Un Propriétaire Compréhensif

BÊTA PUBLIQUE

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En sortant de son sexe, je me rendis compte de l'ampleur des dégâts. Une bonne partie de mon corps (de l'entre jambe, jusqu'au-dessus de mon nombril) était souillée par le sperme de mon voisin retraité. En particulier, mes bourses et mon pénis (qui s'était très vite ratatiné) étaient badigeonnés de cet épais liquide jaunâtre. Je courrais dans la salle de bain pour me nettoyer. Furtivement je vis Elodie se mettre deux doigts dans le vagin puis les porter à sa bouche.

Je n'ai vu Henri que le dimanche matin suivant, en lui rendant visite. Un peu inquiet de m'apercevoir en ouvrant sa porte, je l'ai rassuré d'un sourire et lui ai dit que j'allais faire un peu de vélo, pour m'entretenir, jusqu'à midi, que la place était libre, chaude, et qu'Elodie l'attendait. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna plus. Elle aimait ça, ne s'en cachait pas Avec lui, elle jouissait à répétition, bien plus qu'avec moi m'avoua-t'elle.

Finalement, elle convainquit Henri, réticent au départ, de me laisser les regarder. Mais celui-ci émis une condition, que je ne sois vêtu uniquement que des dessous d'Elodie. Il ne voulait pas avoir la sensation d'être espionné par un autre homme.

Lorsque le jour arriva, je me sentis gêné et timide. Je ne savais pas comment me comporter. Je portais un soutien-gorge et ma bite était comprimée dans mon entrejambe par une fine culote de ma femme On sonna à la porte. Elodie me fit assoir sur une chaise dans un angle du salon en me disant de ne pas bouger puis s'en alla accueillir son vieil amant. Quand ils entrèrent dans le salon elle avait déjà tombé sa robe de chambre de soie et se frottait nue contre cet homme un peu ventru. Henri me sourit, lui aussi sans doute gêné.

Elle le dévêtit rapidement, ne lui lassant uniquement que son marcel sur le torse. Elle attrapa sa queue déjà dure puis se tourna vers moi en souriant.

— Voici l'arme du crime, mon petit mari chérie. Dit-elle en l'agitant devant son visage.

Si sa bite n'était pas plus longue que la mienne, elle était bien plus grosse, au moins deux doigts. Des veines saillantes luisaient le long du chibre tandis que la main d'Elodie le serrait. Mais le plus impressions restaient ses énormes couilles, ridées, bouffis, ces couilles qui produisaient du sperme en quantité industrielle. Complètement imberbe, on aurait dit un cerneau de noix plus gros qu'un pamplemousse.

— Alors c'était vrai, tu as envie d'être cocu et de profiter du spectacle demanda t'il.

Je fis un oui de la tête.

— Tu vas en avoir pour ton argent. Dit-il en riant.

Il attrapa la tête de ma femme qui commença à lécher sa bite et son gland. Un fois son sexe recouvert de bave, il la fit se coucher sur le sofa. Lentement il enfonça son gland, bien plus large que le mien, dans son vagin. J'étais fasciné par cette pénétration, ses lèvres d'Elodie dessinant un O autour de la grosse bite d'Henri dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l'odeur si délicieusement musquée de l'amour, et plus encore l'ouïe enchantée par les sons qu'elle produisait en faisant l'amour : elle respirait fort, bruyamment au rythme où on la prenait. À chaque expiration, un petit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, des gémissements brefs accompagnaient le rythme jusqu'à un plainte continue annonçant son orgasme couronné d'une longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblements de son menton. Parfois, Elodie embrassait son amant à pleine bouche.

Au bout de dix bonnes minutes, ils changèrent de position. Henri s'assit sur le sofa, et Elodie se mis à califourchon sur sa bite, en lui tournant le dos.

— Je vois que ça te plait. Dit le vieux Priape en désignant la bosse dans mes sous vêtement féminin.

— Viens ici me dit Elodie.

Elle caressa ma culote. Ma bite vibrait. Puis elle m'ordonna de me mettre à genoux entre ses jambes.

— Regarde comme il me la met bien.

