Vacances à Rodrigues

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Deux couples de bourgeois partent en vacances à Rodrigues.
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LucasDehi
LucasDehi
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29 Decembre 8h

J'attendais Marie sur la plage de notre hôtel. Nous sommes arrivés le 26 Décembre, il y a 3 jours, à Rodrigues et nous repartons le 1re Janvier dans 4 jours. Marie c'est ma meilleure amie, je l'ai rencontré à un repas de charité organisé par le maire de Bordeaux, un ami à elle. C'est une femme de 54 ans, sublime, bien conservée et qui fait très attention à son style BCBG. Moi, je suis Sylvie Martin, 45 ans, brune, élancée et pratiquante assidue de yoga, pilate et autres sports pour femme mûre qui servent à se maintenir en forme et rester désirable.

Mon mari, Pierre, et moi avions confié nos enfants à ma mère et prit 1 semaine de vacances au soleil. Évidemment j'avais proposé à Marie et son mari Alain, qui ont tout de suite sauté sur l'occasion pour eux aussi s'offrir du repos. Il va de soi que nous avons pris l'hôtel le plus prisé de l'île, étant tous les quatre assez riches pour pouvoir se le payer facilement.

Marie arrive, elle est brune avec des très gros seins qui débordent de son haut de maillot. Un lambe est serré autour de sa taille et elle a dans son sac tout le matériel pour notre activité de ce matin, c'est à dire crème solaire, masque, tuba...

Nous avons réservé une séance d'exploration sous-marine, avec des moniteurs qui nous expliqueront quels poissons on peut voir et s'assureront que tout se passe bien.

J'ai moi même dans mon sac ma crème solaire, mon matériel de plongée et des habits de rechange pour après l'activité. Pour l'instant, je suis en maillot 2 pièces comme mon amie, j'ai de moins gros seins qu'elle mais ils restent tout de même conséquents et fermes, remplissant pleinement mon haut de bikini.

- Salut ma belle! Prête pour l'explo? demandai-je

- Yes j'ai trop hâte! Il fait super beau. Alain dort encore, il n'a pas voulu venir, il m'a dit qu'avec Pierre ils avaient prévu d'aller jouer au golf toute la matinée, répond Marie.

- Oui c'est pas leur truc la mer, eux ils préfèrent taper dans des balles!

On rigole toutes les deux mais nous sommes interrompus par un jeune homme.

- Bonjour mesdames, je suis Mathieu. Je suis un de vos guides pour l'excursion! Suivez moi je vous prie.

Il parle avec un fort accent rodriguais. Je comprends que c'est un local et me réjouis que quelqu'un qui connaît bien son pays soit notre guide pour cette matinée. Mathieu est grand, noir, avec des cheveux crépus en petite tresse, de grands tatouages recouvrent ses bras. Il nous amène à son bateau, garé dans le lagon devant l'hôtel. Deux autres rodriguais nous y attendent.

- Je vous présente Phil et Manoa, ce sont eux qui vous accompagneront sous l'eau pendant que moi je resterai au bateau. Manoa ne parle pas beaucoup français mais il se débrouille. nous explique-t-il.

Nous leur serrons la main. Phil me sert un sourire franc et je le vois plonger ses yeux dans le décolleté de mon maillot. Je fais comme si je ne m'en étais pas aperçu et lui demande de l'aide pour monter dans le bateau. Marie, devant moi, monte difficilement dans le bateau si bien que son lambe laisse apercevoir ses fesses encore bien bombées. Manoa et Phil ne perdent rien du spectacle et ce dernier l'aide en posant ses mains sur le fessier de mon amie et en la poussant vers le bateau. Marie n'a pas l'air de s'en être aperçu...

Une fois installée dans le bateau, je détaille nos guides. Phil et Manoa sont eux aussi très grands, de peau noire, le regard sombre et profond. Être entourée par 3 géants noirs comme eux m'impressionne, je me serre contre Marie et reporte mon regard vers l'eau. Elle est translucide et le ciel sans aucun nuage.

- On va aller dans un endroit tranquille où on pourra plonger sans personne pour nous embêter. déclare Mathieu.

- Accrochez-vous, le bateau va démarrer, complète Manoa.

