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Jennifer la repoussa brutalement l'obligeant à retirer son bras du corps de Théodora. Cette dernière poussa un nouveau hurlement de douleur devant ce retrait tout aussi violent que l'entrée. Jennifer avait ceint l'un de ces terribles godes offert par Angel et se plaça entre les cuisses de cette femme qui avait l'âge d'être sa mère.
- Soulevez-lui les fesses, ordonna-t-elle toujours aussi impérieuse à l'intention des deux soubrettes qui emprisonnaient les jambes de Théodora.
Ces dernières se plièrent à la volonté de celle qui était devenu la seconde volonté la plus puissante de cette maison. Jennifer plaça alors son gode aux multiples aspérités contre la petite rondelle de l'ancienne politicienne.
- Ici nous avons une petite tradition, annonça-t-elle. Le maître m'a donné ton gode pour que tu en découvres le goût. Tu vas voir : tu vas aimer te faire détruire le cul.
Théodora sentit le contact froid du latex contre la peau de ses fesses puis la pression du gland artificiel contre son anneau. En victime naturelle du juge, elle se força à se décontracter au maximum pour accepter cette nouvelle sodomie mais dès qu'il entra en elle, le phallus aux multiples aspérités enflamma ses entrailles comme jamais n'y avait réussi même le membre surdimensionné de Kono. De nouveau, elle se débattit et hurla mais Jennifer ne montra aucune pitié. Pourtant, elle n'avait aucune rancœur personnelle à l'égard de cette femme ; elle se contentait seulement d'abuser de tout le pouvoir dont elle pouvait disposer comme elle avait pris l'habitude de le faire depuis qu'elle était devenue l'esclave presque consentante d'Angel. Elle se mit donc à ramoner cette pauvre femme devenue une « moins que rien » selon les dires du maître des lieux avec toute l'énergie dont elle disposait et les hurlements de cette dernières atteignirent leur paroxysme. Finalement, Jennifer la libéra totalement brisée, l'anus sanguinolent. Elle s'écarta et se libéra de son sexe artificiel qu'elle tendit à Laura.
- Amusez-vous! Déclara-t-elle. Le maître a dit que nous avions carte libre jusqu'à demain matin.
Dans sa demi-conscience, Théodora ne fut pas capable de réaliser qu'il lui restait encore 6 longues heures d'enfer.
CHAPITRE 13
La voiture du juge se gara en bas de chez lui. Kono ouvrit la porte à son porte à son employeur qui se dirigea en direction du hall d'entrée tout de suite suivi par Morgan. Le policier sentait que le vieux pervers continuait à ressasser les mauvaises pensées qu'il avait insinuées dans son esprit et il savourait cette petite victoire. Il ne restait plus qu'à porter l'estocade et elle n'allait pas tarder à arriver.
Comme à son habitude, Kono menait la marche afin d'assurer la sécurité. Personne ne comprenait ce qui motivait ce géant africain et franchement Morgan s'en fichait totalement. Il s'approcha de lui et lui demanda du feu, détournant ainsi son attention pendant quelques secondes qui s'avérèrent décisives.
Un homme cagoulé sortit de l'ombre et se dirigea vers le trio une arme à la main. Le juge et Kono qui lui tournaient le dos ne le virent pas. Alors qu'il braqua son arme en direction du vieil homme, Morgan se mit à hurler.
- ATTENTION!!!!!
Le policier bondit vers le juge alors que l'homme tirait mais il était déjà trop tard, l'assassin avait fait son œuvre.
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