À La Recherche Du Tombeau...

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...perdu de Cléopâtre.
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La douleur de la morsure sur son bras était de plus en plus intense, lancinante, et dans le même temps, elle sentait ses forces la quitter. Elle savait qu'elle n'en avait plus pour longtemps, la vie s'échappait de son corps et bientôt, elle rejoindrait les dieux dans le domaine d'Osiris. Mais c'était un soulagement : mieux valait une mort rapide qu'une longue humiliation. Elle rabattit en partie les longues nattes tressées qui couvraient son corps en sueur et en sortit un petit objet courbé au reflet doré et métallique. Avec d'infinies précautions, elle le déposa dans une boîte en plomb qu'elle ferma précieusement. Puis étrangement, elle inclina sa tête devant la boîte et se remit en position allongée. Sa peau brune était devenue cireuse et des spasmes commençaient à parcourir son corps. Sa respiration était de plus en plus saccadée et au terme de son agonie elle se redressa et poussa un long cri, puis elle retomba sur sa natte. C'est ainsi que mourut l'une des reines les plus emblématiques d'Égypte : Cléopâtre.

07/1987, Al Baslaqun (35 Km d'Alexandrie).

J'étais excité, presque fiévreux : devant moi, une grande dalle verticale d'un mètre vingt me barrait le passage et les hiéroglyphes qui y étaient gravés ne laissaient aucun doute sur la propriétaire du tombeau que je m'apprêtais à ouvrir... Nous y sommes enfin et nous sommes les premiers!

Il faut dire que pour en arriver là, la tâche n'avait pas été facile : le département d'égyptologie de l'Université de Paris avait mis en compétition ses deux meilleures équipes afin de faire parler un rouleau de texte ancien qui devait permettre de retrouver la trace d'une des sépultures les plus mystérieuses d'Égypte : le tombeau de Cléopâtre. Émilie et moi, avons monté la première équipe, nous nous connaissons depuis nos études et nous travaillons ensemble depuis cinq ans sur les sépultures égyptiennes disparues. Émilie est passionnée par ce travail, elle parle et lit une bonne vingtaine de langues mortes, elle connaît par cœur une large partie des textes : bref c'est un rat de bibliothèque! Par contre, sur le terrain, elle est souvent maladroite, et n'a aucun sens de l'orientation et son embonpoint la fait beaucoup souffrir ; la chaleur et les longues marches sont un calvaire pour elle.

C'est tout mon contraire : je dois bien avouer que j'ai toujours été passable sur la théorie, par contre, sur le terrain, je suis plutôt débrouillard, et doué pour mener l'enquête : mon sixième sens ne me trompe jamais. Et c'est encore le cas aujourd'hui : après des semaines passées à fouiller des caves dans le centre-ville d'Alexandrie, j'ai décidés, il y a trois jours, de revoir une partie de notre traduction, cela en modifie le sens et situ de tombeau de la reine à 30km de là... Tout le monde a été sceptique, même Émilie, mais j'ai insisté et je suis partie avec une petite équipe ouvrir un chantier dans une palmeraie à 2.5Km du village d'Al Baslaqu. Au début, nous n'avons trouvé que des outils et des fragments de poteries, puis de strate en strate nous avons découvert des objets plus intéressants, des sépultures d'artisans, des murets, puis des colonnades et maintenant cette dalle incrustée dans un mur de granite... Je n'ai plus aucun doute, je passe un appel à Émilie sur la radio de la jeep.

Une heure plus tard, nous sommes côte à côte devant l'ouverture noire et froide qui a laissé la place à la dalle... Émilie est radieuse, ces yeux marrons clairs en amande lancent des éclairs, et malgré la transpiration et la poussière qui lui recouvrent la peau, je la trouve presque désirable... Il ne s'est jamais rien passé entre Émilie et moi, je l'ai toujours trouvé beaucoup trop ronde à mon goût et le profond respect que j'ai pour elle a inhibé tout désir sexuel. Mais en cet instant, je suis tellement excité par notre découverte que je la vois sous un autre jour : sa longue chevelure brune ramenée en chignon qui dégage sa nuque, sa chemise camel qui peine à cacher sa grosse poitrine (un bonnet D peut-être??), ses cuisses et ses fesses comprimées dans un pantalon de randonnée. Je m'avance vers elle prêt à l'embrasser à pleine bouche... Mais... Sans me calculer, elle s'est déjà engouffré dans l'ouverture sombre et j'entends sa voix qui semble déjà venir de loin :

