18 Maîtres Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Quand j'essaie de fermer les yeux, Chris me gifle le visage :

- Garde les yeux ouverts salope! Tu dois regarder chaque minute de ton humiliation.

Et il ajoute à l'intention de ses amis :

- D'ailleurs, amenez la dans cette chambre!

Sur ces ordres, les hommes me traînent dans la pièce par les chaînes. Dans cette chambre, il y a un grand placard dont les portes sont couvertes de miroirs. Je trébuche et vacille sur mes talons. Chris me place devant le miroir et suit les marques de fouet sur ma poitrine. Il ordonne :

- Tourne-toi, penche-toi et regarde ton cul entre tes jambes!

Je ne peux retenir un petit cri étouffé quand je vois à quel point mon cul est rouge et marqué par les fessées et le fouet. Chris me relève, me regard intensément et me demande froidement :

- En veux-tu plus? Ou devons-nous passer à autre chose?

Je ne peux que lui rendre son regard. J'essaie de réfléchir à ce que je peux dire avec mon bâillon.

-Oh c'est vrai! Je suppose que si nous arrêtons un peu de te fouetter pour te faire obéir, nous pouvons aussi enlever cette boule et te mettre quelque chose de mieux.

Chris fait un signe de tête à un de ses acolytes. Je sens qu'on m'enlève le ball-gag et je l'entends frapper le sol quand l'homme le jette dans un coin.

- Est-ce l'heure des cadeaux? Demande un autre homme.

- Pourquoi pas, c'est une bonne idée. Va chercher les autres jouets Andy! Dirige Chris.

Le gars nommé Andy s'approche avec un plateau sur lesquels il y a plusieurs objets. Mais je ne sais pas à quoi ils servent. Chris sent ma confusion et me demande :

- Sais-tu ce que c'est esclave?

- Non Maître. Dis-je faiblement.

D'un ton malicieux et vicieux, il m'explique :

- Ces petites pinces sont pour tes petits tétons. Andy? Serre-les jusqu'à ce qu'elle te demande d'arrêter. Toutefois c'est toi qui décide de stopper ou non.

L'homme prend un petit cercle chromé avec quatre minuscules vis. Il se penche et suce mon téton gauche jusqu'à ce qu'il durcisse. Je dois étouffer un gémissement de plaisir alors que sa langue titille mon téton à vif. Puis il éloigne sa bouche et enfile l'anneau sur mon mamelon et serre les vis. J'ouvre la bouche pour crier de douleur mais une grosse main me ferme les lèvres.

- Ne crie pas, ou on te remet la boule. Dit une voix rauque.

Je hoche la tête et la main est retirée.

- Trop serrée ma chérie? Sourit Andy.

- Oui Maître! Haleté-je.

- Bien! Dit-il.

Et il serre un peu plus avant de passer à l'autre sein. Quand il a fini, mes tétons sont en feu et je me remets à mouiller.

- On continue. Dit Joyeusement Andy.

Il place alors une plus grande pince avec des petits fils de perles sur mon clitoris. Je peux voir ces fils se balancer doucement quand je bouge et je peux sentir les perles balayer mes cuisses.

- Je pense qu'il est temps pour vous tous de vous soulager avant que vos couilles ne soient complètement congestionnées. Sortez la bâche! Dit Chris.

Je suis tirée sur une grande bâche bleue comme on utilise quand on va en camping. Chris explique les règles du prochain événement :

- Messieurs, il est temps de baptiser notre charmante esclave et de la recouvrir de tous ce que nous pouvons donner. Je veux qu'elle soit couverte des cheveux jusqu'aux orteils. Vous êtes soulagés et elle obtient ce qu'elle mérite pour être une salope à baiser. Préparez-vous, le premier qui gicle gagne un prix!

Pour la première fois de la nuit, je vois une bite. Je suis entourée par les hommes qui se bousculent pour se mettre en position. Certains se laissent tomber à genoux sur le sol. Les autres restent debout tout en se masturbant rapidement. Je suppose qu'ils sont heureux parce qu'ils commencent à jouir presque immédiatement. Un jet blanc frappe mes seins.

