Voyage au centre des Rêves

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Une étudiante est volontaire pour expérimenter des rêves.
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Avertissement : cette histoire est une fiction non conventionnelle racontant les rêves d'une jeune femme. Si vous n'aimez pas les créatures fantastiques, les viols ou les situations étranges, vous risquez de ne pas aimer cette histoire.

Mais à vous de voir si vous voulez tenter l'aventure

****

Mais pourquoi avait-elle accepté de participer à ce programme, pourquoi avait-elle dit oui au professeur Goldman alors qu'elle n'était vraiment pas courageuse en temps normal.

Elle n'était qu'en première année de physique et aurait mieux fait de se taire lorsque le professeur avait demandé une volontaire.

Elle ne savait même pas en quoi cela consistait lorsqu'elle avait donné son nom. Elle voulait juste se faire bien voir pour passer en seconde année même si elle devait faire quelque chose d'insensé.

Maintenant elle allait devoir se déshabiller devant tous ces scientifiques et s'allonger sur cette table pour qu'on lui place des électrodes sur tout le corps. La salle où elle se trouvait était également équipée d'une multitude d'écrans mais ce n'était pas ce qui inquiétait le plus la jeune fille.

- Lisa, nous allons vous plonger dans un sommeil artificiel et nous étudierons vos rêves, avait expliqué le professeur Goldman. L'ordinateur va vous envoyer dans des différents mondes et il vous proposera différentes situations. Chacune de vos réactions sera étudiée et analysée ce qui nous permettra peut-être de comprendre ce qui se passe dans la tête des gens plongés dans le coma.

- Mais c'est dangereux?

- Normalement non, vous êtes la première à tester ce procédé. La seule chose importante est que chaque rêve doit finir de lui-même. Il serait dangereux pour votre équilibre mental si nous devions en interrompre un.

La jeune fille crut défaillir en entendant cela. Elle avait envie de tout arrêter, de partir en courant mais cela aurait été fatal pour son passage en deuxième année.

Elle se raisonna et lentement se déshabilla sous l'œil intéressé des cinq scientifiques présents dans la salle.

Elle allait avoir dix-neuf ans et faisait pas mal de sport ce qui expliquait qu'elle avait un très joli corps. Les hommes apprécièrent le spectacle admirant également les seins pas très gros mais bien ronds qu'elle leur dévoila.

De toute sa vie, c'était la première fois qu'elle était aussi gênée, essayant de ne pas penser aux yeux qui la fixaient. Elle s'était portée volontaire et maintenant elle allait devoir assurer en allant jusqu'au bout.

Une fois nue, elle s'allongea sur la table du laboratoire, attendant sagement la suite des événements.

Deux hommes vinrent se placer de chaque côté et commencèrent à la brancher. On lui plaça tout d'abord des électrodes sur une grande partie de son corps, les doublant avec du scotch pour qu'elles ne se détachent pas.

Elle faillit se révolter lorsque des câbles terminés par des pinces, furent placés sur ces tétons, lui faisant très mal.

La douleur qui irradiait ses seins s'atténua un peu et elle réussit finalement à surmonter sa souffrance. Pourtant, le pire arriva lorsque l'un des hommes enfonça tout d'abord une tige dans son vagin puis une autre dans son anus, lui faisant de nouveau mal.

Le professeur Goldman, voyant que la jeune fille souffrait et avant qu'elle ne se rebelle expliqua.

- Je suis désolé Lisa mais on doit vraiment récolter toutes les informations que votre corps peut fournir.

- Mais? vous auriez pu me prévenir

- Et vous auriez accepté?

La jeune fille ne répondit pas. C'est vrai que si elle avait su avant ce que l'on allait lui faire, elle ne se serait même pas présentée au laboratoire.

Heureusement la douleur finit par disparaître au niveau de son sexe et son cul et il ne resta plus qu'un léger mal dans ses tétons mais c'était devenu supportable.

- Pour vous endormir nous allons vous faire une petite piqûre qui vous fera sombrer rapidement

- je n'ai pas trop le choix, allez-y alors même si je ne suis pas très chaude pour ça.

