Viols au lycée 04

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La prof frigide.
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 10/22/2022
Créé 04/09/2008
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Viols au lycée 4 : La prof frigide.

High School Rape Club - IV

Coulybaca / Black Demon

**************************************

Cette histoire se suffit à elle-même, cependant elle fait partie d'une série intitulée Viols au lycée (High school rape club)

Remarque : tous les protagonistes de cette histoire ont plus de 18 ans

Gayle Benton, considérait que c'était un véritable rêve d'enseigner à la faculté de Porterville un des établissements les plus réputés du pays, les diplômes qui y étaient décernés étaient universellement reconnus, de plus les récents succès de l'équipe universitaire de basket-ball enthousiasmaient les élèves.

Gayle autant que ses collègues était ravie d'enseigner en ces lieux.

Gayle avait parlé au principal de sa condisciple Cheryl Dawson, diplômée de Porterville et qui escomptait bien y revenir un jour.

Elle avait rencontré Cheryl à la réunion des anciens de sa confrérie d'étudiantes ce dernier Noël, Gayle lui avait confié combien elle était contente d'enseigner à la fac de Porterville et sa petite sœur lui avait alors parlé de son profond désir de revenir dans sa ville natale et d'enseigner dans son ancienne fac.

Gayle lui avait assuré qu'elle en parlerait au principal et qu'elle tenterait de lui ménager quelques ouvertures.

Comme dans tous les établissements scolaires, Porterville comportait aussi sa part de fruits pourris et plus particulièrement au sein des talentueux joueurs de l'équipe de basket.

Pire encore, parmi ceux que les études n'intéressaient absolument pas, plusieurs de ces basketteurs suivaient ses cours de math.

Elle n'avait pas l'intention de leur accorder leurs diplômes s'ils ne le méritaient pas et Gayle haïssait ces professeurs qui faisaient tout pour conserver ces jeunes gens pourvu qu'ils jouent dans l'équipe de basket universitaire de Porterville.

Cette attitude intransigeante lui avait valu le surnom de Petite salope frigide qui lui avait été décerné par les sportifs.

Marcus Green, le capitaine de l'équipe de basket B si l'on se référait à lui, ne s'intéressait qu'au basket qui pouvait lui permettre, à l'avenir, de faire son chemin dans la ligue professionnelle.

Tous les joueurs de l'équipe étaient noirs, ce qui leur permettait de traduire Equipe B par Couilles Noires.

Marcus était un vrai pervers qui manifestait un goût immodéré des ... Chattes de blanches!

Le dernier jour de l'année scolaire, en juin, le rêve tourna au cauchemar pour la ravissante madame Benton.

Tout au long de l'année un des jeunes hommes avait senti monter sa frustration, il s'agissait de Marcus Green le capitaine de la bande des Couilles Noires comme ils se surnommaient entre eux.

Elle devinait qu'en fait il devait être légèrement dyslexique, ce qui l'han-dicapait fortement pour tracer des figures géométriques.

De toute manière la seule figure qui retenait l'attention de Marcus était celle de l'adorable madame Benton.

Lorsqu'elle se tournait pour écrire au tableau noir, et qu'il reluquait ses longues jambes, sa bite se déployait instantanément dans son jean, il convoitait son petit cul tout rond et grommelait :

- Faudra bien que je me fasse son cul un de ces jours!

Lorsqu'il avait la chance de pouvoir scruter longuement ses longues jambes, et même parfois l'amorce de ses cuisses, il avait bien du mal à attendre la fin du cours pour se branler frénétiquement.

Sous la conduite de Marcus, la bande des Couilles Noires s'était récem-ment lancée dans un nouveau sport tout autre que le basket ..... Ils épiaient patiemment une future ravissante proie, ils étudiaient alors les habitudes de la jeune beauté insouciante pour mieux la piéger.

Leur première malheureuse victime avait été Lori Baxter, la pom-pom girl si sexy, ils l'avaient capturée sur le chemin de retour chez ses parents, une nuit après un match.

Marcus et ses comparses l'avaient maintenue au sol tandis que Joe déshonorait cette chaude salope, l'enculant férocement, elle l'avait priée d'épargner son pucelage.

Puis ils l'avaient possédée chacun leur tour, la partouzant de concert, un en bouche l'autre lui labourant le trou du cul.

