Patricia

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Par conséquent, Patricia se présenta deux jours plus tard aux Bosquets où ses élèves l'attendaient.

« B'jour m'dame » lança Abdoul.

« Bonjour les enfants » répondit Patricia en souriant.

« Bien rentrée l'autre fois? » demanda Abdoul.

« Oui pas de souci. »

« Bon, j'avais un peu peur pour vous, vu que ma came c'était de la bonne. »

« Non, non, au contraire, je crois que ça m'a décontracté. »

« Ouais, vous étiez décontractée, ça on a vu! »

« Bon rentrons, on a du travail devant nous je crois. »

Ils prirent leurs places respectives et le cour commença. Patricia de plus en plus à l'aise avec son groupe, faisait tous les efforts possibles pour leur venir en aide. Elle y mettait vraiment du sien, mouillant sa chemise avec la plus grande sincérité.

A la fin du cour, Abdoul se roula son pétard habituel les yeux baissé sur son ouvrage, il semblait en dehors de tout, son attention entièrement tendue vers le papier et la beuh qu'il roulait entre ses doigts sombres. Patricia le surveillait du coin de l'œil, un brin nerveuse, se demandant si comme les fois précédentes il viendrait lui proposer de tirer sur la cigarette. Mais rien ne se passa, Leila comme à son habitude se faufila rapidement vers la sortie tandis que Nouredine, Momo, et Aziz entamaient une discussion. Seul dans son coin, Abdoul avachit sur sa chaise tirait consciencieusement sur son pétard. Derrière la fumée qui occultait son visage, on pouvait percevoir ses yeux rétrécis qui regardaient Patricia sans ciller. Celle-ci se sentait de plus en plus nerveuse, elle rassemblait ses affaires dans son sac, s'apprêtant à partir, mais aussi attendant la proposition de Abdoul. Mais celui-ci ne bougeait pas dans le fond de la salle. Patricia lui jetait des regards furtifs, de plus en plus nerveuse.

Rien ne vint, elle quitta donc les Bosquets sans avoir eu sa fumée si décontractante et rentra chez elle d'une humeur de chien. Cette fois Léandre eut droit à un visage fermé. Il ne comprenait pas cette saute d'humeur de sa femme, et quand le soir au lit il sollicita d'elle la petite gâterie qu'elle lui avait prodigué avant-veille, elle lui tourna le dos sans lui souhaiter le bonsoir.

Patricia fut d'une humeur massacrante les deux jours qui suivirent, elle tournait en rond comme une lionne en cage, ne trouvant pas la force de faire quoi que ce soit. Plusieurs fois, elle faillit succomber à la tentation de prendre sa voiture et de filer aux Bosquets pour solliciter Abdoul. Finalement elle n'en fit rien mais cela lui couta une partie de ses ongles. Il lui tardait de retourner dans la cité, elle comptait les heures et quand vint le moment, elle partit avec une demie heure d'avance.

Sur le parking il n'y avait encore personne. Elle rongeait son frein dans sa voiture lorsque qu'elle sentit que quelqu'un s'approchait. Elle tourna la tête et vit Abdoul venir vers elle. Il souriait de toutes ses dents qui barraient son visage d'un blanc contrastant avec sa peau. Il se pencha à la vitre au coté de Patricia.

« Vous êtes en avance m'dame! »

Patricia remua nerveusement sur son siège.

« Oui, heu...j'avais un peu de temps devant moi, alors je me suis dit... »

« Bien sur bien sur m'dame » Son sourire s'accentua et ses yeux brillants se rétrécirent. Il contemplait Patricia assise derrière son volant. Elle portait une jupe qui lui dévoilait les genoux. Elle n'avait pas réfléchit à sa tenue avant de partir tant l'obsession de la fumée la tenait, aussi se présentait elle aux Bosquets en jupe et corsage. Elle n'était pas sure du tout que le corsage qu'elle avait enfilé le matin fut assez opaque pour cacher son soutien gorge en dessous. Elle repoussa cette idée, fixant son attention sur Abdoul, allait il lui offrir une petite fumette à la fin de son cour?

