Véronique Ch. 02

Informations sur Récit
la descente vers le vice.
3.8k mots
4.49
51.8k
1

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/04/2015
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
gophil72
gophil72
17 Admirateurs

En quittant sa soirée d'anniversaire, j'avais laissé une lettre dans le sac à main de Véronique. Lorsqu'elle l'avait découverte le lendemain matin, après un réveil difficile, cela l'avait fait paniquer complètement! Elle ne savait plus quoi faire, ne sachant si il fallait en parler à son mari (qui ne s'était rendu compte de rien, ayant eu l'impression de passer une très agréable soirée, même si il ne souvenait pas de grand'chose!), à d'autres personnes ou bien se taire. Elle se souvenait mal de ce qui s'était passé, mais ses mâchoires et son fondement douloureux, ainsi que ses muqueuses irritées parlaient suffisamment. Elle ne comprenait pas en particulier comme elle avait pu se laisser sodomiser, elle qui avait toujours refusé cette pénétration à son mari. Ce qui l'inquiétait plus encore était qu'elle n'était pas capable de se souvenir si elle y avait pris du plaisir ou pas, et avec qui!

Pour entretenir son inquiétude et éviter des confidences à ses amies, je lui envoyai une semaine plus tard sur son mail quelques photos choisies de la soirée, la montrant plutôt consentante dans mes bras, en train de se faire caresser les seins, la robe remontée jusqu'à la poitrine, ainsi que d'autres images la montrant en train de me faire une fellation dans sa propre chambre. J'imaginais assez bien l'horreur dans les yeux de Véronique découvrant ses images! Je savais qu'elle ne dirait rien, ayant menacé de divulguer ces photos au cas où elle essayerait de parler.

Dans les semaines qui suivaient, je continuai de lui envoyer des photos d'autres moments de la soirée : baisée sur la table du salon par Igor, à califourchon sur moi dans son propre lit, avec une expression de plaisir non simulée sur son visage, et enfin sodomisée par Igor en levrette! J'essayai de m'imaginer ce qui pouvait trotter dans sa tête en découvrant ses images! Est-ce qu'elle osait même ouvrir mes mails (je pense que oui, elle avait trop peur que ces images soient diffusées pour ne pas savoir ce qu'il y avait dedans!)? Je ne reçu en tout cas aucune réponse de sa part!

Un mois plus tard, Igor croisa inopinément Véronique dans un supermarché : la belle se figea en apercevant le géant ukrainien, terrorisé par cette apparition! Igor, surpris également, profita immédiatement de sa position de maître-chanteur : l'air de rien, il vint engager la conversation dans le rayon. Véronique, complètement crispée, répondait mécaniquement à ses questions futiles, ayant l'impression que tout le monde savait ce qui s'était passé. Igor prit congé rapidement, ce qui soulagea Véronique immédiatement. Elle pensait que son cauchemar était terminé, mais Igor n'était pas décidé à en rester là. Il se dirigea vers le rayon des sous-vêtements, et choisissant quelques modèles raffinés, les embarqua et se remit à la recherche de Véronique dans les rayons. Il la retrouva en train de choisir des tomates au rayon primeur.

S'approchant par derrière, ayant vérifié qu'il n'était pas observé par d'autres clients, il lui prit brutalement une fesse à pleine main : Véronique poussa un cri vite étouffé quand elle réalisa qui venait de la peloter! Igor n'avait pas lâché le globe ferme qu'il malaxait, et glissant les sous-vêtements dans son caddie, il lui chuchota à l'oreille qu'il serait dans son intérêt d'aller rapidement les essayer pour vérifier que la taille était correcte! Puis, la plantant là, il s'éloigna en direction des cabines d'essayage.

