Une Nouvelle Étape

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Ma Femme a décidé de passer une nouvelle étape d'esclavage.
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Quand ma Femme et Maîtresse m'annonça ce soir là que nous passerions une nouvelle étape, j'étais à la fois amusé et perplexe. Je n'en montrais rien bien entendu, à genoux les jambes écartées devant Elle, la tête baissée, concentré comme chaque fois sur Ses propos. Cela faisait maintenant trois années que j'étais Son esclave et il me semblait que nous étions allés bien plus loin que nous ne l'aurions cru. Aussi cette nouvelle étape me laissait un peu songeur.

Rencontrés par le biais d'une messagerie sm, nous nous étions vus, perdus de vue, revus encore avant enfin d'admettre l'un comme l'autre que nous étions faits l'un pour l'autre. Nous n'avions pas le même âge, je suis plus vieux de 25 ans ce qui n'est pas rien. Pas le même parcours ni la même origine sociale, je suis d'un milieu aisé ; ses parents étaient ouvriers. Mais ni l'âge ni le milieu social ne nous séparait, nous étions si complémentaires que l'évidence s'est jouée de toute autre considération. Ma chance était inouïe puisqu'à près de 50 ans, je trouvais enfin la Femme dont j'avais toujours secrètement rêvée. Jeune, magnifique, une bombe sensuele et brillante, je n'aurais même jamais pu la fantasmer ainsi.

Il m'était souvent difficile de me convaincre de ce que je pouvais Lui apporter : mon argent ne L'intéressait pas, ma maturité non plus, mon dévouement lui beaucoup plus et mon abandon absolu La remplissait. Nous avons tous deux ce goût pour l'absence de limite mais je savais bien qu'il fallait que je donne plus et encore pour avoir l'honneur et la chance de La servir. Jamais je n'ai oublié la chance qui était la mienne et mon appartenance sans faille.

Après ces trois années que nous scellions ce soir, j'avais le sentiment que si notre relation n'était pas parfaite et extrême, elle n'en était pas loin. J'étais à cet instant nu ou presque à Ses pieds, une cage de chasteté, maintenue par un chaîne en acier autour de la taille, qui emprisonnait mon sexe depuis des mois. Depuis si longtemps que j'étais devenu incapable de bander, alors que j'étais si fier de mon sexe de taille imposante.

Pire encore sans plus arriver à bander, je devais parfois me masturber et jouir sous Ses moqueries ce qui me rendait encore plus misérable. Avec une jouissance qui n'avait rien d'agréable, sinon Son plaisir humiliant. La cage était parcourue de pointes. Rapidement mon cerveau avait compris qu'érection était synonyme de souffrances indicibles et de blessures, aussi avait-il arrêté d'envoyer de tels signaux. Ma virilité en avait pris un coup, et quand bien même ce traitement était de Son fait, je ne pouvais que partager Son avis que je n'étais pas digne d'Elle et qu'Elle avait besoin d'autres hommes pour se satisfaire.

Nous avions ainsi pris l'habitude de trio voire de quatuor avec d'autres couples, moi l'esclave cocu de service pour les autres protagonistes. Mon seul plaisir, mais quel plaisir, était de regarder ma Propriétaire s'éclater et prendre un plaisir décuplé par ma honte et ma frustration. Lorsqu'Elle était satisfaite de moi j'avais alors le bonheur de la recevoir dans mes reins, soit avec Sa culotte gode, soit plus rarement de Son poing fermé. Ces anonymes tournaient, même si un homme revenait plus souvent, bi, il m'utilisait et ma Femme adorait me voir me faire sodomiser longuement par lui. C'est une sensation très particulière de Lui donner ainsi du plaisir par ce que je subis.

Sachant que souvent Son plaisir est plus sadique, que ce soit des pinces crocodiles avec des poids excessifs, un plug lourd dans mes entrailles (comme celui que je porte à cet anniversaire des trois ans, qui pèse près de 2 kg en métal et m'arrache le cul) ou un écrase couilles qu'Elle s'amuse à serrer progressivement jusqu'à évanouissement qu'Elle essaie de synchroniser avec Son orgasme. Mes gémissements, cris, pleurs et supplication sont ses aphrodisiaques.