Lorsque la jeune fille aperçut l'énorme seringue, elle fut encore moins rassurée. Respirant lentement, elle se mordit la lèvre inférieure lorsque l'aiguille s'enfonça dans son bras.

Elle ne mit pas longtemps à plonger dans un sommeil profond se demandant juste avant pourquoi elle avait accepté de se mettre dans cette galère.

***

Lorsque Lisa ouvrit les yeux, elle était allongée sur un tapis de mousse d'une douceur incroyable et qui devait faire deux mètres par trois. Elle fut étonnée en constatant que même dans son rêve elle était encore complètement nue.

Pourtant, cela était tellement réel qu'elle se demanda si elle était réellement endormie. Voulant en avoir le cœur net, elle se pinça fort la peau de son bras et se fit vraiment très mal.

Regardant autour d'elle, elle fut subjuguée par ce qui l'entourait. Le tapis sur lequel elle se trouvait était au centre d'une clairière envahie par des fleurs géantes qui devaient pour certaines avoisiner les trois mètres.

Des arbres gigantesques entouraient la percée et elle pouvait admirer des papillons d'une envergure incroyable voletaient à la recherche de pistils. Ce n'était d'ailleurs pas les seuls êtres vivants à habiter ce lieu qui devait sortir tout droit de son imagination.

Elle pouvait voir des abeilles grandes comme des aigles qui vrombissaient à la recherche de pollen. Pas très loin de son corps des fourmis de la taille d'un chat ramenaient de la nourriture vers leur fourmilière et une libellule grosse comme un hélicoptère qui passait juste au-dessus d'elle.

C'était à la fois magnifique et inquiétant car la jeune femme se sentait minuscule par rapport à cette faune hors norme.

Une petite voix lui disait de quitter cette clairière, d'aller trouver refuge dans un lieu plus hospitalier car ici, elle n'était pas un prédateur mais juste un petit insecte comme il y en avait beaucoup.

Elle essaya de s'asseoir sur ce tapis douillet mais pas un muscle de son corps ne bougea. Elle n'arrivait même plus à déplacer le bras qu'elle avait utilisé pour se pincer.

D'un seul coup elle se sentit plaquée à cette verdure si douce et la panique l'envahit. Elle ne pouvait le voir mais chaque brin qui formait ce joli carré vert était terminé par une minuscule ventouse vivante.

Le tapis, en détectant cette jolie créature allongée sur lui avait décidé de la retenir. Ce n'était pas souvent que des animaux de la clairière tombaient dans son piège pourtant si attrayant.

La peur de Lisa monta d'un cran lorsque des lianes sortirent du sol vert tels des serpents. Ce n'était pas leur diamètre de deux centimètres qui effraya le plus la jeune femme, c'était surtout le fait qu'elles se terminaient toutes par une bouche sans dent.

Mais c'était quoi ce rêve? Le professeur Goldman savait-il ou il l'avait envoyée?

Elle était là, nue et dans l'impossibilité de bouger alors qu'une dizaine de lianes étaient penchées sur elle pour bien l'examiner. Elle était comme dans un film d'horreur dans lequel elle n'avait aucune chance de s'échapper.

Une abeille passa à ce moment juste au-dessus d'elle, intéressée par la peau blanche et lisse de la fille mais renonça. Ce tapis était un piège et l'insecte ne voulait pas se faire prendre elle aussi.

Lisa hurla d'un coup lorsque sortit du tapis, quelque chose força son anus, lui faisant très mal. Elle ne savait pas s'il s'agissait d'une liane ou d'autre chose mais cela s'enfonça lentement en elle, ondulant tel un serpent. La jeune femme vivait un vrai cauchemar mais heureusement pour elle, ce qui l'avait sodomisé arrêta sa progression après vingt centimètres d'exploration

- Docteur Goldman, réveillez-moi, vous vous êtes trompé de rêve, sanglota Lisa

C'est alors qu'une liane, très intéressée par son sein, posa sa bouche sur le petit téton déjà durci. La jeune femme crut qu'elle allait se faire dévorer son petit bout de chair et ferma les yeux, s'attendant à une douleur incroyable.

Elle réalisa au bout de quelques secondes que ce qu'elle craignait n'arrivait pas, bien au contraire. Son téton fut absorbé par la liane avec douceur et gourmandise et elle eut une bouffée de plaisir lorsqu'elle se fit téter le sein avec beaucoup de volupté.

