Nouvelle demeure 03

Informations sur Récit
Soirée chez nos nouveaux amis, transport en bus.
5.7k mots
4.3
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Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/18/2022
Créé 07/06/2008
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Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 3

Our First New Home

Coulybaca / Vulgus

Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j'ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d'en faciliter la lecture.

Chapitre 3 :

Mardi : soirée chez nos amis, « premier transports » en bus et se-conde journée au boulot...

Anne ouvrit la porte, nous allions entrer mais elle nous a coupé dans no-tre élan.

- Enlevez vos vêtements avant d'entrer! nous intima-t-elle autoritai-rement.

- Dorénavant vous ne viendrez plus chez nous habillés, à moins que nous vous le disions!

Elle nous parlait amicalement, d'une voix aimable, mais elle nous donnait un ordre, comme un adulte parlant à des gosses de quatre ans.

Nous avons tous deux opiné de la tête et nous nous somme dévêtus prestement nous tenant dans la lumière brillante de l'entrée.

J'entendis des voitures qui roulaient sur le boulevard s'arrêter, mais je n'avais pas le courage de me retourner pour regarder.

Anne nous permit enfin d'entrer nos vêtements à la main.

On jeta nos fringues sur une chaise comme elle nous l'enjoignit puis on la suivit dans la salle de Télé.

Roy s'y tenait déjà discutant avec les deux hommes qui avaient filmé la séance de la veille.

Roy nous désigna les deux verres de cocktail posés sur la table et nous intima de les boire.

Dave le pria de ne pas nous faire boire ce breuvage, il se contenta de nous regarder en souriant, il savait que nous allions finalement lui obéir.

J'avais les yeux plains de larmes en prenant un des verres que je vidais cul sec.

Je suppose que c'était la même boisson que nous avions siroté tout le week-end.

Mais, sans le parfum fruité de camouflage, cette potion s'avérait terri-blement amère.

Nous nous regardions dans les yeux Dave et moi en vidant nos verres avent de les reposer sur la table.

- Ne vous tracassez pas! intervint Roy

- Juste un verre chaque soir pendant le reste de la semaine!

- Qu'est ce que c'est? Osais-je demander.

- Que nous avez-vous fait?

- Ca me parait évident Donna, c'est une drogue que mes laboratoi-res pharmaceutiques ont développé pour combattre la dépression, mais qui se trouva voir un effet particulier que je viens de découvrir récemment en pratiquant les tests d'essais.

- Elle agit sur le propre arbitre le réduisant à néant, il annule toute possibilité de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit, je l'ai mélangé avec une bonne dose d'aphrodisiaque ce week-end pour vous rendre les choses plus agréables.

- Mais en fait, on ne voulait pas vraiment vous faire plaisir, c'est beaucoup plus amusant de vous faire faire des choses que vous réprouvez de toute votre âme, parce que vous n'avez pas le choix.

- Nous avons appris que l'absorption de sept doses de cette drogue rend ces changements définitifs, afin que vous gardiez espoir, je dois vous préciser qu'il existe un antidote que nous vous donne-rons certainement lorsque nous serons las de vous.

- Mais d'ici là, je crains fort que vous soyez obligés de nous com-plaire, d'obéir à tous nos ordres et même aux suggestions de n'im-porte qui.

- Vous serez totalement incapables de mettre en oeuvre votre libre arbitre.

- Vous avez certainement remarqué que les effets de cette drogue diminuaient alors que le jour avançait, d'ici la fin de la semaine cela n'arrivera plus.

- Vous avez certainement aussi remarqué que l'effet de l'aphrodisia-que avait disparu, lorsque je serai de bonne humeur je vous en rendrai une forte dose quand la situation s'y prêtera... Mais je pré-fère savoir que vous haïssez ce que vous faîtes!

Nous nous tenions tous deux stupidement devant eux, alors que Roy et ses deux amis se levaient et se déshabillaient.

Ils se rassirent tout de suite, Roy et l'un des cameramen étaient assis cote à cote sur le large canapé.

Je regardais l'homme à coté de Roy ordonner à Dave de s'étendre à son coté avec son visage tourné vers lui.

Je dus faire de même avec Roy.

Lorsque je fus étendue la bouche refermée sur la virilité de Roy je sentis mes cheveux frotter contre ceux de Dave.