- Tom est le premier à gicler! Annonce Chris.

- Ah... C'est parce qu'il est vers les seins, c'est un mec à nichons. Se plaint quelqu'un.

Je vois Tom sourire, secouant sa bite et vidant sa dernière charge sur moi. Bientôt un autre jet de sperme me frappe au visage. Je commence à fermer les yeux.

- Les yeux ouverts salope! Ordonne Chris.

J'obéis et je vois une autre décharge voler vers ma joue. Par contre, je ne peux pas le voir, mais je sens l'humidité baigner mes pieds puis ma cuisse. Puis, mon Dieu, je sens deux jets frapper mes cheveux de chaque côté de moi. Ensuite, c'est mon entrejambe, mes seins, mon visage encore. Ils avaient promis qu'ils me couvriraient de sperme. J'aime cette sensation collante, chaude. Mais ma chatte crie de frustration.

Le dernier homme se branle lentement et commence à être moqué par ses amis. Chris dit alors :

- Hé Barry, Va t'aider avec la bouche de cette pute! Toi salope, ouvre grand!

Chris tord l'anneau sur un de mes mamelons. J'ouvre la bouche et je sens le sexe de Barry sur ma langue. Cela semble faire l'affaire car après deux ou trois coups de langue il commence à haleter.

- Sors! Sur son visage! Ordonne Chris.

Le jet de sperme frappe mon front. C'est une grosse quantité comme si elle avait eu le temps de s'accumuler. Quelqu'un m'incline la tête et ça me coule dans les yeux. Je cligne furieusement, essayant de voir à travers la brume blanche, pendant que les gars acclament Barry. Chris dit alors :

- Bien! Tom? Voilà ton prix : Tu peux l'emmener sous la douche et la nettoyer à l'eau froide pour qu'elle reste en forme. Mais ne la baise pas encore!

Pendant qu'il parle, un autre homme me remet le ball-gag dans la bouche. Un gars blond et barbu me sourit et attrape la chaîne autour de mon cou. Il avait enlevé pantalon et chemise.

- Enlève ces chaussures de pute salope! A moins que tu ne veuilles qu'elles prennent une douche. Dit Tom.

Je lutte pour m'asseoir et atteindre mes pieds. Je tâtonne sur les boucles spongieuses autour de mes chevilles. Andy avance rapidement et enlève mes chaussures tout en caressant mes pieds. Tom me redresse et me remorque jusqu'à la salle de bain. Il me pousse dans l'immense douche à l'italienne.

Tous les gars se sont rassemblés pour regarder le spectacle. La douche possède une petite douchette à main en plus de l'énorme pomme de douche. Tom la saisit et ouvre l'eau. Elle est glacée et je crie, choquée par l'eau froide qui tombe à la fois du plafond et qui sort de la douchette tenue par Tom. J'essaie vainement de me couvrir et de m'accroupir dans un coin, mais l'eau m'atteint quand même.

- Non, Arrêtez s'il vous plaît!

J'essaie de crier, mais mes lèvres ne peuvent que marmonner derrière cette saloperie de boule.

- Hé patron, elle m'a crié quelque chose mais je ne crois pas qu'elle ait dit « Maître »! Puis-je lui pisser dessus? Crie Tom pour couvrir le son de la douche.

- Pas de soucis, elle ne l'a pas interdit dans sa liste! Répond Chris.

Tom arrête l'eau et entre dans la douche. Il attrape sa queue de sa main libre et la pointe sur moi. Un flot d'urine me frappe le visage. Toute l'équipe applaudit, quelques-uns lèvent même les bras en criant « BUT ». Au moins je suis dans la douche et cette fois je suis contente quand Tom ouvre de nouveau l'eau glacée. Je la laisse laver mon humiliation récente. J'avais été curieuse de voir si j'aimais, mais ce n'était pas le cas. De toute façon ça n'a pas d'importance.

- Vous savez les gars, je ne pense pas que notre pute aime les douches, du moins pas celles de pisse. Dit Tom en éteignant l'eau.

