18 Maîtres Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Je veux supplier qu'on me laisse jouir mais je ne peux pas avec la bouche pleine. Heureusement, j'entends la permission de Chris dans mon oreille alors qu'il me sodomise.

- Jouis salope! Montre-nous que tu aimes que l'on te remplisse tous tes trous.

Mon corps explose. Mon orgasme provoque une réaction en chaîne. D'abord Chris pilonne mon cul et éjacule puis c'est Barry qui grogne de plaisir :

- Putain de salope, c'est bon...

Je le sens jouir alors qu'il enterre sa queue au plus profond de ma chatte.

Mon visage est baisé quelques instants de plus avant que la bite sorte de ma bouche et pulvérise une bonne quantité de sperme sur mon front. Je suis tellement heureuse que je voudrais le montrer. Mais avant que je ne puise faire quoi que ce soit, Chris se retire et Barry me soulève et s'écarte aussi. Je dois garder les yeux fermés car le sperme descend sur mes paupières. Mais ça n'a pas d'importance si je ne vois plus. Ma chatte est empalée sur une nouvelle queue et immédiatement après une autre bite pénètre mon cul. Un troisième membre fraye son chemin dans ma bouche

Je suis baisée encore et encore, remplie et baisée. Je sais qu'il n'y a que 18 hommes mais j'ai l'impression qu'il y en a deux fois plus. Après le troisième ou quatrième tour de bites, je suis inondée de sperme. Les hommes n'ont plus besoin de lubrifier leurs bites avant de les enfoncer dans mon trou du cul. C'est bien qu'ils alternent entre ma bouche et mon visage quand ils éjaculent sinon j'aurais été noyée. Je pense que j'ai eu un autre orgasme mais tout est flou. Je sais juste qu'à un moment une bite est sortie et n'a pas été remplacée par une autre. Puis tous mes trous sont laissés vides. Je me couche, le sperme dégoulinant de partout, mes yeux cimentés par le sperme séché et je m'endors.

Je suis désorientée quand je me réveille. Je me sens comme vendredi dernier lorsque j'ai quitté l'hôtel couverte du sperme de 24 hommes, pas exactement pareil mais beaucoup plus souillée. Mes cils sont collés. Je les frotte doucement en essayant d'ouvrir les yeux pour regarder autour de moi. C'est si calme.

- Tu es réveillée?

C'est la voix de Chris. Pour seule réponse, je fais un son incompréhensible qui est un croisement entre un grognement et un gémissement.

- Reste tranquille! Ordonne-t-il.

J'entends l'eau couler, puis des pas près de moi. Je le sens s'asseoir sur le lit. De l'eau ruisselle sur mon visage et un chiffon tiède est passé sur ma figure pour laver le sperme séché sur mes yeux. Il continue avec mon nez et ma bouche puis il s'arrête. Je tremble dans l'espoir qu'il lave tout mon corps de cette façon. Je veux qu'il me touche de partout. Je ne comprends pas pourquoi je peux vouloir ça après avoir été abusée pendant des heures. Quelle heure est-il? Il fait sombre mais la nuit tombe tôt en hiver. Je vois l'horloge : 19h20. Je lève les yeux ver Chris qui est en train de m'étudier.

- Est-ce que tu aimes ça?

- Oui Maître!

Il déplace sa main sur sa poitrine, la caressant et la pétrissant. Je me cambre. Son autre main se faufile entre mes jambes et il pénètre ma chatte avec ses doigts. Je gémis un peu de douleur après cette soirée active. Mais ça ne l'arrête pas.

- As-tu aimé la triple pénétration?

- Oui M... Maître.

- Et si tu n'avais pas tout eu à la fois?

Je sais qu'il y a une bonne réponse à donner mais je n'arrive pas à savoir laquelle. Alors je réponds simplement :

- J'aimerai tout ce que vous voudrez faire avec moi Maître.

- Mais serais-tu satisfaite d'un seul homme?

Il frotte mon clitoris et pince mon mamelon.

- Oui... Oui Maître. Gémis-je.

- Je ne te crois pas, tu es la salope la plus insatiable que je n'ai jamais rencontrée.

Il me pénètre avec trois doigts et commence à sucer mon téton dur.

- Maître, puis-je jouir?

- Oui.

Tandis qu'il mordille mon téton avec ses dents, j'ai un nouvel orgasme avec ses doigts enterrés dans mon vagin.

- Merci Maître! Dis-je en soupirant de plaisir.

J'écarte encore plus mes jambes en espérant qu'il va me baiser.

- Je pense que tu n'es pas faite pour être possédée par un seul homme. Tu ne seras jamais satisfaite à moins que plus d'une douzaine d'hommes te baisent n'est-ce pas?

- Je... Je n'y ai jamais vraiment réfléchi... Ca ne fait que quelques semaines Maître. Allons-nous continuer ou est-ce... terminé?

- Que veux-tu esclave?

C'est une question facile.

- Je veux continuer encore et encore. Je veux que vous continuiez à me baiser jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher. Je veux que vous m'utilisiez de toutes les manières qui vous rendent heureux.

Après ces mots, il me bouscule et me fait rouler sur le lit afin que je sois sur le ventre. Puis il me tient et commence à me fesser vigoureusement. Je pleure et je me débats.

- Et si ça me rend heureux de te fesser esclave? Tu aimes ça? Tu aimes avoir mal?

Il fait une pause, me laissant une minute pour récupérer et reprendre mon souffle.

- Je n'aime pas la douleur Maître, mais j'aime bien me soumettre.

- Que vas-tu penser de ça?

