Ses Expériences 01

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His wife cheats on him.
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Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/23/2005
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C'était à l'occasion d'un de mes dîners avec des clients que Vincianne décida de se taper un mec pour la soirée, pour voir, pour découvrir autre chose. Elle semblait n'en plus pouvoir de nos rares ébats devenus, avec le temps, très mécaniques et très prévisibles.

Comme je l'avais prévenue que je ne serais pas rentré avant au moins quatre heures du matin, en raison de la complexité de l'affaire qui me retiendrait, elle savait disposer de quelques heures de liberté. Ma femme décida, donc, d'aller dans un disco-bar assez branché où elle avait déjà vu un mec black du nom de Mabassa, qui lui avait tapé dans l'œil, et à qui elle avait parlé plusieurs fois, sentant qu'elle ne le laissait pas indifférent. Il avait vraiment une très belle gueule, un corps qu'elle devinait magnifique et une façon de bouger absolument magnétique. Elle espérait le trouver dans le club et était décidée à le ramener à la maison.

Lorsqu'elle arriva au Blue Note, vers 23 heures, l'endroit était déjà presque bondé, débordant de musique et de gens en pleine fête. Tout d'abord, elle ne put repérer sa proie, et une légère panique s'empara d'elle. Sa décision de s'envoyer un mec était tellement ancrée en elle maintenant qu'elle refusait d'admettre qu'elle devrait faire demi-tour quand elle vit Mabassa accoudé au bar, commandant un whisky-coca. Juste un! Bon signe pour elle. Il était magnifique, sa peau noire moulée dans une chemise Versace blanche, légèrement satinée, une vraie chemise de black branché. Ses muscles saillaient des manches à peine retroussées, un vrai petit régal pour Vincianne. Elle s'approcha tandis qu'il se retournait, son verre à la main. Elle lui fit un signe discret et il lui sourit.

Il était réellement content de la voir ce soir-là, ayant passé déjà près d'une heure à ressasser les mêmes délires avec les mêmes potes que d'habitude. Il voulait de la nouveauté, que l'arrivée de cette nana lui apporta. Ils discutèrent une dizaine de minutes de tout ce qui fait une conversation de boîte de nuit, de la faune, de la musique, de la drogue, de dix autres choses, puis ils allèrent danser. Ce qui commença par une danse entre copains se mua, en quelques minutes, en une assez chaude démonstration de frotti-frotta qui ne laissait aucun doute sur leur attirance réciproque. Leurs mains frôlaient leurs corps, leurs jambes emmêlées, leurs rythmes calqués pour assurer un maximum de contacts très sexuels et de moins en moins fortuits. C'est alors que ma femme dit à Mabassa : « - J'ai très envie de partir d'ici, viens, je t'emmène. » Il ne se fit pas prier ; enfin, elle se décidait à lui céder, elle qui méritait vraiment, pensait-il, une bonne partie de jambes en l'air avec quelqu'un d'autre que son looser de mari.

Elle lui dit de la suivre avec sa voiture jusque chez nous et, dans la solitude de son habitacle, bien loin de faiblir, son excitation et sa détermination grandirent. Son imagination faisait des bonds et, si elle ne se laissait pas encore submerger par le désir, elle faillit avoir deux ou trois orgasmes dans la voiture à la seule idée de ce qui se préparait. Elle serra les jambes très fort pour regrouper ses esprits. Pourtant, un peu de stress l'habitait encore. Elle ignorait ce que constituerait cette expérience, elle appréhendait un peu la tournure des événements, craignant ce qui se passerait si, à la dernière seconde, elle changeait d'avis. Elle décida, pourtant qu'elle devait essayer une autre bite et que Mabassa était vraiment celui qu'elle voulait pour cela. Lorsqu'ils arrivèrent, enfin, à l'appartement, ils se garèrent et elle lui ouvrit les différentes portes vers leur nuit de plaisir. Dans le salon, elle lui servit un Jack Daniel's « on the rocks » et mit un cd de lounge. Il lui parla d'une soirée de fou où il était allé deux soirs auparavant. Elle s'assit près de lui sur le canapé en cuir et l'écouta, posant sa main sur le bras nu de Mabassa, comme négligemment, se détendant complètement en l'ayant auprès d'elle.

