Une Prof Sous Controle Ch. 02

Informations sur Récit
Simon élargit son emprise.
3.5k mots
4.35
56.7k
3

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 02/13/2007
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Coulybaca / Dread 666

Abasourdi, Simon gagna sa salle de classe, ce qui venait de se passer le préoccupait.

Il avait les jambes en coton et ses mains tremblaient alors qu'il s'asseyait sur sa chaise

- Que s'était-il passé au juste? se demandait-il se repaissant encore et encore des derniers délicieux événements.

Il prit son visage entre ses mains son visage, il sentait les douces fla-grances de son corps sur ses doigts.

Il avait vu sa somptueuse prof entièrement nue, avait senti l'humidité de sa chatte, et plus important encore, l'avait entièrement en son pouvoir.

Il pouvait lui faire faire tout ce qu'il voulait. Il sourit largement à cette pensée réjouissante.

Que pouvait-il bien lui faire faire maintenant?

Il avait désespérément envie de la baiser, mais n'osait pas encore, rete-nu par son inexpérience.

En fait, jusqu'à ce jour, ses seules expériences sexuelles s'étaient bor-nées à regarder des DVD pornos ou des images sur le webb.

Chaque fois qu'il fantasmait sur mademoiselle Baird en se masturbant, il éjaculait très vite.

A quoi bon détenir ce pouvoir sur elle depuis le temps qu'il la convoitait s'il éjaculait précocement en elle, ou pire encore, s'il jutait dans son cale-çon avant même de la posséder.

Il était parvenu à contrôler ses émois ce matin et il se jurait bien de continuer à l'humilier jusqu'à ce qu'il se sentit lui même gêné.

Mademoiselle Holly Baird se tenait devant sa salle de classe, elle atten-dait les derniers traînards.

Elle se tenait debout, son cul la brûlait bien trop suite à la fessée, pour qu'elle puisse s'asseoir tout de suite.

Elle sentait l'air frais caresser sa fourche dénudée, ses tétons non entra-vées par un soutien-gorge se dressaient fièrement à chaque fois qu'ils frottaient sur le tissu de son corsage.

Son estomac vibrait et sa chatte se détrempait rien qu'à l'évocation de son humiliante soumission matinale.

Son esprit était submergé par d'étranges pensées.

Un élève, de six an son cadet, lui avait donné une fessée ici même dans sa salle de classe, et elle avait aimé ça!

Elle rougissait furieusement à ces pensées intimes, elle se demandait si la suite la ferait tout autant jouir, son excitation grandissait à cette idée.

Elle avait la tête pleine de rêveries portant sur la domination sexuelle et son cortège d'humiliations.

Elle ne pourrait jamais dire la vérité à qui que ce soit, qu'elle avait adoré être dominée et que l'idée de n'être qu'un jouet sexuel, qu'on utilise et dont on abuse la comblait.

Elle se rappela soudain qu'elle devait se raser la chatte, mais comment le faire?

Elle était de service au moment dur repas aussi pourrait-elle rentrer chez elle sur son temps libre à 11 heures. La douleur de sa croupe s'était calmée, mais elle ne tenait pas à prendre une autre fessée aussi se résigna-t-elle à lui complaire.

La matinée se traînait, Holly ne parvenait pas à se concentrer sur son enseignement aussi laissait-elle ses élèves étudier silencieusement un texte tandis qu'elle rêvassait perdue dans ses fantasmes.

A la fin de son troisième cours de la matinée, juste avant 11 heures, Holly remballa prestement ses affaires et quitta rapidement l'édifice sco-laire pour gagner sa voiture.

Il y avait peu de trafic et elle fut chez elle en moins de 10 minutes, cela lui laissait 25 minutes pour se raser le pubis et retourner à l'école se dit-elle en entrant dans la salle de bain.

Elle empoigna un rasoir, du savon à raser une grande serviette duve-teuse et gagna sa chambre à coucher.

Elle laissa choir sa jupe au sol, elle la ramassa et la posa sur une chaise, elle étala la serviette au pied du lit et s'assit, le tissu soyeux lui caressait agréablement le joufflu.

Elle promena ses doigts dans sa toison châtain taillée en triangle, elle retint son souffle alors que ses doigts parcouraient sa fente coulissant aisément entre ses babines embrasées.