Anne empoigna la télécommande et se tourna vers le grand écran Télé, dès qu'elle appuya sur la touche lecture, le DVD défila.

Il concernait la soirée de la veille, maintenant sans être sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, je réalisais le nombre d'hommes qui m'avaient possédée.

Je ne pouvais pas les compter, ils étaient bien trop nombreux et ils ne cessaient de bouger, je vis aussi que le léchage de ma chatte engorgée de foutre n'avait pas été la seule dépravation qu'avait enduré Dave.

Plusieurs hommes s'étaient fait sucer la bite, deux autres l'avaient même enculé, je n'étais pas au courant de ces faits.

Roy la coupa :

- Je suppose que vous vous demandez combien il y avait d'hommes hier soir.

La bouche serrée sur sa grosse bite, je grommelai que oui.

- Eh bien, j'étais un peu désappointé, j'avais invité une bonne cen-taine de convives, mais il n'en vint que 72... Certains ne pouvaient pas sortir de chez eux un dimanche soir, d'autres étaient déjà rete-nus, mais, pour faire bonne mesure presque la moitié de mes invi-tés te baisèrent à deux reprises... T'étais follement excitée ma chère Donna, Les gars ont adoré se faire une jeune ménagère aussi douce obéissante... Tu leur as tourné la tête, juste comme tu me tournes la tête maintenant... Tends ta main et branle moi lasci-vement, je suis sur le point de jouir, ne ferrme pas les yeux! Une caméra et braquée sur nous et je ne veux pas que tu perdes une miette du document que ces deux gentlemen ont eu du mal à fina-liser.

J'entrepris de branler Roy, et en peu de temps il vomit son foutre cré-meux dans ma bouche. C'était plus difficile à supporter maintenant que je n'étais plus sous l'emprise d'aphrodisiaques, l'ignoble potion me brûlait la gorge alors que je me forçais à déglutir.

Lorsque Roy fut entièrement satisfait de ma prestation, il me repoussa et l'autre cameraman m'appela.

Il se tenait à coté de Dave, la bite déployée.

Il m'ordonna de m'asseoir sur lui et de le chevaucher sans perdre des yeux l'écran télé.

Comme je montais et descendais sa mentule dressée, je sentais mes nichons se balancer douloureusement, Roy semblait apprécier le spec-tacle.

Il m'ordonna de garder les mains le long du corps.

Roy me demanda s'il m'était arrivé quelque chose d'inhabituel aujour-d'hui, je dus lui relater ce qui s'était passé avec mon superviseur.

Lorsque j'eus terminé de lui narrer mon aventure ils explosèrent tous de rire.

L'homme qui se faisait sucer par mon mari saisit finalement fermement sa tête afin de se vider dans sa bouche asservie.

Dave gargouilla un peu, mais se débrouilla pour tout avaler.

Dès que son suborneur le repoussa, Anne l'appela et lui ordonna de plonger sa tête sous sa jupe pour lui brouter le minou.

Roy le coupa dans son élan :

- Non, attends cinq minutes Anne! On va juste voir le premier encu-lage de Donna et son premier triple, je serai désolé que Dave manque cette séquence!

Je regardais avec horreur, me souvenant de pénible, alors qu'un étran-ger me lubrifiait soigneusement le trou du cul sous les yeux de la foule des spectateurs avant de forer son trou dans mes fesses.

J'entendais mes hurlements de douleur partiellement étouffés par la grosse bite qui me bâillonnait.

Le film était savamment structuré, il montrait tous les participants alors qu'ils fourraient leurs bites dans ma bouche, mon con ou mon cul.

On voyait le début et la fin de chaque action, alors que l'intervalle était largement amputé par souci de minorer la durée du DVD.

L'orgie dans son entier avait duré 9 heures, il en existait une version to-tale en 4 DVD destinée à la vente, alors que nous regardions une ver-sion allégée.

Tout en regardant le DVD je m'étais penchais sur le ventre de Roy dont je suçais la queue pour lui rendre toute sa vigueur.

Il m'informa qu'il n'avait pas eu l'occasion de m'enculer la veille et qu'il allait le faire tandis que Dave brouterait le minou de sa femme chérie.

