Nouvelle demeure 03

BÊTA PUBLIQUE

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Je gagnais rapidement son bureau et frappais à sa porte. Il me fit signe d'entrer, il discutait avec quelqu'un au téléphone.

Dès que je fus entrée, il reposa le téléphone et se leva.

Je lui demandais d'excuser mon retard, je lui dis que j'avais du prendre le bus ce matin et que je n'avais pas l'habitude de ce mode de locomo-tion.

Il me fixait, visiblement satisfait de ma tenue, il me demanda :

- Votre voiture est en panne? Vous savez que ce n'est pas une ex-cuse valable n'est ce pas?

- Non-monsieur... Répondis-je misérablement.

- Dans ce cas, pourquoi avez-vous pris le bus?

J'avais du mal à respirer, j'aurai voulu me trouver ailleurs, j'étais incapa-ble de lui mentir, je devais lui raconter ce qui m'était arrivé!

Je grommelais cherchant désespérément comment lui explique la chose de la façon le plus neutre possible, sans lui révéler mon état de sugges-tion.

Finalement je commençais :

- Ma voisine m'a fait prendre le bus pour me punir!

A cet instant même la porte du bureau s'ouvrit sur monsieur Taylor qui était le chef direct de monsieur Jefferson, il ouvrit et referma la porte dans son dos.

Monsieur Jefferson l'invita à s'asseoir puis se tourna vers moi et me de-manda :

- Pourquoi laissez-vous votre voisine vous punir?"

Cette question me plongeait dans un terrible dilemme. Je ne devais ni mentir ni refuser de répondre à mes interlocuteurs, mais par ailleurs mes maîtres m'avaient ordonné de ne révéler à personne ma triste situation, ni réclamer de l'aide à qui que ce soit.

Je réalisais alors que je ne devais attendre aucune aide de la part de monsieur Jefferson, je pouvais donc lui répondre franchement.

Je cherchais à organiser mes pensées et répondis misérablement :

- Nos voisins nous ont drogués mon mari et moi, et depuis nous sommes tenus à faire tout ce qu'ils veulent, nous n'avons plus aucun libre arbitre, ce matin j'ai voulu appeler ma mère pour lui de-mander de l'aide, bien que je n'en ai pas le droit! Quelle qu'en soit la manière ma voisine l'a appris et me punit en m'ordonnant de prendre le bus pour me rendre à mon travail!

Monsieur Taylor me coupa alors :

- Pourquoi pouvez-vous nous parler de vos problèmes et pas à votre mère?

- Parce que je sais que pertinemment que vous ne nous aiderez pas!

Monsieur Taylor me sourit et s'adressant à monsieur Jefferson ajouta :

- Dave je crois que vous avez eu la main drôlement sure!

Il s'approcha des stores et les ferma, puis il verrouilla la porte.

Il se tourna alors vers moi et me précisa :

- C'est le grand jour Donna, depuis que j'ai posé les yeux sur tes charmes j'ai envie de te fourrer jusqu'à l'os! Vire-moi tes frusques, et prends ton temps pour t'exécuter!

Ils se regardaient l'un l'autre se souriant cyniquement puis ils se tournè-rent vers moi alors que je déboutonnais mon corsage et l'enlevais.

Je le posais sur la chaise à coté de moi puis j'ôtais ma mini-jupe, mes chaussures et attendais alors les ordres...

Monsieur Taylor se leva et se dévêtit prestement posant ses habits sur la chaise.

Puis il eut une soudaine inspiration, il sortit son portable et me fit poser dans des poses obscènes le temps de prendre plusieurs clichés.

Il garda son portable en main m'ordonnant de me mettre à genoux de-vant lui.

Je me mis en position et pris sa bite en bouche.

Sa bite était épaisse, mais pas aussi épaisse que celle de Roy, de ce fait je n'eus aucun problème pour la faire glisser dans ma gorge alors qu'il continuait à prendre des photos.

Alors que je suçais Monsieur Taylor, Monsieur Jefferson inspectait mon cul et ma chatte de ses mains moites.

Monsieur Taylor jouit rapidement dans ma bouche, me traitant des ter-mes les plus grossiers qu'il connaissait!

Je réalisais que jamais on n'avait du lui prodiguer de gorge profonde et il trouvait cet acte particulièrement jouissif.

Dès que monsieur Taylor me repoussa, monsieur Jefferson m'enjoignit de me poster devant le bureau, il s'approcha de moi et me courba en avant de me pénétrer sans plus de préliminaires. Je grognais de douleur et il gloussa de me voir ainsi malmenée.

Il me prit brutalement, c'était plus un viol qu'autre chose. Et, tandis qu'il me violentait, il me parlait calmement me disant combien j'allais devoir leur dispenser de plaisir à l'avenir.

Me traitant de tous les noms, il me précisa que dorénavant j'étais la pute du bureau! Je ne pouvais que baisser la tête alors qu'il grommelait en me baisant de plus belle.