Non vraiment, il me semble que mon esclavage est à la hauteur de Ses attentes, que ce soit pour le Service permanent que je Lui offre, pour mon physique qu'Elle a complètement remodelé, me faisant perdre 15 kg, et à coup de musculation intensive, dessiné suivant Ses goûts. Difficile de trouver plus obéissant, Elle le sait et en est ravie. Elle est allée surtout très loin dans ma mise en dépendance, en prenant le contrôle de mes finances, de mes comptes, transvasant tout l'argent gagné sur les siens, à la fois avec angoisse pour moi, mais aussi beaucoup d'excitation. J'ai toujours considéré que mon argent était pour Elle, puisque c'est la Femme de ma vie, et la concrétisation de me dépendance financière me plaît beaucoup.

C'est donc perplexe que je me couche cette nuit-là, tandis qu'Elle laisse ce plug vraiment monstrueux en moi, sans doute pour m'empêcher de dormir et de devoir cogiter à la suite des évènements. Peut-être souhaite-t-Elle que j'arrête définitivement de travailler, mais c'est Elle qui vient de quitter toutes Ses fonctions et qui souhaitait que je ramène de l'argent pour La sécuriser et pour m'occuper quand je ne suis pas à Son service.

Je ne crois bien sûr pas qu'Elle souhaite alléger la pression, puisque de Son aveu tout est parfait, que je ne lui demande aucune énergie et qu'Elle me sent plus que jamais à Son service. Avant de sombrer dans un sommeil agité par la souffrance lancinante que je subis, une phrase échappée dans la soirée me revient : Elle souhaite réaliser mon vœu le plus cher et me détruire. Mais n'est-ce pas déjà le cas? Je n'arrive pas à réfléchir, mes pensées sont de plus en plus confuses depuis quelques mois, et j'ai pris l'habitude de me fier totalement à Elle, mais en fait je n'ai pas d'autres options!

***

Les jours suivants continuaient au même rythme que depuis qu'Elle avait arrêté de travailler : je n'avais plus une seconde à moi et j'étais du coup toujours sous Son contrôle en dehors de mon travail. Heureusement Elle respectait ce mi-temps qu'Elle m'avait fait reprendre et qui La rassurait pour les rentrées financières. Pourtant avec la fortune qu'Elle avait récupéré sur mes comptes, Elle était à l'abri. Ou alors c'était pour m'occuper. Mais en dehors de ces plages, qu'Elle ne contrôlait pas me faisant pleinement et justement confiance, je n'étais là que pour La servir, La combler, la masser, la caresser, ou simplement La regarder lorsqu'Elle l'exigeait.

Une semaine plus tard je l'emmenais sur ma moto dans la Marais chez Abraxas. Je n'étais pas totalement surpris puisque nous avions parlé plusieurs fois de piercing, en me demandant quelle partie du corps Elle allait privilégier. Etait-ce cela la nouvelle étape? J'en doutais! Le perceur qui nous était assigné semblait assez blasé. Il compris que c'est avec ma Maîtresse qu'il fallait échanger, et cela semblait lui être tout à fait égal. Par contre il n'était pas d'accord avec son désir de me percer les tétons (enfin je savais pourquoi nous étions là) avec du 3 mm, arguant que c'était autrement plus douloureux que du 1.6 mm usuel, et que les risques d'infection étaient augmentés. Pourtant Elle n'en démordait pas et se voulait très convaincante et surtout très convaincue. Il proposa du 2.0 mm mais toujours pas, et finalement accepta de passer à du 2.4 signalant que j'allais quand même déguster.

Se retournant vers moi, professionnellement, il me demanda si cela me convenait bien. Sans hésiter je répondis que non à son grand étonnement! Je voulais du 3 mm comme ma Maîtresse avait demandé, et que j'étais déçu de n'avoir que du 2.4mm. Je lui avouais que s'il ne voulait pas le faire, alors nous le ferions à la maison et que là les risques et douleurs étaient bien supérieurs. Pour la première fois je le vis réagir et être interloqué. Me prévenant que j'allais sans doute m'évanouir de douleur, il accepta les 3.0 mm à la grande satisfaction de ma Prédatrice. Elle avait emmené des barrettes que j'avais depuis longtemps et sélectionna celles du bon diamètre. Moi j'étais terrorisé. Je me disais que ce n'était qu'un sale moment.

