1 - Les obsèques de l'oncle Henry

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Comment Darlène devient dominatrice à cause d'Henry.
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Chapitre 1

Les obsèques de l'oncle henry

Darlène ne sait pas quoi mettre pour l'enterrement d'Henry. Elle est nue devant la glace de son dressing, elle porte juste ses chaussures à talons hauts. La fraîcheur du matin fait pointer ses tétons, sa peau est encore humide de la douche. Elle a la chair de poule mais ne frissonne pas. Elle ouvre un tiroir et enfile des bas noirs. « C'est un bon début, songe-t-elle, l'oncle Henry aurait apprécié ». Elle repense à ce gros dégueulasse avec dégoût et une sorte de fascination. Il avait quarante ans de plus qu'elle et elle avait tout juste dix-huit ans quand il l'avait forcée à lui à faire une pipe le jour de son anniversaire dans sa chambre, chez ses parents. Le vieux porc avait mis sa grosse bite puante dans sa bouche et l'avait baisée jusqu'à ce qu'il crache son foutre. Elle avait cru mourir étouffée, elle avait cru mourir de honte mais dans sa famille de bourgeois culs-bénis on cachait ses sentiments surtout s'ils étaient impurs. Alors, elle avait tout gardé pour elle, tout avalé, s'était rajustée et était redescendue avec un grand sourire dans le salon où tout le monde l'attendait, affrontant sans complexe la face rougeaude et satisfaite d'Henry. Elle aurait pu s'enfoncer, disparaître mais au contraire ce jour-là changea sa vie, elle se promit dès lors que ce serait elle maintenant qui baiserait les autres, elle les dominerait, chose qu'elle faisait fort bien jusqu'à présent.

Henry n'était pas véritablement son oncle mais une simple relation d'affaires de son père. C'est elle, Darlène, qui l'appelait Tonton lorsqu'il revenait à la maison - ce qui amusait ses parents qui trouvaient ça « chou » - depuis qu'il l'avait violée. Elle tremble légèrement, le froid la saisit. Elle s'allonge sur son lit, replie ses jambes et les écarte, elle commence à se caresser lorsque l'on frappe à sa porte. « Entrez », répond-elle. Le ton est sec. La porte s'entrouvre et une voix timide demande: « Madame... ».

• Entre Tatiana dit Darlène en continuant de se caresser.

La jeune femme de vingt ans, habillée en soubrette, pousse la porte, n'ose pas regarder sa maîtresse, baisse les yeux et croise les mains devant son tablier blanc.

• Quoi? Tu m'as déjà vue nue, non?

• Oui Madame...

• Alors viens. Approche...

• La jeune femme s'exécute, Darlène se frotte la fente avec les doigts, elle est rasée, l'index s'attarde sur le clitoris. Tatiana ne regarde que d'un oeil, effrayée, dégoutée mais intéressée malgré tout par ce que fait sa patronne.

• Tu es vierge Tatiana?

• Oui Madame.

• Tu as déjà touché une femme?

• Oh non Madame.

• Tu veux me caresser...

• Darlène caresse sa toute petite poitrine et pince ses tétons gonflés entre ses pouces et ses index. « T'es qu'une planche à pain, pétasse », lui avait dit un jour Henry en la baisant en levrette. « Et toi, t'es qu'un porc », avait-elle réussi à ânonner avant de jouir.

• Oh non Madame.

• Arrête de répéter toujours la même chose, petite idiote! s'emporte-t-elle en se levant d'un bond. Que voulais-tu, d'abord?

• Votre chauffeur est en bas, il vous attend.

• Lovren. Il s'était présenté un mois plus tôt avec de bonnes recommandations pour remplacer son précédent chauffeur parti en retraite. Jeune, grand, musclé, la physionomie du garçon lui avait plu et elle l'avait engagé sans approfondir l'entretien, se promettant de le faire plus tard, lorsque les circonstances se présenteraient. Voilà une belle occasion de le tester, pense-t-elle. Il est gentil et mignon mais elle veut le mettre à sa botte comme les autres. Elle a fait enquêter sur lui et il a quelques cadavres dans son placard.

• Dis-lui de monter.

• Tatiana sort et pendant qu'elle s'absente Darlène enfile une guêpière noire et une culotte assortie qui ne cache pas grand-chose. Elle regarde par la fenêtre lorsque la soubrette revient accompagnée du chauffeur. La lumière vive du matin ne laisse voir que sa silhouette en ombre chinoise.

