Une Rencontre qui a Changé ma Vie

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Ma rencontre avec ma femme.
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Une rencontre qui a changé ma vie

Dans le récit « Surprise sur l'autoroute » je vous ai un peu parlé de ma femme en promettant de revenir plus en détails sur cette beauté, avec laquelle je partage ma vie depuis un peu plus d'un an. C'est ce que je vais faire en vous relatant les circonstances de notre première rencontre et de notre mariage. J'ai un peu hésité avant de prendre cette décision car les faits que je vais vous exposer sont réellement incroyables, d'ailleurs depuis que j'ai fait la connaissance de ma dulcinée, j'ai l'impression de vivre dans une sorte de rêve éveillé.

Ces événements sont arrivés il y a un peu prés un an et demi, c'était le début de l'été et je commençais à être en manque de câlins coquins. Depuis ma brève incursion dans le monde de la pornographie amateur, qui s'était avéré être une expérience hallucinante avec une beauté fatale, j'étais en quête de quelque chose de plus qu'une partie de jambes en l'air classique. Donc je me trouvais un peu seul en ce début d'été, solitude accentuée par ma recherche de ce quelque chose en plus, qui m'avait fait déserter les cercles de personnes auprès desquelles je trouvais habituellement de quoi combler mes désirs. Après avoir fait le point de ma situation et de ce que je désirais, il me revint à l'esprit une expérience assez spéciale et jouissive que j'avais connu au sein d'un club voué à la recherche tantrique pas mal d'années auparavant.

Une quête fiévreuse mais parfois assez intéressante commença, je hantais tous ce qui pouvait ressembler à une librairie ésotérique de prés ou de loin. Les déesses et dieux de la luxure finir par entendre mes prières et c'est alors que j'étais sur le point d'abandonner que je fis une rencontre qui allait changer ma vie. Je fouinais sans grande conviction dans le rayon ésotérisme d'une grande librairie lorsque j'entendis deux voix féminines qui me firent lever la tête de la rangée de livres que je parcourais. Le moins que l'on puisse dire c'est que je n'étais pas préparé au spectacle qui allait s'offrir à moi. Mes yeux se sont donc posés sur deux jeunes femmes en train de discuter, il s'agissait apparemment d'une vendeuse et d'une cliente à la recherche d'ouvrages bien spécifiques. La vendeuse était une fausse blonde d'une vingtaine d'années plutôt canon, à laquelle sa tenue donnait un petit côté « pétasse à la mode » pas déplaisant mais finalement assez commun. Malheureusement pour elle, elle était totalement éclipsée par la créature de rêve aux formes opulentes avec laquelle elle conversait. En contemplant cette vision hautement érotique j'avais la bouche bée, les jambes tremblantes et le cœur qui battait à tout rompre.

Encore aujourd'hui je ne sais comment la décrire pour communiquer l'émoi qui m'a étreint ce jour là. Il s'agissait d'une femme à la peau plus noire que le plus beau des ébènes, dans ces yeux marron brûlaient une flamme ardente comme le soleil qui avait coloré sa peau. Sous ses yeux de feu se trouvait un nez épaté, ajoutant une touche d'exotisme à cette vision déjà dépaysante, surmontant une bouche aux lèvres charnues et sensuelles qui semblaient promettre mille plaisirs. Son corps m'évoquait une vision fantasmatique des Vénus préhistoriques, des seins énormes et magnifiques, qu'un petit tee shirt blanc avait tant de mal à contenir, et dont l'on voyait pointer les tétons orgueilleusement dressés et désirables. Cette poitrine de rêve était prolongée par une taille quelque peu généreuse qui donnait sur des hanches et des fesses opulentes et magnifiques faites pour être honorées par les caresses les plus savantes et les plus passionnées. Ce postérieur et les jambes de la beauté noire étaient si bien moulés dans un jean que l'on pouvait apprécier la perfection de leurs formes. Une magnifique et interminable chevelure noire coiffée en nattes afro venait entourer ce corps splendide tel un écrin entourant et rehaussant la plus belle des pierres précieuses. Pour compléter ce tableau troublant la belle affichait un sourire rayonnant et bougeait son corps splendide avec une sensualité animale qui distillait un érotisme torride.