Il tend la main et ramasse une raquette en bois qui était appuyée contre le mur. Avant que je ne réalise ce qui allait arriver, il me frappe violemment sur une fesse. Je crie, ma respiration coupée pendant quelques secondes sous l'effet de la douleur cuisante. Puis celle-ci commence à s'estomper.

- Est-ce que tu aimes ça? les coups? les bleus?

Il me frappe sur l'autre fesse avant que la douleur du premier coup soit partie. Puis il frappe une troisième fois sur la première fesse mais un peu plus bas. Tout mon cul rayonne de douleur.

- NON NON NON NON NON!!!!!!!

Il me laisse me tortiller en me relâchant légèrement.

- Veux-tu utiliser tes mots de sécurité?

- NON! Crié-je.

De nouveau, il me maintient sur le ventre et me frappe avec la raquette.

- MAITRE! Crié-je.

Tout mon corps résonne de douleur.

- Alors si moi j'aime ça, si c'est ce que je veux faire tous les jours, toutes les heures, tu le voudras aussi? Juste pour me rendre heureux?

- Oui Maître! Dis-je en pleurant.

- Pourquoi? Comment peux-tu accepter ça?

- je ne sais pas Maître. Est-ce important?

- Non, je suppose que non. Soupire-t-il.

Il s'assoit sur le lit. Je reste sur le ventre, redoutant la raquette. Mais il me regarde en la faisant tournoyer. Et il me raconte :

- Il y a quelques années, j'étais dans un club de strip-tease privé. J'ai vu une femme amenée par un homme. Elle était nue et ses poignets étaient attachés ensemble. L'homme accrocha les bras de la femme à une chaîne qui pendait au plafond. Ensuite il la frappa plusieurs fois avec une canne, un peu comme je viens de faire. Elle avait des rayures rouges incroyables sur son cul et ses jambes. L'homme s'est ensuite tourné vers nous et il a dit : « Ma pute de femme est insatiable. S'il vous plaît, baisez là pour la soumettre. Puis il s'est assis à une table, la laissant là. Alors les hommes se sont avancés vers elle, seulement quelques-uns au début mais au bout d'un temps tous étaient autour. Il y avait même des femmes avec des godes ceinture. Je me suis dit que ça allait être l'enfer. Et ça a du l'être pour la pauvre femme quand 40 personnes l'ont baisée. Ça a duré des heures. A la fin, elle pouvait à peine bouger. L'homme l'enveloppa dans un drap puis il l'emmena. Je ne les ai jamais revus. Je ne sais pas quel lien ils avaient, si c'était une habitude ou une punition pour quelque chose qu'elle avait fait. Je ne sais pas si elle a aimé. Et je ne sais même pas si elle avait un mot de sécurité.

Chris se lève en me regardant droit dans les yeux et il me demande :

- Si je faisais cela avec toi, si je t'emmenais dans une telle situation, que ferais-tu?

Je frissonne à l'idée d'une multitude d'hommes faisant la queue pour me baiser. Je reste silencieuse pendant une minute.

- Alors? Insiste-t-il.

- Je... Ont-ils... Ont-ils utilisé des préservatifs?

- Certains l'ont fait, mais la plupart non. Pourquoi?

Je baisse les yeux.

- Ça ne semble pas sur Maître. Je veux dire pour les maladies. Est-ce qu'il s'assurait qu'il ne se passe rien de mal?

Je le regarde dans les yeux.

- Je veux dire que si j'étais dans cette situation, je voudrais être sûre d'être en sécurité.

- Donc tu as bien un instinct d'auto-préservation. Donc même si ça me rendait heureux de te lancer comme ça dans une foule, tu n'irais pas aussi loin?

- J'aime ça Maître. J'aime énormément ça. Même les moments où ça me plaît moins, j'aime s'il y a du sens. Mais il doit y avoir de la sécurité. C'est la raison pour laquelle j'ai choisi votre groupe. Même avec tant d'hommes, vous m'avez dit clairement que je serai en sécurité, comme avec les mots de sécurité ou la petite lampe que je peux allumer quand je suis bâillonnée. Si je sais que je suis en sécurité, je peux vous laisser faire n'importe quoi.

- Mmmmm.

Il hoche la tête. Il se déplace pour mieux voir mes fesses. Je sens ses doigts passer sur les marques qu'il m'a faites. Je grimace un peu.

- Tu vas avoir de grosses contusions ici.

Je souris. J'aime la pensée de devoir porter les marques qu'il m'a infligées.

- Il faut que je me vide avant de te renvoyer chez toi. Où veux-tu que je le fasse?

- Où vous voulez Maître!

Il me tourne et pénètre ma chatte d'un seul coup, me faisant grimacer. Mon sexe est presque à vif après toutes ces bites. Il ne montre aucune pitié et me pilonne jusqu'à ce qu'il soit à bout de souffle. A la dernière seconde il se retire et gicle sa semence sur mon visage et ma poitrine.

- Dehors maintenant!

Il me soulève hors du lit. Je grimace un peu de douleur, du foutre coulant sur mon visage.

- Va-t'en comme tu es venue!

Je me déplace à quatre pattes, sur mes mains et mes genoux encore endoloris. Je sens le sperme sur mon visage. J'essaie d'aller le plus vite possible pour le suivre, descendre l'escalier et me diriger vers la porte d'entrée.

- Ne te lave pas avant le matin salope! Je veux que tu rêves de nous alors que tu dors dans des draps souillés.

- Oui Maître.

Il ouvre la porte et je sors nue, à quatre pattes, dans la nuit.

A suivre...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Merci

Excellent, J'adore surtout ce chapitre, de la déchéance mais avec du respect, vraiment un très grand Bravo

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