Une Visite Impromptue

BÊTA PUBLIQUE

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C'est horrible de sentir tous ces inconnus profiter d'elle alors que moi je ne peux pas, humilié à lécher ses pieds, contre celui qui la pilonne longuement. Le patron vient voir la scène, et murmure quelque chose à l'oreille d'Albertine qui semble acquiescer. Quelques instants plus tard, l'homme de la sécurité arrive et attend que le jeune ai fini de jouir en elle, pour prendre sa place. Quand il sort son sexe, le silence se fait et sans qu'un mot ne soit dit, tout le monde se recule pour le voir. Je m'y connais en taille de gode, et le sexe qu'il exhibe est d'un diamètre et d'une longueur très impressionnante. Je me demande comment le préservatif n'explose pas. Il se caresse un peu pour se durcir, et j'avoue que la vision est incroyable. Ce sexe noir énorme qui se dirige vers les chairs tendres et blanches d'Albertine.

Elle l'excite de sa voix, de son désir de le sentir cogner contre elle. Se retournant, elle offre son sexe déjà béant en position de levrette.

- Oh mon Dieu, tu es énorme, tu es mon dieu, ah....

Je ne sais si ses cris sont de plaisir ou de douleur, cela semble être mélangé. Il rentre doucement, se retirant pour rentrer plus loin encore. Elle hurle qu'elle veut sentir ses couilles contre elle, mais ne se rend pas compte qu'il n'est pas rentré à moitié! Alors il force, la fait hurler, continue son travail sachant que le vagin va s'adapter dans la douleur. Il commence ses va et vient profonds, Albertine n'est qu'un cri en continu, les mecs se branlent tout autour. Elle en réclame plus, elle veut le sentir tout en elle. Cela semble impossible, elle s'en fout, elle lui demande de la déchirer, elle a perdu les pédales. Mais lui continue et son membre disparait enfin complètement, arrachant des gémissements de folie à Albertine. La salle est remplie d'hommes et de femmes excités de la voir, chacun se masturbant, sauf moi bien entendu. Elle ne veut pas qu'il jouisse, que cela dure encore et encore.

Quand enfin il se lâche, les deux hurlent leur plaisir, avant de s'écrouler sur le lit. Albertine a les yeux dans le vague, se penche sur le videur et l'embrasse longuement. Elle lui retire son préservatif rempli et m'appelle. Elle me le met dans la bouche à ma grande honte, devant plus de 30 personnes. Je jouis presque de cette humiliation et de boire le sperme du géant. Tout le monde se retire pour la laisser récupérer, je reste avec elle, nous sommes dans les bras l'un de l'autre.

- Alors est-ce que tu n'as toujours pas envie de moi?

- Je suis fou de toi, tu es incroyable. Je meure de ne pas pouvoir te prendre, de ne pas pouvoir même bander à te regarder. Tu es... oui incroyable.

- C'est bon de te sentir ainsi. J'ai toujours eu envie de toi. Maintenant plus, ou alors différemment, j'ai envie de te prendre comme un femelle, un truc qui m'a toujours excitée aussi. Mais là je suis démontée.

- Tu m'as humilié devant tout le monde

- Oui comme cela tu étais à ta place. Bas les masques, tu n'es qu'une tapette maso qui se fait passer pour un seigneur inaccessible. Oh comme je vais te le faire regretter. Mais merci, tu m'as ouverte comme jamais, je crois que je n'attendais que cela, j'ai perdu du temps mais je vais le rattraper.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Une de vos meilleures histoires.... Je n'apprécie pas trop votre trip maso extrême, mais celle-ci est vraiment bonne....

Vivement la suite...

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