« Alors tu viens?? » Je lui emboite le pas à la lueur de notre éclairage portatif et nous avançons prudemment sur une dizaine de mètres: le silence règne désormais, la fraîcheur et l'humidité du lieu ont calmé mes ardeurs : Désormais, c'est focus sur notre exploration que j'avance.

Après trente minutes de progression, nous arrivons dans un tombeau majestueux, empreint de mystère et de grandeur. Les murs sont ornés de hiéroglyphes qui narrent la vie et les exploits de la reine égyptienne. Des trésors funéraires étincelants reposent à ses côtés, gardés par des statues imposantes. Au centre, un grand sarcophage en pierre richement décoré abrite le corps de la défunte, offrant protection et passage vers l'au-delà. Rapidement, je constate que le regard d'Émilie est attiré par une petite boîte de couleur grise. Elle est posée près du sarcophage et sa simplicité contraste fortement avec les riches motifs qui ornent le tabouret en bois sur laquelle elle est posée.

Je vois Émilie qui s'en rapproche et qui commence à prendre des photos, cela me fait repenser à notre mission : découvrir et documenter. Je commence alors à photographier à mon tour les hiéroglyphes pour établir un rapport préliminaire qui prouvera à l'université la primeur de notre découverte. Durant 2-3 minutes on entend que les clics des appareils photo et le sifflement des flashs qui se rechargent. Au bout d'un moment, je me rends compte que je suis seul à prendre des photos... Je cherche Émilie, et je la retrouve près du sarcophage ; la main dans la boîte en train d'en fouiller le contenu! Abasourdi, je lui lance :

« Touches pas à ça : il faut tout photographier et cartographier avant!! » Mais le temps que je me rapproche, je la vois sortir de la boîte un objet métallique au reflet doré. L'objet fait une quinzaine de centimètres de long et présente une légère courbure. Aussitôt qu'elle le prend en main, l'objet commence à émettre un léger vrombissement et je perçois une légère lueur vacillante. En me rapprochant encore, je constate que l'objet est parcouru de fine gravure constitué de lignes droite qui le parcourt d'un bout à l'autre et c'est par ces gravures que la lueur est émise en lentes vagues. Émilie ne parle pas mais en la regardant, je prends peur : Elle semble paralysée, sa pupille est totalement dilatée et elle murmure des incantations dans un dialecte que je ne reconnais pas... J'essaie de la faire réagir en lui parlant, elle bouge au ralenti et me regarde complètement paniquée, sa bouche continue à psalmodier alors je la secoue doucement par les épaules mais elle se recula et me chuchete: « Ne vous approchez pas, je vous en prie éloignez-vous... »

Mais pourquoi me vouvoie-t-elle? Je recule instinctivement. À ce moment, le vrombissement devient de plus en plus grave quasiment inaudible mais j'arrive à le ressentir dans tout mon corps comme une lente et profonde vibration. Je vois alors Émilie déplacer sa main et poser l'artefact sur son pantalon au niveau de sa vulve et entamer un lent mouvement de va-et-vient, je n'en crois pas mes yeux, elle lâche alors l'objet qui continue seul son petit jeu. Je peux voir la peur dans le regard d'Émilie qui peine à articuler : « Aidez-moi... »

Sa voix est faible, elle tombe à genoux en écartant un peu ses cuisses volumineuses pour conserver son équilibre. Comprenant l'urgence, je me ressaisis et me dirige rapidement vers elle, je pose ma main sur l'artefact pour tenter de le retirer mais sans succès. Je sens qu'il est extrêmement chaud et je peux ressentir les vibrations dans la paume de ma main. Je vois la toile du pantalon qui commence à noircir et à brûler au contact de l'objet. Émilie émet des gémissements : paniqué, je tire un peu plus fort pour tenter de le dégager, mais à ce moment je reçois une décharge électrique d'une puissance folle qui me projette à plusieurs mètres, sous la violence du choc, je perds connaissance.