Nous avons continué de regarder la télé, l'homme sur lequel j'étais as-sise, m'ordonna alors de me retourner et de nettoyer sa bite sans quitter des yeux l'écran.

Tandis que je le nettoyais d'une langue agile, arriva cet instant maudit où je me suis retrouvée avec trois bites en moi.

Je tenais la bite de celui que je suçais en bouche et gardais les yeux ri-vés sur l'écran on l'on pouvait me voir fourrées par 3 bites épaisses.

Nous étions tous rivés à la scène qui se déroulait sur l'écran.

Dès que l'orgie reprit, Roy me rappela et me courba sur un grand prie-Dieu et entreprit de s'amuser avec le goulot de mon trou du cul.

Pendant ce temps, Dave était installé entre les cuisses d'Anne la tête sous sa jupe, il lui mignotait la chagatte.

Roy sondait mon trou du cul, tout d'abord en employant juste l'humidité de ma chatte, puis en utilisant un lubrifiant.

Lorsqu'il parvint à insérer trois doigts dans mon goulot je parvenais à peine à respirer tant j'avais mal.

Il continuait à m'évaser le goulot distendant impitoyablement mon oeillet annelé.

Puis il se posta dans mon dos et entreprit de forer son chemin dans mon trou du cul rétif.

Au début je pleurnichais, j'avais mal.

Mais comme il continuait impitoyablement à enfouir sa grosse bite dans mon anus cuisant, je me mis à hurler, le suppliant d'arrêter.

Je le suppliais de sortir de moi, je jurais de faire tout ce qu'il voudrait mais pas ça!

En guise de réponse il empoigna mes nibards endoloris et se mit à m'enculer avec une extrême violence, je hurlais à jets continus.

Il me susurra à l'oreille :

- C'est ça ma chérie, hurle pour moi... Fais-moi entendre ta douleur! Je n'en ai que plus envie de te casser le trou du cul... Tous tes trous s'avèrent extra! Malheureusement je ne peux pas fourrer ma queue dans tes oreilles! Bordel... On dirait que ton boyau se visse autour de ma bite, quelle sacrée salope tu fais!

Cela me sembla durer une éternité, mon trou du cul finit par s'engourdir, je retrouvais mon souffle.

J'entendis alors u autre cri et me retournant vit qu'un des cameramen enculait sauvagement Dave alors qu'il butinait le gazon d'Anne.

Lorsque Roy en eut fini avec mon trou du cul, l'autre caméraman prit le relais, puis je leur nettoyais à tous deux la bite.

Puis toujours courbée sur le prie-Dieu je continuais à regarder l'écran télé.

Je ne pouvais m'empêcher de jeter des coups d'œil sur Dave, il avait fini de brouter le minou d'Anne lorsque son enculeur jouit dans ses fesses.

Il dut alors nettoyer sa bite de la bouche, comme je l'avais fait aux deux autres.

Avant qu'ils nous laissent partir, nous dûmes nous lécher l'un l'autre, pour nous nettoyer d'une langue agile nos trous du cul engorgés de fou-tre.

Je ne pensais pas jouir; et pourtant je succombais sous les caresses de la langue de Dave.

C'était mon premier orgasme cette nuit, mais cela ne me réjouit pas pour autant.

Ils nous donnèrent une copie de l'enregistrement, nous ordonnant de la faire tourner en boucle sur notre TV.

Ils nous prévinrent que l'on ferait mieux de ne révéler notre sort à per-sonne, puis ils nous permirent de partir.

Je demandais à Anne si dorénavant nous pouvions utiliser la porte de la cour.

Elle y réfléchit quelques minutes et en discuta avec Roy.

Elle se tourna vers nous tout sourire et dit :

- Roy dit que vous pourrez utiliser la porte de la cour la semaine prochaine... Mais cette semaine vous avez besoin d'apprendre l'humilité! Maintenant je vous rappelle soyez ici tout de suite après souper demain soir! Une dernière liste d'instructions : vous ne de-vrez parler de tout ceci à personne, vous ne devrez pas appeler à l'aide votre famille, vos amis, des étrangers ou même la police! Et maintenant foutez-moi le camp! Rentrez chez vous et pensez à tout le plaisir qu'on va tirer de vous!

