L'orage Revisité

BÊTA PUBLIQUE

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Pourquoi ai-je l'impression que son ventre me repousse?

Maman n'a pas bougé, nous sommes restés l'un dans l'autre nos corps soudés ensembles. Elle n'a pas éprouvé le besoin d'une toilette rapide de son sexe, à quoi bon, elle sait que la petite graine a germé en elle et que si elle laisse faire son ventre enflera inexorablement.

Nous finissons par nous endormir ainsi sans nous désunir pour plonger dans un sommeil lourd de fatigue et d'émotion.

J'ai des remords, rien qu'à voir la mine défaite de maman me donne du vague à l'âme et mon humeur s'assombrit de jour en jour. Nous communiquons moins et je m'enferme dans mes pensées noires, inquiet des conséquences de notre manque de prudence. Je devrais plutôt dire que c'est moi le seul coupable de la situation, si je n'avais pas laissé maman s'endormir, si je m'étais un peu contrôlé, si je n'avais pas eu cette rage de cul qui m'a poussé à la baiser avec toute la force de ma jeunesse et la richesse fatale de ma semence, sans plus penser à prendre des précautions.

Je traine mon spleen le long des rues, je n'ai même plus envie d'aller voir Jean-Louis, j'évite mes copains, j'ai un peu honte, beaucoup honte même. Je repense aux jours d'avant, quand tout ceci ne c'était pas encore enclenché. J'ai besoin de me confier à quelqu'un, mais qui? Un adulte assurément, je cherche un réconfort qui ne soit pas celui de ma mère ni d'un proche, il me faut quelqu'un de neutre qui pourrait soulager mon âme. Mon âme? Mais c'est donc un prêtre qu'il me faut! Hé oui, je ne suis pas si loin de ma communion solennelle, je vais de temps en temps à l'église encore, plus pour lire la liste des films qui se jouent en ville et choisir de préférence celui qui est déconseillé mais bon, je fais de brèves apparitions, sur qu'un prêtre me prendrait en confession. Un samedi d'octobre donc, en fin d'après midi j'entre dans cette église impressionnante, haute et sombre. Je m'approche des confessionnaux, il y a la, deux ou trois bigotes attendant leur tour, à genoux sur leur prie dieu. J'ai le cœur qui bat la chamade, en attendant mon tour. Le prêtre me fait signe de m'approcher, je le connais, un jeune dans la trentaine, il porte des lunettes, il a le teint un peu rougeau et il m'a fait le caté pendant une année. Il me reçoit avec le sourire, visiblement satisfait de me trouver la, ça le change des bigotes du quartier. Je m'agenouille dans la cellule sombre, j'entends mon cœur dans ma poitrine qui bat à tout rompre. Je sursaute quand le prêtre ouvre la fenêtre grillagée qui me sépare de lui, je vois son visage dans l'ombre, ses lunettes qui reflètent le peu de lumière qui nous vient de l'extérieur Il murmure sa prière latine qui introduit la confession et j'enchaine: « Pardonnez moi mon père parce que j'ai péché »

« Je vous écoute mon fils » Et la, impossible de sortir un mot, je me mets à trembler et la panique me prend. Le prêtre regarde à travers le grillage qui nous sépare. « Alors? » J'avale ma salive, je bredouille mais c'est une bouillie inintelligible qui franchit mes lèvres. Le prêtre me regarde en souriant: « Allons, reprends toi, je suis ton ami et je peux tout entendre. » Je me racle la gorge, j'avale ma salive et je bredouille à nouveau « Je ...je ... »

Le prêtre se tourne vers moi: « C'est donc si difficile de me dire tes péchés? Je te le répète, je suis ton ami, tu peux tout me dire ici. »

« Je...je...ma mère....je ... »

« Quoi ta mère? »

« Je...couche avec elle! »

J'ai prononcé cette dernière phrase d'une traite comme on crache un aliment amer.

Le prêtre ne dit rien d'abord, je le vois s'agiter sur son banc et puis je le vois qui tourne lentement la tête vers moi: « Tu peux répéter? »

« Je couche avec maman. »

« Tu couches....enfin tu veux dire que vous dormez dans le même lit? »

« Oui, enfin...on fait plus que dormir! »

« Plus que dormir? »

« Oui! »

« Tu veux dire que...tu as des rapport avec elle? »

« Oui! »

« Oh! Je ...combien de fois? »

« Je ne sais pas »

« Tu veux dire que ça fait plusieurs fois que toi et elle avez des rapports? »

« Oui »

« Mais comment as-tu pu...? »

« Un soir d'orage, maman a peur de l'orage et elle m'a demandé de coucher avec elle. »

« Oh! Jésus! Mais elle ne t'a pas dit de la...baiser! »

« Heu...non! »

J'entends le prêtre de l'autre coté de la lucarne qui nous sépare qui s'ébroue, il remue mais je ne saurais dire quoi.

