Femmes de rappel?s d?sesp?r?es

BÊTA PUBLIQUE

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De fait lors d'un coup de fil la semaine dernière son mari assez désolé, avait fait mention de son manque d'expérience en lui disant :

- Ce que j'aimerai posséder le même instinct de survie que mon sergent-chef! Je dépends totalement de lui et de l'expérience du combat qu'il a acquise au de plusieurs vacations sur le front... Pendant les manœuvres d'aujourd'hui, on allait de bâtiment en bâtiment, il ne s'est pas fait piéger une seule fois!

- Oh madame, je vous promets qu'il n'aura pas une écorchure quand il rentrera de son tour de vacation d sur le front! Je vous en donne ma parole! La prochaine fois que le lieutenant vous appellera, il vous dira à quel point sa confiance en lui a grandi depuis ce jour! Je m'en porte garant, je veillerai à lui apprendre les ficelles du métier tout en gardant un oeil sur lui! Lui promit-il gentiment.

Quelques secondes plus tard, le lieutenant Brenner revint vers eux accompagné du commandant et de son épouse madame Stanton, Reggie les salua poliment avant de quitter les officiers et leurs épouses.

Comme il se dirigeait vers les recrues accompagnées de leurs ravissantes femmes, Reggie sourit, ses affaires marchaient comme sur des roulettes, il était certain de bientôt pouvoir refermer son piège dans quelques semaines.

Bordel, la petite femme du lieutenant Brenner est sûrement un sacré coup! Elle a vraiment de longues jambes blanches, bien galbées, lisses, sans défauts! Que se sera bon de les sentir verrouillée dans mon dos! Les jambes d'une femme d'officier, bordel ce que l'attente va être dure! Pensait-il émoustillé.

Il gagna l'observatoire le plus proche et interpella le garde en poste :

- Prends un quart d'heure de repos caporal Gates, je vais te remplacer!

Une fois la sentinelle partie, il empoigna ses jumelles et scanna la foule, bien entendu il se focalisait sur les plus belles femmes de recrues.

Immédiatement une grande blonde capta son attention, il braqua ses jumelles sur elle, se pourléchant les babines il reluqua longuement les charmes de cette beauté vêtue d'un chemisier rose et d'une jupe multicolore.

Il remarqua bien vite la bague de fiançailles brillant à son annulaire.

- Cette petite blonde... Une vraie beauté! Elle a l'air si jeune et si innocente... Elle va pleurer comme une madeleine quand je la déflorerai! Oh oui ma chérie... J'adorerai l'entendre pleurnicher! Gloussait-il émoustillé.

Lorsque son militaire de mari s'approcha d'elle et posa son bras autour de la taille de la beauté blonde, Reggie l'identifia :

- Bien, la recrue Benton, pas de risque qu'on le considère comme la meilleure recrue, aussi je suppose que je vais devoir changer un peu les choses, je vais l'élire le soldat le plus habile pour démonter et remonter son AK-47! Et lorsqu'il devra démontrer ses capacités devant la foule, ce sera le meilleur moment d'aborder sa ravissante femme pour la convaincre des risques importants qu'il rentre dans un cercueil et que son sort dépend surtout de la manière dont elle écartera ses ravissantes cuisses pour m'accueillir.

Il se remit alors à scruter la foule à la recherche d'autres proies potentielles, une somptueuse rouquine qui portait un chemiser vert olive sur une jupe blanche ne tarda pas à attirer son attention.

L'alliance à son annulaire renseigna Reggie sur son statut de femme mariée, et la vue de ses longues jambes blanches le firent bander comme un âne.

Comme elle était éloignée pour l'instant de son mari, Reggie ne pouvait déterminer, pour l'instant son identité.

Il garda ses jumelles braquées sur la ravissante rouquine, il sourit alors en réalisant à qui elle était mariée, la recrue Thornton, lui je l'annoncerai comme le soldat le plus performant pour parcourir la piste du combattant! Ravissante femme... Elle aussi je vais la convaincre que ses jolies jambes sont son argument essentiel pour éviter à son mari de rentrer dans un sac à viande.