Même si je le craignais, la douleur de l'aiguille fut bien plus terrible qu'attendu. Parfois ma Maîtresse me mordait le téton au sang, et pourtant ce fut bien pire. Ma Femme me tenait la main, nous étions en communion pour cette souffrance, et je lui offris en cadeau ma torture. Avec dextérité la barrette fut en place, la douleur diminua mais resta très forte. Le perceur me regardait vérifiant que je n'allais pas m'évanouir. Le second téton du coup me terrifiait sachant ce à quoi je m'attendais. Je respirais et effectivement ce fut encore plus dure. Une fois la seconde barrette en place, je m'allongeais pour digérer tandis que Maîtresse utilisait, comme d'habitude, ma carte bancaire pour régler le travail. Avant de sortir, Elle me jeta un regard rayonnant qui me combla. Elle était heureuse et excitée.

La vue de mes tétons ainsi déformés était très excitante, et cela me redonna le sourire. Pas de doute je faisais bien esclave avec ces décorations barbares qui allaient bien avec les tatouages tribaux que je portais et qui marquaient déjà subtilement ma condition. Insuffisamment apparemment puisque nous roulions vers le 13ème et un tatoueur que nous connaissions bien qui nous avait déjà tatoué tous les deux. Il savait que j'étais esclave et appréciait le sm. Cependant cette fois-ci je ne connaissais pas le motif et il avait convenu avec ma Maîtresse que j'aurais les yeux bandés, sans rien savoir, sans rien voir, et sans être informé du déroulement.

Je possédais sur le bras un tatouage représentant une chaîne avec un cadenas portant l'initiale de ma Femme, un tatouage sur le pubis reprenant des ailes et marquant mon appartenance à Elle, un serpent se mordant la queue sur les pectoraux gauches avec une dame de pique à l'intérieur. Celui du pubis n'était visible que nu bien entendu, l'appartenance était donc plutôt subtile, sachant que personne ne savait que ma Maîtresse avait le même serpent sur le pubis.

Ce fut sur mon pectoral droit que le tatoueur se concentra d'abord, effaçant un très vieux et minuscule tatouage, sans que je n'aie la moindre idée de ce qu'il dessinait. Puis il tatoua le haut de mon torse puis le ventre, sans aucun doute le plus douloureux. Maîtresse était partie. Je dû me mettre sur le ventre et offrir mon dos, et je somnolais un peu tant le travail fut long! Le poids du corps sur mes tétons m'excitait, j'avais le sentiment de sentir les dents de ma Maîtresse me titiller ainsi.

Je dois faire attention à ne pas jouir quand Elle me supplicie ainsi, cela m'arrive sans même me toucher! Je dû me rhabiller les yeux toujours bandés pour ne rien voir, le vorps enfermé dans du cellophane pour le trajet. Sensation étrange de porter une nouvelle marque et de la découvrir à Ses pieds. J'étais resté plus de huit heures dans le cabinet et tout le haut du corps me brûlait. Je n'écoutais pas plus les précautions d'usage du tatoueur que celles du perceur, je les connaissais par cœur. Il faisait nuit, j'avais faim et je me sentais un peu faible.

J'étais très excité, j'adorais toutes les marques qu'Elle m'imposait, et chacune était un nouveau cadeau pour moi. C'est Elle qui le voulait, qui le décidait et cela suffisait à mon bonheur. Et je ne cessais de Lui dire qu'Elle n'irait jamais trop loin. Et là en plus des piercings du matin mon corps avait été largement recouvert sous Son autorité. Je la retrouvais nue sur le lit, les jambes écartées et je compris qu'Elle attendait que je La fasse jouir de ma langue, sans doute une récompense pour ma docilité. Ses orgasmes étaient depuis trois ans mes seuls vrais orgasmes et plaisirs. Ils me remplissaient à chaque fois!

