Vénale Sabine

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Certaines personnes sont prêtes à tout pour du fric.
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Samedi après-midi, je revenais du sport quand mon portable sonna.

- Salut c'est Sabine.

- Salut, tu vas bien?

- Oui. Dis-moi, on peut se voir? J'ai à te parler.

- Passe chez moi dans une heure.

- Ok, à tout de suite.

Sabine était une de mes ex. Nous étions restés ensemble 4 ans, un relation basée à la fois sur le cul et sur une affection profonde. Au final nous nous étions séparés car elle ne voulait plus d'enfants, en ayant eu deux de son premier mariage.

C'était maintenant une femme de 45 ans, toujours aussi mince, beaux petits seins, beau petit cul, blonde, yeux bleus, grande bouche souriante. Ses deux gamins étaient maintenant proches de l'âge adulte.

Nous nous voyions de temps à autre, essentiellement quand elle avait besoin de moi. En général, parce que son mec du moment la baisait mal, ou pas assez. Après le pathos larmoyant habituel, cela finissait au plumard.

Notre séparation avait néanmoins été assez violente, elle avait quelqu'un d'autre et il s'était écoulé de longs mois avant que nous ne renouions le contact. Depuis en revanche, nous nous rencontrions discrètement et bon même si je lui gardais toujours un chien de ma chienne, c'était juste bien agréable de la sauter de temps.

Une heure plus tard, elle sonnait à ma porte alors que je sortais de la douche.

- Salut, toujours aussi mignonne.

- Flatteur, tu te maintiens en forme aussi.

- Bon que t'arrive-t-il?

- Eh bien voilà... Je suis en procès avec mon ex-mari.

- Michel?

- Oui.

- Je ne comprends pas, vous êtes divorcés depuis belle lurette non?

- Oui mais j'ai récemment discuté avec mon avocate et elle estime qu'il aurait dû me verser plus et je lui réclame donc une somme rondelette. Mon avocate estime que je peux en retirer entre 100 et 200 000 euros. Tu sais que je ne roule pas sur l'or alors que lui si...

- Bon et tu as besoin de moi pour quoi exactement?

- Le fond du problème, c'est la garde des enfants, notamment après la séparation.

Elle m'exposa en détail la situation, cela semblait plausible, à un détail près.

- Attends, il n'a jamais été question de cela dans les discussions pour l'organisation des week-ends quand nous étions ensemble.

Là Sabine rougit.

- Euh... si tu pouvais dire le contraire au procès... nous nous sommes quittés en mauvais termes, tu noircis le tableau un peu, tu me fais passer pour une salope et après tu corroborres ma version... L'avocate estime que comme cela, nous gagnons le procès sans problème, tu es le seul témoin, et a priori contre moi.

- Ah en gros, tu veux que je fasse un faux témoignage...

- Comme tu y vas...

- Ecoute, le parjure non merci. Si c'est tout ce que tu as à me demander, tu sais où est la porte.

- Si je gagne le procès... je te donnerai dix pour cent de la somme en liquide.

- Je m'en fous. Le fric j'en ai.

- Moi pas, et je ferais n'importe quoi pour récupérer cet argent. C'est mon dû.

N'importe quoi... tiens, tiens...

- O.K., je te fais une contre-proposition. Je t'aiderai à condition que tu sois à ma disposition pour un week-end complet.

- A ta disposition?

- Oui, sexuellement. Si tu veux mon aide, tu seras mon esclave sexuelle d'un vendredi soir au lundi matin.

- Mais enfin je suis remariée. Je sais bien que nous avons fait l'amour ensemble entre mes deux mariages, mais là.

- Arrête tes conneries, je te sautais déjà quand tu étais encore avec ton premier mari. Et de toutes façons, c'est à prendre ou à laisser. Et bien sûr... le week-end aura lieu avant le procès. Et tu te décides maintenant. Si tu franchis le seuil de cet appartement, cela signifiera pour moi que tu refuses, et il n'y aura pas de retour en arrière.