Il sentait la main de Vinciane sur lui, légère, un contact assez innocent, et il décida d'orienter un peu son récit pour guider les réactions de ma femme. Il inventa une rencontre avec une fille cette soirée-là, et son stratagème fonctionna. La main de Vincianne se crispa légèrement, mais elle ne lâcha pas le bras. Au fur et à mesure que le récit inventé de toutes pièces avançait, la main de ma femme se fit plus insistante sur son bras, plus caressante. Pétrie de jalousie, mais désireuse d'en savoir toujours plus, elle l'invitait à continuer son histoire, souffrant à chaque mot, mais sentant monter l'excitation en elle à l'évocation de cette partie de baise. Elle pouvait sentir sa culotte se tremper peu à peu et elle commença à se tortiller. Elle ne pensait pas pouvoir tenir beaucoup plus longtemps.

Son histoire échauffa Mabassa également. Il développait une érection de compétition, commençant à se sentir à l'étroit dans son pantalon. C'est à ce moment que Vinciane posa la main sur sa queue, comme par mégarde, mais elle ne l'enleva pas. Elle se tourna vers lui, le regard trouble qui l'invitait à l'embrasser. Il interrompit son récit pour saisir son menton et le faire pivoter vers lui, approchant son visage de celui de ma femme et posa ses lèvres juste au bord des siennes. Elle lui rendit son baiser. Ses grosses lèvres brunes s'entrouvrirent sur une langue rose qui s'infiltra entre les lèvres de Vinciane et ils joignirent leurs efforts dans un long baiser très profond. Ce devait être un drôle de spectacle que ces épaisses lèvres foncées suçant les délicates lèvres roses de ma femme, les happant l'une après l'autre dans un torrent de salives mêlées. Leurs mains, pendant ce temps, se cherchaient, comme fiévreuses. Il glissa sa main sous le pull de Vincianne, caressant son ventre tendre, puis s'immisca sous son soutien-gorge.

Sentir ces grosses mains noires sur elle électrisa ma femme. Elle sentit monter son désir plus encore. Elle fit, elle aussi, passer sa main sous la chemise de Mabassa et frôla les muscles du ventre, comme flattant ce corps attendu. « J'ai envie de ta queue », dit-elle, pas très sûre d'elle. Mabassa ouvrit sa braguette et perçut comme une délivrance de pouvoir faire jaillir son sexe de son pantalon décidément trop petit.

En voyant surgir la queue déjà plus qu'à moitié bandée, Vincianne ne put retenir un soufflement de surprise. C'était la première queue noire qu'elle voyait. Elle était un peu plus grande que la mienne, mais sans exagération. Ce qui la frappait le plus était la beauté de cette bite, longue, noire, palpitante. Toute peur l'avait quittée. Elle se sentit irrésistiblement attirée par elle et la prit dans sa main, la paume chaudement refermée sur la base du sexe, à la limite des couilles restées dans le pantalon, immobile presque, exerçant à peine une douce pression. Le gland, encore calotté, ne dévoilait pas encore sa chaude couleur brune, mais ma femme ne tarda pas à vouloir en voir plus encore. Elle approcha son visage pour voir mieux encore et, doucement, fit glisser le prépuce pour faire apparaître le gland. Il se dévoila avec lenteur, le méat entr'ouvert sur une chaude odeur, la peau glissant tout autour jusqu'à tirer sur le frein. Vincianne avait devant elle, en plein, l'objet de sa jouissance ce soir.

Mabassa finit d'ouvrir sa braguette et leva les fesses pour faire glisser son pantalon et son caleçon. Il ota ses chaussure, ses chaussettes et se rassit nu sur le cuir tendre, gardant, pour l'instant, sa chemise. Il caressa le dos de Vincianne, comme l'invitant à s'occuper de lui. Il rêvait de se faire sucer, de voir sa grosse queue noire coulisser dans cette bouche appétissante.

Vincianne s'agenouilla devant lui, remontant sa chemise pour mieux voir ce corps dont elle rêvait. Elle embrassa ses abdos, caressant les hanches musclées. Sa bouche se perdit sur ce ventre et ces cuisses, puis elle s'approcha de la queue frémissante. Elle commença par la flairer et lui trouva une odeur un peu fade, pas désagréable, une odeur qu'elle associait avec l'excitation et qui n'était pas pour lui déplaire. Elle approcha sa bouche de cette bite et embrassa la hampe d'un baiser mouillé, puis elle saisit la queue et la dressa, la contournant avec sa bouche pour finalement engloutir le gland entre ses lèvres. Elle se donna le temps de profiter de la sensation avant d'aller plus loin. En temps normal, elle n'adorait pas sucer ma bite. Elle le faisait de temps à autres, pour me faire plaisir les soirs de tolérance. Elle n'en revenait pas d'être à ce point excitée à l'idée de sucer ce mec ; cet inconnu rencontré ce soir lui donnait bien plus envie de le sucer que je n'avais pu le faire durant toutes ces années. Elle voulait lui donner des tonnes de plaisir, le posséder. Sa bouche montait et descendait sur la hampe, le gland protégé des dents par les lèvres attentives. Elle lui administra une véritable démonstration.