À mon réveil, je suis à terre, j'ai mal partout, ma main me brûle et je sens des picotements dans tout le haut de mon corps. Ce qui m'interpelle en premier, c'est le vrombissement : il est devenu sourd et extrêmement grave, c'est comme si je pouvais sentir l'air se déplacer à son rythme autour de moi. Les dernières minutes me reviennent en tête instantanément et je tourne la tête pour trouver Émilie : elle est à quatre mètres de moi allongé au sol, les cuisses un peu relevées et écartées, son bassin bouge au rythme des pulsations de l'objet et ses deux mains semblent s'activer sur sa vulve. De là où je suis, je peux voir que son pantalon est en lambeau complètement consumé, mais sa peau, en dessous semble intacte.

Un peu rassuré, je me rapproche en rampant vers elle. J'entends sa respiration haletante et un léger clapotement humide et régulier : elle est en train de se masturber violemment avec l'artefact (à moins que ce soit l'artefact qui ne la masturbe?). Je m'approche davantage et je vois sa poitrine qui tressaute en rythme, à ce moment, je commence à être très excité... et un peu coupable d'être excité alors que ma collègue semble en danger. Je suis maintenant juste à côté d'Émilie et je peux voir la sueur perlée sur sa peau hâlée et couler en grosses gouttes entre ses seins : son corps charnu ondule de façon incroyablement sensuelle autour de l'artefact qui a disparu dans sa chatte. Elle tourne la tête dans ma direction et me regarde intensément, à ce moment, j'ai un mouvement de recul car ces yeux sont devenus complètement noirs. Son iris habituellement marron clair a complètement disparu ainsi le blanc de l'œil. Pourtant la peur semble avoir quitté son visage et elle me souffle encore « aidez-moi... »

Je ne saisis toujours pas pourquoi elle me vouvoie alors que nous nous tutoyons depuis des années et je ne sais pas trop ce que je dois faire pour l'aider... Je sens encore les picotements de ma dernière tentative... Finalement la réponse vient d'elle : elle me saisit doucement la main droite et la pose sur sa poitrine. Je reste interdit, mais machinalement, je me mets à lui caresser les seins... Rapidement, je sens une érection serrer mon pantalon, je me penche au-dessus de son visage et l'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent longuement et sensuellement. Mes lèvres quittent sa bouche pour son cou, puis ses seins que je lèche allègrement : je les presse, les malaxe et aspire les tétons de toutes mes forces. J'ai une furieuse envie de lui faire l'amour... Elle lâche un profond soupir : je crois que c'est réciproque...

Je me déshabille prestement et j'allais la prendre en missionnaire mais d'un geste rapide et avec force incroyable, elle me plaque au sol, se relève partiellement et se glisse sur moi pour me chevaucher. Je sens l'artefact contre mon bas-ventre et les vibrations décuplent mon désir, j'ai la sensation que mon sexe est devenu énorme. Je me demande l'espace d'un instant comment pénétrer Émilie mais là encore elle anticipe : ses yeux étranges toujours posés sur moi, elle se bascule vers l'arrière, écarte ses cuisses au maximum, se met en appui sur ses bras et vient poser son petit trou étoilé au sommet de mon gland. La vue sur ces énormes seins trempés de sueur, son sexe dégoulinant de sécrétion élargie par l'artefact métallique décuple encore mon envie. Elle s'empale alors doucement le cul sur mon sexe qui la pénètre profondément sans me quitter des yeux.

Après quelques va-et-vient, elle s'allonge un peu sur moi et m'embrasse fiévreusement. Les profondes vibrations de l'artefact que je sens entre mon sexe et mon ventre et la sensualité des baisés d'Émilie font qu'au bout de cinq minutes d'action, je ne peux plus me retenir et je jouis en elle avec une violence incroyable. Pour elle aussi, c'est le moment et je sens son sphincter qui se contracte et se relâche par vagues autour de mon sexe prolongeant mon orgasme puis elle éructe, gémie, tout en inondant mon ventre de sécrétion. Enfin après un ultime tressaillement de ses seins volumineux, elle s'effondre sur moi.

