L'orage Revisité

BÊTA PUBLIQUE

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Son plaisir, je le sens qui monte sous mes coups de boutoir à ses râles qu'elle profère à la cadence de mes reins. Attentif et besogneux, je pousse des « Han, han han, » au rythme de mon piston et son souffle me répond « Ah! ah! ah! » quand elle sent s'enfoncer en elle mon épieux de chair pilonnant son utérus. Nous montons à l'assaut du plaisir à la cadence de nos reins unis dans une course de fond.

Je vois son visage sous le mien qui se détend peu à peu, ses rides qui s'effacent et cette légère crispation qui affecte son nez quand mon sexe touche le col de l'utérus. Mais je veux aller bien à fond en elle, sans la ménager, mélanger jouissance et souffrance, lire sur son visage ce mélange si excitant qui me pousse encore et toujours en avant.

Son râle est continu, un long son de gorge, primitif et instinctif. L'instinct de la création, la continuité de la race, perpétuation de l'espèce, le don de la vie, chaque coup de ma bite est symbole, quand elle vient frapper la porte de sa citadelle comme le bélier de jadis.

A ce train, la jouissance ne tarde pas à poindre son nez, je sens mes couilles qui se contractent et le sperme monte inexorablement le long de ma queue. Je bloque encore un instant le flot qui s'annonce et en avertis maman. « J'ai envie de jouir, je sens que ça vient, je vais te donner tout mon sperme, le veux tu? »

« Oh oui! donne moi tout ton sperme mon fils donne moi! », c'est une supplique qu'elle m'adresse, elle est prête à tout prendre et tout garder cette fois. « Tu garderas tout, je veux que tu gardes tout en toi, je vais te remplir de ma liqueur », elle tressaille, « Ohh!! donne moi, donne moi tout mon chéri donne à ta maman, je te veux je te veux en moi, donne moi tout je t'en supplie donne moi!! ». Je la sens partir dans son délire érotique et veux un peu plus l'entendre. « Je vais faire couler en toi tout mon foutre, tu prendras tout jusqu'à la dernière goutte qui sortira de ma queue, je te remplirai de sperme jusqu'à ce que ta chatte en déborde, je veux voir ta chatte baver mon foutre! ». Penché à son oreille je profère les insanités qui me viennent à l'esprit et maman en frémit de désir. « Donne! donne » ordonne-t-elle soudain avec une détermination qui ne laisse pas place à la discussion. Son bassin s'avance vers mes reins, ses cuisses s'ouvrent, je les prends sur mes épaules et maman s'abandonne tout à fait à la jouissance. Son visage se crispe un peu alors que je lui annonce l'arrivée de mon flot, « Ca y est je te remplis! » je lui ai crié à l'oreille tandis que je lâche les vannes de ma semence qui se précipite par mes tressaillements en la cavité avide de la recevoir. Mes pulsations dégorgent ma queue trop longtemps retenue comme un cheval retrouvant soudain la liberté. Je me recule un peu hors du vagin, juste pour laisser place au sperme dans le conduit étroit, je veux vraiment que maman soit pleine de moi et qu'elle en perde un minimum.

Elle a jouit en même temps que moi d'un long râle bestial incontrôlé qui se meurt lentement au fur et à mesure que se vident mes couilles. Elle a noué ses jambes autour de mes reins et elle me sert frénétiquement alors que ma bite est secouée de spasmes que je ne contrôle plus.

Je suis hors d'elle maintenant, ma queue encore dure, toujours dominant, je regarde ses yeux clos et son nez palpitant du désir encore présent. Son souffle est court, visiblement, la tension amoureuse n'est pas retombée. Je rampe sur elle, me met à genoux au dessus de son corps et vient poster mon bas ventre au niveau de son visage, ma queue est encore toute raide de désir. Maman ouvre les yeux et découvre mon sexe au raz de son visage, elle semble surprise mais ne réagit pas. Je passe une main sous sa tête et la rapproche de ma bite pendant que mon autre main la guide vers ses lèvres. Je les caresse lentement de mon gland, mouillant de sperme au passage le visage de ma mère. Ses lèvres s'ouvrent peu à peu et mon gland glisse sur elles, « Suce moi ».