« Il y a longtemps? »

« Six mois environ »

« Six mois! Mais ça fait longtemps ça! Et ...comment tu....fais? »

« Bin je la pénètre... »

« Avec ton sexe? »

« Oui »

De l'autre coté le prêtre se tortille sur son banc, et puis il se rapproche de la grille en collant son oreille contre elle.

« Combien de fois demande t il dans un souffle que je sens frémissant. »

« Souvent depuis six mois »

« Tu veux dire plusieurs fois par semaine? »

« Oui, presque tous les jours »

« Oh! Mon dieu! Tu y prends du plaisir? »

« Oui »

« Elle aussi? »

« Oui »

« Mais...mais sais tu comment cela s'appelle? »

« Oui mon père, c'est de l'inceste. »

« Sais tu que cela est interdit par l'Eglise, et par la société? »

« Oui mon père, maman me l'a expliqué »

« Mais alors pourquoi? »

« On ne peut pas s'empêcher! »

« Tu veux dire que vous consentez tous les deux aux plaisirs de l'inceste? »

« Oui mon père »

« Connais tu les conséquences »

Dans l'ombre je perçois des gestes de l'autre coté de la grille, son bras opposé s'agite et j'entends des bruits de tissu.

« Tu sais ce qui peut arriver? »

« Oui mon père »

« Je suppose que tu ne te retires pas avant de jouir? »

« Non mon père »

« Oh mon dieu! Tu jouis dans le ventre de ta mère? »

« Oui mon père »

J'entends un bruit de l'autre coté de la cloison qui nous sépare, un bruit de tissu, comme un frottement et je perçois dans l'obscurité le bras du jeune prêtre qui bouge.

« Prend elle des précautions? »

« Oui mon père, elle se lave après que nous ayons fini »

Le bruit de frottement devient plus perceptible et le bras s'agite dans l'ombre.

« Tu n'as pas peur qu'un jour elle n'oublie de se laver? »

« Heu...oui bien sur »

« Et tu sais ce qui peut arriver? »

« Oui mon père ai-je dit dans un souffle. »

Le prêtre me regarde dans l'ombre, je fuis son regard, désemparé. Je l'entends de l'autre coté de la cloison, ces bruits de frottements.

« Elle risque de tomber enceinte! »

« Oui mon père »

« Et tu prends ce risque? »

« Heu...je ....elle aussi! »

« Tu veux me dire que cela est dans vos projets? »

« Non! Pas dans nos projets mais ... »

« Mais quoi? »

« Je crois que maman est enceinte. »

Les bruits de frottements s'intensifient, dans la pénombre je vois le prêtre se mordre la lèvre inférieure. Il fouille précipitamment sa poche de soutane, il sort un mouchoir et au lieu de se moucher dedans il le fait disparaitre sur son ventre, hors de ma vue.

« Tu...tu veux me dire que tu sais, que ta maman est enceinte? »

« Oui »

« Enceinte de ....toi? »

« Oui mon père »

Un long silence s'établit, il est juste perturbé par le bruit de frottement. Mon confesseur a reculé la tête, il a fermé les yeux, sa bouche est ouverte et je vois son bras qui s'agite dans l'ombre. C'est à cet instant que je me rends compte qu'il se masturbe.

« Tu as engrossé ta mère! Te rends tu compte de ce que tu as fait? »

« Mais je ....je ne voulais pas et elle non plus. »

« C'est un accident alors? »

« Oui bien sur, un accident! Voila! »

« Oh! Tu as fait ça! L'inceste, le plaisir suprême! »

« Le plaisir? Demandais je timidement. »

« Oui! Oui! Le plaisir suprême! »

« Mais ....comment ça? Vous avez dit que...c'était un péché. »

« Oui! Bien sur l'Eglise condamne mais c'est le plaisir le plus grand qu'il y ait sur cette terre. Tu as de la chance en fin de compte d 'éprouver ce plaisir la. Moi aussi j'aurais voulu... »

« Vous aussi? Mais comment? »

« J'étais amoureux de maman et c'est pour ça que je suis entré dans les ordres, pour m 'éloigner d'elle, expier, oublier, mais je n'arrive pas! »

Je le regarde à travers le grillage, il se branle toujours les yeux clos.