Encore sur un nuage, après ce qui reste la partie de baise la plus instance et la plus étrange de toute ma vie, j'entends des applaudissements derniers moi... Mon cerveau ne parvient pas à comprendre ce qui se passe et j'entends dans mon dos une voix au timbre chaud : « ha bah bravo! un site archéologique d'une valeur inestimable détruit, une scène de débauche entre deux éminents scientifiques et un pillage de tombe... ça va vous coûter votre carrière mes amis et peut-être aussi votre liberté! haha! »

Tout d'un coup, je sens qu'Émilie est relevée sans ménagement, mon pénis est extrait de ses fesses, mon foutre se déversant sur ses cuisses et mon ventre. Un homme d'une carrure impressionnante l'a relevée d'une de ses énormes mains. Je crois reconnaître Gautier, il fait partie de la seconde équipe de recherche, et c'est tout sauf un bon scientifique : plutôt une brute épaisse qui a bâti sa carrière en volant les découvertes des autres et en pillant des sites de fouille... Mais normalement, il est censé travailler avec... Dascha...

Je me disais bien que je connaissais cette voix... le visage de la jolie rousse est juste au-dessus du mien, elle est accroupie et je peux voir son sourire narquois marquer son joli minois agrémenté de taches de rousseur. « Je pensais que tu avais meilleur goût en matière de femme... Baiser avec cette truie... Je n'aurais vraiment pas imaginé ça de toi... lança-t-elle. » elle toucha alors du bout de son index mon sexe encore partiellement en érection et récupéra un peu de sécrétion, elle en renifla l'odeur puis portât son doigt à sa bouche d'une manière incroyablement sensuelle. « Vos gesticulations bestiales étaient vraiment gerbantes, mais ça m'a quand même donné envie de baiser... continua-t-elle ». Je tentais alors de me relever pour porter assistance à Émilie, mais je reçois une violente décharge électrique (encore). Cette fois, l'artefact n'y était pour rien : Dascha se releva en riant, un taser noir à la main : « Bouge pas mon chou! me lança-t-elle ».

Sous la violence du choc, j'ai la tête qui tourne, je suis pris de nausées que je peine à retenir et je sens que le moindre de mes muscles est tétanisé : je suis incapable de faire le moindre mouvement de toutes façons... Je ne peux qu'observer, impuissant la scène qui se joue devant moi. Suivant les instructions de Dascha, Gauthier fouillant sans délicatesse la chatte d'Émilie pour en extraire l'artefact toujours logé à l'intérieur, je souris en moi-même en pensant à la décharge qu'il allait prendre! Mais rien... il finit par en extraire l'objet luisant de mouille : ce dernier n'émet plus de lumière et les vrombissements se sont tu. Il le tendit à son associée qui commença à l'analyser minutieusement, puis comme prise d'un remord elle regarda Gauthier de ces yeux bleus clairs : « Pendant que je fais ça, occupes-toi d'elle, fais là gueuler un peu cette chienne. »

Le gaillard semblait ravi et sorti une besace en cuir contenant son matériel d'excavation, il la vida sur le sarcophage et commença par sélectionner une corde avec il attacha fermement les poignets d'Émilie avant de passer la longueur restante dans un anneau métallique situé en hauteur. Il tire sur la corde et la jeune femme se retrouve en haillon, sur la pointe des pieds, ses gros seins pendouillant vers l'avant et les fesses plaqué aux parois de pierres du tombeau. Il sort ensuite une petite brosse métallique habituellement utilisée pour nettoyer grossièrement les artefacts. De sa main énorme, il saisit un sein qu'il pressa fortement : l'auréole prit vite une couleur violette et il se mit alors à frotter le téton avec la brosse. Émilie hurle de douleur et son téton devient rapidement sanguinolent et boursouflé. Lorsqu'il sembla satisfait du résultat, il réserva le même traitement sa vulve qu'il frotta sans vergogne arrachant d'énormes touffes de poils et de long cris de détresse à la jeune femme.