Continuant à scruter la foule, une menue beauté asiatique attira son oeil, ses longs cheveux noirs soyeux tranchaient sur son teint crémeux réveillèrent la bandaison de Reggie.

Il observa attentivement la ravissante jeune femme qui suivait son mari lequel se dirigeait vers un escalier métallique.

- Bordel, elle ne doit pas peser plus de 50 kg! Merde, je parie que ma bite a au moins la taille et l'épaisseur de son avant bras! Ce qu'elle est menue... Elle parait drôlement jeune pour être mariée... La recrue Dawson a épousé un véritable petit ange... Ca lui vaudra l'honneur de démontrer ses qualités de tireur cet après-midi! Projetait Reggie en gloussant sourdement :

- Elle saura bientôt ce qui arrive aux petits anges comme elle lorsque qu'un grand diable noir se pointe à sa porte! Bordel, je me demande si une merveilleuse petite chose comme elle a déjà sucé une bite auparavant? Quelle joie ce sera, de glisser ma grosse bite entre ses lèvres pulpeuses!

Alors que des enfants couraient de droite à gauche admirant les équipements militaires et les groupes paradant, les recrues et leurs épouses regardaient le sergent chef Carter s'emparer du micro pour annoncer le soldat le meilleur dans le domaine du démontage et de l'assemblage du fusil d'assaut AK-47.

Ebahi la recrue Mark Benton regardait sa femme avec des yeux écarquillés comme de soucoupes lorsqu'il annonça son nom.

Lorsque son époux s'avança pour faire sa démonstration, Melinda Benton se sentait fière de son époux d'autant plus qu'il avait coutume de se plaindre de se faire fréquemment enguirlander par son sergent parce qu'il était souvent le dernier dans le maniement des armes.

La jeune Melinda Benton, âgée d'à peine 21 ans était s contente d'avoir pu prendre un jour de congé pour se rendre à la journée porte ouverte, et ce d'autant plus que cela ne faisait que 6 mois qu'elle travaillait dans cette banque.

Ils s'étaient mariés six mois plus tôt ayant avancé leur mariage de 8 mois lorsque Mark avait été appelé pour servir son pays, l'avenir de son mari l'inquiétait énormément.

Lorsque Mark avait rejoint son unité il semblait qu'il y avait énormément de troupes rappelées et la malchance de partir au front semblait infime.

Mais les choses avaient mal tourné, les besoins en troupes fraîches n'avaient fait que grandir, et de plus en plus de troupes partaient pour le front.

Un peu plus tard, le sergent chef se retrouvait à nouveau sur le podium pour découvrir cette fois le plus compétitif en ce qui concerne le parcours du combattant.

Quelques instants plus tard, la recrue Ben Thornton recevait les baisers de félicitation de sa ravissante jeune femme de 20 ans Kim.

A sa grande surprise Kim regardait son mari, un genoux au sol prêt à prendre le départ, elle se demandait pourquoi il s'était toujours plaint de son entraînement s'il s'en tirait si bien!

Il avait fini par lui avouer qu'il ne terminait plus bon dernier des recrues, mais delà à être le plus performant!

Voulant passer le plus de temps possible avec son mari, pendant ce week-end consacré à la porte ouverte de la base, et se refusant à faire le chemin retour immédiatement à la fin de cette manifestation, elle avait pris un jour entier dans l'agence notarial dans laquelle elle travaillait, elle était arrivée par un vol de nuit qui l'avait amenée à 9 heures la veille.

Comme il n'y avait que peu de motels dans les environs proches, elle avait retenu une chambre au "Starlight Inn" où ils avaient passé la nuit ensemble à faire l'amour.

Comme tous les couples qui avaient programmé leur mariage dans 1 an ou 2, ils avaient avancé leurs noces à l'annonce de sa convocation dans une unité partant au front.

Quarante cinq minutes plus tard le sergent chef faisait sa dernière annonce, citant la recrue Tim Dawson comme le meilleur tireur de la compagnie. Après avoir reçu les félicitations émues de sa fiancée, la douce DeAnn Kawakami, le caporal, extrêmement surpris de cette distinction rejoignit le pas de tir pour effectuer une démonstration de ses talents.

