Femmes de rappel?s d?sesp?r?es

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Comment ?pargner la vie de meurs maris?
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Femmes de rappelés désespérées

Dark Dilemma of a Soldier's Wife

Coulybaca / Dark Demon

Le sergent Reggie Carter, un vétéran engagé depuis 20 ans dans l'armée, riait n'était plus jouissif que les temps de guerre, participer aux combats était dans son sang, l'adrénaline montait dans ses veines quand son environnement le considérait comme une machine à tuer.

Les hommes participant à cette guerre étaient principalement des rappelés qui ne voulaient pas combattre mais était forcés de le faire maintenant qu'ils avaient longuement jouis des avantages d'appartenir à l'armée de resserve.

Ils ne s'attendaient pas à être rappelés à moins que le pays ne soit attaqué par un autre pays, faire partie de la réserve en temps de paix était un gros avantage qui leur rapportait une substantielle paye.

Mais les choses avaient changé et ils se trouvaient maintenant en premières lignes, dépendant grandement d'un sergent vétéran de qui dépendait le fait de rentrer au pays en une seule pièce ou dans un cercueil de pin.

Tout juste de retour de son deuxième séjour au front, le sergent Carter était regardé comme un héros en raison de sa bravoure qui l'avait amené à mettre en jeu sa propre sécurité pour sauver plusieurs de ses hommes blessés qui se trouvaient sous le feu d'un sniper.

Le sergent Carter avait carrément porté sur son dos le capitaine Mike McCoy qui s'était pris un éclat d'obus dans l'aime et était incapable de marcher, de plus, si dans son peloton plusieurs de ses hommes aveint été sérieusement blessés, ils étaient tous rentrés en vie, et c'était ce qui avait importé le plus lors de son retour alors qu'il se tenait maintenant fièrement au centre d'une cérémonie pendant laquelle un officier supérieur venait de le décorer en lisant sa citation.

Alors que l'officier commandant la base révélait les circonstances des exploits lui valant cette citation, le sergent Carter regardait la foule de civils assistant à la cérémonie.

Au troisième rang était assis le capitaine Mike McCoy et sa ravissante jeune femme, ils étaient mariés depuis un an.

Et tandis que le colonel Dempler continuait le récit de son héroïque comportement, Reggie observait le jeune homme qu'il avait sauvé poser la main sur l'épaule de sa ravissante jeune femme qui reniflait en essuyant les larmes qui perlaient dans ses yeux.

Reggie serrait les lèvres tant son attention était forte, il s'empêchait de toutes ses forces d'éclater de rire car il savait que pour tous les gens les environnant, ces reniflements et ces pleurs saluaient le retour en vie de son mari à la maison.

Mais Reggie savait quelque chose que personne d'autre que lui ne savait, que la somptueuse Cheryl McCoy n'était pas si joyeuse que cela de voir son mari de retour.

Reniflant et essuyant ses larmes alors que le chef de corps continuait à détailler le sauvetage de son mari par le sergent Carter, Cheryl avala sa salive, alors que frissonnante de culpabilité elle sentait son cœur battre la chamade.

- La, la... Je suis à coté de toi ma chérie! Je m'en suis sorti en vie! Tentait de la consoler son mari en lui tapotant le dos.

Alors qu'assise tremblante à ses cotés, Cheryl se remémorait ces deux dernières années et comment elle avait été prise de panique à la pensée que son fiancé ne puisse pas revenir en vie du front.

Mike était vraiment un citadin, il avait rejoint la garde nationale pour ses avantages sans jamais envisager qu'il pourrait être appelé à défendre la patrie, elle avait alors craint le pire.

Il ressentait le même stress que tous les membres de son unité qui espéraient tous rester au plus prêt du sergent vétéran sachant qu'il était le plus à même de leur assurer la survie.

A l'insu de Cheryl, le sergent avait vu Mark contempler une sa photo, le pervers sergent avait tout de suite pensé qu'avec un peu d'habileté il pourrait assouvir avec elle ses appétits de luxure.

Il avait attendu la journée ouverte organisée à l'adresse des femmes et des proches des rappelés, Mark avait ébahi lorsque le sergent Carter lui avait annoncé qu'il était le plus prometteur de ses soldats et qu'il l'avait désigné pour faire une démonstration de close combat.