Véronique était atterrée, fixant les soutiens-gorge et strings dans son caddie, son cerveau paniqué essayant de trouver une solution raisonnable! Mais les images reçues sur sa messagerie repassaient devant ses yeux, et les menaces que j'avais fait sonnaient à ses oreilles : elle se savait prise au piège, et commença à se diriger lentement vers le rayon vêtement. En arrivant devant les cabines d'essayage, elle chercha des yeux Igor : celui-ci était en face des cabines, au rayon hommes, en train de choisir un pantalon à sa taille. Leurs regards se croisèrent, et Véronique baissa les yeux, désabusée. Elle se dirigea vers la cabine d'essayage le plus éloignée avec ses sous-vêtements, et tira le rideau sur elle. Igor, qui avait noté la position de la cabine, attendit quelques minutes pour laisser monter la panique et le doute dans le crâne de Véronique, puis se dirigea également vers les cabines. Ayant noté qu'aucune autre cabine n'était occupée, il tira sans prévenir le rideau de la cabine de Véronique, surprenant la belle, en string, en train d'essayer de mettre un des soutiens-gorge choisi par Igor! Dans un réflexe naturel, elle essaya de cacher sa poitrine avec ses mains, laissant tomber le soutien-gorge à terre. Igor, tout émoustillé par la scène, entra sans vergogne dans la cabine, et tira le rideau derrière lui.

Véronique, terrorisé, ne savait que faire face à ce monstre qui occupait toute la cabine! Ramassant le soutien-gorge tombé à terre, Igor le redonna à Véronique, lui demandant de le mettre. Celle-ci le saisit du bout des doigts, essayant toujours de cacher ses seins. Elle engloba ses seins dans la dentelle, mais était tellement paniquée qu'elle était incapable de fermer les bretelles dans son dos. L'ukrainien saisit alors le fermoir et le fixa délicatement. Véronique s'était mis dos à lui pour cacher sa poitrine, mais Igor, après avoir attaché le soutien-gorge, fit glisser ses mains sous ses bras pour lui prendre les seins à pleine paume! Véronique essayait de ne pas réagir à ces attouchements appuyés, pendant que l'ukrainien lui massait la poitrine, titillant les tétons qui commencèrent à se dresser sous les caresses, bien malgré elle! Igor plaquait Véronique contre lui, profitant du contact de ses fesses contre son sexe emprisonné dans son pantalon.

Puis, faisant pivoter la jeune femme, et approchant ses lèvres de son oreille, il lui chuchota de se mettre à genoux et de le dégrafer pour libérer son sexe : Véronique eut un mouvement de recul à cette requête, mais après quelques instants à fixer l'entrejambe de l'ukrainien, à contre cœur, elle finit par se mettre à genoux devant lui, et commença à détacher sa ceinture de ses mains tremblantes. Elle pouvait voir la bosse significative formée par le sexe d'Igor, et avait les plus grandes difficultés à enlever les boutons de la braguette de l'ukrainien. Quand elle y parvint enfin, elle descendit le pantalon jusqu'à ses genoux, puis, encore plus tremblante, saisit le caleçon du géant lentement et le descendit également, ce qui eut pour effet de faire jaillir son sexe dressé presque contre son visage. Véronique eut un nouveau mouvement de recul, choqué par la taille monstrueuse de l'engin, reconnaissant l'objet qu'elle avait pu découvrir sur les photos que j'avais envoyé et qui était sans doute la raison de son fondement douloureux.

Elle resta ainsi sans bouger, fixant le dard palpitant de l'ukrainien : celui-ci lui mit la main sur la tête, et la força à approcher ses lèvres de son gland. Véronique résistait mollement, se sachant prisonnière des images volées qui pouvaient complètement briser sa vie. Quand ses lèvres vinrent toucher l'extrémité du braquemart géant, Igor lui lâcha la tête : complètement résignée, elle ouvrit la bouche d'elle même, et commença à essayer de prendre le sexe d'Igor dans sa bouche. Elle ne souvenait pas d'avoir fait une fellation à un sexe aussi imposant, et elle essayait d'écarter au maximum ses mâchoires pour permettre à ce pieu de chair de pénétrer sans la blesser. Elle commença à lui caresser le gland de sa langue, essayant de le lubrifier au maximum pour faciliter la pénétration. Puis elle le prit dans sa bouche, et se mit à faire des aller et retours, enserrant son gland de ses lèvres, le relâchant complètement pour le reprendre dans sa bouche tiède, ce qui provoquait des décharges de plaisir dans les reins d'Igor. Continuant ce manège, Véronique essayait de prendre plus profondément le sexe d'Igor dans sa bouche, espérant ainsi accélérer l'éjaculation du géant et terminer plus rapidement ce cauchemar. Mais le sexe du géant était si gros qu'elle n'arrivait pas à prendre plus de la moitié de la longueur dans sa bouche : le gland d'Igor venait buter contre sa gorge, et elle devait s'arrêter pour ne pas vomir. Elle continua néanmoins à aller et venir sur sa verge, tout en massant les bourses de l'ukrainien pour en finir le plus vite possible. Mais celui-ci avait de la réserve, et pouvait tenir un long moment : il savait d'autant plus apprécier cette fellation qu'il ne forçait même pas Véronique, elle faisait tout d'elle-même, essayant de lui donner du plaisir pour arrêter ce viol à moitié consenti!