Dascha émit un petit cri de surprise : l'objet métallique semblait se réactiver au fur et à mesure que les cris d'Émilie montaient en intensité. De nouveau, il émit une pâle lumière mouvante et on pouvait déjà percevoir comme un léger sifflement dont la fréquence me semblait bien plus aiguë qu'auparavant.

Gautier n'y tenant plus, commença à dégrafer son pantalon : il ne portait aucun sous-vêtement et de là où j'étais, je pus constater que son sexe était en adéquation avec le reste de son corps : anguleux et massif. Il écarta les fesses d'Émilie et la pénétra d'un coup sec engageant la totalité de son membre, la jeune femme était déjà bien ouverte après nos ébat, mais la pointure du colosse lui arracha de nouveaux cris. Il agrippa la jeune femme par les hanches et commença à la buriner sauvagement... Pourtant après une ou deux minutes de ce traitement, je vis que les hanches d'Émilie commençaient à onduler sous les coups de butoir et ces cris se transformèrent peu à peu en longs gémissements qui n'étaient peut-être pas dus uniquement à la douleur...

Je détourne le regard, et constate avec effarement que Dascha est désormais complètement nue, à moitié couchée sur le sarcophage. Elle est en train d'insérer l'artefact dans sa chatte et semble très concentrée. Je dois bien avouer qu'elle est très belle : un ventre plat, de jolies fesses bien galbées, de longues jambes. Sa poitrine en forme de poire avec une auréole discrète et un téton percé d'un petit anneau est terriblement sexy. Son visage est fin, symétrique et encadré d'une longue chevelure rousse très frisé. Mon regard est attiré par l'artefact dont on ne voit plus que l'extrémité : le reste a été avalé par une chatte complètement imberbe, avec de fines lèvres rose foncé et un clitoris assez massif également décoré d'un piercing en forme d'anneau.

La lumière émise par le god millénaire est redevenue vraiment très intense à tel point que je suis capable de percevoir une lueur rouge dans le bas-ventre de la jeune femme. Elle s'est maintenant complètement allongée et laisse l'objet à l'intérieur de son corps lui procurer du plaisir... Mais je sens que quelque chose ne tourne pas rond : le sifflement est devenu suraigüe et me vrille les oreilles, de plus les mouvements de l'artefact sont vraiment violents et amples : ce truc doit lui ravager les entrailles et en regardant bien, je vois qu'une grimace à remplacer le sourire sur visage de la jeune femme et par moments des spasmes plus violents lui arrachent des petits cris de douleur.

De son côté, Émilie aussi c'est remis à crier : Gautier a changé d'orifice et lui laboure littéralement l'anus : il fait de grands mouvements amples; il sort quasiment tout son sexe puis le renfonce d'un geste brusque jusqu'aux couilles qui tapent alors sur la vulve potelée de la jeune femme. De ses doigts crochus, il maltraite ses tétons déjà ensanglantés par la brosse métallique. Et plus les cris d'Émilie sont forts, plus les coups dans le ventre de Dascha semblent puissants.

À ce moment, un long cri déchirant emplit la pièce : La jeune rousse est en train de convulser entre orgasmes et douleurs, son ventre affreusement gonflé et rougeoyant bouge dans tous les sens à une vitesse folle. Gautier s'interrompt, et se retourne vers Dascha. À la vue de la jeune rousse crispée sur le sarcophage, les cuisses complètement écartées dévoilant une chatte déformée qui laisse échapper un filet de sécrétion mêlé de sang, le gaillard resta interdit.

Je me dis que c'était le moment ou jamais d'intervenir : depuis quelques minutes, je sens me forces revenir et les gesticulations de Dascha me permettront de bénéficier de l'effet de surprise : je me relève doucement, saisie une lance antique tenue en main par une statue à tête animale et me rue de toute ma force sur Gautier. Ce dernier, la bite encore pendante, restait focalisé sur Dascha : il tarde à réagir, et quand il m'aperçut, il ne put esquiver complètement la lame qui se planta dans son abdomen. Pris de rage, je ressortis la lance et le frappai de nouveau dans la poitrine, Je sentis clairement des os se briser sous les coups.

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