Leur seconde victime avait été Julie Norris, une jolie petite rouquine qui était un élément dynamique de l'équipe féminine de basket.

Julie et ses partenaires venaient de remporter leur championnat de dis-trict, les journaux saluaient sa vitesse d'exécution.

Mais sa vitesse ne lui suffit pas à échapper aux Couilles Noires qui la guettaient sur le chemin de retour à son domicile.

Cette fois c'était Toby Franklin qui avait eu l'honneur de cueillir sa fleur, Marcus l'avait bâillonnée fermement de la main alors que le puissant centre avant la labourait de coups de bite frénétiques.

Après la réussite de ces deux viols, Marcus avait l'intention d'entraîner l'équipe vers de nouvelles aventures, une où il voulait être le premier à savourer les charmes de leur future proie avant que les autres ne se succèdent en elle.

Et celle qu'il lui tournait vraiment la tête lui était interdite, pas question de la séduire .... On ne séduisait pas Gayle Benton, la ravissante prof de maths des deuxièmes années.

La jeune beauté âgée de 28 ans pesait environ 60 kg pour une taille d'1,75 m, Marcus se focalisait sur cette somptueuse beauté qui leur en-seignait les maths.

Après y avoir bien réfléchi, et concocté un plan imparable, Marcus et les Couilles Noires sortirent leurs voitures du parking étudiant très tôt dans la journée.

Puis l'un d'eux démarra la voiture de madame Benton en reliant les fils, ils la sortirent du parking tandis que se déroulait ses derniers cours ce dernier jour de l'année scolaire.

Dès que la plupart des voitures furent parties, et plus particulièrement celles des profs, la sécurité vérifia rapidement les couloirs et les portes des salles de classe avant de fermer les portes et de quitter les lieux.

En entendant le son de son bouton de porte que l'on tournait, Gayle lutta futilement contre la main écrasée sur sa bouche de l'autre main son agresseur lui maintenait les poignets serrés dans le dos.

Un moment plus tard, Gayle frissonna en entendant un des voyous qui regardait par la fenêtre de la classe annoncer aux autres

- Les gardes s'en vont!

Elle les vit alors affolée et horrifiée balayer le peu de choses qui étaient restées sur le bureau.

Ils la traînèrent sanglotante et effondrée jusqu'à son bureau, Gayle trem-blait en entendant Marcus Green lui soupirer à l'oreille :

- T'es vraiment la plus belle des maîtresses que j'ai jamais eu! On va se lancer dans d'autres exercices que les maths maintenant... Cela ne servirait à rien d'insister puisque je suis incapable de me concentrer correctement sur les figures géométriques! Non aujourd'hui je vais plutôt m'occuper de baiser ta jolie petite figure! Bordel ce que tu peux être tentante lorsque tu t'assois sur le rebord de ton bureau! Tu m'as échauffé et tourmenté toute l'année, cha-que nuit j'évoquais cette image de toi assise sur l'arête du bureau... Je t'imaginais toute nue dans cette position... Epinglée sur ton bu-reau par ma bite!

Pour ce dernier jour de classe, comme le soleil tapait de façon éprou-vante, Gayle s'était passée de collants.

Prude et guindée elle avait enfilé une longue blouse blanche sur une jupe bleu marine et des chaussures assorties.

Elle se tortillait cherchant désespérément à échapper aux mains de Marcus qui remontaient déjà sous sa jupe vers sa fourche.

Continuant à se débattre, Gayle ne pouvait empêcher le pervers jeune noir de trouver la ceinture élastiquée de sa petite culotte, de la rouler su ses hanches, tout en la débarrassant de ses hauts talons bleus marines.

Un moment après, rouge de honte Gayle les voyait se tendre l'un à l'au-tre sa petite culotte bleue tendre qu'ils reniflaient tous comme une horde de chiens.

Puis ils la forcèrent à s'allonger sur la surface vide du bureau.

Tremblant incontrôlablement, Gayle sanglota alors qu'ils l'obligeaient à relever la tête, la tête du pervers avait disparu sous sa jupe bleue, elle se demandait ce qu'il avait l'intention de lui faire.