Véronique commençait à avoir mal à ses mâchoires distendues par le sexe turgescent du colosse, et ne voyait pas venir la fin de son calvaire. Igor, qui voulait aller un peu plus loin, attrapa Véronique par les cheveux, et d'une poussée lente mais ferme, enfonça son sexe plus profondément dans la gorge de Véronique. Celle-ci essayait de résister, les deux mains sur les cuisses d'Igor pour se repousser, mais ne pouvait pas grand'chose contre la force brute de l'ukrainien qui réussit à amener son gland au contact de sa glotte, lui arrachant un haut-le-cœur. Mais il ne s'arrêta pas pour autant de pousser, forçant la défense de sa gorge, pénétrant encore plus profondément! Véronique avait les larmes aux yeux, essayant de forcer son corps à accepter cette pénétration contre nature, sentant son estomac prêt à se retourner. Des remontées de bile lui brûlaient la gorge, mais l'ukrainien poussait toujours, enfonçant toujours plus loin son sexe dans sa gorge, l'empêchant complètement de respirer. Véronique commençait à suffoquer, mais le colosse n'en tenait aucun compte et finit par complètement engouffrer son sexe monstrueux dans sa bouche, venant faire buter son pubis contre son nez. Il resta ainsi quelques instants, pendant que la belle se débattait pour essayer de respirer, à la limite de la perte de conscience, puis il se retira brutalement complètement, lui arrachant un gémissement et un haut-le cœur qui la fit vomir sur le sol de la cabine.

Igor n'avait pas lâché sa chevelure, et après lui avoir permis de reprendre son souffle, il lui releva la tête et se renfonça à nouveau dans sa bouche, commençant à effectuer des va-et-vient dans sa gorge, s'en servant comme d'une chatte, allant au plus profond puis se retirant presque complètement, prenant son pied à cette gorge profonde forcée pendant qu'Véronique essayait de concentrer son esprit sur la recherche d'air entre chaque poussée de l'ukrainien. Des flots de bile inondaient le sol à chaque fois que le dard de l'ukrainien se retirait, mais celui-ci n'en tenait aucun compte, replongeant aussitôt au plus profonde de sa bouche, distendant les mâchoires de Véronique, violant sans vergogne cette gorge tendre. Igor sentait une vague de plaisir monter de ses reins, et il poussait encore plus fort, pilonnant Véronique qui souffrait, les yeux révulsés, et il finit par lâcher dans une dernière poussée un long et brûlant jet de sperme au fond de sa gorge, dans un râle de plaisir. Il se maintint ainsi quelques instants, son sexe complètement enfoncé dans la gorge de Véronique, dont le cou distendu demandait grâce, et profitant de cet orgasme volé dans une cabine d'essayage. Puis il se retira rapidement, se rhabilla, puis, relevant la belle Véronique, encore complètement suffocante et choquée de ce viol, il lui arracha le string et le soutien-gorge. Il vit alors un éclair de terreur dans ses yeux. Mais l'ukrainien se saisit de tous les sous-vêtements qui étaient dans la cabine, y compris ceux de Véronique, et sortit comme si de rien n'était.

Véronique, complètement bouleversée par cette agression, essayait de rassembler ses esprits : elle avait la gorge douloureuse, luttait contre une nouvelle envie de vomir dans cette cabine dont le sol était maculé de vomi, de bile mélangés au sperme de l'ukrainien, le goût du sperme dans sa gorge la révulsait car elle avait du en avaler une grande quantité et elle n'avait plus de sous-vêtements! Rassemblant ses affaires, elle se rhabilla lentement, remit de l'ordre dans ses cheveux pour essayer de masquer ce qui venait de se passer, et se nettoya le visage avec un kleenex pour enlever les traces de sperme et de vomi. Se sentant salie au plus profond d'elle-même, elle sortit discrètement de la cabine, et abandonnant là son caddie, se dirigea vers la sortie dans un état second.

