Véronique Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Mais au moment où je m'apprêtais à déclencher la télécommande, je supris un mouvement sous la table. Celle-ci était positionnée en longueur perpendiculairement à la fenêtre, et en bout de table, donc tout près de la porte-fenêtre (donc de moi) se trouvait Marie d'un côté, et son copain en face d'elle. La nappe ne descendait pas beaucoup en bout de table, je pouvais donc voir les jambes des convives. Et je vis Marie, ayant ôté sa chaussure, tendre la jambe et venir poser son pied sur la jambe de son copain, puis remonter le long de sa cuisse pour venir lui masser le sexe du bout des orteils! celui-ci faisait comme si de rien n'était, mais je l'imaginais commencer à bander juste à côté de sa future belle-mère, plutôt embarassant mais terriblement excitant. Marie insistait lourdement, je la vis s'appuyer sur les coudes à table, et tout en le fixant dans les yeux, joindre son autre pied au premier pour intensifier le massage de sa queue, qui devait maintenant être à l'étroit dans son pantalon. Décidément, cette famille était vraiment intéressante, il allait falloir explorer toutes les possibilités, et elles me semblaient au fur et à mesure de plus en plus nombreuses!!

Laissant les tourtereaux se faire plaisir, je reportai mon attention sur Véronique : elle semblait avoir oublié les sex-toys, et discutait gaiement avec les parents du copain de sa fille. Je démarrai les vibrations très doucement, puis augmentai l'intensité progressivement jusqu'à ce que je la vis réagir : elle eut soudain un mouvement de cripsation, ses yeux balayant la pièce rapidement. Le seuil de sensibilité était atteint, on pouvait continuer : j'augmentai un peu le niveau, tout en restant raisonnable, et je la vis serrer les machoîres et se contracter, elle semblait avoir des difficultés à suivre la conversation. Je continuai encore un peu, intensifiant les sollicitations. Je voyais sa main serrer sa serviette, ses yeux dans le vague et je me rendis compte alors que son voisin d'en face, le petit lubrique, lui parlait en la fixant un peu trop bas : excitée malgré elle par les sensations dans son ventre, ses tétons pointaient outrageusement à travers sa robe légère, et il n'en perdait pas une miette!! Véronique essayait de reprendre le contrôle d'elle-même, tout en continuant de jouer son rôle à table, mais c'était intenable! Je la voyais respirer plus rapidement et plus amplement, ses mains sans cesse en mouvement, se crispant sur la nappe et sa serviette. Son voisin devait se demander si c'était lui qui lui faisait cet effet! je mis un petit coup à forte intensité, pour voir : elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, soupirant dans le même temps, ses seins gonflés de désir étaient prêts à sauter hors de son décoletté! le petit lubrique n'en perdait pas une miette, et je le vis même tenter sa chance en tendant lentement sa jambe sous la table, jusqu'à la chaise de Véronique. Je remis une petite impulsion, et dans le mouvement que fit Véronique sous la décharge de plaisir dans ses reins, elle vint appuyer son mollet, sans s'en rendre compte, contre celui de son vis-à-vis. Celui-ci dut se dire que c'était gagné, il voulut remonter le long de sa jambe, mais elle réagit vivement en retirant la sienne et lui lançant un regard noir. Il se répandit en excuses, mais je le sentais bouillir de désir, et sa frustration augmentait! Elle allait servir mes desseins! Je coupai le vibro, et me retirai à l'écart, les laissant terminer le plat principal, pour préparer la suite.

Retournant à la cabane de jardin, j'essayai d'ouvrir la porte : elle était fermée à clé, mais c'était une serrure vétuste, et elle céda à un bon coup d'épaule. Je me glissai rapidement à l'intérieur et refermai la porte derrière moi. L'intérieur était très sombre, à peine éclairé par la fenêtre qui donnait sur la piscine et les lumières de la maison : je distinguai quelques outils, une tondeuse à gazon, du matériel pour la piscine, ainsi qu'une table et quelques chaises. Déplaçant la tondeuse, je positionnai la table juste devant la fenêtre, la calant contre le mur. Je la nettoyai d'un coup de chiffon. Puis je calai une petite caméra sur une étagère, orientée pour embrasser toute la pièce, et en particulier avec une belle vue plongeante sur la table des opérations! Une fois tout cela prêt, je saisi mes jumelles pour observer l'intérieur de la maison.