Mabassa se laissa emporter, ne regrettant pas une seconde sa chance de ce soir. Il regardait sa queue gonfler les joues de ma femme, il sentait la langue coulisser contre son gland. Son ventre se contractait et il posa sa main sur la tête de Vincianne pour qu'elle engloutisse plus encore sa grosse bite, mais elle lui annonça qu'elle ne se sentait pas prête à le laisser jouir dans sa bouche et qu'elle le voulait en elle. Il ne voulait pas la laisser en reste et, la repoussant doucement, il l'assit dans le canapé et s'agenouilla, nu, à ses pieds.

Elle fut à nouveau, alors qu'il allait la déshabiller, saisie par une sourde angoisse. Etait-elle vraiment prête à cela? Mabassa ne lui laissa pas beaucoup de temps pour l'hésitation. Il lui enleva doucement ses vêtements et, lorsqu'elle fut vêtue de sa seule culotte, il la cala dans le fond du canapé et lui ouvrit doucement les jambes. Il posa sa bouche au creux de la cuisse, juste à la jonction de l'aine, au bord de la culotte et embrassa le plus doux recoin de ma femme. Puis il frôla sa culotte de ses lèvres, expirant pour qu'elle sente son souffle sur sa chatte mouillée, chaud à travers le tissu. Juste comme elle sentit qu'elle allait jouir, il fit glisser l'élastique et commença à la lècher, plongeant sa langue durcie profondément en elle. Elle sentait, pour la première fois, un autre homme que moi la pénétrer de sa langue et elle adorait ça. Il la fit jouir en quelques instants.

Mabassa voulait maintenant aller plus loin, tout échauffé par ces préliminaires. Il lui demanda un préservatif. Elle prit la queue dans sa main, la soupesa : « - Je te veux sans capote, je veux sentir pleinement ta bite en moi. Je veux te sentir jouir en moi. » Il la prit dans ses bras et les derniers doutes de Vincianne s'envolèrent.

Il glissa sa queue vers la chatte de ma femme qui avança les hanches vers lui. Il frotta assez doucement son gland contre ses lèvres, les entr'ouvrant du bout du méat, où perlait déjà une goutte d'excitation qui vint se poser sur les plus intimes chairs de ma femme, à deux doigts du clitoris, annonçant l'intimité. Il glissait sa queue comme en exploration, laissant chacun se familiariser avec la peau de l'autre. Les lèvres s'ourlèrent autour du gland brun, le couvrant d'une fine pellicule de mouille. Il jouait avec l'entrée de la grotte de Vincianne, l'amenant à le supplier de la baiser, lui foutant la tête à l'envers. Ce qu'elle avait goûté de cette nouvelle queue, pour la première fois une autre que la mienne, elle en était déjà folle, elle voulait tout, tout de suite. Elle avait agrippé ses hanches et voulait le forcer à la pénétrer, mais il résistait, savourant l'abandon de ma femme, s'amusant de ses supplications, jouissant de son pouvoir. Quand il sentit que l'excitation ne pourrait s'accroître, il recommença à bouger, faisant pénétrer la moitié de sa queue dans la chatte, laissant celle-ci se faire à sa taille. Vincianne ouvrit la bouche sans un son, toute entière à la sensation qui l'envahissait. C'était comme si elle était pénétrée pour la première fois. Il entra plus avant et elle chavira dans un deuxième orgasme, sans même qu'il ait à bouger.

Puis ce fut elle qui imprima le rythme. Elle bougeait très doucement, langoureusement, sentant, au fond d'elle, le bourrelet du gland frotter les muqueuses de son vagin et le méat s'ouvrir contre le fond de sa chatte. Elle voulait s'imprégner de ce moment, se l'approprier, ne jamais pouvoir l'oublier. Puis elle accéléra la cadence, échauffant Mabassa.