Perturbée par ce qui venait de lui arriver, elle mit plusieurs minutes à retrouver son monospace sur le parking. Alors qu'elle déverrouillait et ouvrait la porte conducteur, elle entendit une voix rocailleuse derrière elle : « est-ce que je peux me joindre a vous? ». Se retournant d'un bloc, elle se retrouva à nouveau face à Igor tout souriant. Toute tremblante, et incapable de répondre, elle vit le géant ouvrir la porte arrière, et s'installer sur la banquette arrière. Elle hésita plusieurs instants, puis, pâle et fébrile, monta finalement à la place du conducteur.

-allons faire une petite ballade, proposa l'ukrainien, tout sourire sur le siège arrière.

-Mais où voulez-vous aller? murmura Véronique paniquée

-N'importe où, allons par exemple vers le cinéma multiplex.

Avec difficulté, Véronique réussit à démarrer, puis sortit du parking. Elle était tellement bouleversée qu'elle tapa un trottoir, puis faillit renverser une mamie qui traversait.

-Relax, lui dit Igor, on se détend! ce n'est pas le moment d'avoir un accident.

-Ce n'est pas très facile d'être relaxé après ce que vous m'avez fait subir, répondit Véronique entre ses dents.

-Il faudra t'y habituer, ma belle, il y a des chances que ce ne soit pas la dernière fois. Je vais te faire aimer ça ...

Horrifiée par ce qu'elle venait d'entendre, Véronique n'osait plus répondre, et gardait les yeux rivés sur la route. Igor, se rapprochant de son siège, se mit à lui caresser les hanches, puis remonta vers sa poitrine. Véronique se tortillait pour échapper à ses mains, mais elle conduisait, ce qui lui laissait peu de degrés de liberté. Glissant une main sous son chemisier, Igor venait de saisir un de ses seins, et roulait le téton entre ses doigts

-Oh, madame n'a pas mis de soutien-gorge, petite cochonne!

-Vous m'avez pris tous mes sous-vêtements tout à l'heure!!

Son autre main descendait vers son entrejambe : glissant ses doigts sous l'élastique de sa jupe, il progressait lentement vers sa foufoune, forçant ses cuisses serrées.

-Ecarte un peu les cuisses que je puisse voir si tu mouilles!

-Jamais, rugit Véronique.

-Comme tu voudras, répondit l'ukrainien, et il lui pinça violemment le téton.

Véronique poussa un hurlement, rapidement suivi d'un autre car Igor venait à nouveau de pincer cruellement son téton.

-Tu vois qu'il faudrait mieux que tu écartes les cuisses docilement!

Et il lui écrasa à nouveau le téton entre ses doigts puissants. Submergée par la douleur, Véronique finit par desserrer les cuisses, et Igor en profita immédiatement pour lui caresser la chatte, excitant son clitoris, flattant ses grandes lèvres tout en continuant de lui peloter le sein de l'autre main. Véronique avait les plus grandes difficultés à conduire dans ces conditions! Allant un peu plus loin, Igor commença à forcer ses lèvres, enfonçant un doigt dans son vagin, lui tirant un cri de douleur car elle n'était pas du tout lubrifiée. Mais Igor continuait à la doigter, poussant toujours plus loin dans sa cavité d'amour, qui finit par s'humidifier sous les sollicitations. Véronique sentit l'évolution de ses muqueuses, qu'elle n'avait pas du tout désirée, mais c'était une réaction naturelle de son corps à ce stimuli qu'elle ne pouvait contrôler! Igor la doigtait de plus en plus profondément et intensément, se retirant pour lui titiller le clitoris puis revenant plonger ses doigts dans son sexe luisant. La belle ne savait plus ce qui lui arrivait, et était partagé entre l'horreur de la situation et les sensations qu'elle ressentait dans son bas-ventre.

La voiture finit par arriver sur le parking du cinéma, et Igor retira ses mains pour lui indiquer où aller se garer. Il était 19h30 en ce mois de décembre, et la zone choisie par l'ukrainien était relativement sombre. Véronique se rangea sur un emplacement, coupa le contact, et attendit, angoissée, les mains sur le volant. Igor avait changé de place à l'arrière, et s'était installé sur le siège central.