Il me sembla que le plat principal tirait à sa fin, je vis Marie et son copain se lever et débarasser la table, ainsi que Stéphane. Alors qu'ils étaient à la cuisine, j'envoyai un nouveau texto à Véronique : « dans 2 min dans la cabane de jardin. Et trouve une bonne excuse, ça va être un peu plus long cette fois ... ». Reprenant mes jumelles, je guettai sa réaction, un doigt sur la commande du vibro. Elle saisit son téléphone, lut mon message, et alors qu'elle tournait instinctivement la tête vers la fenêtre, vers l'endroit où elle pensait que je me trouvais, je poussai le curseur quasiment à fond. Je la vis pousser un cri en lâchant son téléphone et se plier en deux! les autres convives se tournèrent vers elle, inquiets, et je coupai alors le vibro. Je la vis bredouiller quelque chose, faisant comme si tout allait bien, reprenant ses esprits, puis elle se leva et se dirigea vers la cuisine. Je ne voyais pas ce qui se passait depuis ma position, elle y resta une ou deux minutes, puis reparut, adressa quelques mots à ses invités d'un air désolé et se dirigea vers l'entrée. Elle prit son manteau et sortit.

Je ne la voyais plus, mais j'entendis sa voiture démarrer, puis je la vis apparaître sur le côté de la maison, franchir le portail et disparaître dans la rue. Je me demandais ce qu'elle fabriquait, lorsque quelques secondes plus tard, je vis une ombre se glisser par le portail en train de se refermer, et se fondre dans l'obscurité du jardin : elle avait du trouver une excuse et faire semblant de partir, se garer dans la rue et revenir discrètement. Je souris pour moi-même dans le noir, imaginant la tempête dans sa tête : elle revenait d'elle-même vers moi, sachant très bien que cette fois-ci, elle allait passer à la casserole contre son gré (ou au moins contre une partie de son gré, l'autre partie d'elle-même étant déjà acquise à ma cause grâce aux sensuelles sollicitations des boules chinoises!!). La porte s'ouvrit lentement, et je vis sa silouhette s'encadrer dans la porte.

- Entre et referme derrière toi, s'il te plaît

Elle obéit, referma la porte, puis s'immobilisa, attendant mes instructions.

- Approche-toi, ma belle

Elle ne bougeait pas, immobile dans le noir.

- Tu devrais faire ce que je te demande ...

La télécommande était dans ma poche, je basculai brutalement le curseur sur le niveau maxi, et l'y maintient. Véronique poussa un cri et tomba à genoux, les mains sur le ventre, gémissant.

- Est-ce que tu es décidée à m'écouter et m'obéir?

Haletante, Véronique hochait la tête, les reins retournés par le déferlement des vibrations.

- Je n'ai pas bien compris?

- Oui, oui, je vais obéir!!!!

Je coupai le vibro.

- Très bien, alors relève-toi, enlève ton manteau et approche-toi.

Véronique obéit lentement, posa sa veste sur la tondeuse et s'approcha de moi.

- C'est bien, ma belle. Maintenant, tu vas te pencher sur la table, dos à moi.

Elle me regarda d'un air de défi, mais la lueur de rébellion s'éteignit rapidement, et elle se mit devant moi, puis se coucha docilement sur la table, me présentant ses fesses. Je remontai sa robe sur ses reins, découvrant son cul magnifique.

- On va bien s'entendre, tu vas voir.

Et saisissant la cordelette qui reliait les boules entre elles, juste entre son sexe et son anus, je commençai à tirer pour extraire une première boule de son cul. Je vis les mains de Véronique se crisper sur la table, elle étouffait des gémissements alors que la boule essayait de passer l'anneau serré de son cul. Ses gémissements augmentaient d'intensité au fur et à mesure que la boule progressait dans les sphincters contractés et finirent en cri aigu quand elle finit par jaillir soudainement sous la pression de ses muscles fessiers.

- Et d'une! ça fait des sensations, non?

Véronique reprenait son souffle, respirant profondément. Je n'avais pas lâché la cordelette, et continuai de tirer : la deuxième boule glissa dans son colon, électrisant ses muqueuses, puis buta à nouveau contre son anus contracté, que je lui fis franchir une nouvelle fois très doucement, pour qu'elle sente bien son anneau serré se distendre pour permettre de libérer la boule de plaisir. Elle poussa un nouveau cri lorsque cette dernière fut ejectée!

- Et de deux! je sens que tu commences à t'y habituer! plus qu'une ...

Je commençai à tirer à nouveau sur la cordelette, puis me ravisai :

- Tu sais quoi? j'ai une soudaine envie de savoir quelle excuse tu as donné à Stéphane pour t'absenter?