J'agrippe la rambarde du bateau et défais mon chignon. Le bateau file à toute vitesse sur l'eau transparente, mes cheveux volant dans le vent. Je ferme les yeux et profite de ce moment magique. Je ne fais pas attention à nos 3 accompagnateurs qui discutent entre eux en créole rodriguais en nous regardant, une lueur inquiétante dans le regard.

Une fois arrivés sur l'endroit de la plongée, nous nous préparons. Les alentours sont déserts, pas un bateau en vue et les coraux peu profonds, je distingue même les poissons à travers la surface. Marie retire le lambe autour de sa taille, laissant voir ses fesses musclées. Elle essaye de passer son masque et son tuba mais n'arrive pas à le serrer autour de sa tête.

- Laissez-moi vous aider, propose Phil.

Il passe derrière elle et commence à s'affairer sur le masque. Soudain, une petite vague heurte le bateau sur le côté. L'embarcation ondule. Je me rattrape en m'accrochant au volant du bateau et Marie essaye de faire de même. Mais dans l'action, un de ses seins sort de son maillot. Je regarde son sein lourd avec son téton dehors.

Confuse, elle s'empresse de le replacer. Mais aucun de nos guides ici présent n'a loupé ce spectacle. Je vois l'expression de Phil changer, un regard trouble traverse son visage... Et alors que ses mains s'affairaient sur le masque, elles se déplacent et enlèvent le noeud du haut du maillot de mon amie.

- Mais que faites vous! s'écrie Marie, outrée!

Elle fait volte-face et envoie une gifle au Rodriguais. Mais Phil avait prévu le coup... Il arrête sa main et la gifle à son tour. Marie choquée se tient la joue d'une main et son haut de maillot de l'autre.

- Ta gueule salope. T'a pas à lever la main sur moi! hurle Phil sur la pauvre Marie terrorisée.

Elle bredouille des excuses mais Phil en profite pour retirer la main qui tient son maillot et tirer sur celui-ci de toutes ses forces. Le maillot cède et il le jette sur le sol. Ma meilleure amie est seins nus devant un colosse noir qui la regarde avec une expression malsaine sur le visage.

Je commence à sentir que la situation est sur le point de déraper, je me retourne vers Mathieu avec un air suppliant mais je vois ce dernier m'adresser un sourire glacial. Manoa se place derrière Marie et prend ses mains, cette dernière essaye de se défendre et gesticule mais Manoa est trop fort pour elle et maintient ses mains derrière son dos. Tandis qu'elle donne des ruades, Phil la menace d'une autre gifle si elle ne se calme pas tout de suite. Marie, la directrice d'un cabinet d'avocat, qui a plus l'habitude de diriger que d'obéir, cesse de se débattre, le souvenir du coup encore en tête.

Je cherche une échappatoire, un moyen de fuir cette situation mais nous sommes au milieu de nul part, le rivage est à plusieurs centaines de mètres et aucun bateau n'est à l'horizon. Je comprends que je suis bloquée ici et Mathieu le sait aussi. Il s'approche de moi :

- Reste tranquille sinon on va devoir être méchant avec toi. Tu as compris que tu ne pouvais rien faire pour t'échapper.

Je lève mes yeux et le regarde, il a un sourire carnassier sur le visage. Il sait qu'il me tient. Mais je ne me laisserai pas faire aussi facilement. Je me mets alors à lui frapper le torse, criant, hurlant que je veux rentrer, que la direction en entendra parler... Mathieu rigole, il me retourne avec une facilité déconcertante. Il prend mes mains et les met dans mon dos. Alors avec le maillot de Marie, il me confectionne un lien qui me bloque les mains dans le dos. Un sentiment de terreur s'empare de moi. Me voilà mains attachées, offerte à trois pervers...

Mathieu me pousse sur une des banquettes du bateau. Je me retrouve le visage écrasé sur le coussin, les fesses relevées. Je sens la main de Mathieu s'abattre sur mon postérieur. Il me met des fessées comme une petite fille qui aurait été vilaine. Moi la bourgeoise de 45 ans, me fait maltraiter par de simples marins! Je tourne la tête pour voir comment s'en sort Marie et la découvre à genoux. Ses seins nus sont rouges d'avoir été giflé eux aussi, Phil debout devant elle a sorti sa bite. Je suis impressionnée par la taille de son engin. Un long membre d'au moins 20cm, qui est beaucoup plus long que celui de mon mari, pensais-je honteusement.

Marie a l'air de penser la même chose car elle regarde le monstre devant elle avec des yeux ronds comme si elle ne savait pas ce qu'il fallait en faire.