-Viens me rejoindre à l'arrière, lui intima-t-il.

Les yeux écarquillés, Véronique fixa le géant dans le rétroviseur, puis elle finit par enlever sa ceinture de sécurité pour descendre du véhicule. Elle ouvrit la porte arrière et vient s'asseoir sur le siège à côté d'Igor.

-branle-moi, ordonna Igor.

Répriment son dégoût, elle ouvrit à nouveau la braguette du géant, et en sortit son sexe encore flasque. Elle se mit à le masturber lentement, sentant la chair vibrer sous ses doigts, prendre du volume et de la rigidité, jusqu'à finalement atteindre à nouveau la taille d'une matraque d'un beau diamètre. Elle n'osait pas regarder le sexe d'Igor, conservant les yeux baissés.

-Suce moi, maintenant! Tu aimes ça ...

Baissant la tête lentement, elle vint prendre le gland énorme entre ses lèvres, et commença à lui faire une nouvelle fellation, espérant de tout cœur que personne ne viendrait s'approcher de la voiture et découvrir ce qui s'y passait. Elle essayait d'enduire le sexe de l'ukrainien de salive pour faciliter la pénétration dans sa bouche, et continuait à l'engloutir du mieux qu'elle pouvait. Igor ne disait rien, laissant faire la belle Véronique, préparant la suite.

-Maintenant, viens te mettre à califourchon sur moi.

Véronique arrêta instantanément sa pipe, horrifiée par l'ordre qu'elle venait de recevoir. L'ukrainien ne la laissa pas réfléchir, et l'attrapant par les cheveux, il l'amena vers lui, la forçant à se tourner pour enjamber son corps : Véronique était maintenant à califourchon sur ses genoux, de dos, sa jupe flottante étalée sur les cuisses de l'ukrainien. Elle commençait à paniquer, et essayait malgré le risque de se débattre : Igor lui saisit alors les poignets, et lui vrillant les bras, il les rassembla dans son dos, les maintenant d'une seule main.

-Maintenant, recule et mets toi à genoux sur la banquette

Il accompagna son ordre d'une torsion des poignets qui força Véronique à reculer pour essayer de réduire la douleur : elle se trouvait donc maintenant à genoux à la verticale du sexe dressé d'Igor, les bras tordus dans le dos. Igor, de sa main libre, vint lui doigter la chatte, s'enfonçant au plus profond de son intimité, lui arrachant des cris de douleur. Il vrillait ses doigts dans son sexe, labourant les muqueuses fragiles de ses ongles, puis, se retirant, il se mit à lui masser l'anus de ses doigts humides : les yeux de Véronique s'écarquillèrent, et elle rua pour essayer d'échapper à cet attouchement, mais ce mouvement lui tordit encore plus les bras et elle dut s'avouer vaincue! L'ukrainien forçait maintenant la barrière de ses sphincters, insinuant ses doigts dans son cul, de plus en plus profondément, et Véronique étouffait ses cris de douleur en se mordant les lèvres.

Au bout de quelques instants de ce manège, Igor retira ses doigts, puis, en exerçant une clé de bras sur les poignets de Véronique, fit descendre lentement son bassin vers son sexe : Véronique luttait pour essayer de résister, mais la douleur dans ses bras était trop intense, et elle dut suivre le mouvement imposé par Igor. Celui-ci amena son gland contre l'anus de Véronique, ce qui la fit à nouveau ruer dans un mouvement désespéré pour échapper à ce viol, mais le géant avait anticipé sa réaction, et la maintenait fermement. Véronique réussit juste à se faire encore plus mal aux épaules, et se relâcha de suite pour limiter la douleur : Igor attendait ce moment, et donnant un brusque coup de rein, enfonça son dard dans ce cul excitant! La belle poussa un cri suraigu, mais Igor la bâillonna de sa main libre, et lui tordant encore plus les bras, enfonça encore plus profondément son sexe dans ce fourreau étroit et tendre! Véronique était maintenant presque complètement empalée sur le braquemart du géant, le souffle coupé par ce barreau de chair planté dans son fondement.

gophil72
gophil72
17 Admirateurs
12