Vengeance de Femmes

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3 femmes se venge d'une 4ème qui a baisé avec leurs mecs.
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Je m'appelle Sylvie. J'ai pris l'habitude d'aller dans une salle de billard toutes les fins de semaine. J'y ai rencontré deux gars qui me baisent divinement dès le bar fermé.

Me voilà assise sur mon tabouret habituel, près du comptoir. David reste invisible. Il n'y a que Stéphane qui semble indifférent à ma présence et évite même mes regards. Je l'interpelle pour qu'il prenne ma commande, il s'approche comme à regret.

— Qu'est-ce que je vous sers ?

— La même chose que la dernière fois, ce qui n'est pas sur la carte.

La soirée se termine. Les ultimes clients quittent la salle alors que deux filles superbes, une brune et une blonde, entrent, bientôt suivies d'une troisième : une belle black qui passe derrière le bar.

— Je te remplace ! dit-elle à Stéphane. Tu peux partir, fermes la porte derrière toi.

Je fais mine de me lever pour prendre congé à mon tour, comprenant que ce soir la partie espérée n'aura pas lieu.

— Reste ma jolie. On a à te parler. Moi c'est Caro, je t'invite. Je te ressers la même chose, une pina colada ?

Les deux autres filles me rejoignent.

— Bonsoir, tu n'es pas contre une dernière partie ?

— Heu, je ne comprends pas, balbutiais-je.

La porte claque et j'entends la clé qui tourne deux fois dans la serrure, je suis prise au piège. Les deux filles se présentent.

— Salut, je m'appelle Laetitia, la copine de David.

— Et moi c'est Véro, celle de Stéphane, il paraît que tu aimes la baise à plusieurs et que tu es particulièrement douée, on souhaiterait profiter de tes talents. Tu veux bien continuer la partie avec nous trois ?

— Heu, c'est que... je ne sais pas, oui peut-être, mais je suis hétéro, je n'ai jamais fait avec une femme.

— Tu n'as qu'à te laisser faire, on s'occupe de tout et pour pimenter le jeu, on t'attache. Comme ça tu auras l'excuse que ce n'est pas toi qui veux ça. OK ?

Très excitée à l'idée de me faire prendre par trois femmes si jolies l'une que l'autre et sous l'effet de l'alcool, je m'emballe et tends mon verre pour qu'on me serve une quatrième Pina. Je l'avale d'un trait tant ma bouche est sèche.

— Alors santé les filles, moi c'est Sylvie, il ne faut pas mourir idiote, je suis venue ici pour me faire baiser. Alors baisez moi comme vous en avez envie, je me laisse attacher, faite moi jouir.

— Laetitia s'empare de ma bouche et me donne un langoureux baiser. Sa langue fait des allers-retours et tourne autour de la mienne. Je me surprends à aimer ce contact nouveau pour moi, je sens ses seins durcir contre les miens.

— Elle est mûre, elle va apprécier, j'en suis certaine, à toi Caroline.

La barmaid sort de son comptoir et vient me rejoindre pour m'embrasser de la même façon : à pleine bouche. Je lui rends son baiser avec la même fougue, tandis que Véronique remplit mon verre.

— Tiens bois, cela va te donner du courage pour la suite, fous-toi à poil, j'ai hâte de jouer.

Je m'exécute sans me faire prier et tout en ôtant mes vêtements un à un je prends une petite gorgée de mon cocktail préféré.

— Allonge-toi sur le billard dit Laetitia, écarte bien les jambes et les bras, je vais t'attacher aux pieds du billard dans cette position, tu veux bien ?

— Oui, oui, vas-y, je suis prête, vous pouvez me faire tout ce que vous voulez.

— Très bien, on va commencer par la boule blanche, ça te va ? Ouvre la bouche !

Et sans attendre ma réponse elle met une boule dans ma bouche qui n'est pas une boule de billard, mais une boule en plastique. Elle m'explique : « c'est une poire d'angoisse pour t'empêcher de crier ».

— Je hoche la tête et rigole intérieurement en pensant que Stéphane a dû lui décrire les cris de jouissance poussés pendant nos ébats.

Me voilà dûment attachée et bâillonnée, sur le dos, les bras en croix et les jambes bien écartées, la tête pendant en arrière. Je vois Laetitia qui enduit une boule blanche de lubrifiant et la présente au bord de mon petit orifice. Le contact froid fait se crisper ma rondelle. Sous la poussée insistante, je sens mon cul s'ouvrir lentement jusqu'à avaler d'un coup cette bille qui va se ficher en moi. La dénommée Véro s'empare alors d'une queue et me l'introduit par le gros bout, poussant la boule au plus profond de mon anus. Elle pousse tellement loin et fort que je pousse un cri étouffé par le bâillon. Je roule des yeux tantôt furibonds, tantôt suppliants, pour leur faire comprendre que le traitement me déplaît, mais rien n'y fait. Je sens une deuxième queue de billard entrer en moi par le même trou qui s'enfonce encore plus loin que la première, aussitôt rejoint par une troisième qui m'écartèle le cul. Je les entends rire toutes les trois.

— On en met combien devant, Laetitia ?

— Deux ou trois, mais pas tout de suite, on va d'abord s'occuper de ses tétons.

À ces mots, une petite cloche est posée sur chacun de mes mamelons et mes tétons sont aspirés fortement à l'intérieur de cette cloche pour la remplir en totalité, doublant voir triplant de volume sous l'effet de cette succion. La douleur est si vive que j'en oublie celle de mon cul distendu et de son hôte si profondément ancrée en lui.

