Vendanges

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La fin des vendanges avec ma nouvelle épouse…et un ami.
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lexdepenny
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Nous sommes en pleine canicule, mais pas celle de 2022. 1976 a été l'année la plus chaude...jusqu'à présent. Moi, Jack, je viens de terminer mes études et de me marier avec Mary. Tous les deux Irlandais, tous les deux âgés de 22 ans. Elle a encore un thèse à boucler à la fac, alors moi je fais comme les deux étés précédents et je pars faire les vendanges en Alsace. Je suis connu à ce vignoble, et apprécié par les propriétaires, en partie parce que j'ai pris le temps de connaître leur fils, Jakob. Un jeune homme baraqué et solidement musclé, une figure de vedette de cinéma, ce n'est que quand on remarque l'absence de lumière dans ses yeux qu'on sait qu'il est en partie absent. À sa naissance, il y a eu une panne d'oxygène, et le pauvre Jakob a un cerveau qui a énormément de retard par rapport à ses 19 ans. Certains autres profitent de son innocence, l'envoient chercher un tournevis pour gaucher, la clé du champ de tir et ainsi de suite. Moi je m'entends bien avec lui, je sais ce qu'il peut et ne peut pas faire, qu'au travail il est intarissable, et que dans les vignes, il fait le boulot de deux, sinon plus. On fait une bonne équipe, et quand Mary arrive, totalement ignorante de ce qui est à faire, sans parler de comment on le fait, on travaille à trois. Jakob a une gentillesse et une patience inépuisable et elle apprend vite.

Il la regarde, bien sûr, comme tout autre mâle qui se respecte. Normal. Elle est belle. Mary est très grande, un mètre quatre-vingts, avec des jambes bien faites et en conséquence. Elle est filiforme, avec une chevelure rousse qui proclame ses origines. Ses longues jambes sont toutes pâles, malgré le soleil qui tape, parce qu'elle porte des robes légères mais qui la couvrent du cou jusqu'aux chevilles. Un chapeau large protège sa figure et ses tâches de rousseur. Dans l'ensemble on dirait une des filles des photos de David Hamilton, même si un peu plus âgée que celles-là!

J'ai été son premier amant, en deuxième année de fac, et j'ai compris tout de suite que si elle voulait de moi, j'étais non seulement partant mais heureux comme je n'avais jamais été. Cela ne m'a pas empêché de l'initier à la fellation. Quand mes baisers ont délaissé ses lèvres et puis ses tétons pour descendre plus bas, j'ai cru que j'allais lui apprendre le cunnilingus. Elle m'a détrompé, vite fait, bien fait. Sept ans de pensionnat lui ont donné une instruction complète. Principalement en spectatrice m'a-t-elle dit, mais, avec les joues joliment rosissantes, elle a fini par admettre qu'une amie l'avait fait jouir ainsi, et qu'elle lui avait rendu la faveur. Seulement une fois, pour savoir, m'a-t-elle juré. Je fais semblant de la croire en me promettant d'explorer cette histoire plus tard. Entre-temps, je fais de mon mieux pour être à la hauteur de cette amie.

Elle a de mignons petits seins que j'adore, même si elle se plaint d'être toute plate.Tout dernièrement je l'ai encouragée à tenter ce que j'espérais deviendraient les plaisirs de l'exhibition. La peau toute pâle de Mary brûle en un rien de temps à la plage, donc la voir topless en bord de mer était impossible. Sa première exhib, donc, a été dans un restaurant en Italie, où sa poitrine et ses tétons ont été très visibles...et très durs... sous un teeshirt plus ou moins transparent, un cadeau d'anniversaire que j'ai été ravi de lui offrir. Elle a tremblé tout au long du repas, sous le regard attentif des serveurs, mais son sexe humide et son enthousiasme dès qu'on est retournés à notre camping ne laissait pas de doute que d'autres sorties seraient envisageables.