« Mais toi, tu l'as fait! Tu y prends ton plaisir et tu la satisfais, c'est bien ça? »

« Oui mon père »

« Jouit elle avec toi? »

« Oui mon père »

« Plus qu'avec son mari, je veux dire ton papa? »

« Oui je crois, quand il est venu en permission cet été ils ont moins baisé ensemble que lorsque je le fais moi avec elle. »

« Oh! Seigneur! Tu la baises plus souvent que ton père! »

« oui mon père, d'autant plus que papa n'est pas souvent la »

« Je comprends, c'est facile pour vous. Moi je n'ai jamais pu me trouver seul avec maman, il est vrai que j'ai quatre frères et sœurs. »

« Mais vous auriez vraiment aimé? »

« Oh! Oui répond t il dans un souffle en accentuant sa masturbation. Je prenais même ses culottes pour me masturber dedans. »

Je souris dans la pénombre du confessionnal, parce que j'ai fait la même chose moi aussi, jouer avec les culottes sales de maman quand je me trouvais seul le jeudi dans notre appartement. Je le dis au prêtre qui me regarde d'un air complice. Il est sur le point de jouir, son souffle saccadé balaye mon visage. Il me fixe d'un regard d'égaré tandis que je sens son corps parcouru de spasmes quand il se détend d'un coup, les yeux clos et la bouche ouverte. Les spasmes se succèdent tandis qu'il se vide de son sperme dans son mouchoir et avant qu'il ne s'effondre haletant.

« Oh! Mon dieu! Comme tu m'as fait jouir avec ton histoire! »

Mais il se redresse, reprend ses esprits, il reboutonne sa soutane et fait disparaitre son mouchoir dans sa poche avant de se tourner vers moi.

« Oublie ce que je viens de te dire, ne retiens qu'une chose: l'inceste est interdit, tu dois te reprendre et ta mère aussi s'il n'est pas trop tard. »

« Et...sinon? »

« Heu...je n'ai pas réponse, l'Eglise condamne l'avortement et si ta mère devait se retrouver enceinte, elle devrait porter les conséquences à son terme. »

Je frémis dans le froid du confessionnal, moi qui voulais un réconfort, ce curé me plongeait dans la panique la plus totale.

« Ma mère...ne pourra pas supporter de garder ce... »

« Je la comprends, mais nous sommes ici dans une église et mon discours ne peut pas être autre, tu peux revenir me voir, nous parlerons plus librement à l'extérieur. »

Je comprenais le message, mais pas sur que je revienne écouter un discours aussi ambigu et hypocrite. Je fis semblant d'acquiescer, je recevais ma pénitence et me retirais du confessionnal pour fuir loin de ce lieu. Le bigotes étaient toujours la, les mains jointes et les genoux posés sur le prie dieu, perdues dans des prières sans fin. Si seulement ces prières la pouvaient aller dans le sens de mes désirs, qu'elles fassent que maman ne soit pas enceinte de moi!

Le lendemain je pars pour l'école comme d'habitude, mais mon humeur est sombre. Maman le sait et son baiser est plus tendre quand elle me souhaite une bonne journée.

En classe je suis ailleurs, je n'écoute les profs. que d'une oreille distraite, tout mon esprit est tourné vers maman et l'angoisse qui est la sienne. Machinalement mon regard passe mes copains en revue et je me trouve comme un extra terrestre face à eux. Inutile de se poser des questions, je suis bien le seul à vivre une telle situation, qui en dehors de moi a couché avec sa mère? Qui en dehors de moi l'a engrossée, lui a fait le ballon, lui a planté un gosse?

Je me rends compte du lourd secret que j'ai désormais à porter en même temps que maman porte le fruit de nos amours. Je sais maintenant que la confidence est impossible, ça aussi me rend différent quand tous les autres se répandent en bavardages pour compter leurs exploits. Je suis encore plus solitaire qu'avant, je n'ai plus de confidence à faire.

Je rentre de l'école vers cinq heures, sans hâte excessive je regagne l'appartement, je sais trop ce qui m'attend là haut.