Elle les sentit se gonfler alors que sa chatte s'ouvrait sous ses caresses, son clito vibrait réclamant l'attention de ses doigts habiles.

Sa chatte était toute poisseuse, glissante gorgée de cyprine, elle haleta de nouveau alors qu'elle insérait deux doigts fureteurs dans sa caverne béante alors qu'elle se mignotait furieusement le clito de l'autre main.

Son corps se mit à trembler, alors que des vagues successives de plaisir la submergeaient, ses doigts fouillaient sa chatte de plus en plus rapi-dement, de plus en plus profondément alors que son souffle se faisait lourd.

Soudain elle jouit, ses muscles se crispèrent alors que des vagues de plaisir déferlaient de son clitoris dans tout son corps.

Elle se relaxa quelques instants, respirant profondément alors que son orgasme s'affadissait.

Elle resta parfaitement calme une minute environ, et enleva ses doigts de sa chatte alors qu'elle reprenait sa respiration.

Elle regarda l'heure, 11 25, elle ne disposait plus que 10 minutes maintenant, que m'a donc bien fait ce garçon, fait de moi une parfaite nymphomane!

Elle étala lentement la crème à raser sur son pubis, la mousse fleurissait sur sa chatte et elle soupira légèrement alors que le rasoir courrait sur sa peau délicate détruisant le petit triangle châtain objet de ses soins minu-tieux.

Elle se tenait jambes grandes écartées, ses babines vibraient alors que le rasoir les frôlait. Des ondes de plaisir parcoururent à nouveau son ventre alors que d'un doigt expert elle vérifiait la parfaite nudité de ses lèvres. Elle était satisfaite, il ne subsistait pas un seul poil.

Elle s'essuya prestement la chatte, son clito vibra instantanément, et promena ses doigts sur sa chatte glabre comme au jour de sa nais-sance.

Elle se sentait belle, elle ne s'était jamais sentie aussi dénudée, si offerte et elle adorait les pensées vicieuse qui lui venaient à l'esprit.

Simon l'attendait à la grille alors que sonnait la cloche annonçant le pre-mier service au réfectoire il avait vu mademoiselle Baird se ruer vers sa voiture à la fin de son dernier cours de la matinée et il supposait qu'elle s'était rendue chez elle pour observer ses instructions.

Il afficha une mine satisfaite en la voyant revenir aussi pressée qu'en partant.

Il se plaça dans l'ombre alors qu'elle bousculait les enfants pour gagner sa place de surveillance.

Elle était rouge écarlate, était ce due à sa course ou à autre chose de plus intime?

Le temps du repas et l'après-midi passèrent relativement vite pour tous deux.

Ce jour là, en dernière heure, Simon avait histoire avec mademoiselle Baird. Lorsque la cloche sonna, il mit en route son plan d'attaque. Il rédi-gea une courte missive qu'il mit sous enveloppe avant de gagner la salle de classe.

Mademoiselle Baird se tenait à la porte de sa classe et il murmura "c'est pour toi miss Baird" en lui donnant l'enveloppe.

Elle leur donna un texte à expliquer illustrant la leçon du matin. Alors que les élèves étaient occupés à étudier leur texte, toute tremblante d'anxiété elle ouvrit l'enveloppe et lut le court message

- "J'espère que tu as suivi mes instructions à la lettre, demande moi de rester après la classe et je te donnerai de nouvelles instruc-tions....."

Le cours lui sembla durer une éternité, enfin la cloche annonçant la fin des cours résonna, tous les élèves rassemblèrent leurs affaires et quittè-rent promptement la classe.

La voix de mademoiselle Baird couvrit le brouhaha du départ :

- "Monsieur Wiles, j'ai besoin de vous voir, attendez quelques mi-nute!....."

Quelques camarades le regardèrent intrigués, ils pensaient qu'il allait lui en arriver une mauvaise.

S'ils avaient su ce qu'il se passait en réalité, ils l'auraient tous enviés

Ils ne furent bientôt plus que tous deux dans la salle de classe, elle re-gardait humblement le sol alors qu'il s'approchait d'elle.

- "Va verrouiller la porte et tiens toi devant!..."

Holly tourna la clé dans la serrure et se retourna vers son maître.

- "Il est temps de vérifier si tu 'as obéi dans les moindres détails, re-lève ta jupe!...."