Lorsqu'elle sentit le visage de son agresseur s'approcher de sa chatte puis darder la pointe de sa langue dans ses replis intimes, Gayle s'affola, jamais elle n'aurait pensé que quiconque puisse se livrer à un acte aussi révoltant.

Mais son haleine chaude butait sur sa fente, Gayle tenta de se débattre mais de nombreuses mains la rivaient sur son bureau.

- Nonnnnnnnnnnn... Non... Arrêtezzzzzzzz... L'implorait-elle éper-due.

Elle entendit alors l'un des spectateurs l'encourager :

- Vas y Marcus! Montre nous son chaton doré!

Une réponse immédiate claqua sous sa jupe.

- Pas question Mec... Vous ne verrez rien le temps que je lui broute le gazon... Une bordée de rire explosa parmi les rangs des specta-teurs.

- Oooooooooooooooooooooh... Mon Dieuuuuuuuuuuu... Nonn-nnnnnnnnnnnnnnnn! Pleurnichait-elle alors que Marcus refermait sa bouche sur ses babines enfiévrées, elle expérimentait une chose toute nouvelle pour elle.

Elle était juste capable de secouer la tête de droite à gauche, fouettant les mains de ses assaillants de les cheveux blonds, les muscles de sa chatte étaient contractés, crispés sous les assauts de sa langue qui par-courait en frétillant ses babines embrasées de bas et en haut avant de reprendre dans l'autre sens. Elle se sentait glisser dans un autre monde.

Les chaussures s'appuyant sur les coins du bureau, Gayle s'arquait de tous ses muscles, tendant sa chatte à la bouche qui la cajolait.

- Oooooooooooooh... Oooooooooooh... Mon Dieuuuuuuuu... S'époumonait-elle terrassée par un invraisemblable orgasme, un orgasme comme elle n'en avait jamais ressenti et ce sous les caresses de la langue de cet jeune pervers.

Gayle était totalement absente, totalement impuissante, accaparée par cet enivrant léchouillage de moule, sans aucune réaction elle les laissa lui retirer son corsage et sa jupe, la dépouiller de son soutien-gorge et lui ôter ses hauts talons bleus.

Epinglée sur son bureau, bras et jambes largement écartés, Gayle san-glota de peur en voyant le visage grimaçant de Marcus surplomber son entrecuisse, ses yeux se rivèrent sur l'énorme bite qu'il flattait de la main droite.

Les yeux écarquillés d'étonnement, Gayle réalisait que cette queue était bien plus longue et bien plus grosse que celle de son mari Jim, qui était le seul avec qui elle avait fait l'amour jusqu'ici.

- S'il vous plait... Je vous en prie... Marcus, s'il vous plait... S'il vous plait, ne me violez pas... L'implorait-elle alors qu'il tendait sa main libre pour lui caresser les jambes.

Puis il lui caressa les cuisses à deux mains, en grimpant sur le bureau s'installant au dessus de sa victime tremblant comme une feuille, posant sa trique charnue sur sa fourche.

- S'il vous plait... Je vous en prie Marcus... Je vous en prie ne me violez pas! Je n'ai jamais couché qu'avec mon mari! Le suppliait-elle éperdue.

Mains crispées sur sa bite, Marcus guida son champignon turgescent contre sa délicieuse fentine, il adorait sa façon de l'implorer alors qu'il se préparait à la déshonorer.

La bite en bonne place, Marcus agrippa ses hanches.

- Aieeeeeeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnn... Bordel... Elle est encore plus étroite que la dernière vierge que j'ai baisée... Elle a sûrement épousé son mari parce qu'il n'avait qu'un ver de terre en guise de bite! Bordel de merde prof! Je vais te dévaster la chatte... Gloussait Marcus plongeant dans la fentine de la jeune femme affolée.

Sa bite coulissait dans sa fente distendue, il se pencha pour lui mordiller le lobe de l'oreille, et lui murmura :

- Alors t'ai je bien embrochée prof? Peut-être bien que je vais te coller un petit polichinelle noir dans le tiroir!

Les yeux pleins de larmes, incapable d'empêcher cet étudiant de la vio-ler, Gayle n'en croyait pas ses yeux à la vue de la monstruosité qu'il plantait entre ses cuisses.

Fermant les yeux, tétanisée par l'horreur, son esprit ne parvenait à rap-porter la taille de son énorme bite qu'à celle d'un âne qui vivait à la ferme de son grand-père.