« Je n'ai jamais fait ça! »

« Prends ma bite dans ta bouche et suce moi avec tes lèvres et ta langue »

« Où as tu appris ça? », au lieu de répondre, je force un peu le passage entre ses dents et elle accepte ma queue dans sa bouche. Elle est maladroite au début, elle me fait un peu mal avec ses dents mais elle apprend la caresse buccale rapidement et finit par trouver un rythme à ses sussions. On dirait même qu'elle y prend un certain plaisir, sans doute celui de me voir monter vers la jouissance. Maman me regarde pendant qu'elle me pompe, guettant mes réactions et apprenant si vite que c'est elle qui finit par être maîtresse du jeu et m'amener à la jouissance pour la seconde fois de la soirée. Seulement, elle a été complètement surprise par mon éjaculation et manque s'étouffer sous les giclées grasses qui envahissent sa bouche par saccades.

Je la sens surprise et ne sachant que faire de ce sperme dans sa bouche, je me penche vers son visage tout barbouillé de foutre, « Avale mon sperme, tu vas aimer son goût ». Elle déglutit difficilement puis une seconde fois avec moins de réticence, « C'est pas mauvais » murmure-t-elle. « Quel goût a-t-il? » je lui demande toujours penché vers elle, « Légèrement salé, je ne m'attendais pas... ». « Tu ne l'as jamais fait avant moi? », « Non jamais aussi loin que cela ». « Tu veux dire que tu n'as jamais avalé du sperme? », « Non jamais, j'ai pris un sexe en bouche mais jamais jusque là ». « Qui as-tu sucé avant moi? », maman rougit et détourne la tête, je comprends que ce n'était pas son mari . « Tu ne veux pas me le dire? ce sera notre secret », « Non je ne peux pas, j'étais bien jeune alors ». « Tu en as trop dit, dis moi qui! », « Non vraiment je ne peux pas ». « C'était quelqu'un de la famille? ton père? », « Mais non! jamais mon père... ». « Alors qui? je t'en prie dis moi qui! », maman soupire et détourne la tête, dans un souffle elle me lance « Un prêtre ».

J'en demeure sans voix, je me recule et la regarde mieux, comment cela ce peut il? ma mère, ma propre mère a donc eu une vie sexuelle agitée avant que nous commencions cette relation incestueuse?

« Raconte moi cela! » je lui commande d'une voix haletante et incrédule, « Comment cela a-t-il pu arriver? ».

Pour entendre plus commodément ses confidences, je me glisse contre elle dans son dos. Par pudeur, maman s'est mise sur le coté et je me mets contre elle .

« C'était juste avant la communion solennelle, nous avions une période de retraite avec des prêtres où nous faisions une préparation à la cérémonie. C'était aussi une sorte de petites vacances pour les enfants. Les prêtres nous emmenaient à la campagne et nous faisions des jeux. Un de ces prêtres avait une réputation de dureté envers nous et il ne fallait pas faire une bêtise sous ses yeux sous peine d'être punie sans pitié. Un jour, j'ai été jugé trop bavarde par lui et il m'a dit de le suivre dans son bureau. J'étais terrorisée, il s'est assis devant moi l'œil sévère et m'a demandé d'approcher. Je me suis avancé jusqu'entre ses genoux et il a commencé à me parler durement tout en me tenant fermement les bras en me secouant de temps en temps. Peu à peu ses mains se sont mises à se promener sur mon corps, de mes épaules à mes jambes, il me palpait les cuisses en me disant qu'elles étaient bien rondes. Le ton s'est radouci et il m'a murmuré des choses à l'oreille, comme quoi finalement j'étais une bonne fille et je ne sais comment sa main est venue prendre la mienne et je me suis retrouvé avec son sexe à la main. Il m'a fait faire les mouvements de masturbation, j'étais tétanisée et n'osais plus bouger, même pas regarder sa bite entre mes mains. Il m'a demandé de m'agenouiller devant lui, je suis littéralement tombée tant mes jambes ne me soutenaient plus et il m'a dit de le sucer. J'ai ouvert la bouche sans réfléchir et il a guidé son sexe en ma bouche. D'une voix douce il m'a dit comment procéder et je l'ai fait tant bien que mal. Je le sentais haleter au dessus de moi, je n'osais pas lever les yeux, complètement dépassée par ce qui m'arrivait.

A un moment il a haleté plus fort et m'a sorti le sexe de la bouche, je ne sais comment je me suis retrouvé avec son membre entre les doigts qu' il me tenait pour imprimer le mouvement. Il y a eu une secousse puis deux et j'ai vu un jet de sperme jaillir de son gland et couler le long de mes doigts. C'était chaud mais répugnant, j'étais dégoûtée de voir ce liquide gras se répandre sur ma main . Il a sorti son mouchoir et s'est mis à essuyer le sperme qui se coulait tout en parlant doucement et me demandant mon silence.

