Une Situation de Voyeurisme

Informations sur Récit
Dans les années 70, une jeune femme est régulièrement matée.
1k mots
4.02
20.1k
1
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Alors que je n'étais qu'un grand adolescent en vacances chez un oncle dans une ferme en Corrèze, j'eus l'occasion de mieux me rendre compte de ce qu'était une femme et de découvrir quelques uns de leurs petits secrets, grâce à ma jolie cousine de 23 ans.

Elle se nommait Jacqueline, mais nous l'appelions Linette. Fille de la maison, elle travaillait à la ferme paternelle. Mon oncle l'avait mariée à un travailleur agricole, homme laid, lourdaud, buveur et alcoolique... J'étais secrètement amoureux de ma jolie cousine et je ne manquais pas une occasion de mater ses jolies formes et d'essayer de percer à jour ses petits secrets de jeune femme.

Souvent, après le déjeuner, pendant les grosses chaleurs de l'été, tandis que tous les bâtiments de la ferme étaient écrasés de soleil, au moment de la sieste des hommes, j'allais lire dans la grange aux foins. Là, je montais par l'échelle sur le galetas et je m'allongeais dans le foin pour lire tout à mon aise.

Ce n'était pas tout à fait par hasard que j'avais établi là mon quartier général ; c'était en fait un bon observatoire. La jolie Linette y venait en effet, faire ses petits besoins. Il n'y avait pas de toilettes dans les fermes à cette époque et les femmes allaient satisfaire leurs besoins naturels où elles le pouvaient, notamment dans les bâtiments. J'ai surpris là, Linette de nombreuses fois...

Elle entrait par la petite porte qui s'ouvrait comme une trappe dans le grand portail en bois de la grange. Elle venait toujours à peu près à la même heure : entre 14h et 14h 30, une fois son travail à la cuisine terminé.

J'attendais sa visite, comme un rituel. Je cessais de lire quand arrivait 14h, l'esprit trop occupé par sa venue probable et pourtant non programmée. Enfin, j'entendais les gonds rouillés de la porte tourner en couinant et la silhouette de la jolie Linette s'encadrait dans la lumière crue de l'extérieur. Elle tirait la porte derrière elle, et se dirigeait vers le box aux canards qui piaillaient en l'entendant arriver. Comme beaucoup de lumière filtrait par le portail et par les 2 ouvertures hautes de la grange, celle-ci était plongée dans une demi-pénombre. Mes yeux étant accoutumés à cette semi obscurité, je voyais la jeune femme très distinctement.

Elle allait donc toujours vers le même endroit tout près du box aux canards ; c'est-à-dire qu'elle faisait 7 à 8 pas depuis la porte (je les ai souvent comptés!) et là, prestement, alors qu'elle n'était pas encore tout à fait arrivée ni tout à fait en place elle relevait sa légère robe d'été jusqu'à la taille d'un geste bref mais très précis, toujours le même, en finissant de marcher... Puis, debout un court instant, elle baissait prestement sa culotte blanche jusqu'à ses genoux, écartait bien les jambes et surtout ses pieds, s'accroupissait et urinait longuement, avec délectation me semblait-il.

Quel plaisir pour moi que cet instant volé, c'était comme si le temps s'arrêtait... Plus rien n'existait alors que Linette qui expulsait son ondée blonde et moi qui, à cinq mètres, la regardait avec désir et trouble... Parfois, et cela m'excitait encore davantage, une fois sa robe légère relevée, elle ne baissait pas sa culotte, mais passant la main droite devant et la gauche derrière, elle en dégageait le fond de sa culotte et l'escamotait sur un côté au niveau de son entrejambes, et s'accroupissant elle urinait... Je voyais à loisirs son joli minou assez poilu me semblait-il (je n'avais à l'époque que très peu de termes de comparaison!). Parfois il m'arrivait de voir sa fente ouverte et bordée de poils et même aussi le clitoris qu'elle avait assez long et plutôt fort, qui sortait de la touffe de ses poils bruns...

Puis, ayant terminé, en prenant son temps elle se réajustait en remontant sa culotte et là assez souvent, enfin je l'ai vue de nombreuses fois, elle passait sa main droite sur son bas-ventre, et s'empoignait le pubis et pressait très fort, ses doigts sur sa fente. Elle s'essuyait ainsi avec sa culotte dont elle faisait entrer le fond dans sa fente pour essuyer les gouttes restantes...

Parfois aussi et c'était bien le cas environ une fois sur trois ou quatre, elle frottait le plat de sa main sur son pubis, à travers le slip d'abord, puis descendait à son entrejambes. Là, ses doigts écartaient le bord de la culotte et elle se masturbait, en lâchant généralement sa robe qui retombait alors, masquant à ma vue le détail de son mouvement. Sa main gauche passait derrière ses fesses et caressait je le suppose, sa raie culière et l'arrière de sa fente. Le plus souvent la jouissance montait rapidement, en une demi-minute à peine, rarement plus, et elle éclatait assez vite. Je reconnaissais alors les gémissements que j'entendais le soir de mon lit... Il faut dire (je l'ai compris plus tard!) que la pauvre fille était tellement en manque à cause de son ivrogne de mari!...

Une fois, je me souviens, elle cessa de se masturber avec sa main droite ; puis de façon très décidée et presque avec hargne, elle saisit une fourche à foin posée derrière elle. Le manche de la fourche, comme celui de tous les outils de ce genre, était lustré et policé par les mains des hommes qui les maniaient à belles journées. Elle piqua les pions de la fourche dans la terre battue de la grange et tenant solidement le manche incliné devant elle, elle l'enfourcha, l'enserrant entre ses cuisses, elle se frotta l'entrejambes et le pubis sur le manche en gémissant. Cette fois-là, elle avait joui plus rapidement encore, avait reposé la fourche et était sortie promptement... J'allais tout de suite à la fourche, examinais et sentais le manche où l'instant d'avant la féminité de celle que j'appréciais le plus, objet convoité de mon adolescence, s'était frottée. Le manche était encore humide et luisant du plaisir de la petite Linette...

Lors de ces épisodes dans la grange, me voyait-elle? Savait-elle que j'étais là? Je me le suis toujours demandé. Mais, venant de l'extérieur et de la pleine lumière, peut-être lui aurait-il fallu plusieurs minutes pour tout distinguer dans la pénombre du bâtiment?...

Quoiqu'il en soit, elle fut mon rayon de soleil qui illumina mes longues journées d'été. Pour rien au monde j'aurais manqué un seul jour à ce rituel de ma jolie cousine...

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

En Retraite Voyeurisme contre vacances.
Ma Secrétaire Particulière 01 Un PDG découvre une secrétaire hors pair...
l'Etablissement Chapitre 01 L'Etablissment reçoit la visite d'Emilie.
Les Encouragements de Maman Maman s'exhibe et demande à son fils de se masturber.
Agnès et Ses Plaisirs Solitaires Une femme est surprise lors d'une séance de masturbation.
Plus d'histoires