Jakob est fasciné par cette peau laiteuse, et peu après son arrivée, il me demande si sa peau est aussi douce qu'il imagine. J'ai déjà remarqué qu'il évite les contacts physiques en général, mais, sans y réfléchir, je le rassure qu'elle a la peau tout aussi douce de partout, et il rougit. Je sais que certaines des filles le taquinent. Elles se trouvent...par hasard, evidemment... à poil quand il doit passer nettoyer les douches. Pourtant il annonce son arrivée bien avant d'y entrer. Il est comme un petit garçon à qui on dit ou on fait voir des choses qu'il sent qu'il devrait comprendre, mais qu'il ne comprend pas vraiment. Il adore Mary, mais un peu comme un chien adore sa maîtresse.

Arrive donc le dernier soir et le repas du départ. De longues tables sont dressées dans la cour de la ferme et au crépuscule tout le monde se réunit, à la lumière de lampes de pétrole. Mary met une robe en coton fin vert, longueur genou. Le haut est soutenu par de fines bretelles. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Quand on sort dans la cour, je vois Jakob qui nous a gardé le bout d'un des longs bancs en bois. Mary se met à côté de lui et moi je suis tout au bout. On mange et on boit.

Au bout d'un moment, à force d'avoir passé des journées entières avec Jakob, je sens que quelque chose le démange.

- Il y a un problème, Jakob?

- Euh...euh... non. Pas vraiment.

- Allons mon grand. Nous sommes des amis, Mary, toi et moi. Dis moi tout.

Alors il s'explique, avec des pauses, des hésitations et des bribes de phrase dont j'extrais l'essentiel.

Il a eu la maladresse de raconter à Norman, un Australien aux habitudes louches, que je lui avais dit que Mary avait la peau très douce. Selon Norman, Jakob devrait simplement attraper Mary, pour vérifier, "parce que les filles, elles aiment ça". Je jette un coup d'œil vers le trio Australien et il est évident qu'ils s'attendent à ce que Jakob, sans crier gare, s'empare de ma femme, et que je réagisse violemment. Norman sème la discorde depuis son arrivée et il ne sera plus embauché l'année suivante.

J'explique la situation à Mary, dont le Français limité n'a pas permis de suivre les balbutiements de Jakob.

- Ça ferait trop plaisir à Norman si tu laissais Jakob te toucher le bras. Il verrait et il croirait avoir gagné. Tu es chiche qu'il te caresse un peu le genou? Comme ça, Jakob aura ce dont il a envie et les autres n'en sauront rien.

Mary me regarde. Même si elle s'est beaucoup libérée depuis son pensionnat en Irlande, laisser un autre que son mari lui toucher la jambe l'enquiquine. Elle avale et fait quand même oui de la tête. J'explique à Jakob comment on va faire. Il ne doit absolument pas laisser deviner qu'il se passe quelque chose hors norme. Il a la figure de nature peu expressive, donc à condition qu'il regarde ailleurs, personne ne saura rien. Il dit qu'il comprend. Sa main glisse sous la table. Je pose ma main sur le genou de Mary pour accueillir celle de Jakob, qui a une paluche comme une bêche à creuser. Je retire ma main de sous la sienne, et j'entends son soupir de plaisir, car la peau de Mary est en effet très douce.

Quelques secondes s'écoulent, et je suis sur le point de dire à Jakob qu'il peut lâcher prise, quand Mary pose son doigt sur mes lèvres et me parle en anglais.

- Il a tellement peu de plaisir dans la vie, me murmure-t-elle. Laisse-le encore un peu. On peut bien lui offrir ça.

Elle à les genoux serrés, et ma main est en contact à la fois avec les doigts de Jakob et l'autre genou de Mary. Je sens que le pouce de Jakob caresse très doucement le genou de Mary. Elle ferme à moitié les yeux. J'avais oublié à quel point ses genoux sont sensibles. Que faire? Je prends le risque.

- Si je te demandais de découvrir un peu tes cuisses, que dirais-tu?

- Comme ça? demande Mary, sans hésitation. Elle remonte le coton vert de sa robe d'une dizaine de centimètres. Je vérifie avec ma main.

- Oui, comme ça c'est bien.