Elle s'apprêtait à répondre, mais je la coupai :

- Chutt, ne réponds pas, j'ai envie qu'il me le dise lui-même!

Elle ne m'avait pas vu faire, mais j'avais sorti mon téléphone pendant que j'extrayais les deux premières boules de son fondement, et j'avais composé le n° de son mari. Elle voulut se retourner pour protester, mais je la plaquai à la table d'une main, pendant que je décrochais de l'autre. Véronique se débattit, essayant de se redresser, mais je la maîtrisai sans trop de peine, jusqu'à ce que Stéphane décroche.

- Allo?

- Salut Stéphane, c'est Thierry.

Véronique s'était soudainement arrêtée de lutter!

- Salut! tu vas bien?

- Très bien, et vous? je crois que vous avez des invités ce soir?

Tout en conversant avec Stéphane, je tirai de nouveau sur la cordelette, jusqu'à ce que la troisième boule chinoise soit également freinée par les sphincters contractés. Mais cette fois-ci, au lieu de la faire passer en douceur, je donnai un coup sec, arrachant brutalement la boule de plaisir de son cul! Véronique poussa un cri suraigu, qu'elle étouffa trop tard d'une main.

- Quelqu'un s'est fait mal à côté de toi? demanda Stéphane.

- Je suis chez des amis aussi, et quelqu'un vient de marcher sur la queue du chien, et le pauvre n'a pas aimé!!

- Le pauvre! bon, qu'est-ce que tu deviens?

- Comme je te le disais, je suis chez des amis, pas très loin de chez vous, et je passe un peu de bon temps!

Tout en continuant de discuter, je sortis ma queue bandée de ma main libre, et posai mon gland sur la rondelle encore palpitante de Véronique. Et je commençai à pousser sans attendre! Véronique gémit un peu fort :

- Non, non ...

- Tout se passe bien? me demanda Stéphane.

- Oui, on est en train de faire du bricolage, lui répondis-je en forçant l'anneau contracté du cul de sa femme, et il y a une goupille qui ne veut pas rentrer! mais avec un bon coup sec!

Et joignant le geste à la parole, je mis un coup de bassin soudain, balayant la dernière défense du cul de Véronique et m'enfonçant volupteusement dans ses entrailles. Véronique avait senti venir le coup, et elle étouffa dans sa main un cri de douleur, se cambrant sous l'assaut!

- Et voilà, c'est fait, dis-je à Stéphane, continuant ma conversation comme si de rien n'était, alors que mon sexe était enfonçé jusqu'à la garde dans le cul de sa femme que lui-même n'avait jamais visité!!

Nous discutâmes encore quelques minutes, alors que je limais tranquillement, à lentes poussées profondes, sa tendre épouse basculée sur une table de jardin comme une vulgaire putain. Celle-ci gémissait, mais je sentais progressivement sa résistance se relâcher, et commencer à s'abandonner aux plaisirs de ses sens. La situation était cocasse, car je voyais, à quelques mètres devant moi, Stéphane au téléphone derrière les rideaux du salon, alors que je pétrissais dans le même temps le cul de sa femme de ma main libre

- Tu passeras le bonjour à Véronique

- Oui, elle s'est absentée un moment, il fallait qu'elle aille récupérer une de ses copines à la gare pour la ramener chez elle, car elle n'avait pas de voiture.

Voilà donc la fameuse excuse trouvée par Véronique!

- Tu es sûr qu'elle n'est pas partie retrouver son amant? lui dis-je en rigolant.

- Si elle n'en avait qu'un! me répondit Stéphane en rigolant encore plus, sur le ton de la surenchère. Non, je crois que Véronique n'imagine même pas que ça puisse exister de tromper son mari!

- C'est vrai, tu es quand même un gars chanceux avec une femme comme elle, lui répondis-je tout en souriant intérieurement. Et je poursuivis :

- C'est rigolo, parce que je suis tout prêt de chez vous : mes amis habitent à quelques rues.

- Ecoute, passe toujours un coup de fil en repartant, si on n'est pas couché tu viendras boire un verre, ça nous fera plaisir.

- Pas de soucis

- Allez bonne soirée, et peut-être à tout à l'heure

- A +

Et je raccrochai, pour me consacrer à nouveau à ma petite Véronique. Je n'avais pas cessé de la sodomiser pendant tout ce temps, et elle soupirait maintenant ouvertement de plaisir à chaque fois que je poussais mon dard dans son fondement.

- Ton mari a une confiance aveugle en toi, ce serait dommage de le décevoir, lui dis-je, goguenard.

Je lui caressais les fesses, les reins, accélérant un peu le rythme de mes pénétrations.