- Mais...

- Tu viens de dire que tu étais prête à faire n'importe quoi pour avoir ce fric non...

Elle éclata en sanglots.

- Je t'en prie, tu ne peux pas me demander cela.

- Eh si tu vois. A prendre ou à laisser.

Au bout de quinze minutes de supplications, elle vit que je ne me laisserais pas fléchir et me dit d'une petite voix.

- C'est d'accord.

- Parfait. Trouve-toi un week-end de libre le mois prochain, prétexte un séminaire au boulot, ce que tu veux, je m'en fous. Du vendredi 18 heures au lundi 6 heures tu seras mon esclave.

- Ton esclave?

- Oui. Nous allons un peu travailler ta docilité... ma pute.

- Ne m'appelle pas...

J'éclatais de rire. Elle rougit.

- Ah avant de partir... Je veux un hors d'oeuvre pour sceller notre contrat.

- Un hors d'oeuvre?

- Fous-toi à poil et montre-moi tes orifices.

Elle détestait la vulgarité tant qu'elle n'était pas vraiment excitée, j'en profitais donc pour l'humilier un brin.

- Je t'en prie.

- A poil.

Elle se déshabilla rapidement, pas un strip-tease du tout.

Je la fis pivoter sur elle-même.

- Toujours aussi bien foutue. Une des rares femmes que je connaisse mieux foutue à poil qu'habillée...

-Merci, dit-elle en rougissant.

Je la fis ensuite mettre à quatre pattes et examinai ses orifices.

- Ta chatte dégouline déjà, je sens que le week-end va te plaire. Je t'ai manqué.

- Ouiii... dit-elle en gémissant.

Je m'éloignai d'elle, me déshabillai et m'assis sur le canapé.

- Viens vers moi à quatre pattes, reste à genoux et suce moi.

Et elle le fit. Je reconnaissais le désir dans ses yeux. Elle avait envie d'être dominée et traitée comme une chienne et elle allait être servie.

Je n'avais pas réellement besoin d'une pipe, j'étais déjà très excité, mais elle était vraiment une bonne suceuse.

Après quelques minutes de succions et léchouilles je me levai et m'accotai derrière elle.

- Ta chatte est vraiment trempée.

- Mon mari me baise moins souvent maintenant.

- Et apparemment il néglige ton petit trou.

- Oui, il trouve cela sale.

- Moi pas.

Et sur ces mots, je forçai sa rondelle. Elle étouffa un cri puis commence à bouger son cul pour venir à ma rencontre.

- Salaud, c'est comme un deuxième dépucelage.

- Un trou du cul de salope, cela s'entretient ma chère. Si ton mari ne s'en occupe pas, pas étonnant que toute nouvelle sodomie te paraisse douloureuse. En tous cas ton anus est le premier que je dépucelle deux fois.

- Ralentis s'il-te-plaît.

Je la limais effectivement comme un soudard. Je ralentis le rhythme, ressortant presque entièrement de son cul avant de replonger à fond, lui arrachant des râles de plaisir et de douleur. J'en profitai aussi pour lui donner une fessée.

- Pas trop fort, pas de marques s'il te plait.

- Je fais ce que je veux.

- Je t'en prie.

- Tu es mon esclave.

- Seulement pour le week-end, nous n'y sommes pas encore, et je ne veux pas que mon mari voie les marques...Pas de marques externes...

- D'accord.

Je sortis de son cul, la retournai et fourrai ma queue dans sa bouche.

- Suce moi jusqu'à la jouissance et nettoie-moi.

Elle me jeta un regard empli de dégoût mais obtempéra. Quelques minutes plus tard, je jouissais dans sa bouche.

- Excellent hors d'oeuvre. Nous avons un accord. Je suis certain que le week-end sera enchanteur.

Elle fit un brin de toilette puis partit, troublée et humiliée. De mon côté, j'avais quelques préparatifs à faire pour faire de ce week-end quelque chose d'inoubliable.

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