Une Rencontre

BÊTA PUBLIQUE

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Contrairement à mon chéri, il n'est pas redevenu mou instantanément, il est resté tout aussi raide. Il m'a allongée sur le dos et s'est placé entre mes cuisses. Il m'a dit qu'il aimait bien me débarrasser de sa première charge très vite, avant de s'installer dans une baise plus longue et plus sensuelle.

Il a pris un moment pour regarder ma nudité en sueur, en disant qu'il aimait bien baiser les filles asiatiques.

Il s'est couché sur moi et j'ai senti son sexe buter à l'entrée de mon vagin. J'ai brièvement pensé à mon chéri, à quel point c'était mal, que j'étais la dernière des salopes, mais il n'y avait aucun moyen d'arrêter cela maintenant, il n'y avait aucun moyen que je renonce si près de l'accomplissement.

"Tu prends la pilule ou quelque chose?"

Je n'avais aucune excuse pour ne pas comprendre sa question. Quelque part dans ma tête, je savais comment les bébés étaient faits, mais mon esprit était dans les nuages. Rien ne pouvait arrêter ou retarder ce moment. Il n'y avait que cet instant qui comptait. J'ai juste hoché la tête.

Il a glissé ses mains sous moi, sous mes fesses, pour positionner mes hanches. Je me suis accrochée à ses épaules, et j'ai enroulé mes jambes autour de lui, me préparant ainsi à subir l'assaut.

Quand il a commencé à pousser avec ses hanches, ma chatte a résisté, et j'ai commencé à paniquer un peu. Puis, tout à coup, c'est rentré profondément. Je me sentais tellement remplie que c'était comme si je perdais une nouvelle fois ma virginité.

Il me faisait mal et je le lui ai dit. Il a souri, m'a dit de me détendre et de rester calme, et il a continué de me pénétrer doucement, calmement, en me parlant et en me câlinant pour que je n'ai pas peur.

Nous avons travaillé lentement ensemble, mes hanches se soulevant au même rythme que les siennes s'abaissaient. Ses gestes et ses manières étaient si tendres que j'étais en train de tomber amoureuse de lui. Il m'a fait l'amour, encore et encore, me donnant une série d'orgasmes fantastiques.

Son orgasme est venu soudainement, sans geste annonciateur, il m'a juste serrée plus fermement, et il a compressé sa bite au fond de ma vulve. Serrée dans ses bras puissants, mon visage enfouit dans son cou, j'ai levé mes jambes bien haut, la plante de mes pieds face au plafond, en sentant son sperme fécond envahir ma chatte fertile.

Je me concentrais sur la sensation chaleureuse et bienfaisante de cet homme puissant et magnifique libérant son sperme en moi. Une fois l'acte consommé, il m'embrassa sur le front et se leva. Je redescendais sur terre en prenant conscience de mon forfait et de ma trahison.

Il est allé dans la cuisine, chercher de la pizza froide. Nous avons mangé et bavardé comme deux amis. La différence, c'était que nous étions tous les deux nus, nos organes génitaux exposés. Je ne pouvais pas ôter mes yeux de son serpent noir, plus gros au repos que celui de mon mec en érection, et luisant de mes sécrétions vaginales.

Chaque fois que je l'attrapais en train de regarder ma chatte, j'écartais et je resserrais mes cuisses pour faire couler quelques gouttes de sperme.

Quand il décida que sa queue s'était suffisamment reposée, il commença à se caresser en me lançant un regard sournois. J'ai regardé son érection grandir, fascinée, alors qu'il se penchait sur moi. Il m'a embrassée profondément sur la bouche, puis il m'installa à genoux.

Je ne connaissais cet homme que depuis une heure à peine, et j'étais totalement docile, incapable de résister à ce qu'il exigeait de moi. Bien sûr, il bénéficiait de mois de frustration sexuelle, soigneusement entretenue par les récits de Marianne et les absences prolongées de mon homme, mais cela n'avait pas d'incidence sur le fait que je désirais lui plaire. Entre ses bras puissants, je me sentais femme, et j'adorais cela.