De son coté Abdoul sentit bien la lutte qui taraudait les sens de Patricia. « Parfait, parfait, pensa-t-il, la bourgeoise est presque accro à ma beuh, dans peu de temps elle se trainera à mes pieds sur tirer une taffe, bonne nouvelle! »

Quand tout le monde fut la, Patricia commença son cour, sans doute moins enthousiaste que la fois précédente, plus nerveuse, plus cassante aussi ce qui fit lever vers elle des yeux étonnés. Dans le fond de la salle, Abdoul feignait une indifférence profonde tout en la surveillant du coin de l'œil.

Lui était parfaitement lucide.

Jusqu'à la fin du cour, Abdoul observa l'attitude de la prof. Rien de ce qu'elle dit ce soir la n'atteignit le cerveau d'Abdoul. Il lui semblait qu'elle proférait une bouillie de mots incompréhensibles, la fascination qu'elle exerçait sur lui, et puis aussi le pétard fumé avant la classe, tout cela se mêlait en sa tête en un fantasme érotique qui prenait corps au fur et à mesure que l'heure avançait.

Quand vint le fin du cour, Patricia le regard brillant le chercha des yeux. Abdoul était au fond dans la pénombre comme un animal en chasse. Elle entreprit de ranger son sac, ses mains tremblaient un peu, elle fit tomber du sac son poudrier, puis son téléphone qu'elle reprit nerveusement avant de le fourrer pèle mêle au fond du sac à mains. Aucun de ses gestes n'échappait à Abdoul, tandis que les trois autres jetaient des regards sous cap à la prof. qui leur avait parue bien étrange aujourd'hui. Leila comme à son habitude se glissa hors de la pièce, laissant Patricia aux prises avec les garçons. Dans le fond, Abdoul sortit enfin son joint et l'alluma ostensiblement. Il s'étala sur la chaise et ses yeux rétrécis en un sourire ironique fixa Patricia. Elle ne put s'empêcher de venir à lui la bouche crispée en un sourire forcé lui réclamer juste une petite goulée de fumée. Patricia se sentait un peu humiliée de montrer ainsi son envie de beuh. Les trois autres suivaient la scène en retenant presque leur souffle. Momo toucha le bras d'Aziz pour lui chuchoter à l'oreille « C'est-ce soir qu'elle y passe. »

« Attends c'est pas gagner, si Abdoul fait de la résistance elle va se barrer. »

« Penses tu, elle est trop accro. »

Patricia se tenait devant Abdoul.

« Qu'est-ce tu veux m'dame? »

« Juste un peu de fumée, s'il vous plait. »

« Ah! Mais, il faut payer maintenant, j'peux pas me permettre d'être toujours généreux. »

« Combien? »

« Pour vous m'dame ce sera un petit prix, venez avec moi. »

D'un bond il fut debout, il prit Patricia par le coude et la guida vers la porte du fond qu'il ouvrit et où il la fit entrer dans un couloir. A droite une porte couverte de graffitis, Abdoul la poussa et la fit entrer dans ce qui se révéla des toilettes. Il referma la porte derrière lui et tira le verrou.

« Assieds toi! » Lui commanda-t-il en désignant la cuvette d'un mouvement de menton. Patricia était trop nerveuse, trop impressionnée par le gabarie d'Abdoul, elle avait trop envie de cette fumée pour qu'elle refuse ce qu'il lui commandait de faire. Sans le quitter des yeux elle se laissa aller sur la lunette douteuse des toilettes. Abdoul lui faisait face, elle le vit défaire son pantalon, écarter les pans de sa braguette et sortir son sexe de son slip. Patricia sursauta à la vue de ce membre sombre tendu vers elle à la hauteur de son visage. C'était la première fois qu'elle voyait un sexe noir et sa première réaction fut de la surprise de voir cette bite grosse et tendue pointée vers elle.

« Suce! »

Tétanisée elle ne bougea pas, elle était incapable de la moindre réaction tant le mélange de sentiments qui la traversaient étaient contradictoires, un mélange où la peur prenait une place de plus en plus grande.

« Suce! » Répéta-t-il, et devant son immobilisme, il posa sa main droite sur la nuque de Patricia, il la fit se pencher en avant, tant et si bien que son nez touchait maintenant le gland devant elle comme une grosse barre de réglisse.

Une grosse barre de réglisse, c'est l'idée qui lui traversa la tête en voyant le membre se rapprocher de sa bouche. La main gauche d'Abdoul tenait son sexe, il le guida sur les lèvres de Patricia et le frotta doucement. Il sentit les tremblements de la femme et il voulut la rassurer.