Il me fallait cette femme, il fallait que je trouve le moyen de l'approcher, de respirer son parfum que je devinais capiteux. Il fallait qu'elle pose sur moi son regard de braise et que sa bouche sensuelle laisse échapper le son mélodieux de sa voix pour s'adresser à moi. Là encore la divine providence était avec moi, la jeune vendeuse avait toutes les peines du monde à trouver pour sa cliente un livre sur les pratiques sexuelles du tantrisme. Et elle tendait à la belle un livre sur le tantrisme de la main droite, une pratique ascétique n'ayant rien de sexuelle qui ne semblait pas vraiment retenir l'attention de la Vénus noire. J'étais bien décidé à tenter ma chance et après m'être repris j'avançais d'un pas sur, en souriant, vers les deux jeunes femmes.

« Excusez-moi mesdemoiselles, j'ai bien malgré moi entendu votre conversation et je pense pouvoir être à même de vous aidez dans vos recherches, si vous me le permettez bien sur. »

A mon grand plaisir la Vénus d'ébène m'adressa la parole.

« Vous vous y connaissez en tantrisme? »

« Je m'y intéresse depuis un certain temps, par curiosité intellectuelle, aussi j'ai constitué une petite bibliothèque sur le sujet. »

« Ok, vous me conseillez quoi comme bouquin abordant le sujet de façon pratique? »

Elle parlait le français avec un léger et charmant accent que je ne parvenais pas à identifier.

La vendeuse ne rata pas l'occasion de se débarrasser de cette cliente qui lui posait des questions auxquelles elle n'avait pas la réponse.

« Dans ce cas, si ça ne vous dérange pas, je vais vous laisser pour aller m'occuper des autres clients. »

La belle lui répondit avec un sourire en coin.

« Pas de problème. »

Quelques instants plus tard je me lançais dans un exposé sur le tantrisme en usant de toutes les faibles connaissances que j'avais sur le sujet. Cependant je veillais bien à ce que ce cours improvisé ne devienne pas rébarbatif et n'oubliais pas de conseiller un livre, allant droit au but, à la jeune femme. A ma grande joie elle jugea ma conversation suffisamment brillante pour m'inviter à la finir autour d'un verre sur la terrasse d'un café. Lorsque j'eus épuisé mes faibles connaissances je lui avouais en riant que mon intérêt pour le tantrisme et les approches métaphysiques de ce type était purement sexuel. En m'entendant elle partie d'un grand et charmant éclat de rire, puis la discussion bifurqua sur des sujets de la vie de tous les jours. La fin de l'après midi arrivant, elle me dit qu'elle devait prendre congé mais émit le désir de voir ma bibliothèque, que je lui avais tant vanté, et lorsqu'elle partie s'était avec mon numéro de téléphone en poche. Je restais seul à la terrasse pendant un moment, épuisé par l'intensité de ce que j'avais ressentie au contact de cette beauté. Elle s'appelait Apolline, âgée de 22 ans, née au Cameroun, elle était venue en France pour apprendre le métier d'infirmière et profitait de son statut d'étudiante pour satisfaire sa curiosité concernant de nombreux domaines. Cependant, elle me l'avait confié sans la moindre honte, que son intérêt pour le tantrisme était comme le mien purement sexuel.

Durant le mois qui suivit je ne pouvais m'empêcher de penser à elle en espérant, comme jamais je n'avais espéré quelques chose, qu'elle m'appelle. Le miracle finit par arriver un samedi matin, Apolline m'appelait pour venir l'après midi même. Cette seconde rencontre fut la première d'un certains nombres pendant lesquelles je m'efforçais de séduire la belle sans arriver à lui arracher autres choses que des sourires coquins qui ne faisait qu'augmenter mon désir. Comme elle me l'avoua plus tard elle jouait au chat et à la souris et ce jeu l'excitait beaucoup, elle adorait rendre un homme fou de désir tout en jouant les innocentes.

C'est au bout de trois mois que les événements prirent une tournure inattendue. Nous nous trouvions au restaurant, Apolline portait une robe blanche assez légère qui faisait ressortir ses formes et la couleur de sa peau, elle était superbe mais je la sentais préoccupée et tentait vainement de la détendre. Tout à coup elle me regarda dans les yeux avec un air grave que je ne lui connaissais pas.

« Roland... Ca te dirais de te marier avec moi? »

Complètement abasourdis je restais là à la regarder avec une expression de surprise qui devait être ridicule.