• Reste, ordonne-t-elle alors que la servante allait se retirer, et ferme derrière toi.

• Darlène se retourne et s'approche de Lovren, perchée sur ses talons en dessous excitants. Lovren se contient dans son costume bien taillé pour sa carrure. Il ne sait pas à quoi joue sa patronne. C'est une belle brune aux cheveux courts, fine, avec de jolies hanches. Elle ne fait pas ses quarante-quatre ans mais elle ne l'attire pas. Pense-t-il. Cependant, Darlène, presque aussi grande que lui, le regarde maintenant droit dans les yeux et frôle son entrejambe avec le dos de sa main.

• Comment considère-tu la loyauté, jeune homme?

• A son corps défendant, cette chienne le fait bander, pourtant elle le dégoûte cette bourgeoise mal léchée.

• Fidé...

• Et toi? Le coupe-t-elle en s'adressant à la pucelle. Tu es fidèle? Et dévouée?

• Madame...

• Prouvez-le.

• Comment Madame? dit la jeune femme.

• Sors sa queue du pantalon!

• Presque tétanisée, elle n'ose s'exécuter. Lovren comprend dans quel piège ils se trouvent maintenant tous les deux pris. Il guide la main de la jeune servante vers sa braguette. Elle le regarde et fait coulisser la fermeture vers le bas, elle hésite un instant puis enfonce sa main dans le pantalon du chauffeur. Elle sent la bosse de son sexe sous le boxer, son coeur accélère, elle baisse l'élastique et plonge sa main sans réfléchir. Darlène observe en se caressant, Tatiana sent sous doigts la chair légèrement gonflée de la bite de Lovren. Elle la sort et lâche tout en rougissant.

• Fais-le bander et branle-le maintenant.

• Tatiana agrippe le pénis et commence le va et vient. Lovren ferme les yeux mais il ne peut s'empêcher de de ressentir de l'excitation. Sa verge se gonfle et rapidement la bonne branle une belle grande bite bien droite et raide. Elle le décalotte bien et regarde son gland rose et bien lisse grossir à chaque aller-retour. Darlène a maintenant la main dans sa culotte et elle commence à se doigter en regardant la scène. Elle ne sait pas si ce qui l'excite le plus est le voyeurisme ou la domination. Elle a la fente trempée, elle s'enfouit trois doigts dans la chatte. Tatiana prend sa tâche très au sérieux et astique le dard de Lovren de plus en plus vite. Tatiana sent sa culotte devenir humide.

• Fais-le jouir!

• Les hanches de Lovren bougent en rythme, elle le branle de plus en plus fort, il commence à gémir, Darlène se frotte le clito sans rien laisser paraître mais elle est au bord de l'orgasme elle aussi. Tatiana croise les jambes car elle voudrait jouir et à ce moment le chauffeur explose en râlant et lâche deux énormes giclées de sperme qui tachent le chemisier et le tablier de la bonne. Darlène est satisfaite de sa domination et du plaisir que ces deux-là lui ont donné.

- Essuie-le avec ton tablier et va-t-en dit-elle tout en regardant son employé dans les yeux.

En enfilant une courte robe noire qui laisse voir ses jarretelles, Darlène savoure cet instant de contentement. Elle sait que Lovren voudra la baiser et elle retardera ce moment le plus possible, elle sait aussi que Tatiana ne partira pas tant qu'il sera là dans l'espoir qu'il la baise également. Elle vient de s'adjuger un pouvoir dominant sur ses deux serviteurs.

A l'arrière de la Mercedes qui la conduit au cimetière, Darlène repense au vieil Henry qu'elle avait fini par dominer à son tour et qui avant de crever lui avait légué une bonne partie de sa fortune. Elle sourit mes yeux dans le vague tournés vers le paysage qui défile. Elle revoit sa bite en forme de champignon qui la dégoûtait. La première fois qu'il l'avait sodomisée, elle avait cru qu'il lui enfonçait un bouchon de champagne à l'envers dans le cul. La douleur qu'elle avait ressentie alors n'a d'égal que la jouissance de pouvoir aller cracher sur sa tombe en l'ayant trait jusqu'à la dernière goutte.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Hélas trop petit texte pour s'y lancer.

J'imagine le travail déjà accompli mais pensez aussi aux lecteurs pour qui vous écrivez.

Je dirais qu'il faudrait minimum 5000 signes pour publier.

Courage pournla suite de votre histoire. Je la commencerai après 3 chapitres si textes de cette longueur

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Ça commence très bien, lu avec plaisir merci

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