« T'inquiète m'dame, tu me suces et je te donne le joint, mais faut sucer d'abord, vas y prends moi la bite! »

Tout ce message délivré d'une voix douce, presque chuchotée, sans aucune trace de menace, atténua les tremblements de Patricia. Abdoul lui maintenait la bouche à la hauteur de son gland, elle sentait la main ferme qui lui tenait la nuque et elle avait déjà sur les lèvres le gout épicé de la liqueur qui suintait du gland.

Alors, Patricia ferma les yeux, oubliant où elle se trouvait, elle ouvrit les lèvres. Aussitôt le gland se glissa dans sa bouche qui fut pleine soudain le la chair chaude et douce. Abdoul lâcha un long soupir, il accentua la pression sur la nuque de Patricia et celle-ci fut obligée d'ouvrir plus largement pour le prendre sans s'étouffer.

« Fais attention avec tes dents m'dame! Prends la bien au fond, caresse avec ta langue et tes lèvres. Va y! »

Sans trop réfléchir à sa situation, Patricia obéit aux injonctions d'Abdoul et elle le prit en bouche de façon plus confortable à la fois pour elle et pour lui.

Quand ils eurent trouver le bon positionnement, Abdoul imprima à ses reins un petit va et vient que Patricia accompagna de ses lèvres, elle sentit coulisser le gros sexe sur sa langue. La main sur la nuque imprima une cadence d'allers et venues, ni trop lents ni trop rapides, ni trop profonds ni trop timides, un rythme qui convenait à la fois à la suceuse et au sucé. Abdoul accompagnait ses coups de reins d'encouragements, toujours chuchotés, toujours sur le même ton rassurant qui enivrait Patricia. Elle y prit gout, ce sexe était une révélation pour elle qui avait toujours pensé que son mari était fortement membré. Elle découvrait ce soir qu'elle était loin du compte et qu'Abdoul avait une bite du double du volume qu'elle prenait habituellement en bouche. Cela l'exalta, fit travailler son imagination et c'est avec zèle qu'elle se mit à pomper le sombre sexe de l'ado qui sentait venir du fond de ses couilles la jouissance qui n'allait pas tarder à l'emporter.

Il ne se retint pas, il aspira une forte goulée d'air et tressaillit sous la force de sa jouissance. Un cri s'échappa de ses lèvres, il tendit ses reins crispés et raffermit sa main sur la nuque de Patricia, les saccades laiteuses jaillirent de son gland inondant la bouche chaude qui déborda bien vite de sperme. Patricia émit des borborygmes tandis qu'elle s'efforçait d'avaler le trop plein de semence qui affluait dans sa bouche. Il lui semblait que ce flot ne pouvait se tarir, elle trouva le temps long, s'appliquant à ne pas s'étouffer alors que la main d'Abdoul la maintenait contre lui. Elle but tout son calice ne laissant que quelques gouttes érupter d'entre ses lèvres pour couler sur son menton et sur son corsage.

« Tu suces bien m'dame! » Ce fut le compliment que lui fit le grand ado noir.

« Abdoul! Abdoul! »

Dans le couloir retentit des appels.

« Ouais, qu'est-ce qui y a? »

« A nous, à nous! »

« Attendez les mecs je remonte mon ben »

Abdoul rouvrit la porte et à peine fut il sorti que Momo se glissa entre son pote et le mur pour se retrouver devant une Patricia encore abasourdie par ce qui venait de lui arriver. Son attendre, Momo défit sa braguette, sortit sa bite et la présenta à la bouche de Patricia.

« Suce m'dame! »

« Oh non! »

« Si m'dame! Tu suces, sinon pas de joint. »

Patricia jeta autour d'elle des regards désespérés, sur les murs tristes elle ne vit que graffitis, sexes stylisés, vagins offerts et commentaires crus. A son tour Momo se saisit de sa nuque et la força vers son sexe. Elle ne se raidit même pas et le prit en bouche pour une nouvelle fellation que l'ado semblait apprécier au plus haut point. Après quelques allers retours dans sa bouche, elle sentit les palpitations du membre, la crispation de Momo qui lui saisit les cheveux pour mieux assurer sa prise, et puis ce fut une nouvelle déferlante de sperme dans sa bouche. Une liqueur chaude se déversa dans sa gorge et elle absorba encore une fois le foutre qui éruptait en saccades.