Le visage de la somptueuse jeune femme prit instantanément une belle teinte écarlate, elle se redressa, empoigna l'ourlet de sa jupe et la re-troussa lentement lui offrant la vue de son mont de Vénus rasé de frais.

- "Tourne toi!..."

Silencieusement elle tourna sur elle-même lui exposant sa croupe au teint de pêche ......"

Simon tendit la main et lui agrippa la fesse gauche malaxant sans ver-gogne la chair ferme de sa croupe.

Il s'émerveillait de la douceur de sa peau légèrement bronzée.

Il fit soudain un pas en avant; trouvant assez de courage pour continuer ses palpations, il pressa à nouveau la chair ferme de sa croupe qu'il gifla brusquement de sa main droite, le bruit sourd se réverbéra dans la salle vide.

- "C'est très bien ma petite chérie, je vois que tu m'as scrupuleusement obéi, voyons maintenant la suite .... Tu vas ma ramener chez moi où je laisserai un message informant mes potes que je fais un extra chez ma prof d'histoire, puis on se rendra tous deux à ton appartement ...... Je suis sur que tu as besoin de retrouver certains fichiers pour préparer tes cours, je vais te donner l'occasion de les regagner!.... T'as bien compris?....."

Holly hocha humblement la tête.

- "Bon , eh bien allons-y, tu peux laisser retomber ta jupe maintenant ....."

Après un trajet silencieux, ils arrivèrent devant la porte de Holly, elle tourna la clé dans la serrure et l'introduisit chez elle.

Simon s'assit sur le canapé, la pièce était bien rangée, une grande table et des chaises occupaient l'espace, ainsi qu'un grand sofa et un poste de télé coté fenêtre.

Holly se tenait immobile en face de lui attendant ses ordres, mais il se contentait, pour l'instant de la regarder attentivement.

Elle rougit et baissa les yeux au sol.

- "Regarde moi ....".

Elle leva la tête et le regarda droit dans les yeux.

- "Veux-tu récupérer quelques fichiers dont tu as besoin?...."

Holly hocha affirmativement la tête.

- "Si tu fais bien tout ce que te commande je t'en rends deux, com-prends- tu ce que je te dis?...."

Holly hocha de nouveau humblement la tête.

- "Déshabilles toi que je te traite comme la pute que tu es!....."

S'éloignant de la fenêtre, Holly se dirigea vers le centre de la pièce.

- "Où penses-tu aller?...."

- "Je m'éloigne de la fenêtre maître, des passants pourraient me voir!... " pleurnicha-t-elle pitoyablement.

- "T'ais je dit de changer de place?.... Me l'as tu demandé?...."

- "Non maître ....."

- "Alors reprends ta place et fais ce que je t'ai dit!...."

Elle reprit sa place près de la fenêtre et commença lentement à débou-tonner son joli corsage jaune.

Elle le passa au dessus de ses épaules, et le posa sur les bras du sofa.

Elle tendit la main dans son dos et dégrafa sa jupe, de nouveau sa jupe tomba au sol la livrant entièrement nue aux yeux de son maître chanteur.

Elle se baissa pour ramasser le vêtement et le poser avec son corsage sur le bras du sofa.

Instinctivement elle croisa les bras sur ses nibards couvrant ses nichons d'une main et sa chatte de l'autre.

- "Que fais-tu?.... " cria-t-il brutalement.

Holly sursauta au son de sa voix et mit ses bras le long de son corps, exposant ses mamelons dardés et son mont de Vénus glabre sous ses yeux avides.

- "Je suis désolée maître ..." murmura-t-elle misérablement.

Simon s'est assis épaté par l'aspect par la somptuosité de son corps.

Ses longs cheveux châtains cascadaient sur ses épaules et alors qu'un sourire radieux éclairait son visage.

Il détaillait sa proie, son, opulente poitrine, aux petites aréoles couleur chocolat ses seins fastueux bien fermes qui se tenaient droits, sans tomber.

- Quelle taille faisaient-ils?... 95, 100?....

Il lisait depuis longtemps des histoires cochonnes, mais son inexpé-rience en la matière le desservait, cependant ses seins lui semblaient parfaits.

Sous son ventre plat s'évasait de somptueuses hanches, elle avait vrai-ment ce qu'il fallait là où il le fallait.

