.

Ils ne jouaient pas très bien la comédie mais cela ne paraissait pas déranger Alexandre qui souriait dans son coin.

- Elle a son vélo crevé et on ne peut pas la laisser comme ça.

L'homme, en disant ça, s'était placé derrière elle et avait posé une de ses mains sur ses fesses. Il s'était mis à les lui caresser à travers sa petite robe comme si cela était normal. S'il recevait ses invités toujours de la sorte, il risquait de ne pas avoir beaucoup d'amis.

Dans la vraie vie, jamais cela ne se serait passé ainsi et n'importe quelle fille l'aurait giflé ou repoussé. Mais la jeune femme tournait un film et elle resta sans bouger alors qu'elle se faisait tripoter le cul.

- C'est qu'elle est plutôt amicale la petite cycliste

- Et canon aussi

L'autre frère était venu se placer en face d'elle et elle ne résista pas lorsqu'ils déboutonnèrent sa robe pour la faire glisser le long de son corps.

Amandine ne portant pas de soutien gorge, dévoila ses seins au jumeau situé face à elle qui ouvrit de grands yeux en les découvrant.

- Putain, elle a des nichons splendides.

Mais l'autre homme, après avoir admiré sa chute de reins, lui avait saisi sa petite culotte et la faisait glisser le long de ses cuisses.

Paul tournait autour d'eux, filmant sans cesse.

En très peu de temps, la jeune femme se retrouva nue, à la merci de ces deux paysans au physique impressionnant.

Elle gémit lorsque les grosses mains puissantes se mirent à parcourir son corps, la caressant de toute part. L'homme en face d'elle s'attarda plus particulièrement sur sa poitrine alors que l'autre lui caressait son dos et ses fesses. Elle adorait ça et n'esquissait aucun geste alors qu'elle était tripotée sans vergogne.

- Elle aime ça la petite pute. Et si on l'emmenait dans la chambre des vieux pour s'occuper d'elle.

Les deux hommes parlaient plus naturellement, oubliant complètement le cameraman à coté d'eux. Ils étaient de plus en plus excités par ce corps parfait et n'avaient plus qu'une idée en tête, la baiser, surtout en ayant carte blanche.

Elle se laissa faire lorsque Julien la souleva, excitée elle aussi par la tournure des événements. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à Sophie prise par les deux hommes et à la jalousie qu'elle avait ressentie en les surprenant en pleine action.

Maintenant ça allait être elle qui allait avoir affaire à deux hommes, et elle était de plus en plus impatiente.

Paul ne les lâchait pas d'une semelle, filmant chaque seconde et lorsqu'ils se dirigèrent vers la chambre, Alexandre les suivit à son tour.

Amandine fut allongée sur le grand lit des parents alors que les deux jumeaux se déshabillaient à la hâte. La jeune femme fut impressionnée en découvrant la musculature impressionnante des deux frères lorsqu'ils apparurent torse nu.

Mais ce ne fut rien par rapport à leur membre qu'ils dévoilèrent à la vue de tous quelques secondes plus tard.

Ils se ressemblaient même jusque-là et la jeune femme frissonna en découvrant les monstres qui allaient la prendre. Comme pour tout le reste, ils étaient hors normes et même Paul, qui en avait pourtant vu pas mal, fit des gros plans des queues qui auraient fait rougir un cheval.

Elle ne sut pas quel était le jumeau qui monta sur le lit en premier mais elle se mit à trembler, partagée entre la peur et l'envie de recevoir cet énorme engin en elle. Le deuxième frère était venu s'asseoir sur le bord du lit et il s'était mis à la caresser pour la calmer un peu.

- Elle est vraiment mignonne et regarde comme elle est pressée d'accueillir ton chibre

- Je ne vais pas la décevoir, elle va s'en souvenir toute sa vie.

L'homme s'allongea sur elle alors que la jeune femme, horrifiée, se rendit compte qu'il allait la pénétrer sans préliminaire. Elle n'était pas suffisamment lubrifiée pour recevoir un tel gourdin et pourtant, elle ne dit rien, écartant encore plus les cuisses en pensant à la caméra.

Lorsque le gland turgescent se présenta à l'entrée de sa chatte, elle se mordit la lèvre inférieure, paniquée en pensant aux dégâts qu'il allait infliger à son intimité. Pourtant, elle resta amorphe, ne faisant aucun geste pour l'en empêcher malgré ses peurs.

Elle pensa alors à l'homme qui était venu dans sa chambre cette nuit et à son sexe trop petit pour lui donner un vrai plaisir. Là, elle regrettait presque cet inconnu en pensant aux prochaines minutes de douleur qu'elle risquait de vivre bientôt.

Heureusement pour elle, son subconscient avait œuvré à son insu et l'excitation d'être ainsi offerte avait aidé à la sécrétion de la précieuse cyprine.

L'homme, même s'il avait le physique d'une brute, prit tout son temps pour entrer en elle. Il se connaissait et n'avait pas envie de faire mal. Avec son frère, il allait souvent aux putes et même si le corps de ces femmes était rodé à tous les actes sexuels, elles leur demandaient toujours d'y aller doucement.

Lentement, avec de très léger va-et-vient, il se mit à la prendre, élargissant doucement son vagin, lui étirant les chairs. À chaque retour il s'enfonçait toujours davantage et la jeune femme, en se rendant compte avec quelle douceur il lui faisait l'amour, n'eut plus du tout d'appréhension et commença à se laisser aller au plaisir.