- Suce moi sale chienne! ordonne Phil.

Marie accuse le coup. Être insulté par un étranger, elle, l'avocate bien née, respectée sur bordeaux. Elle détourne la tête et lui dit d'aller se faire foutre.

Manoa qui est derrière elle lui pince alors le nez, Marie paniquée, a le réflexe d'ouvrir la bouche pour respirer et Phil en profite pour s'introduire dans ce trou accueillant.

Ma pauvre amie suffoque sous l'intromission mais Manoa maintient sa tête et entame un mouvement de va-et-vient sur la verge. Marie a arrêté de se débattre et laisse son tortionnaire gérer les mouvements de sa tête.

Je suis effrayée par la tournure des événements. Mes fesses me font un mal de chien et je crie à chaque coup déclenchant les rires de Phil et Manoa.

- Regarde-moi ce cul de bourgeoise! Il encaisse super bien! dit Mathieu hilare.

- Celle là commence à s'appliquer aussi. Mais il va lui falloir beaucoup plus d'expérience si on veut en tirer quelque chose. répond Phil.

Marie, la bourgeoise de 54 ans, indignée, pousse des jurons étouffés par la bite qu'elle suce. Manoa a lâché sa tête et c'est Phil qui a pris le relais, imprimant un mouvement soutenu à ma meilleure amie. Marie, peu habituée à ce genre d'exercice, est toute rouge, de la bave coulant sur le menton.

Mathieu me retourne, je suis à quatre pattes sur la banquette du bateau, il défait rapidement son short de bain et en sorti une bite aussi grosse que son collègue.

- Suce moi ou je te fais subir le même sort que ton amie.

Me rappelant le rythme effréné de la fellation de Marie et la détresse de cette dernière. Je choisis l'option qui me permet de gérer moi-même les mouvements par peur de m'étouffer.

Je gobe fébrilement sa queue dans ma bouche, ne pouvant pas utiliser mes mains bloquées dans mon dos. Sentir cette bite dure dans ma bouche, me procure une sensation de soumission étrange.

Phil et Mathieu poussent des soupirs de satisfaction. Cela fait 10 minutes qu'ils se font sucer la bite par deux bourgeoises. Marie gère elle même ses va-et-vient à présent.

Manoa réclame lui aussi sa part du gâteau, en créole rodriguais, il crie quelque chose à Mathieu qui lui répond en rigolant. Aussitôt une 2ème bite surgit devant moi, je comprends que je vais devoir m'occuper des deux si je ne veux pas être claqué. C'est la première fois que j'ai deux bites devant moi, des bites surclassant très largement celle dont j'ai l'habitude. Très vite j'alterne entre les deux membres, de la bave coulant jusque sur le pont du bateau.

Un cri me fait tourner la tête, Marie les joues rouges, se fait doigter par Phil. Ce dernier l'a courbé sur les manettes du bateau et agite ses doigts dans la chatte de sa proie. Marie constate avec effarement qu'elle commence à mouiller.

- Regardez moi le travail! rugit Phil en sortant ses doigts, tout le monde remarque qu'ils sont trempés...

Un déluge d'insultes s'abat sur nous, nous sommes traités de putain, de salope bourgeoise, de pute à noire. Je ne réponds pas trop occuper à passer d'une bite à l'autre, les gémissements de Marie dans mes oreilles.

Phil a introduit le bout supérieur du tuba dans son vagin et la tringle violemment. La bourgeoise distinguée proteste et le supplie d'arrêter mais l'état de sa vulve dégoulinante est criant de vérité.

Je sens que Mathieu et Manoa ne vont plus tenir très longtemps. Je m'active dessus, priant pour en finir rapidement. Le hurlement de jouissance de Marie a raison d'eux et ils éjaculent en grognant sur mon visage. J'ai du sperme plein les cheveux et il coule même sur mes seins. Je me relève et titube vers Marie. Cette dernière, les cheveux en pagaille, la respiration saccadée me regarde.

- Nettoie lui le visage! ordonne Mathieu à Marie.

L'avocate le regarde, consternée et fait non de la tête.

- La prochaine fois que je dois répéter un ordre, je vous attache et je vous fiste jusqu'à évanouissement! Vous avez l'impression que quelqu'un viendra vous sauver ici? menace Mathieu.