Son mont de Vénus glabre était proéminent bien qu'elle ait les jambes serrées.

Ses yeux suivirent leur chemin descendant ses longues jambes, il s'ap-prochant lentement savourant toutes les courbes affolantes de son corps.

Puis il s'immobilisa face à elle, il sentait sa bite se déployer dans son caleçon, il avança la main cherchant désespérément à contrôler les tremblements qui l'agitaient.

Ses doigts rampèrent sur ses aréoles qui granulèrent elle avala sa salive souffle coupé.

Il pinça fortement de ses tétons et l'étira, fasciné par sa réaction élasti-que lorsqu'il le relâcha. Ses mains coururent sur toute la surface de ses nibards à l'aguet de ses réactions.

Elle rougissait, devenait écarlate sous le coup de l'embarras ou de l'exci-tation sexuelle? ..... Il n'était pas sur de la réponse.

Peut-être bien qu'il avait éveillé des instincts profonds qu'elle même ignorait.

Pour sa part Holly attendait désespérément ses caresses, ses nibards étaient très sensibles, assez pour qu'elle sente sa fente s'humidifier alors que l'excitation grandissait en elle.

Il recula doucement la laissant seule au beau milieu de la pièce.

- "Où se trouve ton ordinateur?....."

- "Dans ma chambre" répondit-elle instantanément.

- "J'ai faim, Je veux que quelque chose à manger, téléphone et co-mmande une pizza, je mangerai la viande et tu auras les restes .... Lorsque tu auras téléphoné, tu mets les mains sur ta tête et tu te tiens immobile devant la fenêtre!...."

- "Bien maître ...."

Il emmena un sac qu'il avait apporté dans la chambre.

Très féminin pensa-t-il dans son fort intérieur en entrant dans la chambre remplie de fleurs, les murs roses et des coussins à foison sur le lit.

Il sortit une caméra vidéo de son sac, il l'attacha au dessus de l'écran, tourna l'ordinateur et s'assura qu'elle capterait la plus grande partie de la chambre. Dés lors, il n'aurait plus à sortir de sa chambre pour l'observer il pourrait la faire agir sur commande.

Elle téléphonait pour commander la pizza qu'il avait réclamée.

Une fois le logiciel lancé, il sortit de la chambre et vit qu'elle se tenait exactement à l'endroit qu'il avait ordonné, sa poitrine se soulevant au rythme de ses profondes inspirations.

Un bruit provenant de l'ordinateur le tiré de ses rêveries, le programme tournait et il testait l'installation de la caméra.

Tout était impeccable.

Sa confiance croissait de minute en minute, et l'étape suivante de son plan démoniaque allait se mettre en place ... Du moins l'espérait-il!.....

Il s'approcha de sa garde-robe, l'ouvrit et se mit à trier ses fringues. Il trouva un nombre important de brassières avant de tomber sur ce qu'il cherchait, un corsage couleur crème il jaugea la finesse du tissu et le posa sur le lit.

Maintenant il était à la recherche d'une jupe à sa convenance, il en dé-gotta cinq ou six au dessus du genoux avant de trouver ce qu'il cherchait vraiment.

Une courte jupe de jean qui devait lui aller à mi cuisses. C'était parfait.

Et maintenant les chaussures. Il n'avait jamais vu autant de grolles de sa vie. A talons plats, à talons hauts, avec des semelles compensées, des trainings, des ballerines, des mocassins, et enfin la paire qu'il cherchait : une paire de bottes en cuir noir, montant à hauteur du genou avec des talons de 8 cm, et lacée du cou de pied au haut de la botte.

Il avait vu une paire de bottes similaires sur un site SM qu'il avait visité, ça compléterait parfaitement sa tenue.

Demain, tout les monde à l'école saurait quelle n'était qu'une salope de petite pute.

Il retourna dans le salon abandonnant les articles choisis posés sur le litil fut ravi de voir qu'elle était demeurée dans la même position, les yeux rivés au sol.

- "S'il vous plait maître puis-je changer de place?...."

Il entendait de fait des voix de l'autre coté de la fenêtre.

- "Je suis sûre que des gens me regardent par la fenêtre!..."