Il avait tout juste noté que le sergent Carter s'était installé à coté de sa femme pendant sa démonstration devant la foule.

S'adressant au sergent Carter assis à coté d'elle, Cheryl l'avisa :

Je suis tellement surprise... Mark m'avait toujours assuré qu'il manquait d'assurance lors des entraînements! Je me tracasse tant pour lui! Je me demande toujours s'il parviendra à rester en vie! C'est vraiment un grand réconfort de vous entendre dire qu'il est votre recrue la plus prometteuse sergent Carter!

Un frisson d'angoisse parcourut la colonne vertébrale de Cheryl à la vue du sourire démoniaque qu'arborait le sergent Carter alors qu'il se penchait sur elle en murmurant :

- Vous rappelez-vous m'avoir entendu dire que l'habileté ne suffit pas, il faut aussi avoir de la chance mademoiselle Miller! Mais qu'est qui fait qu'on ait... La poisse... Ou du pot!

- Le genre de chance que je réserve à Mark repose dans vos mignonnes petites mains! Savez-vous que la chance des soldats dépend des ordres que leur donnent leurs chefs... Par exemple, vous ne pourriez savoir le manque de pot des soldats désignés pour des missions périlleuses... Croyez-moi, Mark est loin d'être la meilleure recrue... C'était juste une façon de ne pas l'avoir dans les pattes en m'asseyant à vos cotés!

Alors que la démonstration allait commencer et que tous les têtes se tournaient dans cette direction, Cheryl frémit en sentant la main du pervers sergent lui caresser le bras.

Figée par la peur de contrarier le sergent de Mark, Cheryl se força à demeurer passive alors que le colosse chauve prenait sa main gauche et jouait avec sa bague de fiançailles.

Puis le vil sergent l'informa :

- Je peux cependant garantir que Mark ne se retrouvera jamais en première ligne! Si tu te montres gentille avec moi je le prendrai sous mon aile et m'assurerai qu'il rentre en une seule pièce à la maison... En vie... Et pas dans un sac à viande! Tout cela dépend de toi ma petite chérie... Sinon, je ne peux que te prévenir d'une chose, ne fais pas de plans de mariage... Quelque fois qu'il ne rentrerait pas en vie! Réfléchis rapidement avant qu'il vienne nous rejoindre... Son sort dépend de toi ma chérie!

L'innocente et naïve Cheryl était pétrifiée de peur.

Lorsque la démonstration de Mark se termina, elle ne voyait pas comment elle pourrait lui rapporter la proposition que venait de lui faire le sergent Carter, proposition dont dépendait son sort sur le front.

L'opération porte ouverte de la base terminée, Cheryl se força à rejoindre le bar ou le sergent Carter lui avait donné rendez-vous.

Une fois qu'elle fut arrivée et qu'il eut dégusté quelques boissons fortement alcoolisées, Cheryl sentit que ses sens étaient engourdis par l'absorption inhabituelle d'alcool en de telles quantités.

Elle autorisa le sergent Carter, piaffant d'impatience, à lui caresser ses cuisses gainées de nylon sous la table, sa main glissant sous l'ourlet de sa jupe.

Apeurée, stressée Cheryl ne comprenait pas tout ce que lui disait ce pervers qui lui disait :

- Elle est si jolie... Si élégante... Etc, etc...

Mais elle entendit très bien le sergent Carter l'aviser :

- Relis les lettres que tu rédiges pour ton fiancé, dis-lui à quel point il t'est pénible de rester vierge jusqu'au soir des noces! C'est tout de même in croyable, 24 ans et toujours pucelle!

Pire encore il ajouta :

- Dire que c'est moi qui vais avoir l'honneur de cueillir le précieux pucelage d'une ravissante jeune femme blanche!

Jusqu'à cet instant elle avait nourri le fol espoir qu'il se contenterait d'une discussion conviviale autour de quelques verres!

- Oh mon Dieu... Dire que je conservais ma virginité pour moi-même... Pour Mark! Mais... Mais si je ne me sacrifie pas... Il ne pourra peut-être jamais clamer sa joie de m'avoir tout à lui! Réalisait-elle brutalement.