Maman est là comme à son habitude, elle me prépare mon goûté et s'assied en face de moi. Elle me regarde, l'angoisse a disparu de sa face pour faire place à une sorte de triste résignation. «J'ai acheté un test de grossesse», je me suis figé et je la fixe, attendant la suite, j'arrive à articuler « Et alors? » . La réponse me vient immédiatement « Positif , je suis bien enceinte. Ce n'est pas fiable à cent pour cent mais cela confirme mes craintes, je suis bien enceinte de toi ».

« Enceinte de toi », ces mots résonnent dans mon crane comme un mal de tête. S'il venait de n'importe quelle femme se serait une joie, là c'est un drame qui me choit dessus, un drame pas banal, avoir engrossé sa propre mère!

« Et maintenant? »

« J'attends encore une semaine et je vais voir mon amie »

« Pourquoi attendre? »

« Pour être bien certaine »

« Mais il semble bien que... »

« Oui mais je veux vraiment être sure à tout prix, ce n'est pas quelque chose qu'on dévoile à la légère, il faut être certaine de son fait »

« J'irai avec toi! »

« Certainement pas, je ne veux pas que tu saches qui est cette amie! »

« Oui mais après, je veux être avec toi »

« Il me faudra de l'aide, nous verrons bien comment cela se passera. »

« Je t 'accompagnerai là où tu iras, je veux être avec toi »

« C'est gentil mon chéri » et elle me gratifie d'un sourire un peu triste.

Nous sommes maintenant en Novembre, cela fait deux mois pleins que maman n'a pas vu ses règles. Son état de grossesse est confirmé et elle a été voir sa mystérieuse amie. Cela s'est passé un Samedi après midi, maman s 'est habillée et m 'a simplement dit « Je sors » sans plus de précision. Je n 'ai pas osé en demander plus, je me doutais bien du but de cette sortie. J'ai continué mes devoirs distraitement, pensant à maman et à son voyage à travers la ville. Cela a été assez long, elle n'est rentré qu'en fin de soirée, je commençais à m'inquiéter.

« Alors? » ne puis-je m'empêcher de la questionner. Elle a un soupir de lassitude et son regard est triste pendant qu'elle cherche une chaise pour s 'asseoir. J'ai la gorge sèche en attendant sa réponse.

Enfin elle lève les yeux vers moi, « Ce n'est pas gagné » me dit elle, « J'ai vu mon amie, elle m'a donné le nom et l'adresse du médecin, c'est un médecin à la retraite mais il est extrêmement méfiant, il a déjà eu des problèmes et est très réticent à recevoir les femmes dans mon état ».

« Tu l'as contacté? »

« Oui je l'ai appelé, et il m'a envoyé promener ». Je ne crois pas ce que j'entends, je reste sans voix et sans réaction, nous voilà à nouveau en plein drame, moi qui pensais que la solution serait facile je me trouve confronté à la dure réalité de la vie d'adulte. Je m'assieds à mon tour car mes jambes se dérobent, je vois déjà le spectre du scandale fondre sur nous et nous entraîner dans un tourbillon qui finira par nous broyer tous les deux. Mon père va me tuer s'il arrive à savoir ce qui s'est passé derrière son dos, ma mère sera dé honorée à jamais, elle supportera jusqu'à la fin des temps les conséquences de nos frasques. J'imagine ce que cela sera dans trois ou quatre mois quand son ventre sera gonflé , elle ne pourra plus sortir sans que l'on se demande qui est le père de l'enfant qu'elle porte, les commères savent bien compter elles qui habitent un port et savent quand les maris sont en permission et quand ils sont en mer. Combien de femmes ayant pris un amant se sont trouvé démasquées par ces femmes sachant trop bien calculer, j'en ai entendu assez sur le sujet en laissant traîner une oreille dans les conversations entre adultes.

Tout cela me court dans la tête à la vitesse de l'éclair, maman n'a pas la réputation d'une coureuse, et les questions ne tarderont pas à se poser à son sujet.

Maman a bien vu mon désarroi, elle me prend la main « Ne t'en fait pas, j'essaierai encore demain, il sera peut-être mieux disposé qu'aujourd'hui, et s'il ne veut rien savoir, je demanderai une autre adresse ».

Brave maman, qui essaie de me protéger de ses ennuis par tous les moyens. Il n'en reste pas moins que ce soir est triste et pluvieux comme l'hiver qui vient vers nous à grands pas. Dans un mois et demi ce sera Noël, papa sera là, ce devrait être la fête, se sera peut-être le drame de notre vie.