Nous avons empoigné nos vêtements et nous sommes rués jusqu'à no-tre porte de maison, heureusement, il faisait sombre et nous n'avons vu personne.

Nous avons foncé à l'intérieur et pris une douche ensemble.

Nous nous sommes caressés longuement après nous être séchés et nous avoir lavé les dents.

Nous cherchions un moyen de nous tirer de cette galère.

A la fin de la semaine, lorsque leur emprise serait permanente il serait trop tard pour agir.

Je jetais un oeil sur l'horloge et constatais qu'il était trop tard pour appe-ler mes parents. Je décidais que ce serait la première chose que je ferai le lendemain matin, je constaterais ainsi l'efficacité de cette drogue. Lorsque nous sommes allés au lit je pleurais longuement avant de m'en-dormir.

Le lendemain matin nous avons repris une autre douche, j'enfilais une autre mini-jupe et un haut totalement inappropriés dans un bureau.

Je préparais le petit déjeuner, puis je téléphonais à ma mère.

Ma mère restait au foyer, mais elle se levait tôt pour déjeuner avec mon père. Elle s'inquiéta tut de suite, je n'avais pas l'habitude de l'appeler si tôt le matin, mais je réussis à me calmer l'assurant que tout se passait bien.

De toute manière j'étais totalement incapable de lui exposer la raison de mon coup de fil.

Après avoir discuté de tout et de rien je la quittais pour partir au boulot. Dave était déjà parti. Comme je refermais la porte de devant Anne vint vers moi et me gourmanda :

- Tu as essayé de nous désobéir, tu as appelé ta mère pour récla-mer son aide, aujourd'hui tu prendras le car pour aller au boulot.

Je n'avais jamais pris le bus, je ne savais pas comment m'y prendre.

Je savais qu'il y avait des arrêts de bus, j'avis souvent vu des gens qui l'attendaient au coin de notre rue.

Je vérifiais que j'avais de la monnaie et je me dirigeais rapidement vers l'arrêt de bus.

Lorsque j'e vis un planning des bus, mais les destinations ne s'affichaient nulle part, et je ne savais donc pas lequel prendre.

Je pris le premier qui se pointa et je demandais au conducteur comment je pouvais me rendre à mon bureau et il me répondit quel bus je devais prendre.

Il se monta très gentil et très patient, il m'expliqua en démarrant que je devrais changer de bus au boulevard Foster me disant lequel prendre.

Il me dit aussi comment je pourrai rentrer le soir.

Je payais ma place et il me donna un billet me disant qu'il m'appellerait lorsque j'arriverai à destination.

Je me dirigeais vers une place vide et m'assit le long de la fenêtre à peu près 4 rangs derrière le conducteur.

A l'arrêt suivant trois jeunes voyous montèrent, ils lancèrent leur mon-naie dans la caisse à coté du conducteur et vinrent vers moi.

Le plus costaud se tenait devant moi, lorsqu'il me vit son visage se fendit d'un large sourire, il s'assit à coté de moi et se sera contre moi, ses deux copains s'assirent derrière nous.

Dès que le bus eut démarré, il traça un petit cercle de ses doigts sur ma cuisse, comme je ne protestais pas, il descendit sa main sur mon genou et remonta le long de ma cuisse jusqu'à ma chatte nue.

Lorsqu'il réalisa que je ne portais pas de petite culotte, il tourna la tête vers ses copains et leur souffla :

- Et les gars, venez donc voir!

L'un de ses copains se leva et se tint dans le passage à coté de nous alors que l'autre se penchait au-dessus du siège.

Tandis qu'ils regardaient avidement, mon voisin retroussa lentement ma jupe sur ma taille exposant ma chatoune aux yeux de ses copains.

Je sentis le rouge envahir mon visage alors que je demeurais assise sans protester, sans défense, totalement humiliée.

Ces jeunes gens avaient tout juste 18 ans, les deux comparses me relu-quaient alors que leur pote palpait mon mont de Venus chauve.

Je ne pouvais que leur être reconnaissante de ne pas attirer l'attention des voyageurs sur ce qu'ils me faisaient subir.

Alors que mon voisin jouait avec ma foufoune le gars se tenant dans mon dos tendit le bras et glissa sa main dans mon corsage et entreprit de malaxer mes nibards.