Le corps écrasé de douleur, Gayle en concluait :

- Que peut on espérer lorsqu'on est sur le point de se faire violer par un jeune salaud doté d'une pine de la taille de celle d'un âne!

Sentant que la monstruosité lui déchirait la chatte, elle vit son impitoya-ble violeur forcer le rythme tout en se mettant à grogner, on aurait dit il poussait des cris d'âne en rut.

Des flots de foutre chaud lui tapissèrent alors l'utérus alors que Marcus grommelait :

- Ahhhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhh... Ahhh.. Oh, ouiiiiiiiiii... Ah, prof chérie... Ce fut un plaisir de te baiser... Uhhhhhhhhh... Uhh-hhhhhh... Uhhhhhhhh... Tout en se vidant les couilles en elle.

Elle luttait encore de toutes ses forces, désespérée de le sentir éjaculer en elle.

Serrant et desserrant les mains, mais incapable de bouger poignets et chevilles, Gayle ignorait que les deux salauds qui la tenaient avaient dégrafé leurs pantalons et se tenaient la bite à l'air.

Grinçant des dents pour endiguer les râles de douleur à la suite de ce viol dégradant, elle serrait les poings tâchant de reprendre le contrôle de son esprit confus, elle empoigna deux colonnes indéterminées à sa por-tée.

Cherchant à ignorer ce viol infâme, elle se crispait, ignorant que ces deux baguettes qu'elle agrippait de toutes ses forces n'étaient que deux bonnes bites de membres de l'équipe des Couilles Noires.

Elle refoulait ses sanglots alors que le jeune noir pesant sur elle se met-tait à grogner tout en la violant de plus belle, elle sentit sa bite animalesque tressauter et vibrer dans son ventre, Gayle sut à ce moment qu'il allait propulser son infâme substance dans son utérus.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Et s'il m'engrossait... Se tracassait-elle affolée.

- Non... Non... Pas ça... Ne restez pas en moi... Pas dans mon ven-tre... S'il vous plait... Retirez vous... Je vous en prieeeeeee... L'im-plorait-elle d'un ton geignard.

Mais ses plaintes résonnaient comme une douce musique aux oreilles de Marcus, le conduisant directement à l'orgasme alors qu'il grognait :

- Ughhhhhhhh... Ughhhhhhhh... Ughhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Son corps se raidit, puis convulsa, Il assouvit sa luxure en vomissant des flots de foutre dans le somptueux corps de sa jeune prof de maths si guindée.

- Ahhhhhhhhhh... Heh, heh... Quelle savoureuse leçon ma petite prof... Ricanait-il continuant à jaillir dans le corps frémissant de la jeune femme effondrée, il ajouta alors railleur :

- Oh oui madame Benton... Je vide mes couilles noires dans ta suc-culente petite chatte!

Le corps frémissant alors que son vil agresseur se vidait à gros bouillons en elle, Gayle pris conscience du travail de ses deux mains, réalisant qu'elle avait branlé les deux acolytes tout au long de son viol par Marcus.

Elle grimaça et frissonna d'autant plus alors qu'ils éjaculaient entre ses doigts, lui poissant mains et doigts de leur foutre gluant.

Complètement défaite, Gayle gisait inerte sur le bureau, duquel elle régissait sa classe chaque jour, le foutre gouttait au sol, tombant de ses doigts et ses deux mains englués, une mare de sperme se formait sur le bureau s'écoulant de sa chatte engorgée.

Puis un autre membre de la bande des Couilles Noires, Joe Thomas, grimpa sur le bureau et s'installa entre ses cuisses béantes.

La tête tournée de force vers Marcus, Gayle le sentit chercher à lui ouvrir les mâchoires, elle aurait aimé être morte alors qu'il introduisait de force sa grosse bite dans sa bouche.

Les jambes engourdies après le viol brutal de Marcus, Gayle gisait sur son bureau alors qu'un autre salopard assouvissait ses instincts lubri-ques dans sa chatte distendue.

Pire encore une bite gluante coulissait entre ses lèvres manquant de l'étouffer lorsqu'elle se déploya entre ses dents, se pressant contre sa langue malhabile.