Simon regarda par la fenêtre et vit qu'effectivement quatre ou cinq jeunes hommes de son âge, n'en croyant par leur chance, la reluquaient au travers de la vitre. Ils riaient et se gaussaient mais ils avaient les yeux rivés sur sa croupe bien ronde.

- "D'accord, je ne veux pas créer de scandale, mets toi dans le coin face au mur ....."

Soulagée elle se mit hors de portée des yeux des voyeurs qui la relu-quaient sans vergogne et se mit au coin comme ordonné.

Simon ne dit pas un mot les cinq minutes qui suivirent mais elle sentait qu'il l'observait minutieusement. L'atmosphère était lourde, électrique. Elle n'entendait que le tic-tac de l'horloge, mais elle sentait qu'il l'obser-vait toujours avec acuité.

Elle se sentait incroyablement faible, vulnérable, toute retournée par cette nouvelle expérience. Il jouait avec ses nerfs et y parvenait avec efficacité. Le dos tourné elle ne pouvait pas voir s'il combinait sa pro-chaine humiliation, mais elle était sure qu'il la concoctait soigneusement.

Entièrement nue, le dos tourné, elle était totalement soumise à ce jeune gars de 18 ans, il contrôlait totalement ses faits et gestes et elle ne pou-vait rien faire pour y remédier en quoi que ce soit.

Il possédait cette vidéo si compromettante, il pouvait ruiner sa carrière et sa vie si elle ne lui obéissait pas servilement, un seul faux mouvement et c'en serait fini, si seulement ce bâtard d'Andy ne lui avait pas envoyé cet e-mail, si seulement .......

Des coups frappés à la porte sortirent Heather de ses pensées moroses, le livreur de pizza pensa-t-elle brusquement.

Simon se leva du sofa et se dirigea vers la porte la laissant seule.

Elle entendit des voix, une brève conversation suivit du bruit de pas re-venant au salon.

- "Attendez moi dans le salon, pendant que je cherche de quoi vous payer!...." entendit-elle Simon lui dire.

- "Mon Dieu non .... " pleurnicha-t-elle intérieurement, horrifiée par ce qui se passait, par sa situation inconvenante.

Elle rougit furieusement en sentant quelqu'un bouger dans son dos, son esprit galopait, il ne pouvait pas lui faire ça!.....

Elle percevait une lourde respiration, des mouvements dans son dos, puis plus rien .....

- "Vous pouvez la peloter si vous en avez envie!...."

Ces mots résonnaient dans sa tête. Elle sursauta en sentant une main froide empaumer ses globes joufflus, elle sentait son haleine chaude sur son épaule.

Il lui caressa gentiment les fesses et l'invita à écarter les cuisses d'une pression de la main. Elle ajusta sa position lui offrant un accès aisé à sa fente. Les doigts explorateurs se promenèrent sur son mont de vénus proéminent, le palpant lascivement puis il ouvrit sa chatte comma on au-rait écarté les pétales d'une fleur luxuriante.

Son jus coulait à flot, elle brûlait d'envie d'être doigtée, elle tendait sa cramouille vers ses doigts, priant pour qu'il les insère profondément dans sa chatte avide.

Elle avala sa salive lorsque deux doigts fureteurs plongèrent dans sa moule détrempée, coulissant immédiatement d'avant en arrière. On distinguait clairement les clapotis obscènes émanant de sa chagatte dé-trempée.

Elle laissa échapper une plainte lorsqu'il pinça durement un de ses tétons, le roulant habilement entre index et pouce alors qu'il continuait à lui gamahucher la chatte.

Elle se pencha en avant le front reposant contre le mur, jambes grandes écartées, cul cambré, dansant au rythme que lui imposait les doigts s'en-fonçant de plus en plus profondément dans son intimité.

Un fourmillement courut dans ses reins alors qu'il pressait son pouce contre son petit bouton de rose affolé.

Elle n'osait pas jeter un oeil sur son assaillant. Elle se refusait à encourir le courroux de son maître, elle trouvait un plaisir malsain à être manipu-lée ainsi par un complet étranger.

Elle sentait son pouce la pénétrer lentement lubrifié par ses propres secrétions. Il progressait lentement dans son tunnel asservi, son ongle éraflant ses muqueuses la faisant tressaillir, elle s'en accommodait, enfin, elle sentit sa main buter contre son portail encore secret.

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs
12