Une fois repue, Elle me fit mettre à genoux à Ses pieds et décida de me décrire mes nouvelles marques avant que je ne les découvre dans la glace. Un bâillon boule très large dans la bouche, juste pour Son plaisir, me savoir silencieux quand Elle parle. Puis mon collier en cuir qu'Elle serre un peu trop sachant comme je peux paniquer ainsi, je suis tout tendu vers Elle et je La sens tellement heureuse que cela me comble.

Sur les pectoraux gauche Maîtresse m'indique avoir fait reproduire un portrait d'Elle, très ressemblant, Elle en est même surprise, sur 20 cm de haut, et avec écrit en dessous, dans les mêmes typos que le sexe, Maîtresse XK. Et sur le haut du torse encadrant et son portrait et le serpent, un seul mot en caractères épais et de 7 centimètres de haut : Esclave. Pour illustrer, sur le ventre un dessin plus symbolique où une Femme harnachée d'un Gode énorme, tient en laisse un homme à genoux, le sexe encagé et la bouche bâillonnée, les bras attachés dans le dos. Enfin pour terminer, dans le dos, un gros logo reproduisant le branding que j'ai déjà sur la cuisse, avec un cercle épais et au centre Ses initiales, comme un marquage indélébile de propriété. Je ne peux rien dire, je suis juste halluciné. Même au sortir du tatoueur je ne m'y serais pas attendu!

Maîtresse a toujours préféré la subtilité et le caché au fait d'être ainsi si ostentatoire, et si cru, si fort. Cela me remplit et me terrifie. Elle précise bien que maintenant torse nu, chacun saura qui est qui dans le couple. C'est une évidence. Elle ajoute qu'Elle a bien l'intention que mes anneaux se voient sous les polos que je porte, quitte à en mettre des bien plus gros et plus lourds. Elle me montre les anneaux définitifs que je vais porter, là encore je n'en crois pas mes yeux. Chaque anneau pèse près de 500 g, et a une épaisseur de 10 mm. Elle me promet que pour mon 4ème anniversaire de mariage ils seront définitivement scellés.

Ainsi petit à petit, mon statut d'esclave se dévoilera jusqu'à ce qu'il soit totalement évident pour quiconque nous croise. J'en ai toujours rêvé me rappelle-t-elle! C'est vrai, je l'ai souvent suppliée, mais là, maintenant, sans plus aucun contrôle de ma part. Je ne peux rien dire, aussi, maladroitement, je baise Ses pieds avec la boule de mon bâillon. Pour la remercier de faire de moi ainsi sa chose publique. Je commence à comprendre cette seconde étape, et jamais je n'aurais pensé qu'Elle irait aussi loin ainsi. Maintenant qu'Elle ne travaille plus, Elle n'a pas à se cacher m'explique-t-Elle. Et se sent prête à assumer son statut de Maîtresse et Domina. Comme Elle a du temps, Elle veut équiper la maison et souhaite se mettre au dressage d'autres esclaves!

Une dernière chose avant que je regagne ma natte pour dormir à Ses pieds. Elle sort de Sa table de nuit un collier métallique de 2 centimètres de hauteur, parfaitement lisse. Sans avoir besoin d'un mot, je penche ma tête et j'entends le clic de la fermeture, Elle n'a pas hésité. Elle ne précise après que la fermeture est définitive, il ne peut plus s'enlever. J'entends à Sa vois sa profonde excitation et il ne Lui fait que quelques secondes pour jouir dans des hurlements incroyables. Je suis Son jouet, et Elle sait qu'avec ces marques d'aujourd'hui et ce collier, je suis détruis socialement et que ne reste que l'esclave à Son service. J'aimerais tant bander et jouir.

Sans m'enlever ni le bâillon, ni le collier, je me couche dans mon panier à Ses pieds, l'esprit complètement choqué et perdu. La vision que j'ai eue de mon corps est à la fois terriblement excitante, cohérente, paniquant. J'ai totalement perdu le contrôle de ma vie.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

C'est exactement mon rêve.

François.

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Splendide.

Rudy

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