- Mon Dieu je dois avoir touché toutes les cibles du pas d'entraînement hier! C'est incroyable! Le sergent instructeur m'avait dit que je serai mort avant même que je ne serre la crosse de mon arme et voilà qu'on me cite comme le tireur le plus per-formant! C'est vraiment irréel... Pensait-il ébahi.

La recrue Dawson ne se doutait pas que tandis qu'il alignait sa mire sur la rangée de cibles à abattre, son robuste sergent instructeur avait les yeux braqués sur une toute autre cible, sa ravissante fiancée.

S'il avait su la proposition que faisait son chef à sa somptueuse fiancée, il ne l'aurait sûrement pas supplié de regagner son hôtel à l'issue de la journée porte ouverte pour leur éviter des adieux larmoyants.

DeAnn était arrivé de bonne heure ce matin même juste avant l'ouverture de la journée porte ouverte bien que Tim aurait voulu passer avec elle la nuit précédente.

Elle lui avait donné une raison valide de ne pas arriver avant ce matin, très tôt, prétextant qu'elle ne pouvait pas délaisser ainsi, au moindre prétexte, les étudiants qu'elle avait en charge, en fait Tim savait bien qu'elle ne voulait pas prendre le risque de se laisser tenter, ruinant ses espoirs de remonter l'allée de l'église dans la peau d'une véritable vierge...

Comme la journée porte ouverte de la base devait se terminer tard dans l'après-midi, les troupes restant consignées dans la caserne, les visiteurs qui n'étaient pas venus avec leur propre voiture devraient attendre les navettes qui les mèneraient de la base ou de leur hôtel vers l'aéroport.

De son observatoire, le sergent chef Carter assistait aux tendres embrassements et adieux larmoyants des couples qui se séparaient.

Comme les troupes avaient bénéficié d'une journée de perme la veille et la nuit précédent la journée porte ouverte pour jouir au mieux de la présence de leurs visiteurs, il était resté de service à la base pour vérifier que tout était en ordre.

De ce fait il avait pris un jour de détente à l'issue de la journée porte ouverte, lorsque la presque totalité des visiteurs serait repartie et qu'un sergent pourrait le remplacer sans problème.

Les petites amies, les fiancées, et les épouses soldats mariés de l'unité essayaient de retenir leurs larmes en s'embrassant avant de se séparer.

Mais Melinda Benton, Kim Thornton et De Ann Kawakami pleuraient comme des madeleines à l'idée de perdre leurs bien-aimés.

Elles s'étaient toutes entretenues avec le pervers sergent chef tandis que leurs "hommes" démontraient leurs talents, elles avaient toutes trois rapidement compris que le sort de leurs époux reposait entre leurs mains, qu'ils reviennent en parfaite santé ou dans un sac à viande de leurs vacations sur le front.

Bien qu'il ne les ait pas directement menacées, le sens de son discours était clair... Ou elles couchaient avec lui ou leurs maris succomberaient au combat!

Melinda Benton avait programmé de retourner à "l'Evergreen", le motel où ils avaient passé la nuit dernière dans les bras l'un de l'autre, d'y passer la nuit seule avant de prendre le chemin du retour tôt le lendemain matin.

Son cœur battant la chamade, tremblant de tous ses membres Melinda se remémorait la proposition du sergent instructeur de son mari.

- Pouvait-elle se plaindre de ces propos? Cela ne serait-il pas encore pire pour son mari si elle accusait son sergent instructeur de chantage? Ne donnerait-elle pas l'impression de l'accuser pour chercher à faire retirer son mari de la section qui devait partir au front? Se demandait-elle angoissé.

Le lendemain matin, ayant réglé sa chambre de motel elle retournait chez elle, elle s'efforçait de retenir ses larmes mais bien vite de grosses larmes ruisselèrent sur ses joues.

Est-ce qu'avoir des rapports sexuels avec un autre homme que son mari dans l'espoir de sauver son mari pouvait être considéré comme le tromper? Se demandait-elle tout en conduisant.

Ce serait sûrement considéré comme un chantage si cet homme s'avérait être le sergent instructeur de son mari et qu'elle parvenait à prouver qu'il l'avait menacée de voir son époux rentrer dans un sac à viande si elle refusait de "passer à la casserole"! Pouvait-on parler de viol dans une telle situation?