Une autre cloche est apposée sur mon clito qui se trouve aspiré de la même façon. Il sort démesurément de son habitacle et me fait pousser des hurlements qui se transforment en petits râles à cause de la boule dans ma bouche. Caro s'empare d'une pince bizarre dont les mords sont des anneaux (on m'expliquera par la suite que c'est une pince à piercing) elle saisit mon clito à sa base, le maintenant ainsi bien à découvert. Sans attendre, elle le transperce avec une aiguille à coudre assez grosse, munie d'un fil d'une trentaine de centimètres, et s'emploie à coudre un bouton piquant et ressortant à travers les quatre trous comme on le ferait pour fixer un bouton à un chemisier. Je tombe dans les pommes sous l'immense douleur qui irradie dans tout mon corps. Quelques claques plus tard, je reviens à moi pour constater que mon clito est orné d'un beau bouton rouge d'au moins deux centimètres de diamètre.

Vas-y maintenant, tu peux y mettre deux boules, dit Caro ? Et Véro m'en enfourne deux, rouge, cette fois, dans le vagin, faisant bien ressortir mon clito en tirant sur le bouton. Elle saisit une autre pince assez volumineuse pour prendre toute la largeur de mes lèvres vaginales, tire le plus possible tandis que Caro reprend ses travaux de couture pour refermer ma vulve. Elle s'ingénie à faire de tout petits points, bien serrés, en prenant soin de laisser mon clito à l'extérieur.

On m'enlève les aspires tétons, ce qui me fait un bien fou. Mes tétines restent dures mais la tension diminue peu à peu. Le répit est de courte durée. Déjà Caro reprend son aiguille, passe un long fil dans le chas, confectionne un nœud à l'extrémité et ajuste un bouton sur mon téton gauche puis sur le droit. La douleur ne viendra qu'après quelques minutes, mes tétines étant comme anesthésiées par la longue succion. Les trois queues sont retirées de mon fion.

On me détache pour me mettre en position courbée sur le billard. Mes seins s'écrasent sur le tapis. On m'écarte les jambes et, tandis que Caro me maintient dans cette position, Véro introduit une queue de billard dans mon cul par le gros bout. Avec espièglerie, elle la fait aller et venir très vite, très fort et très profondément, heurtant à chaque fois la boule qui s'y trouve. La sensation est terrible, je sens la boule s'enfoncer un peu plus à chaque coup.

Le supplice à peine terminé, Laetitia ajoute deux boules dans mon anus. Véro m'oblige à enfiler une espèce de culotte en cuir et métal qui n'est autre qu'une ceinture de chasteté munie d'un court mais assez gros plug. Elle l'ajuste à mon petit trou puis referme cette culotte bizarre par un cadenas dont les trois filles, après m'avoir plaquée au sol, me contraignent à avaler la clé.

— Voilà ! dit Laetitia, tu peux te rhabiller et partir, mais avant tu vas nous sucer toutes les trois.

Je m'exécute pour enfin échapper à ces trois teignes. Arrivée chez moi, Marc, que j'ai appelé depuis le train, m'attend sur le pas de porte avec sa boîte à outils et surtout une grosse pince que je lui ai réclamée. Je le fais entrer précipitamment et lui demande de s'abstenir de poser des questions. Il reste un moment bouche bée devant le spectacle que je lui offre une fois nue. Je le presse de couper le cadenas, il a carrément un mouvement de recul en découvrant ma chatte cousue et mon clito boutonné.

— Ça doit faire mal, interroge-t-il en me reluquant, je vois un début d'érection gonfler son jogging.

— N'y pense pas, délivre-moi s'il te plaît, j'ai trop mal.

Je cours aux toilettes et expulse deux boules de mon anus, mais j'ai beau pousser de toutes mes forces, la troisième reste à l'intérieur. Je m'allonge sur le lit, Marc coupe avec un cutter les fils retenant les boutons de mes seins, m'arrachant des hurlements malgré toutes les précautions prises pour œuvrer le plus délicatement possible. C'est encore pire quand il s'attaque aux fils de mon clito qui, une fois le bouton ôté, se rétracte à l'intérieur de mon vagin avec les bouts de fils encore attachés. Marc tranche ceux qui relient mes lèvres à l'aide de petits ciseaux, point par point. Ma vulve s'écarte progressivement sous la poussée des boules de billard qui finissent par sortir, aidées par les doigts de mon libérateur. Le soulagement est tel qu'il mérite bien une petite fellation. Il jouit dans ma bouche presque aussitôt, excité comme jamais par la situation.

Il a encore dû jouer au gynécologue pour ôter tous les fils incrustés dans mon clito.

J'ai dû aller voir un gastroentérologue pour extirper la boule restée fichée en moi. L'opération s'est passée devant un parterre d'internes, d'infirmiers et infirmières qui se sont bien rincé l'œil tout le temps de la manœuvre, exécuté par le docteur qui expliquait au fur et à mesure ce qu'il faisait.

— Voyez, là, j'introduis l'endoscope afin d'aller aspirer l'objet que cette jeune femme s'est enfoncé trop profondément pour pouvoir l'expulser de façon naturelle. Je suis obligé de m'y reprendre en plusieurs fois. L'objet, une boule de billard apparemment, m'échappant dès que je tire un peu trop vite.

Une fois délivrée, j'ai vu passer, je pense, tout l'hôpital à mon chevet, chacun y allant de son petit commentaire. J'ai mis plusieurs mois avant de pouvoir rebaiser. C'est bien sûr Marc qui en eu la primeur.

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2 Commentaires
lecocqlecocqil y a plus d’un an

vivement une suite

Assas78Assas78il y a plus d’un an

Beaucoup d'idées, mais vraiment trop rapide

On dirait un catalogue de sévices que vous avez lu dans d'autres histoires

Et en fait il n' y a aucune histoire, juste le catalogue

Dommage, car il y avait moyen d'écrire une histoire excitante, alors que ce catalogue ne l'est pas

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