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BÊTA PUBLIQUE

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Son assurance me réduit au silence, me permettant un moment de réflexion avant d'accepter faiblement. À cet instant, Paige revint et planta quelques baisers délicats dans mon cou et sur mes épaules, transformant son image de professionnelle en celle de la douceur.

« Détends-toi maintenant, douce Jordan. Je te sens tendue. Et remets-toi en position, chuchota-t-elle.

« Il est si adorable », murmura-t-elle alors que ses doigts gantés écartèrent les lèvres brillantes de mon sexe, tirant délicatement sur la peau.

« ça risque de serrer un peu », commenta-t-elle en appuyant sur mon pubis. Je fis un signe de tête affirmatif, mais réservé, mes protestations vaincues.

Paige manipula le spéculum, l'enduisant d'huile d'olive récupérée dans un récipient en verre. Laissant tomber quelques gouttes du liquide sur les lèvres de mon sexe, elle inséra l'inquiétant bec en acier dans l'orifice relativement coopératif.

J'aurais probablement sauté du lit pour m'enfuir nue et en hurlant dans les rues si elle n'avait pas affiché un calme professionnel qui démontrait sa connaissance de l'objet et de son utilisation. Au lieu de cela, je restai là, lui faisant confiance alors qu'elle le mit bien en place, en quelques tours de valve. Quelques secondes plus tard, j'étais ouverte.

« Ta chatte est si parfaite », commenta-t-elle en inspectant mon sexe comme s'il n'était même pas rattaché au reste de mon corps. « N'aie pas peur », ajouta-t-elle, en jetant un oeil attentif au fond de mon tunnel à l'aide d'une lampe-stylo. Puis, comme si elle cherchait quelque chose, elle appuya sur mon estomac du bout de ses doigts. « Ah! Enfin, le voilà! C'est mieux! » s'exclama-t-elle. Elle souriait comme si elle venait juste de réussir son concours de médecine.

« Qu'est-ce qui est mieux? —Ton cervix. Je peux le voir maintenant. »

Sa voix vibrait d'une joie enfantine, et tout en maintenant fermement le spéculum en place, elle se pencha pour passer sa langue sur mon clito gonflé. Son bonnet tomba alors que je poussai un gémissement, tentant maladroitement de toucher ses cheveux.

« ça fait du bien, soupirai-je —Merci, chérie, murmura-t-elle entre deux coups de langue. —Ce n'était pas un compliment, blaguai-je. Juste un opinion professionnel. —Tu veux voir de quoi il a l'air? » dit-elle en riant.

Sans attendre ma réponse, Paige prit un miroir qui était posé sur la table de chevet et le positionna de façon à ce qu'il réfléchisse le trou béant de ma chatte. « Voilà. N'est-il pas mignon? —Mignon! Il va falloir que j'y réfléchisse, répondis-je timidement. —Foutaise, chérie. Comme presque nous toutes, tu ne l'as probablement jamais vu avant ».

Elle sourit avant de retourner dans son rôle de professionnelle.

« Enfin, il est parfait. Tu peux le voir? »

Relevant ma tête avec hésitation, je pointai mon regard dans le miroir. Apercevant le petit beignet, je détournai mes yeux instantanément.

Paige rit de ma réaction baignée d'innocence et reposa le miroir à sa place, avant de retourner son attention sur mon clito, qu'elle léchait maintenant comme un chiot lècherait le téton de sa mère. Son doigt poussa doucement sur mon anus ; soulevant mes fesses, je lui facilitai l'entrée. D'une poussée ferme, elle l'enfonça en moi.

Des gémissements étouffés s'échappèrent de ma gorge. J'adorais la façon dont elle manipulait mon corps, ses mains bougeant sans cesse, passant des seins aux tétons, à l'anus, au nombril et à la bouche. Soufflée par sa vigueur de femme et par ses mouvements sans défauts, j'agrippais ses cheveux comme s'ils étaient la crinière d'un cheval. Pantelante, je la rapprochai de moi.

J'observai sa main du coin de l'oeil, tâtonnant sur le plateau de la table de chevet, à la rechercher de quelque chose. Je la vis empoigner un ustensile étrange qu'elle avait amené dans la chambre avec le reste ; un genre d'outil chirurgical en acier inoxydable que j'avais repéré dès le départ, sans savoir ce que c'était. Je n'avais jamais vu une chose de la sorte auparavant. C'était une longue et fine tige en acier, avec une petite boule en forme de larme au bout. Sans même faire une pause dans ses attentions clitoridiennes, elle le souleva de ses doigts et le fit se balancer devant moi, comme si elle cherchait à me dire quelque chose comme « Tu vois ça? Je vais l'utiliser sur toi maintenant. »

Elle inséra ensuite le bout rond de la tige dans mon sexe, jusqu'à ce qu'il toucha l'extérieur de mon cervix. Je laissai s'échapper un long cri de jouissance. Des vagues de plaisir saturèrent mon utérus et s'étendirent dans tout mon corps alors qu'elle déplaça la tête sphérique autour de mon ouverture vulnérable.

Le barrage céda sous ses caresses expertes et, tout en soulevant mes hanches, je me retrouvai à crier son nom entre chacune de mes respirations : « Paige, vas-y Paige, n'arrête pas... Mets-le-moi... Oui, là, mets-le là! » Je me laissais faire alors qu'elle poussa le petit objet dans l'ouverture. D'instinct, j'essayai de prendre sa main dans la mienne, mais je stoppai net alors que des spasmes parcoururent tout mon ventre ; mon orgasme explosa, des vagues de plaisir parcourant mon corps alors que mon anus se contractait autour de son doigt fermement enfoncé. Ma respiration était saccadée et mes seins se balançaient au rythme de mes poumons brulants.

Ma respiration se coupa net et j'hurlai mon plaisir, mon intelligence momentanément soufflée de mon corps, alors que je descendais des hauteurs de la jouissance où l'infirmière m'avait envoyée. Mon insistance à agripper ses cheveux l'obligea à se débattre pour se dégager de mon clito moite et toujours gonflé par l'effet du second puissant orgasme qui faisait encore trembler mon corps.

J'ouvris lentement mes yeux alors qu'elle se relevait de mon sexe brulant, sa bouche et ses joues couvertes de mon jus, son rouge à lèvres étalé sur son mouton ; tout cela était le produit d'une bonne heure d'attentions expertes de ma docteure.

S'approchant de mes lèvres, elle y planta un dernier et long baiser, et je pus me gouter moi-même dans le mélange des jus de nos deux corps. Alors que sa langue explorait ma bouche, elle retira le spéculum et la sonde cervicale, ses doigts compétents les retirant de mes profondeurs. Mon corps se relaxa en quelques instants alors que nous nous maintenions chaudement enlacées.

Paige resta silencieuse, me laissant le temps de me calmer, et je sentais sa satisfaction quant à ce qui venait de se passer. Son visage exprimait la gentillesse ; « Jordan, je n'ai pas oublié ma promesse. Je vais dans la cuisine maintenant. C'est l'heure du dessert », murmura-t-elle.

FIN

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