Maman a senti la profondeur de ma tristesse, elle est plus maîtresse de ses sentiments, « Allons! », elle se lève et vient à moi toujours sur ma chaise. Elle prend ma tête dans ses mains et me serre contre sa poitrine, j'étouffe à demi coincé entre la chair généreuse et dilatée de ses seins. Sa chaleur réchauffe un peu mon optimisme, assez pour avoir à ce moment des pensées sensuelles. Ses seins sont tendus dans le soutien-gorge, je saisis à quel point ils repoussent le tissus léger qui les retient. Il me vient un début de bandaison, mes bras enserrent la taille de maman, je la retiens à mon tour contre moi et lui caresse doucement les fesses. Mes mains descendent encore le long de ses cuisses sur sa jupe jusqu'à le limite du tissus, je sens sous ma paume le fin nylon de ses bas. Mes mains remontent le long de ses jambes et entraînent la jupe avec elles, j'atteins la limite des bas, voici la chair chaude de sa cuisse où court une courte jarretelle jusqu'à sa gaine. Ma bouche embrasse ses seins à travers son corsage, je la sens qui se laisse aller entre mes bras, trop d'émotion, trop de lassitude, ont eu raison de sa résistance, je la sens prête à succomber à mes fantaisies, sans doute en a-t-elle aussi envie pour oublier cette pénible journée.

Mes mains sous sa jupe lui palpe son fessier ferme sous mes doigts, elles courent sur sa peau de ses cuisses à ses hanches en réchauffant la chair et le désir. Je le sens bien rien qu'à son souffle plus haletant. Je sors mes mains pour dégrafer sa jupe qui choit sur le plancher, son corsage en un tourne main suit le même chemin, enfin sa combinaison vole par dessus sa tête et maman est devant moi en sous vêtements.

Je me lève à mon tour pour la regarder mieux, je la trouve belle, ses seins dilatés par sa grossesse dardent plus que jamais et menacent la fragilité du soutien-gorge de dentelle qui leur sert d'écrin, le spectacle est à la fois charmant et infiniment érotique. Est ce une idée que je me fais, il me semble voir son ventre plus bombé que de coutume dans la gaine de couleur chair qui l'enserre, je refuse cette idée de voir grossir son ventre, elle s'aperçoit de mon trouble et me prend dans ses bras. « Viens » me souffle-t-elle à mon oreille alors qu'elle me guide jusqu'à sa chambre.

Nous nous abattons sur le lit, enlacés et plus que jamais avides l'un de l'autre.

Commence alors la plus folle nuit que n'ayons jamais eue. Sans plus attendre, j'arrache mes vêtements et nu comme à mon premier jour je fonds sur elle et la chevauche. Ses cuisses s'ouvrent et mon sexe trouve son pubis déjà brûlant. Je l'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent et font l'amour pendant que nos mains se caressent de toute part. Sans attendre davantage, je glisse une main entre ses cuisses et écarte brutalement sa culotte, maman se raidit brusquement sous mon geste, je ne m'arrête pas à ce qui pourrait être une réticence, je guide mon sexe vers ses lèvres et force le passage vers son vagin que j'envahis d'un coup de reins. Maman a tressailli sous l'assaut, elle pousse un « Ohhh! » surprise et contente à la fois. Je besogne déjà dans son canal humide, je glisse sans difficulté pour toucher le tréfonds de sa chair, je pousse ma queue aussi loin qu'il m'est permis et l'ouvre de mon gland exalté.

Elle gémit d'une voix doucement geignarde, elle ne s'attendait pas à cet assaut de hussard que je lui fais subir. Ma bite fore sa chatte à chaque coup de reins que je donne, je suis maintenant tout à mon affaire : oublié nos angoisses et nos affres, oublié ce vieux toubib qui finira bien par céder, je veux baiser comme je ne l'ai jamais fait, procurer à maman un plaisir dont elle se souviendra toute sa vie. Elle aussi a le sentiment qu'il va se passer de grandes choses et je la sens prête à tout ce soir , à cette espèce de passivité qui laisse libre court à toute mon imagination. Pour l'instant je veux l'entendre bramer de plaisir sous mon ventre qui la presse et mes coups de reins qui la pilonne, j'ai la queue dure comme jamais je ne l'ai eue, je l'imagine aussi grosse qu'un concombre.