Aziz bouscula Momo pour prendre sa place, il avait déjà le pantalon ouvert, la bite jaillissant, tendue devant son ventre. A son tour il la présenta à Patricia en lui forçant la nuque et encore une fois elle dut le prendre en bouche. Elle le pompa jusqu'à faire jaillir le sperme du garçon qu'elle engloutit en quelques mouvements de glotte. Après Aziz vint Nourédine et le même scénario se produisit tandis qu'elle entendait derrière la porte les commentaires enthousiastes des trois premiers. Elle s'appliqua encore une fois à le prendre entre ses lèvres où il se livra à des allers retours rapides qui l'amenèrent bientôt à décharger de puissants jets de foutre dans la gorge de Patricia qui avala tout comme elle l'avait fait pour les autres.

Quand Nourédine eut tourné les talons pour rejoindre les trois autres et livrer ses commentaires, Patricia se leva à son tour franchissant la porte des toilettes elle vit les quatre ados dans le couloir. Abdoul s'avança vers elle et lui tandis le joint qu'il tenait entre ses doigts. Elle prit fébrilement la cigarette fumante et la porta enfin à ses lèvres. Fermant les yeux elle aspira longuement, et elle sentit la bienfaisante détente lui dénouer les nerfs.

Abdoul la regarda faire, un sourire narquois aux lèvres. Après une première aspiration, Patricia sentit sa tête partir en vrille, elle s'appuya au mur pour assurer son équilibre.

« Vas y m'dame, tire encore une taf. » Abdoul souriait devant elle, mais elle voyait le visage adolescent onduler de façon la plus singulière. Elle rit bêtement de ce trouble pendant que le garçon glissait le joint entre ses lèvres. Vaincue, Patricia laissa faire, elle sentit le papier humide et le gout acre s'insinua une nouvelle fois dans sa bouche. Trop partie pour réfléchir, elle aspira la fumée. Encore une fois sa tête se mit à tourner, elle tituba sur se jambes, retenue dans sa chute par le bras puissant d'Abdoul. En riant de plus belle, elle se laissa aller contre lui, perdant peu à peu la notion des choses. Abdoul insista pour qu'elle prenne encore de la fumée du joint et cette fois Patricia perdit pied et la réalité lui parvint à travers des verres déformants. Elle entendit des mots sur lesquels elle ne posait nulles significations. Et pourtant, elle sentit des bras la soutenir, la porter et puis elle fut étendue sur une surface froide et dure.

Des mains encore sur son corps, elle aurait voulu protester mais son cerveau ne répondait qu'à intermittence et ses gigotements étaient vains. Elle sentit encore sa jupe relevée, elle grogna en signe de protestation, mais rien n'y fit. Elle eut une vague conscience de sa culotte glissant sur ses cuisses, après les choses devinrent trop incertaines pour qu'elle puisse y attacher une réalité.

Pourtant si elle avait eu toute sa tête, elle aurait bondit sur ses pieds en voyant Abdoul debout entre ses cuisses alors qu'elle gisait sur une table de la classe. Il lui saisit les cuisses, il les écarta et dans le même geste il la ramena au bord de la table. Ensuite de son pantalon jaillit son sexe impressionnant que sa main guida vers la fente offerte de sa victime. Il ajusta le gland entre les lèvres intimes de Patricia et il se propulsa en elle. Elle gémit faiblement, vaguement consciente mais bien incapable de réaction. Poussant son avantage, Abdoul d'un coup de reins puissant, fit entrer son membre tout entier, étirant les muscles vaginaux qui réagissaient instinctivement, augmentant l'excitation du grand noir.