- Que me demanderait la police?

- Exigerait-elle des détails? Réfléchissait Melinda.

Elle continuait de conduire profondément plongée dans ses pensées, formulant les questions que pourraient lui poser les policiers, et les réponses qu'elle pourrait leur offrir.

- A-t-il employé la violence?

- Oui..

- Avez-vous résisté?

- Oui...

- Qu'avez-vous fait pour résister?

- Je poussais sur ses épaules pour l'obliger à se retirer? J'ai cherché à l'empêcher de me faire violence mais il était trop fort, trop gros, trop lourd pour que j'y parvienne!

- Que s'est-il passé ensuite?

- Il a bloqué mes poignets au-dessus de ma tête et m'a violé!

- Portait-il un préservatif?

- Non!

- A-t-il éjaculé dans votre intimité?

- Oui...

Si c'était là les seules questions auxquelles elle devrait répondre Melinda irait rapporter son viol aux services de police.

Mais elle avait peur qu'on lui pose d'autres questions, questions qui jetteraient un éclairage moins favorable quant à sa résistance.

Son esprit était déjà tellement embrouillé lorsqu'elle y réfléchissait d'elle-même.

Que dire s'ils me demandaient ceci ou delà?

Elle serait obligée de répondre sans mentir à ces questions gênantes.

- Comment est-il entré dans votre chambre?

- Je lui ai ouvert lorsqu'il a frappé à ma porte!

- A-t-il forcé le passage lorsque vous avez ouvert la porte?

- Non, j'ai reculé et l'ai laissé entrer!

- Vous a-t-il forcé à vous dévêtir?

- Il m'a dit que j'étais très sexy et qu'il voulait que je lui fasse un petit strip-tease...

Melinda savait déjà que ce point demanderait plus de questions et que la police lui demanderait d'expliquer en détail quand elle avait commencé à se débattre et à lui résister.

Elle sentait ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle tentait de se concentrer sur la route qu'elle devait suivre, son esprit revint en arrière se remémorant les événements qui avaient suivi la fin de la journée porte ouverte de la caserne.

Il y avait un bon quart d'heure qu'elle était rentrée dans sa chambre d'hôtel lorsqu'on frappa à sa porte.

Elle avait braqué les yeux sur la porte pendant une longue minute avant de répondre, elle savait pertinemment qu'il s'agissait du sergent chef Carter.

En voyant le colosse elle haleta de peur alors qu'elle reculait au centre de sa chambre, le sergent instructeur pénétra dans la chambre et verrouilla la porte dans son dos.

Melinda savait pertinemment que ces réponses entraîneraient de fâcheuses conclusions de la part des services de police.

Elle ne pourrait pas faire face à leur questionnement ni répondre à certaines questions précises qu'ils risquaient de lui poser.

- Vous voulez dire qu'il vous a demandé d'écarter les cuisses et que vous lui avez obéi docilement?

- Et qu'avez-vous fait lorsqu'il vous a demandé d'empoigner son pénis gainé d'un préservatif et de le guider en vous?

- Voulez-vous dire que vous ne vous êtes défendu physiquement que lorsqu'il eut retiré le préservatif avant de vouloir vous pénétrer à nouveau?

- Criez-vous au viol uniquement parce qu'il vous a utilisé sans préservatif?

- Donc, s'il avait gardé son préservatif vous ne vous plaindriez pas de vous être fait violer, si nous comprenons bien?

Lorsqu'il lui avait affirmé son désir de la voir se déshabiller pour qu'il puisse contempler son adorable corps si sexy, Melinda se rappela que de grosses larmes avaient envahi ses yeux alors qu'elle se disait qu'elle s'exécutait pour sauver la vie de son mari.

Elle avait tendu la main dans son dos pour trouver l'attache dans le cou et descendre la fermeture dorsale de sa petite robe bleue ciel, puis elle avait repoussé les manches sur ses épaules avant de se dépouiller de sa robe.

Elle se rappelle avoir haleté nerveusement alors que le sergent Carter la complimentait

- Laisse moi voir tes gros nibards que vous me cachez madame Benton!