Lisa ouvrit grand la bouche pour respirer surtout que ce qui était inséré dans son fondement ondulait lentement, lui procurant là aussi du plaisir.

Une autre liane elle aussi intéressée par le deuxième mamelon, vint à son tour le butiner, faisant gémir la jeune fille qui subissait un viol incroyable.

Pour le tapis qui se nourrissait du plaisir de ses proies, cette jolie petite créature était source de nutrition. Ce fut le signal pour toutes les autres tiges qui vinrent poser leur bouche sur toutes les parties du corps de leur prisonnière, la faisant hurler de bonheur.

L'une d'elles s'infiltra dans le vagin sans défense alors qu'une autre vint se régaler avec le clitoris gonflé par la jouissance.

Lisa, immobilisée, subissait des orgasmes à répétition pour le plus grand bonheur du tapis qui n'avait jamais obtenu autant de jouissance d'un coup. C'était la première fois qu'il attrapait un animal aussi réceptif et il n'allait sûrement pas le relâcher tant qu'il serait en vie.

Lisa était plongée dans un monde de plaisir mais elle réussit tout de même, entre deux spasmes violents, à entendre la voix.

- À cette vitesse, tu ne tiendras pas longtemps mais j'avoue que le spectacle est plaisant.

Même si elle ne pouvait bouger la tête, son regard périphérique accrocha le voyeur qui se régalait en admirant la scène.

Il s'agissait un gobelin entièrement nu, mesurant à peine un mètre et qui se délectait en regardant le corps nu de l'étudiante.

Avec ses oreilles pointues, sa bouche démesurée, ses poils roux qui le recouvraient entièrement et son sexe démesuré qui pendait entre ses jambes, on aurait dit qu'il était tout droit sorti d'un conte fantastique.

Lisa, entre deux gémissements, réussit à dire, d'une voix très faible

- Aide moi...

- Et qu'est-ce que j'y gagne. C'est trop dangereux de marcher sur ce tapis.

La jeune femme ne répondit pas tout de suite, emportée par un orgasme violent et elle mit de longues minutes avant de pouvoir reprendre ses esprits.

- Ce que tu veux, finit-elle par dire. Si je reste là je vais mourir.

Le gobelin se mit à rire.

- Quelle belle mort mais bon, je veux..... toi

- Moi?

- Oui

- Ok, vite... haaaaaaaaa

Le plaisir était de plus en plus fort et Lisa ne savait plus si elle allait tenir longtemps. Le gobelin admira encore un peu ce jeune corps avant de marcher sur le tapis.

- je suis tellement laid que je suis le seul être vivant que ce gazon refuse de posséder, dit-il en riant

Il marcha sur le carré végétal et après avoir positionné ses mains osseuses sous le corps de Lisa, le souleva sans forcer malgré sa petite taille. La jeune femme hurla de douleur lorsque la liane enfoncée dans son anus fut retirée sèchement. Le gobelin n'était pas là pour faire dans la douceur car pour lui seul le résultat comptait.

- Maintenant ma jolie, ton joli petit corps m'appartient, ricana le gobelin

Lisa se rendit compte qu'elle avait peut-être fait une erreur en disant oui à la créature mais il l'avait sauvé d'une mort presque certaine.

Il se mit à courir en la portant ne voulant pas rester plus longtemps dans la clairière. Il avait beau ne mesurer qu'un mètre, c'était une force de la nature.

Lisa, en se rappelant de la taille du sexe qui pendait entre ses jambes, se dit qu'elle risquait d'avoir mal lorsqu'il prendrait son dû.

Ils franchirent la lisière très rapidement et toujours portée par le gobelin ils se mirent à courir dans le bois. Ils durent parcourir au moins deux kilomètres, slalomant entre des arbres gigantesques, sautant par-dessus des racines torturées ou parfois contournant un insecte géant qui aurait pu les déchiqueter juste avec ses mandibules.