Les larmes au bord des paupières elle couina misérablement :

- Vous... VOus enfilerez un préservatif... N'est ce pas? Je ne peux pas me permettre ce genre de risques...

Le sergent Carter se réjouissait d'avoir tiré le maximum de bénéfices de ma prise en charge de ces mollassons de rappelés.

Et sa première victoire était d'avoir subjugué ma douce et naïve Cheryl Miller (maintenant Cheryl McCoy) en lui faisant des propositions totalement indécentes, cela avait marché incroyablement bien et bien plus rapidement qu'il ne l'avait prévu.

Il avait emmené la douce et innocente jeune femme dans le motel de l'autre coté du parking, aussitôt il l'avait positionné à genoux lui suggérant de faire de son mieux si elle voulait que son fiancé revienne en entier au pays.

Ses menaces lui permettaient d'être le premier homme à lui fourrer sa grosse mentule en pleine bouche... Bordel c'était totalement irréel... Jamais il n'aurait cru qu'elle puisse l'accueillir aussi aisément en pleine gorge... Il aurait plutôt cru qu'elle dégueulerait tripes et boyaux rien qu'à cette idée! Gloussait-il silencieusement.

Naturellement, ce n'était que le début de l'épreuve que la ravissante jeune femme dut endurer pendant toute la soirée, elle dut se livre à des actes insoupçonnables... Elle dut lui offrir son précieux trésor qu'elle avait su préserver depuis tant d'années... Son pucelage!

Une fois que ses nausées disparurent, quoi qu'elle soit encore des envies subites de vomir, elle avait du accomplir un strip-tease enjôlant pour complaire aux désirs de Reggie.

Pour éviter qu'elle ne change d'avis Reggie avait du enfiler une capote, sachant pertinemment qu'elle ferait machine arrière s'il refusait cette condition.

Ce fut cependant un moment de joie intense à voir la jeune et inexpérimentée beauté dérouler la capote sur bite, une tâche à laquelle elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Dans ce motel minable situé à coté d'un bar populeux, personne ne s'inquiétait d'entendre une femme hurler de douleur et Reggie tira avantage de ce fait en ne montrant aucune pitié lorsqu'il plongea sa bite gorgée de sang dans sa chatoune jusqu'ici inviolée.

Ses hurlements de douleur et de peur ravissaient ses oreilles l'encourageant à dévaster un max sa chagatte distendue.

Alors que la naïve je ne fille tout juste déflorée sanglotait le suppliant de la laisser en paix, Reggie récupérait lentement.

Mais comme sa pleurnicharde victime cherchait à récupérer son souffle avant qu'il ne la saute à nouveau, Reggie roulait sournoisement le préservatif sanguinolent pour l'enlever.

Endolorie par son violent dépucelage elle ne se rendit pas compte qu'il avait enlevé sa capote lorsqu'il l'enfila de plus nouveau, les reliefs sanguinolents de son dépucelage facilitant son intromission.

Sa ruse avait marché comme sur des roulettes et Reggie se prépara à projeter son foutre au fin fond de la foufoune de cette stupide petite chienne!

L'esprit embrouillé par l'alcool qu'elle avait ingurgité, complètement inexpérimentée en ce qui concerne le sexe, il était évident qu'elle ne se souciait que de sentir sa douleur s'apaiser sous le flot de pommade qui l'emplissait à ras bord... Sans même se douter qu'il s'agissait de son foutre!

Reggie n'était pas le type à laisser échapper une chose savoureuse, et l'adorable Cheryl Miller était vraiment succulente.

Puisqu'il l'avait possédée une première fois pour la dépuceler, il pensait qu'il lui serait facile maintenant de lui faire écarter à nouveau ses jolies cuisses.

Et, comme il avait traité en ami ce stupide gars qu'elle allait épouser, lui promettant de le faire rentrer en vie de sa première vacation au front, Mike McCoy lui avait fait l'honneur de lui demander d'être un de ses garçons d'honneur.

Avant que la réception ne se termine il avait tendu une boisson droguée au marié, et c'est lui qui avait honoré la jeune épousée lors de sa nuit de noce.