- Il m'a même invité chez vous tout à l'heure, je crois que je vais passer quand j'aurai fini de te baiser ...

Mais Véronique était trop perdue dans ses sensations, elle ne réagissait même plus à mes petites piques. Je me retirai soudain de son cul, et saisissant ses jambes, je la fis pivoter pour la mettre sur le dos, face à moi.

Saisissant une cheville dans chaque main, j'écartai largement ses cuisses, et présentai mon sexe à l'entrée de son cul. Mais je n'avais plus de main pour guider, et je n'arrivais pas à m'engager : quelle ne fut pas ma surprise lorsque c'est elle-même qui m'attrapa la queue, la positionna sur son anus et s'empala d'elle-même sur mon sexe! Affamé de jouissance, elle se laissait complètement envahir par son plaisir (et aussi par mon braquemard!!). Je la besognai plus brutalement, plus profondément, la faisant couiner de plaisir. Un tintement répété me rappela soudain qu'elle avait toujours trois boules chinoises dans sa chatte (cela devait d'ailleurs participer à mon plaisir et au sien), les trois autres, qui pendaient au bout de leur cordelette, cognaient en rythme sur la table.

Attrapant ses deux chevilles d'une seule main (et du même coup resserrant ses cuisses, et donc son bassin sur ma queue ... quel délice!), je saisis la commande dans ma poche, et la poussai au maximum. Je faillis être désarçonné! Véronique se cambra outrageusement, et je manquai de laisser échapper ses jambes. Je ressentais la boule vibrer contre ma queue, au travers de la mince paroi séparant son vagin de son colon, et les sensations rendaient Véronique folle! Calant ses chevilles sur mes épaules, J'attrapai ses cuisses pour avoir un meilleur point d'appui, et je l'enculai à couilles rabattues, mon ventre venant claquer contre ses fesses. Véronique gémissait de plaisir de plus en plus fort, elle avait saisi ses seins à travers la mince étoffe et les pétrissait elle-même, son ventre et son cul ravis de sensations de plus en plus intenses. Je n'allais pas pouvoir tenir bien longtemps, j'accélérai encore ma sodomie, dans une ultime tentative pour aller encore plus loin dans ses entrailles, une boule de plaisir naissant au creux de mes reins, qui vint soudainement exploser de manière fulgurante lorsque j'inondai son cul de mon foutre, lui procurant instantanément un orgasme monumental qui la fit hurler de jouissance! J'eu peur un instant d'avoir été entendu de la maison, mais il n'en était rien.

Je me retirai de son cul, basculai Véronique à nouveau face contre la table, et arrêtai le vibro car elle était encore en train tressauter de plaisir! elle s'arrêta finalement de gémir et de vibrer, pour finalement ne plus bouger sur la table, comme évanouie, son buste soulevé par une respiration saccadée. Elle avait pris un pied énorme, et c'était le cas pour moi également!! Je m'apprêtais à lui retirer les boules chinoises qu'elle avait dans la chatte, mais alors que je commençais à tirer sur la cordelette, elle arrêta mon geste d'une main! je la laissai faire : tendant la main entre ses cuisses, elle saisit la sixième boule qui pendait, et la présenta d'elle-même devant son anus, dans lequel elle l'enfonça d'un petit coup sec, avec un gémissement! j'étais scotché! elle poursuivit avec la cinquième, puis la quatrième boule, se les remettant elle-même toutes les deux dans le cul. Si je m'attendais à cela! elle se releva doucement, se tourna vers moi, et me tendit la main : je sortis la commande de ma poche, et la posais délicatement dans sa paume. Elle me sourit. Ce retournement de situation m'avait redonné une sacrée trique : Véronique s'approcha plus près, saisit ma queue d'une main et la branla doucement. Puis, se dressant sur la pointe des pieds, elle m'embrassa longuement sur la bouche. Toujours sans rien dire, elle relâcha ma queue, qui me faisait mal de désir, se baissa pour prendre sa veste et sortit sans se retourner.

Je restai abasourdi dans la cabane, reprenant mes esprits, commençant à entrevoir les possibilités de ce revirement de situation. Véronique avait complètement basculé du côté obscur du sexe, et cela ouvrait de nouveaux horizons, tous plus chargés de folie, de plaisir et de jouissance les uns que les autres!!

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1 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 8 ans
BCBG salope

Vivement le chapitre 4; de cette bourgeoise qui devient une vraie furie. A quand le cocufiage devant le mari? La soumission du mari peut-être aussi un bon sujet d'excitation.

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