Alexandre était un peu frustré pour son film car il aurait bien voulu que son actrice soit démontée par ces deux hommes. Pourtant, la scène avait tout de même quelque chose de très érotique, surtout en regardant le visage radieux d'Amandine.

Cela n'avait pas échappé à Paul qui fit un gros plan de la fille, essayant de capter les émotions qu'elle ressentait alors que l'homme s'enfonçait lentement en elle.

Lorsque le membre fut enfin entièrement absorbé, le jumeau commença de vrais va-et-vient, sortant presque du vagin avant de replonger dans la vulve frémissante.

Amandine avait fermé les yeux et se laissait aller au plaisir. C'était merveilleux et elle oublia complètement tout ce qui l'entourait.

Elle n'était plus dans un film mais uniquement avec un amant hors normes qui lui faisait découvrir une jouissance incroyable.

Elle haletait alors que le paysan accélérait progressivement la cadence, la transportant vers un orgasme inéluctable. Son frère malaxait un des seins de la jeune femme qui ne s'en rendait même plus compte. Le jumeau commença à sentir lui aussi le plaisir augmenter et lorsqu'il fut sur le point d'exploser, il s'immobilisa bien au fond pour inonder le ventre de sa partenaire.

C'est alors qu'il se rendit compte que la jeune femme était parcourue par des spasmes incontrôlés, dévoilant à quel point son orgasme était des plus violents. Les yeux révulsés, elle subissait le plaisir avec une rare violence pour le plus grand plaisir de Paul qui filmait le visage de la jeune femme en plein extase.

Il fallut quelques minutes pour que l'homme se décide enfin à se retirer alors que la jeune femme n'avait pas encore retrouvé ses esprits. Son frère, impatient, avait trop envie de baiser lui aussi cette petite pute qui était très réceptive.

Son membre bandait à lui faire mal et il fallait vite qu'il se soulage.

- Même si je t'aime bien mon frère, je n'ai pas envie de tremper ma queue là où tu t'es vidé. On va la mettre à quatre pattes.

- Tu veux lui exploser le cul?

- Elle va adorer.

Amandine sortit de sa torpeur en entendant les frères. Elle paniqua et eut envie de hurler pour qu'il ne le fasse pas.

Ce qui la retint était le rôle de la femme muette qu'elle était censée jouer et elle ne savait pas comment leur dire qu'elle était vierge de là.

Elle avait toujours refusé d'être sodomisée par les différents petits copains qu'elle avait eus dans le passé, trouvant cela dégradant et sale sans parler de la peur d'avoir mal.

Mais là, avec un membre aussi gros que celui du jumeau, elle allait se faire complètement déchirer. Jamais son anus ne supporterait un tel pieu sans qu'il n'y ait des séquelles irréversibles. Elle ne savait pas comment faire comprendre à l'homme d'arrêter ayant peur d'interrompre le tournage.

Paniquée, elle ne dit rien lorsque les mains puissantes la soulevèrent pour la positionner à quatre pattes. Elle était une marionnette manipulée par les deux hommes et malgré la peur, elle resta passive comme si cela était inéluctable.

Elle tremblait en imaginant ce qu'elle allait endurer surtout en voyant le jumeau se positionner derrière elle. Elle se crispa lorsqu'un doigt vint s'insérer dans son petit œillet ne s'attendant pas à ça.

L'homme, ayant juste introduit le début de son majeur, fut surpris par la résistance du joli petit cul.

- Putain mais elle est serrée, on dirait qu'elle ne s'est jamais fait enculée.

- Ce n'est pas possible pour une.... Paysanne.

Il avait failli dire « actrice porno » et s'était repris juste à temps. Du coup sa phrase n'avait plus aucun sens mais il avait évité le pire.

Il essaya d'agrandir l'anus en bougeant son doigt dans tous les sens, faisant très mal à la jeune femme.

Lorsqu'il cessa de la doigter pour positionner son gland contre le petit trou, Amandine pensa sa dernière heure venue. Elle savait qu'elle ne survivrait pas à une telle sodomie mais restait pourtant silencieuse.

Il força pour introduire son gland, faisant gémir la jeune femme qui s'était mise à pleurer. La tenant fermement d'une seule main au niveau de la hanche alors que de l'autre il maintenait son membre pour le guider, il tenta de la pénétrer ainsi.

Il insista durant quelques minutes, faisant très mal à Amandine sans pour autant gagner du terrain lorsqu'il y renonça.

Il avait trop envie d'elle et il n'avait finalement pas choisi le bon trou.

Le caméraman était positionné à moins de cinquante centimètres pour bien filmer le viol et il ne rata rien lorsque la queue glissa du cul vers la vulve bien plus accueillante.

L'étudiante, poussa un gémissement lorsqu'elle sentit le gros membre s'enfonçant dans sa chatte. Elle fut d'un seul coup soulagée et apprécia encore plus le moment.

C'est Alexandre qui fut le plus déçu en voyant le changement de stratégie, lui qui avait envie de sensationnel. Pourtant, malgré son dépit, il ne stoppa pas la scène, trouvant cela tout de même sympa. Après tout, son héroïne était censée être une jeune adolescente muette et la résistance de son petit trou était des plus plausibles.

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