Je ne pouvais que rester assise et pleurnicher.

Le bus arriva à l'arrêt suivant et j'entendis le chauffeur ouvrir les portes, se lever et venir vers nous en hurlant aux jeunes types de se barrer.

Une fois qu'ils se furent enfuis, le chauffeur me demanda si tout allait bien.

Je recouvris prestement mon entrecuisse et rajustais mon chemisier ho-chant la tête, trop honteuse pour le regarder dans les yeux.

Il se pencha sur moi et dit :

- Je suis désolé, vous auriez du m'appeler, vous descendez au pro-chain arrêt, êtes vous sure que tout va bien?

Je soupirais un timide merci et hochais la tête toujours incapable d'af-fronter son regard.

Lorsque l'autobus stoppa à l'arrêt suivant, je courus à la porte centrale et prit une profonde inspiration en quittant le car.

Je me mis immédiatement à rechercher le bus que le chauffeur m'avait dit qu'il m'emmènerait jusqu'à mon bureau, ce devait être le prochain.

Alors que je grimpais dedans, j'entendis quelqu'un hurler - Elle est ici!

Je jetais un oeil en arrière et vis les trois jeunes gens qui m'avaient mo-lestée courir pour attraper le bus, mais ils n'y réussirent pas.

Dès que j'étais grimpée à bord, le chauffeur avait démarré.

Je dis au conducteur où je me rendais et lui expliquais que je n'avais pas l'habitude de prendre le bus lui demandant de me prévenir lorsque je se-rai arrivée.

Je me rendais compte que tous les hommes avaient envie de faire plaisir à une jolie jeune femme habillée de façon provocante d'un chemisier quasi transparent, il me sourit, hocha la tête en signe d'acceptation, et je gagnais ma place au fond du bus.

Ce bus, à l'inverse du premier était plein à ras bord, tous les sièges étaient pris et la plupart des places debout auprès des sangles de sou-tien étaient occupées.

Je trouvais cependant une sangle à laquelle m'agripper et fis de mon mieux pour rester debout lorsque le bus accélérait ou freinait selon le tra-fic.

Je remarquas que personne ne me regardait et pendant u certain temps j'aurai pu me croire seule dans ce car.

Ce sentiment s'envola lorsque je sentis une main se poser sur mon mol-let, un homme assis à coté de moi me touchait les jarrets.

Je pensais tout d'abord que c'était par accident, je voulus le repousser et m'écarter, mais un coup de frein brusque me fit revenir à ma place ini-tiale.

Comme je restais en place, la main du voyageur assis revint sur ma jambe me caressant as vergogne.

Comme je ne réagissais pas, il se fit plus audacieux.

Sa main remonta le long de ma jambe, lentement, palpant mes charmes en s'excitant.

Puis exactement comme les trois jeunes gens l'avaient découvert plus tôt, il se rendit compte que je ne portais pas de sous-vêtement.

Sa main se pressa dans mon entre cuisse qui était légèrement écartée pour maintenir mon équilibre, il avait ainsi un accès tout à fait libre à mon intimité.

Il poussa son avantage à fond et inséra prestement deux doigts dans ma féminité, et les fit coulisser allégrement.

Je fis la seule chose qui m'était permise, je fermais les yeux et attendis que le chauffeur m'indiqua l'arrêt où je devais descendre.

Je ne parvenais pas à comprendre qu'un acte aussi vil, aussi humiliant puisse être aussi jouissif.

Si le chauffeur ne m'avait pas informé de la proximité de mon arrêt, si j'avais du attendre l'arrêt suivant, j'aurai sûrement joui sous ses profon-des caresses!

Et je n'avais toujours pas vu son visage!

Je descendis du bus et me ruais vers mon bureau tout proche.

Je me demandais si on se faisait toujours molester dans les bus.

Je jetais un oeil sur ma montre et réalisais que j'avais dix bonnes minu-tes de retard. Monsieur Jefferson allait disposer de la journée entière pour en profiter.

Je me précipitais derrière mon bureau et vis que monsieur Jefferson me guettait, je paniquais.

Je posais mon sac et, j'étais à peine assise que déjà il m'appelait par le téléphone intérieur.

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