Je regarde Marie. Il n'a pas tort, personne ne sait qu'on est ici, personne ne viendra nous sortir des griffes de nos tourmenteurs. Elle a l'air de comprendre mon regard et s'avance vers moi. Elle me donne des petits coups de langue sur le visage, je sens sa respiration encore irrégulière suite à l'orgasme qu'elle a eu à son corps défendant.

Mon visage propre, Mathieu me plaque sur le volant du bateau, les mains toujours liées.

- Toi tu vas y passer ma salope. dit-il en soufflant, totalement excité.

Je sens sa bite pointée vers ma fente. Il s'enfonce de toute sa longueur. Je crie, surprise de la facilité avec lequel son long membre est rentré.

- T'es toute mouillée sale pute. Ça t'excite de sucer des grosses bites ou quoi! s'exclame Mathieu.

Je suis troublée par cette révélation. Comment mon corps peut-il réagir comme cela? Je repense à l'orgasme de Marie, elle aussi s'est laissé trahir par son corps... Mais le pilonnage en règle que je suis en train de subir me sort de ma rêverie. Mathieu se déchaîne dans ma chatte comme un forcené. Ses bras musclés prenant appuient sur mes hanches. Mes fesses tressautent sous ses coups de boutoir et mes seins ont jailli de mon haut de maillot sous la violence des impacts. Voyant cela, Mathieu s'en empare et me tord la pointe, me faisant crier de douleur.

Marie a été positionnée sur la bite de Manoa, elle monte et descend en sautillant dessus, ses gros seins gigotent dans tous les sens. Ses tétons sont durs et pointent vers le ciel. Elle est extrêmement sensuelle dans cet état et Phil a l'air de penser la même chose car il ne tarde pas à lui réclamer une autre fellation. La bourgeoise consciente que toute tentative de rébellion ne sert plus à rien, s'empare de sa bite et le masturbe de sa main manucuré tandis que l'autre est posée sur le torse de Manoa pour tenir en équilibre.

Mathieu m'a prise pendant 15 bonnes minutes avant d'éjaculer en criant sur mes fesses. Il m'a laissé au bord de la jouissance et je me suis surprise à pousser un gémissement de dépit quand il s'est retiré.

Mes mains sont déliées, je suis allongée sur le pont du bateau et je dois branler Manoa entre mes seins. Ce dernier souffle comme un boeuf tandis que je fais de mon mieux pour maintenir sa queue entre mes seins, lui suçotant le gland à chaque aller retour. Phil baise Marie à quatre pattes sur le sol. Cette dernière haletante, regarde devant elle, les yeux fous. Ses gros seins pendent lamentablement et balancent d'avant en arrière. Mon amie si propre sur elle d'habitude, à l'air de perdre pied face à la situation. Mathieu a sorti son portable et filme la scène, un bref instant de lucidité me fait penser que nous sommes maintenant totalement sous leur emprise. Avec des preuves comme celles là, ils pourraient détruire nos vies...

Le soleil tape fort sur le bateau et nous sommes tous transpirants. Manoa s'est vidé sur mes seins pendant que Phil éjaculait dans les fondements de Marie. Dégoulinantes de transpiration, nous sommes poussées dans l'eau. Elle est fraîche et me fait un bien fou. Je vois les poissons que nous étions censés observés ce matin se déplaçaient autour de nous. Nous sommes rejointes par Mathieu et Phil. Manoa reste sur le bateau et déplie l'échelle.

Très vite, ma fente est investie par les deux doigts de Phil tandis que Mathieu fait de même avec mon amie.

Accrochées à l'échelle du bateau, l'une en face de l'autre nous gémissons en chœur, excitées par la présence des doigts dans nos chattes. Phil me presse la pointe des seins et me suçote le coup, accélérant les mouvements de sa main. Mes yeux sont posés sur Marie qui elle aussi à l'air au bord de l'explosion.

Phil me pince le clitoris ce qui déclenche enfin mon premier orgasme de la journée. Tout mon corps tremble tandis que je laisse échapper un cri étouffé. Marie elle, ne se retient pas et hurle son plaisir tandis qu'elle jouit sous les caresses habiles de Mathieu.

Nous remontons dans le bateau et nous nous effondrons sur les coussins. Je n'arrive pas à croire que forcées et soumises de la sorte nous ayons pu prendre du plaisir. Marie, soufflant bruyamment, me regarde d'un air de dire « mais qu'avons-nous fait? ».