Elle s'était alors défait de son soutien-gorge de dentelle dénudant ses nichons pour le grand plaisir de son suborneur.

Melinda avait alors fermé les yeux et mordu ses lèvres charnues alors que le vil sergent chef pétrissait ses grosses miches comme s'il se trouvait sur le marché pour tester la maturité de gros melons.

- Owwwwwwwwwwwwww! Cria-t-elle lorsque le pervers bâtard se pencha sur elle pour mordiller ses tétons dardés.

Elle ne pouvait que sangloter de honte alors qu'il allait d'un mamelon à l'autre.

Il roula soudain sa petite culotte sur ses hanches puis sur ses jambes et enfin sur ses chaussures, elle se souvint s'être tenue sur la pointe des orteils alors qu'il se penchait sur elle enfouissant son visage dans sa toison dorée.

Comme le sergent Carter le lui avait enjoint, Melinda avait déboutonné le treillis du sergent instructeur, posé la main sur l'énorme bosse déformant son pantalon, descendu son vêtement révélant l'énorme bite dont il était doté.

Elle empoigna instinctivement l'épieu noir qui avait jailli heurtant son poignet, Melinda entreprit de le branler machinalement le regardant ébahie doubler de taille ce qui l'amena à penser :

Elle doit bien mesurer 37 bons centimètres! Et quelle épaisseur.

Elle ne pouvait s'empêcher de comparer cet énorme pal à la queue de son mari qu'elle manipulait encore la veille dans cette même chambre, elle pensait que le membre de ce salaud était au moins deux fois plus épaisse que celle de son mari!

Forcée de s'agenouiller, Melinda savait ce qu'il attendait d'elle, aussi ouvrit-elle la bouche en grand!

Après plusieurs minute le gland du sergent en pleine bouche, la langue s'enroulant autour de la hampe pour mieux la flatter, il repoussa Melinda sur ses avant-bras.

Délogeant la grosse mentule de sa bouche distendue elle se tenait debout dans ses hauts talons, le visage tourné vers le lit, elle comprit que le lit serait son prochain but.

Mais, après un premier pas dans cette direction, il encercla sa taille de sa grosse main noire.

En un instant il la retourna la tête pendant vers le bas, il la maintenait à l'envers... La tête de Melinda à hauteur de sa bite turgescente, la sienne dans sa fourche juteuse.

C'était impensable, c'était la première fois qu'elle se tenait dans une position aussi acrobatique. Le sang affluant à sa tête, les bras pendant au sol, elle les tendit pour empoigner les fesses de son sale bâtard de suborneur.

La suite l'épata encore plus lorsqu'elle réalisa qu'ils se trouvaient en position de 69 debout.

Elle dut rapidement admettre que ce pervers savait se servir de sa mangue alors qu'elle orgasmais à plusieurs reprises sous ses caresses labiales.

Elle réalisait d'après sa position et la façon dont le salopard lapait son jus intime avec des "slurps" évocateurs que sa cyprine devait inonder sa chatoune embrasée.

Un flot de foutre épais et chaud s'écoulant dans sa gorge interrompit alors le fil de ses pensées.

Jetée sans cérémonie sur le lit, son corps claquant sur le matelas, Melinda restait immobile les yeux rivés au plafond.

Elle surveillait le sergent Carter du coin de l'œil, qui se branlait machinalement, impatient de se replonger dans l'action.

C'est alors quelle fit entendre sa première protestation en affirmant :

- Seulement avec un préservatif! C'est le plus mauvais moment de baiser pour moi!

Bien sur la veille, dans les bras de son mari, ils n'avaient pas employé de préservatif, mais il faut dire qu'elle aurait adoré que son gentil mari l'engrosse!

Soulagée, Melinda le vit ouvrir un paquet de préservatif, sa bite agressive et potentiellement fertile fut alors recouverte de sa pellicule de latex.

Et lorsque le sergent instructeur de son époux s'approcha du lit, Melinda obéit à sa demande :

- Ecarte tes somptueuses cuisses pour moi ma chère madame Benton! C'est entre tes cuisses que repose le sort de ton cornard de mari!

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