Jakob semble perdu dans un petit monde à lui. Je touche sa main et j'indique qu'il a le droit de toucher plus haut sur la cuisse nue de ma femme. Il pose sa main un peu plus haut et reprend ses caresses.

- Je l'ai vu qui caressait les bêtes, me souffle mon épouse. Il est toujours très gentils avec les animaux et là, il me flatte pareil. J'aime la sensation. Il me câline comme un chat. Je me sens toute calme.

Elle est en effet très détendue, je le sens, alors je commence à frôler l'interieur de sa cuisse gauche.

- Ça c'est bien aussi, me murmure-t-elle avec un petit sourire.

- Si tu écartais un peu les cuisses?

- Comme ça? Je suis sûre que Jakob ne pense pas plus loin que ça. Il n'y a que toi et moi à réfléchir au fait que deux hommes sont en train de me caresser les cuisses nues en même temps.

- Je m'en rends compte, crois-moi! Et toi? On dirait que ça te fait des choses?

- Oui. Vous me caressez chacun à votre façon. Je suis très consciente que deux hommes me touchent, et c'est très nouveau pour moi. Tu as envie que je retrousse encore un peu ma robe?

- Oh, oui!

Elle passe sa main sous la nappe qui couvre la table.

- Ecoute. Si je remonte ma robe, la nappe ne cachera plus mes cuisses et je risque de montrer mon slip.

- Seulement à quelqu'un qui est sous la table!

- D'accord, mais tu vois ce que je veux dire. Attends cinq minutes et on verra. Attention, cest loin d'être certain!

Pendant que nous continuons à discuter, je continue mes frôlements, et je sens que Jakob fait de même. Peu à peu, Mary écarte ses cuisses, qui sont maintenant dans une position que jamais elle n'aurait adoptée sans la nappe qui cache en partie ses cuisses. Elle a le menton appuyé sur les mains avec ses coudes sur la table. Soudain, sans que son expression ne change, elle descend une main et retrousse sa robe jusqu'à l'aine. Maintenant la nappe ne cache plus rien de nos manœuvres. Je peux voir son slip en coton blanc et aussi mes doigts, qui sont à même pas cinq centimètres de son entrejambe. Ce qui me fait bander, c'est que je vois aussi la main de Jakob, même si elle est simplement posée sur la cuisse, alors que la mienne est entre les jambes de mon épouse. Jamais, sauf dans mes fantasmes les plus fous de cette époque-là, je n'aurais imaginé Mary accepter une situation pareille! J'ai commencé à lui dévoiler certains de mes envies et projets pour nous mais nous n'en sommes qu'aux débuts.Je ne résiste pas à la tentation de profiter du moment Je prends la main de Jakob et je la pose en copie conforme de la mienne sur l'autre cuisse.

Jakob et moi, nous voyons bien ce que nous sommes en train de faire à ma femme complaisante. Les cuisses de Mary forment un angle de trente degrés au moins. Mes doigts, comme ceux de Jakob, sont attirés comme automatiquement vers le coton tendu.

Soudain Mary se met toute droite, descend sa robe et resserre les cuisses. J'ai à peine le temps de retirer ma main. Puis je vois que Norman et ses potes, tous bien beurres, se sont levés et vont passer derrière nous. Ils nous lancent quelques vannes au passage, que nous ignorons. Aussitôt qu'ils ont disparu, Mary souffle un grand coup, se lève et se dirige vers le dortoir des filles.

- J'ai fait quelque chose de mal? me demande Jakob, très inquiet.

- Pas du tout. Tu aimais ce que tu faisais pour Mary?

- Oh oui. Elle a la peau vraiment très douce. Surtout là où tu viens de me placer la main.

- Tu as raison. Et elle aussi, elle aime beaucoup ce que nous lui faisons.

- C'est vrai? Tu ne mens pas?

- Demande-lui. Elle revient.

Mary a l'air de s'être de nouveau calmée. Je me lève et elle s'installe entre nous deux. Elle prend une gorgée de vin.

- Je suis prête, dit-elle.