Lorsqu'ils arrivèrent à la tanière du gobelin, une sorte de cabane en bois où l'on voyait le jour passer à travers, la jeune femme se remit à avoir peur. Le sexe démesuré de la créature risquait de la déchirer car elle n'était pas préparée à ça. Les rares petits amis qu'elle avait eus dans le passé étaient loin d'avoir un membre aussi gros que celui qu'elle allait recevoir.

- Au fait, je m'appelle Marcel, dit le gobelin en passant la porte bricolée de sa cabane

- Moi c'est Lisa

- Mais tu peux m'appeler Maître, n'oublies pas que tu m'appartiens

C'est alors que la vue de la jeune fille se troubla et que tout devint noir. Que se passait-il?

La jeune femme eut l'impression de tomber dans un puits sans fond, comme si son corps ne pouvait cesser de chuter.

C'était à la fois effrayant et grisant.

Dans sa tête elle essaya de se rassurer car ce n'était qu'un rêve et elle ne risquait rien...

***

Elle ouvrit les yeux et constata rassurée qu'elle était revenue sur la table du laboratoire. A part une veilleuse qui éclairait faiblement la pièce, il faisait sombre et il n'y avait plus personne.

Elle passa la main sur son corps et remarqua qu'elle n'avait plus aucune électrode de brancher sur sa peau, que les pinces avaient été enlevées de ses tétons et que les tiges avaient été retirées de sa chatte et son anus.

Mais pourquoi l'avaient-ils laissé là sans surveillance.

Elle se mit à sourire. S'ils étaient tous partis c'est que l'expérience avait du être un succès et qu'ils l'avaient laissé dormir pour qu'elle puisse se reposer.

Quittant la table, elle rechercha des vêtements mais n'en trouva aucun. Regardant la pendule murale ; elle remarqua qu'il était une heure du matin et se dit qu'il ne devait pas y avoir beaucoup de monde réveillé dans le bâtiment. En cherchant bien, elle devrait bien trouver dans une autre salle quelque chose à se mettre sur le dos.

En sortant de la pièce, elle se dirigea vers l'issue du bâtiment. Il y avait près de l'entrée principale un vestiaire et elle pensait au moins y trouver des blouses.

L'éclairage des issues de secours permettait d'y voir suffisamment sans être obligé de tout allumer.

En arrivant près de l'entrée, elle entendit des râles. Intriguée, elle s'avança lentement et s'arrêta net en découvrant horrifiée la scène qui se déroulait devant elle.

Quatre vigiles étaient en train de violer la femme de ménage complètement nue et qui ne se débattait même pas alors qu'elle subissait une double pénétration.

Lisa ne put réprimer un petit cri qui fut perçu par un des vigiles. Ce dernier, en apercevant la jeune femme lui sourit comme si cela était naturel.

Avec une voix douce, il lui dit

- Ne t'en va pas trop loin Lisa, on s'occupera de toi après.

Comment pouvait-il connaître son nom alors qu'elle ne l'avait jamais vu avant. Elle paniqua et sans chercher davantage à se vêtir, elle se précipita jusqu'à la porte d'entrée et sortit nue dehors. Elle fut surprise en constatant que les hommes n'essayaient même pas de l'en empêcher.

Elle se mit à courir en direction de son bâtiment. Les laboratoires étaient en limite du campus et elle avait bien deux kilomètres à faire avant de pouvoir regagner sa chambre.

Elle y avait laissé son téléphone portable et appellerait la police dès qu'elle le pourrait.

Courir pieds nus sur le bitume était douloureux mais la vision de la pauvre femme de ménage la motivait pour avancer.

Elle avait parcouru la moitié de la distance la séparant de son immeuble lorsque en passant a coté d'un espace vert elle assista à une scène similaire. Cette fois ils étaient une dizaine d'hommes à s'occuper de deux pauvres malheureuses, les prenant de toutes les façons possibles.

Ce n'était pas vrai, il ne pouvait pas y avoir deux viols en moins d'un kilomètre.

En la voyant, les garçons qui attendaient leur tour la saluèrent, terrorisant encore plus la jeune femme

- Bonsoir Lisa, vient nous rejoindre, crièrent-ils en cœur. On va bien s'occuper de toi.

La jeune femme était perdue. La réalité ne pouvait pas ressembler à ça et elle eut un méchant doute. S'était-elle réellement réveillée ou continuait-elle à rêver.