Il n'aurait pas eu besoin de le faire tant je fus abasourdie par l'expérience.

Le reste de la retraite je tentais de le fuir, j'avais peur qu'il recommence mais je me rendis compte qu'il accompagnait dans son bureau d'autres petites filles qui n'avaient pas été sage . »

Le récit de maman me laisse sans réaction, je savais qu'il courrait des bruits, mais je n'imaginais pas que quelqu'un d'aussi proche de moi put être victime de ce genre de personne. La confidence de maman tourne dans ma tête comme un manège sans fin et peu à peu je sens mes sens qui s'échauffent à nouveau. J'ai la queue dure entre les fesses de maman, je ne demande rien et de ma main j'écarte ses fesses et guide ma queue vers son petit trou. Elle ne réagit pas et je peux à mon aise préparer son anus à la pénétration. Mes doigts s'activent à ouvrir un peu le passage avant que je présente mon gland à l'entrée de la grotte secrète. Maman me semble passive ce soir, je lui saisis la hanche pour l'empêcher de reculer et je pousse mon membre en elle. J'y entre sans trop de mal ni pour elle ni pour moi, une fois le gland engagé je fais une pose pour qu'elle s 'habitue à ma queue fichée en elle. Je bouge en tournant mon bassin pour agrandir le passage et j'entre lentement dans le conduit brûlant qui cède peu à peu.

Je dégrafe le soutien-gorge et le fait glisser loin d'elle et puis je m'installe pour l'enculer langoureusement, mon bassin collé à ses fesses, mes bras passés sous son torse je lui empoigne les seins.

Je suis bien, nous sommes bien, nous ne bougeons ni l'un ni l'autre, faisant durer l'instant, reculant le temps de la jouissance qui viendra comme la récompense promise à nos déchaînements érotiques. Je repense à sa confidence de tout à l'heure et ma bite s'en trouve durcie, j'ai envi d'en savoir plus sur sa vie amoureuse.

« Et l'amour de cette façon, tu l'as pratiqué avant? »

« Oui » répond-t-elle dans un soupir.

« Dis moi quand tu l'as fait, dis moi tout, je veux tout savoir de toi. »

« Quand j'étais jeune fille je l'ai fait, parfois un garçon trop entreprenant voulait faire l'amour et comme il fallait arriver vierge au mariage, c'était une façon de détourner l'interdit ».

« Dis moi quand exactement, qu'elles circonstances »

« Ah! oh! vas doucement tu me fais un peu mal! A la sortie d'un bal une fois mon cavalier était vraiment très excité, je l'avais senti en dansant collé contre lui et il m'a demandé si l'on pouvait s'isoler. Je lui ai dit les conditions et il a accepté. Nous sommes sortis et avons cherché un coin pour notre petite affaire. »

« Et alors? tu as aimé ce qu'il t'a fait? »

« Il était assez tendre, mais quand il a voulu me pénétrer il s'est montré impatient et il a failli me déchirer. Au passage, il a fallu que je me batte pour qu'il ne me pénètre pas par devant car il s'énervait et voulait à toute force entrer en moi. Je l'ai calmé et il est parvenu à ses fins et a joui rapidement en fait, tant il était excité. »

« Il y a eu d'autres fois? »

« Oui, deux ou trois fois encore avant que je ne rencontre ton père, après je ne l'ai fait qu'avec lui jusqu'au mariage. »

« Les deux ou trois fois, c'était au bal aussi? »

« Deux fois oui, mais une fois cela s'est passé dans une maison. »

« Raconte moi tout, je veux tout savoir de toi! »

« Oh ce n'est pas bien glorieux, j'ai honte de cette fois là. J'avais dix huit ans et ma mère m'envoyait régulièrement lui chercher du tissus de confection pour ses robes qu'elle faisait elle même. C'était dans une boutique loin du village où nous habitions, j'y allais en vélo, je me souviens de la boutique obscure.

Un jour je suis arrivée et c'est le patron qui était là. Je lui ai demandé mon tissus et il m 'a dit de le suivre dans l'arrière boutique. Là, il a mesuré et coupé le tissus. Au moment de me le donner il m'a dit que ma mère avait une dette envers lui mais que si je me montrais compréhensive il annulerait le dette. J'étais au courant de la situation qui gênait fortement ma mère qui était peu fortunée. Je ne sais pas ce qui m'a prise, j'ai accepté. Sans doute me suis-je dit que je n'entendrais plus ma mère se plaindre de cette dette.