« J'ai besoin de me marier pour pouvoir rester ici, sinon c'est le retour au pays manu militari. »

Encore surpris je balbutiais.

« Mais, mais.. il doit exister d'autres moyens... tu, tu n'es pas forcée de... »

« Les autres moyens ne me plaisent pas et impliquent pour certains que je vende quasiemment mon cul à des ordures. Ne te trompes pas Roland je ne suis pas une putain, je ne fais l'amour qu'avec des hommes dont j'ai envie. Et te proposer ce deal c'est un bon moyen de joindre l'utile à l'agréable. On sera mari et femme et j'entends bien accomplir mon devoir conjugal. »

Elle avait terminé cette phrase sur un sourire des plus aguichants et son pied droit déchaussé s'était déplacé sous la table pour venir se poser entre mes jambes. Sous le contact délicieux mon sexe ne tarda pas devenir plus raide que jamais et je finis par sentir une goutte de liquide séminal perler au bout de mon gland. J'étais prêt à tout pour la posséder, si elle me l'avait demandé je me serai traîné à ses pieds, alors le mariage ce n'était vraiment pas la mer à boire.

« Tous ce que tu voudras Apolline. »

Une solide organisation et une grande persévérance nous permirent de convoler assez rapidement lors d'une cérémonie, qui eut lieu dans la stricte intimité, suivi d'un repas en tête-à-tête. Le dîner en question fut en faite assez rapide pour une soirée de mariage et je ne crois pas me tromper en affirmant que pour vingt deux heures nous étions dans notre chambre, prêt pour notre nuit de noce.

Apolline portait la même robe blanche que le soir où elle m'avait demandé en mariage, ses nattes tombaient sur ces épaules et son regard brillait d'une étrange lueur. Je m'approchais d'elle, fou de désir, elle me repoussa doucement avec un sourire coquin en disant.

« Déshabilles toi. Montre-moi à quel point tu me désires. »

Je m'exécutais avec plaisir me débarrassant de mes chaussures, de mon costume, puis de mes sous-vêtements. Je le fis tout en guettant les réactions de ma Venus d'ébène et en modulant la vitesse de mon strip tease en fonction de ses réactions. Apolline m'observait avec un regard complice tout en caressant langoureusement son corps. A la vue de mon sexe elle émit un sifflement avec des yeux rieurs avant de passer sa langue sur ses lèvres tout en continuant à se caresser lascivement. Pas peu fière de ce compliment je m'avançais pour m'agenouiller devant elle et la déchausser délicatement. Une fois ses pieds nus je me mis à les embrasser et à les lécher puis à remonter en le long de ses jambes allant de l'une à l'autre et les couvrant de baiser. Alors que j'arrivais à ses genoux et que l'odeur et le goût de sa peau m'enivraient déjà elle me fit me relever. Je lui caressais la taille puis les fesses pendant qu'elle passait ses mains dans mes cheveux en venant poser ses lèvres sur les miennes. Nos langues et nos souffles ne tardèrent pas à se mélanger doucement d'abord puis avec gourmandise.

Après ces délicieux jeux de langues je me remis à genoux pour reprendre mon chemin de ses genoux vers son sexe, relevant sa robe en embrassant et léchant ses cuisses. Arrivé entre ses jambes je vis une discrète petite culotte blanche dentelée, j'en approchais mon nez et inspirais profondément pour m'enivrer de l'odeur de la féminité de ma femme. Je déposais un tendre baiser entre ses cuisses avant de faire glisser cette culotte le long des jambes sombres de ma beauté africaine. A peine le sous-vêtement enlevé je replongeais sous la robe pour contempler ce sexe que je désirais tant. Sa toison était discrète et on voyait très bien le clitoris et les lèvres entrouvertes et humides qui semblaient m'inviter à les pénétrer. J'embrassais ce sexe de femme qui me rendait fou avec avidité, faisant entrer ma langue dans cette caverne de chair chaude et à chaque seconde plus humide. Ma déesse me fit à nouveau me lever, elle m'embrassa fougueusement, fit glisser sa robe à ses pieds et dégrafa son soutient à gorge qui laissa échapper deux superbes seins couleur ébène. Ses tétons étaient au milieu de grandes aréoles encore plus sombres que le reste de son corps, ils étaient durcis et dressés sous l'effet de l'excitation. Elle pris ma tête dans ses mains et dirigea mes lèvres vers ses seins et je ne me fis pas prier pour couvrir cette lourde poitrine de rêve de baisers enflammés. Je me mis ensuite à lécher, à mordiller et à sucer avec passions ses tétons qui m'avaient fait si souvent fantasmer. Alors que je m'affairais avec gourmandise sur sa poitrine je sentais le corps d'Apolline vibrer sous les soins que je lui prodiguais.