« Elle en veut, la salope! Elle me serre la bite! »

« Vas y Abdoul, vas y! »

Les trois autres n'en perdaient pas une miette, un peu fascinés par le sexe de leur copain, ils se penchaient pour mieux voir ce grand boudin noir s'engloutir entre les lèvres roses de Patricia. Abdoul ne ménageait pas sa peine, à grand coups de reins, il besognait sa proie, faisant entrer et sortir son membre alternativement. Chaque mouvement de sa queue, provoquait des bruits de succion et un collier de mousse gluante se formait peu à peu autour de sa bite, au fur et à mesure qu'il pistonnait Patricia. Il sut se retenir suffisamment longtemps pour apprécier ce vagin serré qu'il sentait comme un gant autour de son membre, il s'en délectait, variant les mouvements entre rapides et lents, profonds ou non, il baisait en homme d'expérience malgré son jeune âge. Son statu de dealer lui avait donné depuis ses quatorze ans toute possibilité d'expériences diverses et variées. Il voyait tous les jours venir à lui des filles ou des femmes accro à sa beuh et qui étaient prêtes à tout pour obtenir de lui quelques grammes d'herbe. Abdoul avait ainsi appris à se servir du corps des femmes, les femmes elles même l'avaient initié.

Mais le corps de Patricia était différent, depuis plusieurs mois elle les dominait de sa science et voila qu'aujourd'hui elle était la, allongée sur une table, les cuisses écartées sans défense et s'offrant à eux. Abdoul savourait l'instant, planté en sa chatte de bourgeoise venue des beaux quartiers pour leur inculquer ses bonnes manières. A son tour aujourd'hui elle subissait les manières plus rudes de la banlieue. Abdoul se disait tout cela pendant qu'il pistonnait la petite fente fragile de la femme européenne. Quand il sentit monter le sperme le long de sa bite, il se raidit un peu plus et il se propulsa tout au fond du vagin, repoussant son utérus. Patricia poussa un vagissement et l'instant suivant, un flot de sperme brulant lui inonda le sexe, débordant tout autour, engluant ses poils pubiens et coulant vers son anus. Abdoul la pilonnait furieusement, en taureau furieux il se déchainait sur elle à coup de reins et chaque fois déversait une vague de foutre.

Les autres applaudirent l'exploit tandis qu'Abdoul se retirait en soufflant sous l'effort accomplit.

« A moi, à moi!! »

Ils auraient pu se battre si Abdoul n'avait rétablit la hiérarchie, laissant sa place à Aziz. celui-ci avait déjà le pantalon sur les chevilles lorsqu'il présenta son gland à l'entrée du sexe encore ouvert et enduit de semence blanchâtre. Sans aucune peine il fut au fond du ventre de Patricia et il se mit à la pilonner rapidement. Il avait moins de science qu'Abdoul, il s'excita vite et jouit tout aussi rapidement, ajoutant son flot de sperme à celui de son prédécesseur. Quand il eut éjaculé la dernière goutte, Nourédine joua des coudes « A moi! »

De la même façon, Nourédine pilonna le vagin de Patricia jusqu'à son éjaculation. Le sperme coulait le long des cuisses de la femme alors qu'il se retirait. Momo ne se fit pas prier, il était le plus jeune, le moins expérimenté mais pas le moins excité, il entra sa bite et s'abattit sur Patricia pour la besogner à grands coups de reins. Il ahanait tout en la baisant, trop heureux de l'aubaine, insouciant de passer après tous les autres. Tant pis s'il trouvait le vagin un peu élargit pour sa jeune bite et dégoulinant de sperme, pour une fois qu'il n'aurait pas à se branler, seul dans sa chambre, il en profitait. Mais Momo se sentait un brin contrarié de passer après tout le monde et de baigner sa queue dans le jus laissé par ses copains. Subitement, il se retira du vagin de Patricia, il écarta rapidement ses fesses et présenta son gland contre son anus mouillé de sperme. Momo avait une certaine habitude de l'exercice, lui qui fourguait en douce, sans que Abdoul ne s'en rendait compte, un peu d'herbe aux filles du collège. La transaction se passait le plus souvent dans les caves, Momo faisait savoir à sa clientèle qu'il avait détourné un peu de beuh, et les filles les plus accros accouraient, trop heureuses de gouter à l'herbe gratuite. Il fallait certes abandonner son cul à Momo, mais le sacrifice de leur anus valait bien un joint. Momo Trouva un sphincter lubrifié de foutre, quand il poussa son gland contre la corole sombre, il trouva peu de résistance. Patricia, inconsciente ne lui présenta pas de résistance, et bien qu'elle fut vierge de ce coté, quand Momo s'introduisit en elle, elle ne lui opposa qu'un grognement qui aurait pu passer pour une approbation. Il gouta avec délice l'étroitesse du fourreau et eut tôt fait de lâcher sa semence au fond du ventre de Patricia.

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