Puis le vil capitaine des Couilles Noires la saisit par ses longs cheveux blonds alors qu'il se mettait à la baiser en bouche.

Le violeur entre ses cuisses grogna en giclant au fin fond de son utérus, Nathalie se sentait nauséeuse en sentant la grosse bite prendre encore de l'expansion dans sa bouche meurtrie s'introduisant maintenant dans son arrière gorge.

Il est malade... Complètement malade... Comment peut-il envisager d'en-foncer sa grosse pine dans l'arrière gorge d'une femme? Frémit-elle pa-niquée

Et alors que Marcus coulissait de plus en vite entre ses lèvres, Gayle se mit à trembler d'horreur en réalisant qu'il allait éjaculer dans sa bouche.

En voyant on visage afficher une telle mine horrifiée lorsqu'il se pencha sur elle, Marcus gloussa railleur :

- Qu'y a t-il ma prof chérie, serait-ce la première fois? N'as tu donc jamais sucé la bite de ton mari? Je suis très honoré d'être celui qui t'enseigne les subtilités dans l'art de la fellation... Hum...

Alors qu'il coulissait aisément entre ses lèvres rétives, il se réjouissait de sentir ses dents effleurer sa hampe sensible.

Marcus savait qu'il était sur le point de projeter d'abondantes giclées de foutre dans sa bouche asservie.

Des frissons de peur parcoururent son corps en entendant Marcus alors qu'il coulissait de plus en plus vite entre ses lèvres asservies, Gayle savait était sur le point de se vider les couilles dans sa bouche et elle ne pouvait rien faire pour l'éviter.

- Uhhhhh... Uhhh... Uhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... mugissait Marcus alors que sa bite s'expandait encore vibrant de plus en plus.

La bouche pleine de sa semence, Gayle frissonna en l'entendant lui or-donner :

- Avale prof chérie... Avale tout!

Elle dut ensuite faire une pipe à Toby, on empoigna alors ses jambes, des chairs chaudes vinrent se frotter à ses pieds, elle réalisa alors que c'était des bites que l'on frottait contre la plante de ses pieds.

Elle entendit glousser Marcus alors qu'elle avait Toby en bouche, elle comprit alors que ce salaud de Marcus récupérait des forces pour la posséder de rechef alors qu'il lui confiait :

- Ce que j'aimais voir bouger ton ravissant petit cul lorsque tu écri-vais au tableau? Je crois bien que je vais bientôt me le faire ton jo-li petit cul...

Le second qu'elle suçait déchargea à son tour dans sa bouche, un autre cracha son venin dans sa chatte, alors que les deux derniers engluaient la plante de ses pieds de leur éjaculation crémeuse sous les yeux de Marcus narquois.

Souriant à la vue de son aspect Marcus tendit la main pour saisir sa jupe bleue marine et la posa sur ses pieds couverts de foutre, l'agrippant aux hanches il la disposa à sa guise sur l'arête du bureau, la contournant il se mit en pace et s'élança violemment.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ....

Ce cri perçant retentit alors que Marcus pressait son gland sur son anus vierge.

- Bordel! On ne t'a donc jamais enculée ma belle... L'interrogea-t-il sachant très bien qu'elle était vierge du trou du cul

- Non... Nonnnnnnnnnnnnn... arrêtez... Vous allez me tuer! S'époumonait-elle éperdue.

Mais cela ne faisait qu'encourager Marcus à la sodomiser, il demanda à Tyrone :

- Grimpe sur le bureau et fais-toi sucer la bite... Elle ne risque plus de te mordre maintenant que je lui ai cassé son petit trou du cul!

Quelques heures plus tard, elle se blottissait dans un coin de la salle de classe, du sperme s'écoulant de ses orifices enflammés au sol, Gayle regardait fixement son bureau d'où elle était si fière de dispenser son sa-voir chaque jour.

Les pieds gluants de foutre dans ses hauts talons elle ne trouvait pas la force de se rhabiller.

Elle savait déjà qu'elle ne reviendrait jamais dans sa classe, pas après ce cauchemar dont elle se rappellerait chaque jour que Dieu fait.

Gayle était heureuse de savoir son mari hors de la ville pour affaires, ce-la lui permettrait de lui cacher son viol.

L'aimerait-il encore s'il venait à savoir?

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