Bien que la jeune chienne se soit donnée à lui à contrecœur à chaque fois qu'il lui en avait fait la demande, Reggie savait que ses performances égalaient pour le moins celles de son cornard de petit mari mollasson.

Et comme il s'était avéré totalement incapable de l'honorer lors de sa nuit de noce, la jeune épouse frustrée l'avait rapidement supplié de la baiser à couilles rabattues.

Il ne restait rien de l'innocente jeune beauté qui s'était sacrifiée pour sauvegarder la vie de son fiancé, elle s'était muée en une insatiable nymphomane affamée de sexe.

Cette salope avait suggéré même qu'il envoie son mari sur les endroits les plus risqués du front, lui suggérant que, si elle se retrouvait veuve de guerre elle se mettrait avec lui!

Dammée salope! Se maudissait Reggie lorsqu'elle lui fit cette proposition.

Cela lui enlevait toute joie d'avoir piégé la jeune femme.

Se voir lié à une salope de la trempe de Cheryl McCoy était bien la dernière chose qu'il souhaitait, il savait pertinemment que de toute manière elle était prête à descendre sa culotte pour écarter les cuisses selon ses vœux.

C'est sur c'était maintenant un sacré bon coup, mais il n'en tirerait plus grand plaisir maintenant qu'elle ne demandait pas mieux.

Elle devait maintenant prendre soin de son mari blessé, ce mari incapable de la satisfaire sexuellement avec sa petite bite mollassonne.

- Je ferai peut-être mieux de prostituer cette foutue salope, y a pas mal de gars qui paieraient pour se la faire dans la base, je m'frai ainsi quelques billets sur son cul! Rigolait-il en son fort intérieur.

Mais déjà de nouvelles recrues rejoignaient la compagnie et un nouveau stage d'entraînement intensif commençait, Reggie était très occupé à entraîner les bleus.

Et avec cette nouvelle journée portes ouvertes aux épouses et aux proches des recrues qui se pointait, Reggie avait programmé de se livrer à une étroite surveillance des invités, avec autant de minutie que s'il surveillait des lignes ennemies.

C'était un type de surveillance qu'il adorait, il espionnait les ravissantes fleurs blanches qu'il avait hâte de dévorer.

Confiant en ses techniques de surveillance, Reggie instaurait un bon degré de trouille dans chaque nouvelle recrue en les faisant évoluer sur le champ de manœuvres et en sapant leur peu de confiance en leurs capacités de combat, les convaincant que plus d'un d'entre eux rentrerait dans un sac à viande.

La compagnie s'était même vue dotée d'un nouveau lieutenant chargé de la compagnie B, la compagnie dans laquelle il oeuvrait en tant que sergent-chef.

C'était du à sa récente promotion, Reggie avait lu le dossier du lieutenant Gary Brenner et avait ainsi appris que c'était un pied tendre!

- Eh merde alors, Je pensais qu'il n'y avait plus de ces jeunes lieutenants issus d'une formation militaire supérieure pendant leurs années de fac, il avait surtout pratiqué les terrains de sport de la fac pour mériter ses barrettes et partir au combat.

- Bordel de merde! Se maudit-il à ce constat désabusé.

Mais le jour de la porte ouverte arrivait, L'adorable madame Jennifer Brenner en profitait pour venir visiter son époux après plusieurs mois de séparation.

Ses longs cheveux bruns flottant sur ses épaules captèrent tout de suite l'attention de Reggie.

- Je me demande si elle se tracasse pour la santé de ce connard d'officier qu'elle a épousé? Aimerait-elle que je jette un oeil sur lui pour m'assurer de sa sécurité? Gloussa-t-il à sa vue.

Il avait poursuivi son cursus de formation militaire supérieure en quittant le lycée pour la fac, bien que ce ne soit pas son projet initial, mais il avait grand besoin de consolider sa position en fac.

Ses parents avaient fait un bon boulot en lui permettant de suivre des études mais la soudaine maladie de sa mère avait drainé les ressources familiales détournant beaucoup de fonds qui devaient être consacrés à ses études et à celles de sa sœur.