Elle agrippa ma tête:

— Lèche-moi le minou dit-elle en m'attirant vers sa chatte.

Je fus déséquilibre et mon visage s'écrasa contre les bourses potelées et rebondies d'Henri. On aurait dit que j'enfonçais mon nez dans un coussin.

Je repris l'équilibre et entreprise de lécher le clitoris qui pointait entre les deux lèvres étirées à l'extrême. A cause des mouvements, je léchais parfois accidentellement les pieux de notre vieux voisin.

— Tu en veux un peu, demanda-t-il?

Il souleva un peu ma femme et sorti sa queue de son vagin. Elodie l'attrapa d'une main et l'enfonça dans ma bouche. De son autre main, elle obligeait ma tête à faire des va et viens sur cette vielle bite qui remplissait ma bouche. Je poussais des cris étouffés par le gland gonflé de mon voisin vicieux.

— Avale ma grosse bite. Comme ça tu sais ce qu'elle ressent.

Au bout de quelque minutes, il me libera et pénétra à nouveau ma femme a quelque centimètres de mon visage

— Carresse-moi les burnes, je vais bientôt lâcher la purée.

Instinctivement, j'attrapais ses couilles à deux mains et lui massais les bourses. On sentait littéralement le fluide séminal se déplacer à l'intérieur.

Ma femme montait et descendait avec frénésie et jouissait à chaque mouvement

— Heureusement que je prends la pilule car aujourd'hui commence ma période d'ovulation. Dit-elle en haletant.

— Ça n'y changera rien, j'ai un 100% de réussite, mon sperme et trop épais pour les anti contraceptifs, dit-il en riant.

Rapidement, je repensais au volume de semence visqueuse qu'il avait déversé les jours précédents, je revoyais la chatte d'Elodie déversant le foutre d'Henri sur les draps complètement trempés de par cette pate jaunâtre. Je savais qu'il avait raison.

— Noooon criais-je dans un élan de lucidité.

C'était trop tard. Le vieux jouissait abondamment au plus profond du vagin de ma femme. Le sperme dégoulinait le long des lèvre d'Elodie.

— S'il vous plait sanglotais-je

— Tu ne veux plus que je jute dans ta femme? Dit-il en sortant sa bite et empalant ma bouche dessus.

Il éjaculait toujours. C'était presque un flot continu qui se déversait dans ma gorge. Son sperme se collait sur mes dents et sur mes amygdales. Je régurgitais un peu de son liquide, mais comme il maintenait fermement ma tête, son foute ressorti par mes narines.

Finalement il me relâcha.

— Chérie, la tout n'est pas perdu, tu vas me nettoyer pour ne pas qu'il me féconde. Dit-elle en m'allongeant sur le sol.

Elle posa sa chatte contre son visage. Le liquide brulant coulait sur mon visage. J'enfonçai ma langue au plus profond pour essayer de sauver ce qui pouvait l'être, mais je savais que tout était déjà perdu. Je pleurais tout en continuant ma besogne avilissante. Debout, au-dessus de moi Henri écrasait son gland pour crachait la dernière goute visqueuse qui vint s'écraser sur mes yeux.

— Alors satisfait? Demanda-t-il avec un ton sournois. C'est bien que tu voulais? Cocu!

Depuis ce jour, Henri a augmenté notre loyer, mais comme ma femme ne veux pas partir, j'ai été obligé de trouver un second emploi. Bien entendu, elle ne veut plus travailler, elle préfère passer sa journée avec notre vieux voisin, tandis que moi je vais chercher mes enfants adoptifs à l'école.

Une histoire de Roberto Maloch

Adapté d'une histoire de Loic d'Angers

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
dicordobadicordobail y a 8 mois

J'ai adoré ton histoire, merci à toi.

Heureusement je n'ai pas de propriétaire pour mon épouse.

MaitrePolMaitrePolil y a plus de 10 ans
Bonne histoire

J'ai bien aimé mais j'aurais trouvé intéressant d'avoir une description de la première rencontre du lundi matin et avoir une vision de la salope quand elle se fait baiser. Je donne un 4 étoiles

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