- Qui se soucie de ce que notre pute aime? C'est pour cela qu'elle est une esclave. Frotte cette salope! Hurle un gars avec une voix grave.

- Ah oui, la frotter, c'est une bonne idée. Dit Tom en attrapant une grosse brosse de douche.

Il met du savon sur la brosse et il m'ordonne de me lever et d'écarter mes bras et mes jambes. Mais Andy souligne :

- Tu sais, il y a assez de place là-dedans pour qu'on puisse l'enchaîner à nouveau et s'assurer qu'on la récure à fond.

Ils sont tous d'accord pour dire que c'est une bonne idée. Alors une fois de plus je suis enchaînée, étirée et bien exposée. Tom prend la brosse savonneuse et récure mon corps en commençant par-devant. Et même s'il ne s'est passé que quelques minutes depuis la séance sur la bâche, je peux voir que les hommes recommencent à bander en voyant mes seins bousculés par la brosse. Merde, les poils de la brosse me faisaient mal sur les zébrures laissées par le fouet. La sensation de la brosse contre les anneaux sur mes mamelons me coupe le souffle. Ensuite, les gars m'obligent à me tourner et à me pencher pour que Tom puisse aussi brosser mon cul. La brosse tord la pince sur mon clitoris. Je crie fort sous la douleur mais l'eau glacée me frappe. J'ai presque remercié qu'elle m'engourdisse, presque.

Tom attrape la chaîne reliée au collier et me sort de la douche. En regardant Chris, il lui demande :

- Est-ce qu'on la sèche?

- Non, laissons-la comme ça pour le moment. Amène-la sur la bâche!

Je suis remorqué dans l'autre pièce et on me met à genoux. Les hommes forment un cercle autour de moi. Ils sont tous nus à présent et ils caressent lentement leurs bites. Il y a de longues bites, des courtes, des épaisses, des minces mais elles me paraissent toutes belles. Je les veux en moi. Mais il n'est pas encore temps pour mon viol, du moins pas le viol de ma chatte. Un homme m'enlève la boule dans ma bouche et la remplace par autre chose, une bague avec des lanières en cuir. Chris m'explique alors!

- C'est un ring-gag esclave! Ça gardera ta bouche bien ouverte pendant que nous te baiserons. Tu ne vas sûrement pas aimer cela, du moins je l'espère.

Les hommes décrochent les chaînes à mes poignets et mettent une bite dans chacune de mes mains puis m'ordonne de les branler. Pendant ce temps, une queue est poussée dans ma bouche, puis entre et sort pour baiser ma gorge. Si mes mains s'arrêtent de travailler, je reçois immédiatement un coup de fouet sur le cul. Mais je ne peux pas crier à cause du pieu enfoncé dans ma bouche. Il s'agit d'une sorte de danse : branlette, branlette, branlette, jouissance, sperme que j'avale, changement de partenaire, branlette à nouveau et ainsi de suite. Ma bouche me fait mal à cause de l'anneau. Ma salive tombe sur la bâche. Bientôt je fatigue et j'ai froid, je suis dans le brouillard.

Puis je me rends compte que Chris se tient devant moi et pousse sa grosse queue entre mes lèvres étirées. Il recule et replonge sa bite plusieurs fois, m'étouffant presque. Il me regarde toujours profondément dans les yeux. Il est hypnotisant.

Chris ne jouit pas dans ma gorge. Il se retire et ordonne aux hommes de mettre des sangles autour de mes cuisses. Des chaînes sont ajoutées à ces sangles et mes poignets sont à nouveau attachés. Quelqu'un enlève le ring-gag et met trois doigts dans ma bouche pour que je les suce. Ensuite ils me traînent jusqu'au lit. Deux hommes me tiennent les poignets au-dessus de la tête pour bien faire ressortir mes seins. Deux autres tirent sur les chaînes de mes cuisses pour bien écarter mes jambes et deux autres tiennent mes pieds pour qu'ils ne se balancent pas. Je ne me suis jamais sentie aussi exposée et vulnérable. Chris me rejoint et se positionne juste devant moi en me regardant de nouveau profondément dans les yeux. Sa queue brille avec ma salive et semble impatiente.