Il s'est avancé et m'a annoncé ses conditions, j'ai accepté et il m'a fait pencher sur la table où étaient les rouleaux de tissus. Il a écarté les rouleaux et m'a fait m'accouder au comptoir, après il a soulevé ma robe et m'a caressé les fesses. Il m'a un peu masturbé et de ses doigts mouillés il m'a lubrifié mon anus en faisant entrer ses doigts. Quand il m'a jugé prête, il a présenté son sexe pour entrer.

Ce que je ne savais pas, c'est que cet homme était fortement membré, il a poussé son gland contre mon trou qui s'est écarté mais pas suffisamment. Il a poussé encore au point de me faire mal et j'ai hurlé, son gland est tout juste entré, mais je me tordais de douleur sous lui. Il m'a tenu en place pendant qu'il forçait le passage, j'ai crié, j'ai hurlé, mais il a continué jusqu'à ce que sa bite me prenne entièrement. Je souffrais et serrais les dents pour ne pas hurler davantage tandis qu'il continuait à progresser en moi ; Je n'en pouvais plus de douleur et je l'ai supplié de s'arrêter un instant. Il a consenti à suspendre sa pénétration et s'est mis à me peloter les seins pendant ce temps. Je serrais les dents en essayant de surmonter ma douleur. Au bout d'un temps qui m'a parut très long, la douleur a semblé diminuer et l'homme a jugé que cela suffisait, il a poussé un grand coup et j'ai cru qu'il me déchirait pour de bon. J'ai hurlé tant la brûlure fut intense. Mais il n'en tint pas compte et commença à me pistonner avec vigueur. Sous lui je tentais de m'échapper et criais de souffrance sans attirer la pitié de mon bourreau. Il m'a limé ainsi sans relâche pendant une demie heure qui m'a parut un siècle avant d'éjaculer dans mes profondeurs. J'ai accueilli son sperme avec soulagement, il me lubrifiait en même temps qu'il annonçait la fin du supplice.

En effet l'homme n'a pas tarder à se retirer, mais en reculant il a appelé quelqu'un qui était derrière nous et nous épiait. C'était son fils, il lui a dit de venir et de profiter de l'occasion qui était offerte.

Le fils ne le s'est pas fait dire deux fois, il était déjà en moi et me limait férocement. Heureusement il était moins membré que son père et je le laissais faire avec soulagement. Il a éjaculé une première fois et a continué jusqu'à une seconde éruption de sperme.

Après cela, les deux hommes ont jugé que je pouvais me laisser m'en aller, ils ont porté le tissus jusqu'au vélo et m'ont regardé partir, ensembles sur le pas de leur porte. J'avais très mal aux fesses et ne pouvais m'asseoir sur la selle, ils ont ricané dans mon dos en me voyant partir ainsi en danseuse sur mon vélo.

Sans doute était on au courant dans le village, les hommes me regardaient passer avec un air ironique, ce fut l'humiliation de ma vie. »

Pendant que j'écoute cette confession, je suis toujours dans son ventre et l'évocation de l'aventure a fait gonfler mon sexe. Imperceptiblement d'abord mes reins se mettent en mouvement, et de plus en plus franchement au fur et à mesure que maman déroule son récit. J'ai l'impression d'être le marchand de tissus qui s'acharne sur son cul, ma queue, dure comme un bâton de buis perfore le trou sombre de son anus.

« Comme tu as du avoir mal! » je m'exclame quand elle a fini.

« La douleur ne m'a pas quitté d'une semaine entière, j'avais beaucoup de mal à me tenir assise. »

« Et mamie, qu'est ce qu'elle a dit? »

« Oh! rien, elle n'a rien dit mais je savais rien qu'à sa façon de me regarder qu'elle devinait ce qui c'était passé, et par la suite je ne suis jamais retourné chez le marchand de tissus »

« Est ce que tu veux dire qu'elle savait ce qu'elle faisait en t 'envoyant là-bas? »

« J'y ai pensé sans jamais oser rien demander, le poids des tabous est très fort de par chez nous tu le sais bien. Mais j'ai bien l'impression d'avoir été l'objet d 'un marchandage. D'ailleurs plusieurs personnes m'ont confié s'être acquitté de leur dette de cette façon, c'était monnaie courante dans le pays ».