Après un doux gémissement de plaisir ma belle se décidait à me conduire vers le lit en me prenant par la main. Arrivé sur la couche je jetais à nouveau mon dévolu sur son sexe, avide d'y goûter une fois de plus. Je mordillais délicatement les lèvres menant au lieu paradisiaque situé dans son corps de femme, puis je les aspirais buvant le délicieux liquide émanant de la source de tous les plaisirs. Après m'être abreuvé des sécrétions du sexe humide de la belle Apolline, je me mis à flatter son clitoris du bout de la langue et elle me récompensa immédiatement par des gémissements de plaisir. Je continuais à stimuler le petit bouton du plaisir alternant coup de langue et caresses digitales, le caressant en de lents mouvements circulaires auxquels Apolline ne put résister. Son corps tressaillait sous le plaisir alors qu'elle poussait des petits cris entrecoupés d'encouragements.

« Oui! Oui! Vas-y! Continu! Encore! »

Lorsqu'elle eut atteint les sommets de son plaisir clitoridien, je changeais de position me plaçant face à elle en tenant mon sexe prêt à le faire explorer le vagin de ma belle. Avec un regard passionné je lui demandais son autorisation pour le plaisir d'entendre sa réponse.

« Je peux? »

« Oui vas-y. »

Je la pénétrais doucement avec une infinie tendresse pour ensuite aller venir entre ses jambes si douces, qui ne tardèrent pas à venir m'enserrer fermement pour diriger et renforcer mes élans. Pendant que mon sexe remplissait sa chatte, ma bouche reprenait possessions de ses seins énormes et bandant. Je me mis à mordiller ces tétons en limant doucement son sexe humide et elle commença à m'encourager par de nouveaux gémissements de plaisir. Plus excité que jamais j'accélérais le mouvement jusqu'au limite de l'éjaculation, avant de m'arrêter en pelotant plus fort ses seins. Lorsque j'eus la conviction d'être suffisamment maître de mon sexe je sortais du vagin grand ouvert pour me coucher sur le dos. Apolline vint se mettre à califourchon sur moi en s'empalant sur mon sexe dans un cri de jouissance, pour ensuite se pencher de façon à ce ses seins soient à portée de ma bouche. Lorsqu'elle se pencha sa chevelure entra en contact avec ma peau avec la douceur d'une délicieuse caresse. Pendant qu'elle faisait onduler son bas ventre en nous procurant à tous deux un plaisir immense, je pelotais ses seins en les léchant et en les embrassant. Satisfaite de sa position et sentant la jouissance montée en elle, Apolline accélérait le mouvement en poussant des petits cris. Un orgasme puissant vint l'emporter quelques secondes avant que je ne jouisse en hurlant, sentant avec volupté mon sexe se vider dans les entrailles de ma jeune femme. Apolline épuisée se laissa tomber sur moi et c'est dans les bras l'un de l'autre que nous sommes endormis pour quelques dizaines de minutes avant de reprendre avec fougue nos jeux amoureux. Ainsi la suite de la nuit fut-elle riche en relations charnelles des plus torrides et peut être que je vous en parlerais dans un autre récit car celui-ci, pour ne pas se transformer en roman, doit s'arrêter d'ici quelques lignes.

Cela fait donc un peu plus d'un an que nous sommes mariés, malgré une excellente entende sexuelle les premiers mois ne furent pas toujours faciles. Il n'était pas rare de nous entendre lancer des « mon chéri » ironiques et de nous voir nous envoyer mutuellement des blagues sur nos appartenances ethniques respectives. Cela d'autant plus volontiers que la différence culturelle était parfois dure à supporter. Malgré tout nous sommes toujours ensemble et pourtant si Apolline l'avait voulu, elle n'aurai eu aucun mal a trouvé un homme vieux et riche pour me remplacer. Nous nous sommes finalement découverts pas mal d'affinités et les mots d'amour que nous nous échangeons maintenant n'ont plus rien d'ironiques.

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