- Voilà petite pute, c'était l'échauffement, on s'est bien amusé avec ta bouche. Mais maintenant ta chatte va se faire déchirer par toutes ces queues. Tu peux toujours nous supplier d'arrêter. Mais nous allons te violer et tu ne pourras pas nous arrêter. Tes jambes resteront ouvertes jusqu'à ce que le dernier d'entre nous soit passé. Et même, peut-être que quelqu'un d'autre sera de nouveau en forme pour te violer. Tu peux crier, mais on va fourrer des bites dans ta bouche et la baiser pour te faire taire. As-tu quelque chose à dire salope, vide-couilles?

Je suis stupéfaite? Je n'aurai jamais imaginé ressentir tout cela aussi profondément, l'humiliation, la punition. Je ne veux pas que ça s'arrête, mais je suis terrifiée par la suite. Je savais que ça allait me changer d'une manière dont je n'aurai jamais pensé quand j'ai mis cette foutue annonce. Il s'agissait d'un fantasme mais maintenant c'est sérieux. Je peux tout arrêter, ma bouche est libre. Il me suffit de crier « FEU ROUGE », ils reculeraient tous et je pourrai rentrer chez moi. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas aller si loin et ne pas continuer. Chris me fixe encore avec ses yeux brûlants :

- Veux-tu que nous arrêtions?

Je prends une forte inspiration. Mes seins bougent à peine car mes bras sont bien tendus. Et je supplie :

- S'il vous plaît, s'il vous plaît Maître, s'il vous plaît ne me violez pas, ne me faites plus mal, c'est trop pour moi, trop de bites!

Chris sourit. Manifestement il savoure ma prière, il apprécie ma soumission totale. Il pousse sa queue dans mon vagin. Instantanément je jouis quand il me pénètre. Vague après vague je frissonne de mon orgasme.

- Oh, regardez cette pute, elle adore!

Je me débats contre les chaînes, luttant pour fermer mes jambes et le forcer à se retirer. Mais il me pilonne de plus en plus fort. Puis ça se termine et il grogne en déchargeant son foutre dans mon ventre.

Il se retire et a à peine le temps de s'éloigner qu'un autre homme se place entre mes jambes. Gary? Barry? Je n'arrive pas à me souvenir de son nom. Maintenant pour moi ils se nomment tous « Maître ». Je suis leur esclave. Le gars suivant me laboure pendant quelques instants et je jouis de nouveau pendant qu'ils rigolent tous. Ce n'était pas seulement la baise qui me faisait jouir, mais plutôt l'expérience du viol collectif. Je suis marquée par leur sperme au plus profond de moi. Je peux le sentir jaillir, après le quatrième ou cinquième gars, sur mes cuisses. Je commence à pleurer, les suppliant d'arrêter mais je n'utilise pas les mots de sécurité.

- Ferme la sale pute! Crie quelqu'un.

Je suis tirée de telle sorte que ma tête se balance sur le bord du lit et qu'une bite puisse facilement glisser dans ma bouche. Ainsi, je suis violée des deux côtés. Mon esprit s'évade. Je sens le sperme gicler dans mon ventre et dans ma bouche en même temps. Et ça continue, encore et encore. Mes jambes me font mal. Ma chatte et mes lèvres sont meurtries par toutes ces queues. Mais je ne peux pas l'arrêter même si je le veux. En vérité, je ne veux pas arrêter.

Il se passe plusieurs heures. Ils me changent de position plusieurs fois. Ils me mettent en levrette et baise toujours mes deux trous. Ils aiment cette position car mes gros seins rebondissent sous les coups de boutoirs. Certains hommes se glissent sous moi pour les sucer.

Ensuite, ils me déplacent vers le canapé, mettant ma tête sur le coussin et mes hanches sur le bras du canapé, jambes écartées. Je suis baisée pendant des heures. Je ne peux pas crier car j'ai toujours une bite dans la bouche. Mes mâchoires me font mal. Ma gorge se gargarise avec leur sperme. Je m'aperçois qu'ils commencent à fatiguer quand ils torturent plus mes seins que ma chatte.