Il me baisa pendant une bonne quinzaine de minutes avant d'agripper fermement les hanches et de me pilonner trois dernières fois avant de se vider les couilles au fin fond de ma chatoune.

J'attendais qu'il extirpe sa bite de ma fente, puis je m'agenouillais et je lui nettoyais servilement la queue d'une langue habile.

- T'es-tu toujours livrée à ces actes? Me demanda-t-il amusé.

- Oui monsieur... Lui rétorquais-je misérablement.

Monsieur Taylor se releva et m'ordonna de me courber à nouveau sur le bureau, sa bite bandait à nouveau, et il voulait lui aussi goûter à mon délicieux petit con.

Monsieur Taylor avait une bonne cinquantaine d'années et était morbi-dement obèse, je ne parvenais pas à décider si je me réjouirai de le voir frappé d'une crise cardiaque.

Lorsqu'il eut joui en moi, je nettoyais sa bite ils me firent alors retourner et détaillèrent attentivement ma chatte engorgée de foutre.

Monsieur Taylor commenta alors :

- Son charmant petit con me plait beaucoup! Mais je ne crois pas qu'elle puisse se rendre aux toilettes le con dégorgeant de foutre...

Monsieur Jefferson surenchérit :

- T'as raison elle va disperser des gouttes de foutre dans tout le bu-reau!

Monsieur Taylor reprit :

- Je ne vois qu'une solution ma chérie, tu vas récupérer tout ce jus en te servant de tes doigts et les lécher!

Ils pensaient sûrement m'humilier profondément, mais ils ignoraient que j'avais avalé des litres de foutre ces trois derniers jours, ce qui de ce fait banalisait fortement leur exigence.

Je curais ma chatoune à pleins doigts et les portait à ma bouche pour les sucer l'un après l'autre à plusieurs reprises, cela les satisfit rapidement.

Je pus alors me rhabiller et retourner mon bureau.

Ils m'avaient informé que je travaillerai une heure de plus ce soir pour compenser mon quart d'heure de retard du matin ainsi que les 45 minu-tes que j'avais consacré à satisfaire leurs appétits lubriques.

J'essayais de me concentrer sur mon travail.

Après un moment je réalisais que plus je travaillais dur, plus je me concentrais sur mon ordinateur, plus le temps semblait s'écouler rapide-ment.

Pendant l'arrêt de midi, j'appelais Dave l'avertissant que je rentrai à la maison avec une heure de retard, il me demanda ce qui se passait, mais je ne pouvais pas lui répondre entourée de mes collègues qui m'écou-taient distraitement assis à leurs bureaux, je lui dis donc que je lui expliquerai une fois rentrée à la maison.

Je me concentrais sur mon travail le reste de la journée, longtemps après que mes collègues aient déserté leurs postes. J'avais une heure à rattraper, je pensais que c'était profondément injuste, mais qu'y pouvais-je?

Je m'attendais à ce que monsieur Jefferson me rappelle dan son bureau avant que je puisse partir.

En fait je travaillais sur mon ordinateur lorsque le concierge se pointa dans mon bureau, il ne me dit pas un mot, il se contenta de déboutonner sa braguette, sortit sa longue et épaisse mentule noire d'ébène et m'en-joignit alors :

- Suce-moi!

J'étais si concentrée sur mon travail que je ne m'étais rendu compte de sa présence qu'en l'entendant proférer son ordre. Je me retournais effa-rouchée et vis son épaisse byroute pendant entre ses cuisses.

Je levais les yeux sur lui, il attendait que je m'exécute.

Comme je me penchais en avant pour emboucher son membre viril je vis monsieur Jefferson se pencher au-dessus des cloisons de mon bureau me photographiant avec un appareil photo numérique.

Je sentais la bite du concierge grossir rapidement dans ma bouche, elle fut bien vite aussi grosse que celle de Roy, mais elle n'était pas épaisse au point que je ne puisse la prendre en gorge.

Il cria son plaisir à la vue de cette jeune épouse blanche engloutissant sa mentule au fin fond de sa gorge dans le bureau vide.

Ses cris résonnaient dans ma bouche alors que je le suçais avec en-thousiasme comme on m'avait enjoint de le faire, parce que c'était la seule voie que je pouvais suivre.

Il semblait déçu lorsqu'il se vida les couilles au fin fond de ma gorge, ce-la devait faire longtemps qu'il le désirait.

Puis, sans un mot il extirpa sa bite de ma bouche, me tapota la tête et repartit travailler en remerciant monsieur Jefferson au passage.

Monsieur Jefferson s'assit sur mon bureau s'appuyant sur les coudes alors que je lui taillais une pipe, apparemment cela l'avait profondément excité de me voir sucer le concierge.

Il éjacula rapidement, remonta la fermeture éclair de sa braguette et me dit de rentrer chez moi. Il ajouta que je ferai mieux d'arriver à l'heure le lendemain si je ne voulais pas qu'il se fâche.