Elle n'allait tout de même pas se livrer à cette bande de violeurs, juste pour savoir si elle ne rêvait pas. Il en était hors de question surtout que les deux femmes qui subissaient leurs assauts étaient en piteux état.

Elle se remit à courir comme une dératée, retrouvant un second souffle et atteignit sans autre rencontre son bâtiment.

Sa chambre était au second étage et elle cachait comme beaucoup de monde sa clef sous le paillasson. Jamais encore, elle ne fut autant soulagée que de rentrer chez elle.

***

En allumant la lumière de sa chambre d'étudiante elle poussa un cri d'effroi. Sur le lit, tranquillement assis, Marcel le gobelin l'attendait, un grand sourire aux lèvres. Avec ce rictus, il ressemblait à Joker mais en plus vilain.

- Bonjour ma beauté, tu ne serais pas partie par hasard sans payer ta dette?

- Mais! je ne suis plus dans ton rêve... qu'est-ce que tu fais ici

Le gobelin se mit à rire.

- Saches que je suis partout chez moi et si tu ne veux pas me supporter jusqu'à la fin de tes rêves, donnes moi ce que tu me dois.

Lorsqu'elle avait accepté l'expérience, le professeur Goldman aurait dû lui dire que c'était une plongée dans les cauchemars qu'il lui faisait faire. Les rêves étaient censés être beaux et agréables à vivre.

La jeune femme ne répondit pas et alla droit jusqu'à son armoire pour trouver des vêtements. Être nue en permanence n'était pas facile à vivre, surtout avec un gobelin qui ne pensait qu'à forniquer.

Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant sa penderie complètement vide. Se retournant vers la créature elle allait lui demander une explication lorsqu'il la devança.

- Dans le monde où tu viens d'atterrir, la femme n'a pas le droit de se vêtir sous peine d'emprisonnement à vie

- Mais! c'est monstrueux!

- Si tu veux quitter ce rêve, tu n'as qu'une solution, c'est de payer ton dû.

- Et je me réveillerais?

- Oui, promis, juré

Lisa regarda le membre du gobelin et se dit qu'elle allait se faire déchirer s'il la prenait avec ce gourdin de chair. Pourtant, avait-elle le choix?

Si elle sortait de son appartement elle risquait de se faire violer avant même d'avoir quitté le campus et si elle restait là elle allait aussi se faire violer mais avec la possibilité de se réveiller.

- si j'accepte, tu me promets que tu iras doucement, lui demanda-t-elle

- il n'y aura pas plus doux que moi, tu ne me sentiras à peine. Les trente centimètres passeront comme une lettre à la poste.

La jeune femme essaya de se rassurer en se disant que cela n'était pas réel et qu'elle n'aurait pas mal, même si sur le tapis vert ça n'avait pas été le cas. Se résignant, elle alla sur son lit, se positionna sur le dos et écarta les cuisses.

- Quelle douce vision, dit le gobelin, il y a longtemps que je ne me suis pas fait une aussi jolie humaine

- Dépêches-toi que je puisse me réveiller

Marcel s'approcha du lit et son sexe se mit à avoir une érection qui effraya la jeune femme. Comment une créature d'un mètre de haut pouvait avoir un membre aussi démesuré.

Elle préféra fermer les yeux car le gobelin était vraiment très laid et elle préférait ne pas le voir lorsqu'il la pénétrerait.

Lorsqu'il s'allongea sur elle, Lisa fit la grimace en sentant l'odeur qui se dégageait du petit monstre. On aurait dit du champignon ou de la vase. Ce n'était pas très fort mais c'était désagréable.

Lorsqu'elle sentit l'énorme membre commencer à la pénétrer, elle se mordit la lèvre inférieure. Jamais il ne rentrerait complètement dans sa petite chatte, même dans ce monde imaginaire.

Et pourtant, comme par magie, le sexe s'enfonçait en elle, finissant par lui procurait du plaisir malgré sa vulve étroite qui était étirée.

Lorsque le gobelin commença ses va-et-vient, Lisa se mit à gémir, sentant monter sa jouissance. Comment cette petite créature super-laide pouvait-elle lui procurer du plaisir?

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