J'entends les trois Rodriguais discuter entre eux en créole. Je ne comprends pas ce qu'ils disent mais ils ont pris nos téléphones et fouillent dedans.

Mathieu s'approche de nous...

- Nous avons copié tous vos contacts dans nos téléphones, avec les vidéos qu'on a, je pense qu'on peut vous passer l'envie de tout dévoiler à l'hôtel ou à quiconque autre personne.

Je lance un regard à mon amie, nous sommes

prises au piège. Elle l'a bien compris elle aussi.

- Que voulez-vous de nous? De l'argent? On peut vous en donner! supplie Marie.

- Oh mais votre argent on l'aura! répond Mathieu en souriant. Mais on va vous prendre avec!

Concert de protestations de notre part!

- Nos maris nous attendent à l'hôtel, s'il vous plaît laissez nous tranquille on vous donnera beaucoup d'argent.

- Silence! crie Phil. Vos cocus de mari ne sauront rien pour l'instant et vous ferez exactement ce qu'on vous demandera, sinon il est possible que tous vos collègues reçoivent ces vidéos.

Je regarde Marie, je ne peux absolument pas me permettre que ma boîte voit ces enregistrements. Moi la représente régionale d'une grande firme, ça signerait mon renvoie immédiat. Et je sais que c'est pareil pour Marie.

- D'accord, on accepte mais pitié ne faite rien avec ces vidéos, répondais-je, ma tête baissée, honteuse.

Un sourire se dessine sur le visage des marins. Mathieu s'approche de moi, sa main posée sur ma joue. Je le regarde, il me dit d'ouvrir la bouche. Je m'exécute, docile, il me crache alors dedans. Je suis effondrée, alors que mon esprit voudrait que je me lève et lui envoie une claque magistrale, lui hurle dessus, je ne peux rien faire à part maintenir le regard et avaler quand il me l'ordonne.

Notre soumission est totale et ils le savent. Nous n'avons pas d'autres choix...

Sur le chemin du retour, Marie et moi sommes assises sur la banquette avant, les jambes écartées, entrecroisées. Phil nous a ordonné de nous faire jouir avant d'arriver à l'hôtel.

Au début, hésitantes, nous avons vite compris qu'il valait mieux y mettre du cœur pour ne pas vexer nos dominateurs.

Ils peuvent donc observer deux femmes, de 20 ans de plus qu'eux, de la haute bourgeoisie de Bordeaux se masturber comme les dernières des traînées.

Je me maltraite le clitoris tandis que Marie s'est plongée deux doigts dans le vagin et avec son autre main se presse le sein. Mathieu est aux commandes du bateau, il nous regarde en souriant tandis que Phil et Manoa ont sortis leurs queues tout en nous prenant en photo. Manoa me demande une gâterie et je m'empresse de prendre sa verge entre mes lèvres, excitée par la situation. Phil lui a décidé de fouetter Marie avec son maillot de bain tandis que cette dernière le regarde, les yeux écarquillés, le corps arqué, tendu comme pour mieux sentir les coups. Un 3ème doigt est venu rejoindre les deux premiers et elle les agite à une vitesse folle.

Phil prit d'une folie sexuelle l'insulte de tous les

noms...

- Salope de bourges, tu prends ton pied hein!

- Si ton mari te voyait, sale chienne, te branler comme la dernière des putes.

Marie pousse des râles de plaisir, sa main broyant son sein. Elle a les cheveux en bataille et les yeux fixés sur le visage de Phil.

Ces insultes humiliantes m'électrisent et un flot de mouille envahit mes doigts.

Je m'active comme une folle sur la queue de Manoa, ma langue s'enroulant autour de sa tige, la pointe de ma langue lui titillant le gland. Il cri en éjaculant dans ma bouche. Il m'ordonne d'avaler et je m'exécute vilement. Ma propre masturbation m'excite beaucoup et je me sens plus salope que jamais. Manoa se place entre mes jambes et commence à me lécher la chatte. Je sens sa langue frotter mon clitoris. Fébrile, je me tortille sur la banquette et pousse un cri strident quand l'orgasme me submergea. Je suis rejointe par ma meilleure amie qui tremble de plaisir sous les coups de Phil en salissant le coussin de ses sécrétions vaginales, son cri se perdit sur les flots.

LucasDehi
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