Il avait été particulièrement heureux quand sa mère avait récupéré, afin de donner à sa sœur la possibilité de suivre des études il avait signé un contrat avec l'armée où il s'engageait à servir quatre ans dans l'armée.

Il avait peur d'aller au front pour la première fois, peur de montrer sa couardise, ou d'être blessé et pire encore tué, Gary n'était plus qu'une boule de nerfs.

Jennifer Brenner, aurait nettement préféré qu'on son mari ne suive pas cette formation liée à un contrat d'engagement militaire, mais elle avait été obligée d'accepter puisque c'était une des conditions clefs de leur mariage.

Mais après avoir lu un article sur les conditions des combats, elle sentit son estomac se contracter en apprenant que la cible privilégiée de l'ennemi n'était autre que les officiers à la tête de leurs troupes.

Cet article était plus que sensé, mais il ne concernait certainement pas le lieutenant Gary Brenner qui avait le grade le plus bas des officiers sur le champ de bataille, Jennifer avait maintenant franchement peur que son mari ne revienne pas vivant du champ de bataille.

Le cœur battant la chamade Jennifer craignait de se voir veuve de guerre à 25 ans.

Exactement comme Reggie se le figurait, le peureux lieutenant était prêt à lécher le cul des officiers supérieurs et de leurs femmes pour tirer les marrons du feu.

Ayant été présenté à l'adorable madame Brenner un peu pus tôt, Reggie s'approcha d'eux alors que le lieutenant était requis pour reprendre son léchage de cul.

- Monsieur, puisque le lieutenant est pressé de se plier à ses obligations, je me ferai un honneur de faire visiter la base à son adorable jeune femme... Proposa-t-il aimablement.

- Merci sergent chef! Répliqua le lieutenant Brenner pressé de rejoindre le capitaine.

Maintenant qu'il avait la ravissante jeune femme sous sa coupe comme il l'avait programmé, il pouvait révéler des informations tendancieuses visant à l'affoler.

Alors qu'ils déambulaient de ci de là, le sujet du front vint dans la conversation, la bite de Reggie frémit d'excitation lorsqu'elle s'ouvrit à lui :

- J'ai récemment lu dans un article sur le front que les chefs de patrouille sont les cibles préférées de nos ennemis, est-ce vrai?

Sentant son inquiétude transparaître au ton de sa voix, Reggie de donner tout d'abord la réponse classique évitant pour autant de se montrer convaincant en bégayant :

- Euh oui madame... Il ne faut pas croire tous ces articles... Beaucoup... Nombre de leurs auteurs n'ont jamais fait la guerre...

Puis la jolie jeune femme du lieutenant lui rétorqua comme il l'espérait :

- Je vous en prie chef, dite-moi la vérité... Je veux savoir! Je veux savoir si je dois me sentir concernée par cette mauvaise nouvelle!

- Euh oui madame... Malheureusement l'auteur de cet article a raison... C'est une chose que chaque parti recherche... Abattre le chef de groupe! Mais dans cette guerre si particulière, cela n'est pas aussi évident avec l'emploi mines... En patrouille, le plus dangereux c'est de visiter les lieux maison après maison, on risque toujours de sauter sur une mine! Rapporta Reggie à la malheureuse jeune femme dans le but de l'affoler.

Il ajouta ensuite :

- Mais ne vous tracassez pas pour cela chère madame, on apprend instinctivement à repérer les bâtiments dangereux, et le lieutenant Brenner apprend vite d'après ce que je vois! Je pourrai lui apprendre tout ce que j'ai moi-même appris et même veiller sur lui de façon à ce qu'il revienne vivant et en une seule pièce du théâtre des opérations.

Jennifer se sentit quelque peu soulagée en entendant ces propos.

- Je me sens un peu soulagée... S'il vous plait, promettez d'aider mon mari à surmonter cette épreuve...

Si ce robuste sergent chef enseignait tous les trucs et de plus veillait sur sa sécurité, Jennifer ne doutait pas qu'il sortit vivant de sa première vacation au front.

Son mari avait mentionné à plusieurs reprises cet instinct de survie dont semblait doté le sergent chef au cours de ces deux derniers mois.

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