Maman me fait bander comme un cerf a l'évocation de toutes ces histoires et je la lime de plus belle, la bite bien enfoncée entre ses fesses. L'envie de jouir monte à nouveau depuis mes couilles, j'en fais part à maman « Je sens que ça vient, je vais jouir encore en toi! ».

« Attend un peu, s'il te plait, je ne suis pas encore prête. »

Désirant lâcher mon jus je me décide à l'exciter davantage en me saisissant de ses deux plantureux nichons que je pelote vigoureusement. Les seins de maman ont tant gagnés en volume que je ne peux les tenir tout entier en main, je les masse jusqu'aux tétons durs et gros qui se tendent à mes caresses. « Tes seins ont beaucoup grossis », « C'est l'unique avantage d'une grossesse, ils sont plus sensibles aussi, tu m'excites à les caresser comme tu fais! Oh mon dieu comme tu m'excites! je vais jouir moi aussi! ».

Je laisse monter son plaisir au gré de mes mains et de ma bite qui œuvrent pour son nirvana : mes reins enfoncent mon dard dans ses tripes et mes doigts agacent les pointes sensibles de ses nichons que je sens prêts à éclater de bonheur.

Sa jouissance est aussi subite qu'imprévue : maman lance un long son rauque et douloureux, profondément érotique. Un son qui n'a rien d'humain mais vient de loin à travers l 'univers du plaisir. Elle reprend bruyamment son souffle comme le plongeur resté trop longtemps en apnée et relance son cri de nulle part. Elle me fait peur tant sa jouissance est intense, elle se tord sur le lit et semble m'échapper et puis se met à murmurer à mon oreille « Vas-y met moi ton foutre, vas-y, donne moi ton jus de bite, donne moi tes spermatozoïdes, je veux tout en moi, donne, donne! ». Son dernier mot est un ordre et je m'empresse de lâcher la vanne de mon plaisir pour me répandre aussi loin que me permet ma queue dans le colon de maman.

Son délire continue pendant que le foutre se répand en elle, « Oui mon garçon, oui, donne à ta mère ce qu'il y a de meilleur en toi, je veux te vider complètement, pomper tes couilles pour qu'il n'y reste plus rien pour d'autres femmes, je veux tout ton jus, toujours, même si je dois avorter tous les mois, j'ai trop de plaisir à sentir ton sexe dans mon ventre! ».

« Maman, maman! » je bégaye, la rejoignant dans son délire érotique, serrant la chair de ses seins à lui faire mal. « Je te donnerai toujours tout le jus de ma bite, c'est promis! ».

La dessus, elle s'abat sur le lit telle une masse et s'effondre en sanglots longs et inextinguibles. Je ne sais plus que faire tant les larmes affluent à ses yeux noyés de brume. J'ai l'air con à coté de cette femme qui a cherché un instant l'échappatoire à son drame.

Timidement je lui mets la main sur l'épaule et essaie de l'attirer dans mes bras, elle résiste, j'insiste, elle cède et tombe au creux de ma poitrine où mes bras se referment sur son corps. Elle continue à sangloter au creux de mon épaule, tout son être est secoué par les larmes et je finis de la rejoindre dans son désespoir.

C'est ainsi que nous trouvons un sommeil lourd et perturbé qui finit par nous engloutir dans son néant.

Le lendemain matin, lorsque j'ouvre les yeux, maman est toujours dans mes bras, elle est belle quand elle dort ainsi. Dans la nuit, elle a fini de se débarrasser de ses dessous que je n'avais pas ôté et elle gît nue au creux de mon corps. Le contact de son épiderme me provoque une nouvelle érection matinale sans que je puisse rien contrôler et voilà mon sexe dur qui pousse contre son flanc. Maman soupire, son réveil n'est pas loin et il lui vient un début de conscience, elle appuie davantage son flanc contre mon sexe et en reconnaît la fermeté. Ses bras m'enlacent, elle se retourne sur le dos et m'entraîne à sa suite. Aussitôt ses cuisses s'ouvrent et je glisse entre elles. Mon gland n'a aucun mal à forcer sa fente et me voilà encore en sa chatte. Je me mets à la limer lentement, elle n'a pas encore ouvert les yeux et se laisse faire avec délice, le corps tout alangui de sommeil. Nous ne recherchons pas la baise à tout prix, juste le plaisir d'une rencontre, nous accomplissons juste la complémentarité de nos corps. C'est un moment de pur délice, mes reins pulsent lentement mon membre dans le vagin chaud et gras qui s'ouvre en cadence, suçant ma queue comme le ferait une bouche, nous laissons filer le cours de l'eau.