Je me levais rapidement, pris mon sac dans mon tiroir de bureau et me ruais hors du bâtiment où je travaillais.

Je n'avais pas même pris le temps de passer aux toilettes me rincer la bouche, j'étais bien trop pressée de quitter les lieux.

Je redescendis jusque la station de bus qui me ramènerait chez moi. Cette fois, je savais quel bus je devais prendre et je poussais un soupir de soulagement lorsque je me retrouvais dans le bus bondé de monde.

J'avais oublié combien mon trajet allée avait été difficile, mais cela re-commença rapidement.

Je me trouvais pressée entre de nombreux voyageurs basculant d'avant en arrière au gré des cahots du bus, lorsque je sentis une main effleurer mes jambes.

Je soupirais incrédule.

Cela ne pouvait tout de même pas m'arriver chaque fois que je prenais le bus!

Je me rendis compte que je n'étais pas la seule femme, je vis que d'au-tres femmes étaient disséminées ça et là dans le bus.

Elles n'avaient pas l'air de se faire molester, étais-je donc marquée?

Ou était-ce parce que mes mamelons étaient visibles au travers de mon chemisier et que ma mini jupe ne couvrait que mes fesses!

Je restais passive alors que la main grimpait lentement, mais sans trop d'hésitations, le long de ma jambe.

Comme je ne m'étais pas retournée pour lui claquer une gifle lors du premier attouchement, il devait persuader que cela me plaisait.

Il inséra rapidement deux doigts dans ma cramouille et je commençais à m'en réjouir.

J'aimais tant ce qu'il me faisait que je faillis manquer la station où je de-vais changer de bus.

Je descendais rapidement du bus et me tins dans l'obscurité avec plu-sieurs hommes, attendant tous le prochain bus calmement.

Un des hommes me fixait indiscrètement, je pensais que c'était en raison de ma tenue.

Mon autobus arriva finalement je grimpais dedans et donnais mon ticket au conducteur.

Je fis le chemin de retour assis le long d'une vitre et me laissais tomber sur le siège. Exactement comme ce matin, le bus n'était qu'à moitié rem-pli.

Aussi fus-je grandement surprise en voyant un homme s'asseoir à coté de moi, je le reconnu instantanément, c'était l'homme de la station de bus.

Il me toisa pendant une longue minute, yeux rivés sur ma poitrine, mes mamelons? Puis son regard descendit jusqu'à mon de culotte, il me sou-rit et me dit :

- J'ai vu que tu te laissais faire dans le premier bus, j'ai bien vu que ton voisin te caressait intimement et que tu avais l'air d'apprécier ses caresses!

Je ne dis rien, qu'aurai-je pu lui répondre?

Le conducteur avait éteint l'éclairage interne, lorsque le bus avait redé-marré, seuls les lampadaires éclairaient faiblement l'intérieur du bus lorsque l'on passait devant eux, l'étranger tendit la main et palpa indis-crètement mes miches, je le laissais faire.

C'était la permission de poursuivre qu'il attendait.

Il déboutonna lentement mon chemisier et se mit à jouer avec mes ni-bards, avant de tourner son attention sur ma chatoune.

Il laissa bailler mon chemisier et tendit la main pour retrousser ma mini-jupe.

Il fixa des yeux ma chatoune pendant quelques instants, puis il m'enjoi-gnit :

- Tiens bien ta jupe relevée.

Je tendais la main et saisis l'ourlet de ma jupe lui offrant un meilleur ac-cès entre mes cuisses pour explorer ma moule qui s'avérait détrempé après les manipulations subies dans le premier bus.

- Tu aimes ça? Me demanda-t-il.

- Tu aimes laisser des étrangers jouer avec tes charmes intimes?

Je répondis le plus honnêtement que je le pus :

- Mon corps aime ça!

Il ne savait pas qu'en penser, mais il savait très bien quoi faire, il voulait prendre son plaisir.

Il m'ordonna de poser la main sur sa bite et de le caresser.

J'étais si impliquée dans ce que je faisais que j'oubliais de sonner à la station où je devais descendre.

Je devais revenir en arrière à trois quartiers de chez moi, le temps que je rentre, il était plus de 18 heures et Dave était malade d'anxiété.

Nous étions tous deux trop contrariés pour souper mais je préparais quand même une salade, je ne voulais pas que Dave se rende malade.

Lorsque nous soupâmes, je lui racontais tout ce qui m'était arrivé depuis ce matin, cela prit un certain temps.

Mais nous n'avons pas pu tergiverser plus longtemps, nous nous som-mes déshabillés et avons gagné la porte des voisins, je vis que des gens se promenaient à l'extérieur, mais il faisait sombre et je pensais que per-sonne ne devait prendre garde à notre tenue.

27 mars 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

A chaque chapitre la perversité augmente.

J'adore

Rudy

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