La nuit est tombée et les autres sont partis. Il y a un bal dans le village. Nous sommes quasiment seuls. Mary regarde autour de nous. Un observateur dirait que nous sommes en train de discuter en amis. Nous sommes les seuls à savoir que, sitôt assise, Mary a carrément remonté sa robe jusqu'à la taille. Ses fesses nues sont directement sur le banc et à la lueur des lampes, sa toison, fine et tout aussi rousse que ses cheveux, est sous nos yeux. Si moi je suis étonné qu'elle ait osé enlever sa culotte, Jakob est aux anges.

- Comme c'est beau, dit-il. Quelle jolie couleur! C'est beaucoup plus joli que les autres filles!

- Et c'est doux au toucher, dit mon épouse.

Ses paroles me coupent le souffle! Mon épouse vient-elle d'inviter Jakob à apprécier la douceur de son intimité? Je manque de jouir sur place...

Mary est calme, on la dirait insouciante. Sans se presser, elle prend ma main dans une des siennes, pendant que de l'autre elle prend celle de Jakob. Elle regarde son sexe nu et nous positionne avec soin, la main de Jakob à la cuisse droite, à quelques millimètres de sa vulve. La mienne, elle met à exactement la même distance sur l'autre cuisse. Son sexe est mouillé et parfumé, et j'en sens la chaleur sur mes doigts. Elle reprend sa pose d'avant, coudes sur la table, la tête sur les mains.

- Ce soir, dit-elle, c'est toi, Jakob, qui es notre invité d'honneur. À toi de passer en premier. Regarde-moi. Touche-moi, examine-moi et explore-moi. Caresse-moi. Je veux sentir tes doigts qui me frôlent et qui me fouillent. Vas-y. Si tu ne sais pas trop comment faire, mon mari te montrera comment me faire plaisir.

Au cours d'une bonne demi-heure, Jakob et moi faisons jouir Mary, tantôt à tour de rôle, tantôt avec nos doigts qui s'entremêlent dans la fente trempée de sa vulve. Aux moments où je laisse le champ libre à Jakob, Mary m'embrasse avec fougue et baisse le haut de sa robe pour m'encourager à caresser ses seins et ses tétons durs. À ce moment-là, ce n'est plus mon épouse que nous caressons, celle avec qui je me suis marié seulement quelques semaines auparavant. Mary s'est transformée, et est devenue l'emblématique femme sensuelle de tous les âges. Cette femme-là n'exige rien de nous que de la faire jouir, jouir et jouir encore. Mary subit des orgasmes répétés, qui à la longue deviennent presque continus. Les vagues de frissons qui la secouent se succèdent de plus en plus vite. À la fin, elle ne peut s'empêcher de vibrer incontrôlablement de la tête aux pieds.

- Stop! Je n'en peux plus, balbutie-t-elle enfin. Sa voix est rauque, cassée par le contrôle qu'elle a dû exercer pour ne pas crier haut et fort les paroxysmes de délire que nous avons déclenché en elle.

Elle elle se lève, fait une bise chaste de remerciement à Jakob, m'embrasse avec tendresse et se dirige en titubant un peu vers le dortoir des filles. À la porte, elle se retourne et me fixe du regard. C'est elle qui trouve les paroles de ma pensée.

- Bonne nuit, mon amour. Il va falloir qu'on en discute, n'est-ce pas? Notre mariage va être différent de celui des autres, je crois. Pas toi?

- Oh, si! Si!

Elle avait raison.

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4 Commentaires
lisedusudlisedusudil y a environ 1 an

oh, c'est trop beau!!!

Assas78Assas78il y a plus d’un an

Très beau partage dans tous les sens du terme.

Merci

JacquesduCanadaJacquesduCanadail y a plus d’un an

Quoique les histoires de candauliste et de partage ne font pas partie de mes lectures de choix je trouve celle-ci très sensuelle et érotique. L’auteur est un compositeur hors pair.

Félicitation

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Que dire ? J'adore ! Tu mets une intensité érotique dans des scènes qui pourraient être banales. Bravo et merci

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