Celui-ci se déplaça un peu pour regarder sa queue noire pénétrer dans la chatte de cette petite salope blanche, et voir les lèvres distendues aspirer avidement sa bite. Il voyait ses couilles claquer sur le trou du cul de ma femme, comme si elle voulaient y pénétrer à chaque coup de reins. Il baissa la tête vers les seins blancs, gobant un téton, le faisant rouler avec sa langue. Ses deux mains avaient agrippé les fesses rondes de ma femme et participaient à la profondeur de la pénétration.

Vincianne n'en revenait pas de cette jouissance qui l'envahissait. Elle s'excitait de voir la différence de leurs couleurs et leurs deux ventres musclés se frotter sans que ces couleurs se mélangent. Elle plongea le regard vers la queue qui entrait en elle de plus en plus vite, se réjouissant de la voir couverte de sa mouille, de la voir si noire en elle, si puissante, si dure. Elle sentait toute la douceur de cette bite en elle, particulièrement la douceur du gland qui s'infiltrait au plus profond de son ventre. Elle adorait l'idée de l'avoir tout entier en elle, sans capote, sans obstacles, d'imaginer les gouttes de liqueur séminale qui, déjà, perlaient sur la queue et se répandaient sur les parois de son vagin. Elle voulait qu'il jouisse en elle, qu'il l'inonde. Elle voulait sentir les vagues brûlantes de son sperme jaillir du gland et la heurter de plein fouet, qu'il s'abandonne en elle, tout entier en son pouvoir, vulnérable comme un enfant. Sa propre jouissance montait comme une marée brûlante.

Il la pilonnait, faisant aller sa queue de plus en plus vite en elle, accélérant le rythme avec ses cris d'encouragement. Il sentit monter sa jouissance en vagues successives. Des picotements apparurent dans la plante de ses pieds, signe annonciateur de son plaisir. Il sentit que ses jambes s'engourdissaient, que son ventre se contractait. « Putain, se dit-il, que cette petite salope me fait bien jouir et je vais lui en mettre plein la chatte. » Vint un moment où il sentit la chatte de ma femme se contracter en spasmes incontrôlables et un flot de mouille engluer ses couilles.

« - Vas-y, cria-t-elle, oh, oui, viens, jouis, mon amour, remplis-moi de ton sperme, laisse–moi le sentir couler en moi. »

C'est en entendant cela que Mabassa s'abandonna totalement. Ses couilles se durcirent et se contractèrent contre le petit trou du cul, tandis que les flots de sperme y affluaient et sa queue devint plus énorme encore, emplissant la chatte de ma femme comme jamais elle n'avait été remplie par personne. Elle sentit les giclées de foutre passer tout le long de la bite noire et décharger en elle, heurtant le fond de sa chatte en jets saccadés. Il cria sa jouissance, se vidant totalement en elle. Il eut un orgasme si fort que son sperme déborda du vagin, souillant leurs cuisses et coulant sur les draps blancs. Ils restèrent ainsi enlacés pendant trente secondes, avant que ma femme ne se décide à le repousser doucement, abandonnant à regrets cette queue en elle. Elle porta la main à sa chatte et sentit couler un peu de semence sur ses doigts, qu'elle porta à la bouche.

« - C'est drôle, dit-elle, c'est plus sucré que celui de mon mari. » Elle se lécha les doigts et les replongea dans sa chatte, retournant chercher un peu du liquide gluant et blanchâtre pour le frotter contre son ventre et ses seins. « - J'adore me sentir toute couverte de semence, toute souillée de ton sperme, j'ai envie de le sentir en moi et sur moi. Jamais je n'ai été baisée comme ça, jamais. » Le foutre sur sa peau laissait de petites traces nacrées et odorantes, les peintures de guerre de Vincianne pour ce soir, et qui n'étaient pas les miennes.

Il lui fallu encore quelques minutes pour faire baisser la tension et pour reprendre ses esprits. Lorsque ce fut fait, elle dit à Mabassa qu'il fallait qu'ils se séparent parce que j'allais rentrer, mais qu'elle l'appellerait dès que j'aurais à nouveau le dos tourné. « - Je veux encore de toi, de ta queue, de ton foutre. Jamais personne ne m'a baisée comme ça, ne m'a fait tourner la tête comme ça, personne ne m'a donné envie de baiser comme ça. » Il se rhabilla tandis qu'elle regardait son corps musclé. Alors qu'il enfilait sa chemise, elle glissa sa main dans son caleçon pour s'assurer qu'elle n'avait pas rêvé. La queue, molle à présent, était encore poisseuse de leurs liqueurs mêlées. Certainement, elle le rappellerait très rapidement.

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