Juste au moment où je pense que ma chatte va saigner avec tous ces abus, Chris arrête ses amis :

- je pense qu'il est temps de laisser reposer sa chatte.

Je gémis presque de soulagement. Mais j'aurai dû comprendre qu'il n'allait pas me laisser aussi facilement. Je ferme les yeux, et pour une fois il me le permet.

Les hommes me poussent au sol sur mes genoux. Je sens quelqu'un saisir mes cheveux et m'embrasser. J'ouvre les yeux et je me rends compte que c'est Chris. Je sens sa langue pénétrer ma bouche imbibée de sperme. Je pense à lui qui est en train de goûter le jus de tous ses amis. Mais bientôt mes pensées sont détournées. Un homme me remet le ball-gag brutalement dans la bouche. Un autre me pousse pour que je tombe à quatre pattes comme un chien. Deux gars commencent à me sucer les seins. Un autre homme pousse un glaçon dans ma chatte. En même temps, quelqu'un plonge une bite bien lubrifiée dans mon trou du cul. Je n'ai jamais ressenti une telle douleur fulgurante auparavant. J'ai l'impression d'être écartelée. Mon cul est si serré qu'il ne peut pénétrer plus avant.

- Je pense que ce cul a besoin de plus de préparation avant d'être utilisé. Dit Chris avec regret.

Puis il ajoute :

- Mais je vais laisser ma marque afin qu'elle sache que nous possédons chaque morceau d'elle.

Je sens sa main caresser mon cul alors qu'il se prépare à jouir. Dès qu'il éjacule, je sens le sperme en moi et je sais que je suis définitivement à eux.

Ensuite l'action ralentit. Quelque gars ont encore joui, certains dans ma bouche. Finalement Chris clôture la soirée :

- Je pense que notre esclave a été assez violée pour cette nuit. Elle a dû être pénétrée une bonne centaine de fois et même pas dans le cul. Mais nous y travaillerons plus tard. Quelqu'un veut-il encore lui dire quelque chose?

Les hommes rigolent et secouent la tête. Je ne sais pas qui est le plus épuisé.

- Détachez-la et revoyons-la chez elle si elle peut encore marcher!

Ils enlèvent chaînes et sangles et m'aident à me relever. Mes jambes tremblent tellement que je manque de tomber. Je sens quelqu'un m'attraper et me mener vers le canapé. Deux gars me remettent mes talons aiguilles. Ils sont couverts de sperme séché. Deux autres hommes m'aident à me lever et m'emmènent nue vers la porte Un autre arrive avec mes gants et mon corset. Mais Chris secoue la tête et m'aide à enfiler mon manteau. Il dit :

- Elle rentre chez elle nue. Je veux qu'elle ait honte d'elle ce soir.

Puis il se retourne et me regarde dans les yeux :

- Quand tu seras chez toi, tu n'auras pas le droit de prendre une douche avant que 24 heures ne soient passées. Tu dois sentir notre foutre. Rappelle-toi que tu nous appartiens et si tu désobéis, nous le saurons et tu seras punie.

- Oui Maître! Murmuré-je.

Ma langue est si fatiguée que je peux à peine prononcer ces mots.

- As-tu autre chose à dire avant de partir sale pute?

J'arrive à dire ces derniers mots :

- Oui. Pouvons-nous recommencer la semaine prochaine et pouvez-vous amener plus d'hommes avec vous?

A suivre...

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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
chanceuse

merci pour ce récit.. j'aime ça et je voudrais être à sa place, moi aussi mon excitation a bien coulé le long de mes jambes et j'ai du me goder en lisant pour me soulager. je vais de ce pas sucer une bonne queue et la supplier de me baiser! votre (grosse) coquine

elkoelkoil y a presque 6 ans

super j'adore !!!

AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans

Quelle magnifique dégradation !

Et en plus ne pas pouvoir se laver pendant 24h ! ! ! Elle embaume le sexe !

Super

Rudy

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