Je pouvais l'entendre fouiner dans une boîte, puis il s'est agenouillé derrière moi. J'ai regardé entre mes jambes pendant qu'il enduisait sa bite avec un lubrifiant gras.

Je me demandais pourquoi il en avait besoin, ma chatte dégoulinait de nos jus mélangés, jusqu'à ce que je ressente une pression contre mon anus. Je n'avais même jamais imaginé voir un pénis entrer en moi de ce côté là, j'ai paniqué par réflexe en essayant de m'éloigner, mais il m'a attrapé par la taille et m'a tenu en place.

"Là, là! Détends-toi, petite, et laisse-moi faire."

Sans que je puisse me défendre, il avait rentré sa queue presque à mi-longueur dans mon cul. Ça me faisait un mal de chien, j'avais l'impression qu'il m'ouvrait en deux, et j'étais persuadée que j'allais garder des séquelles de cette intrusion.

Mais il m'a caressée, m'a parlé pour me calmer, et au cours d'une longue et intime copulation, nous l'avons fait jusqu'au bout. Je ne peux pas prétendre que j'ai éprouvé du plaisir, ni que je demanderais à quiconque de me le refaire.

Mais cela me faisait me sentir si méprisable, et j'aimais tellement lui plaire, et le satisfaire. Finalement, il a tiré mes hanches vers lui, et il a claqué sa bite au fond de mon rectum. C'était un ajustement tellement serré que je pouvais sentir le sperme gonfler sa bite en remontant dans son sexe, avant de jaillir profondément en moi.

Sentir cet homme éjaculer au fond de moi, provoqua un autre orgasme dans ma chatte maltraitée.

Il se leva et attrapa un rouleau d'essuie-tout pour se nettoyer.

"Merci pour la pause, mais je dois finir d'emménager. Je me fais livrer un matelas en fin de journée. J'irais frapper à ta porte pour voir si tu veux m'aider à le tester."

J'ai ramassé mes vêtements, me suis rhabillée et je suis rentrée chez moi, prendre une douche. Allongée sur mon lit, armée de mon gode vibrant, je me remémorais ma journée, et mes sentiments étaient mitigés.

D'avoir trompé mon conjoint, avec un inconnu, noir, suffisamment âgé pour être mon père, de lui avoir accordé des faveurs que j'avais toujours trouvées, jusque là, parfaitement obscènes, dépravées, de m'être comportée comme une souillon, une catin, je me sentais horriblement salope.

Mentalement, émotionnellement, j'avais foiré mon couple, mais mon corps ... mon corps ne s'était jamais senti aussi bien! Tous mes muscles semblaient détendus, mon esprit dans un état de béatitude, j'avais l'impression d'avoir été droguée et je me demandais si j'étais déjà devenue dépendante.

J'ai appelé Marianne, qui d'autre pouvait me conseiller? Elle n'a pas répondu, mais m'a envoyé un SMS quelques minutes plus tard en disant qu'elle était occupée et qu'elle m'appellerait dès qu'elle aurait un moment. Je n'avais pas l'impression que Marianne me parlerait de modération et de maîtrise de soi, mais à qui d'autre pourrais-je parler de ce que je venais de faire à mon chéri?

J'ai résolu de ne rien faire jusqu'à ce que j'aie parlé avec Marianne, mais quand j'ai entendu toquer à ma porte, j'ai sauté sur mes pieds. C'était Dylan, les livreurs venaient de partir.

Quand j'ai ouvert la porte, entièrement nue, il m'a regardé de haut en bas en se léchant les lèvres :

"Tu viens essayer mon nouveau lit?"

"Non, je viens baiser avec toi!"

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1 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 6 mois

Ça donne envie de ré contrer un étalon performant comme cet homme noir .Ma culotte est maintenant humi de!!

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