Une Jeune Professeure Dans Le 93

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Dépravation d'une jeune professeur.
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Je suis une jeune professeure de 22 ans qui vient d'être affectée dans un lycée technique de Seine Saint Denis, n'ayant que des classes de CAP et BEP en tant que professeur d'Anglais et d'Allemand j'ai très peu d'heures de court as donné et de toute façon mes courts n'intéressent pas vraiment mes élèves.

Je vais déjà vous parler de moi et comment je me suis retrouvé là.

Je suis la cadette d'une famille de quatre enfants, j'ai deux frères et une sœur, tous les trois déjà mariés , j'étais une élève très moyenne par rapport à eux, mais j'ai malgré tout passé mon BAC à 16 ans et réussis après la FAC à devenir professeur.

J'ai toujours vécu près de Toulouse ou mon père d'origine juive comme toute notre famille possède une société de commerce dans le textile. À mes 18 ans, mes parents m'ont présenté un garçon un peu plus âgé que moi avec qui je viens de me marier.

Coté sexe, étant assez docile et timide, il m'est déjà arrivé de me faire partouzer par des garçons cela même à plusieurs reprises, même si je n'ai pas un physique.très sexy, mesurant 1m57 pour à peine 50 kg,des microseins ou on peut surtout voir mes mamelons et mes tétons gonflés et des hanches assez larges, en fait j'avais l'air d'une joggeuse sans l'être n'étant absolument pas sportive.

La première fois ou cela a eu lieu cela, c'est passer lors d'une soirée très arrosée où j'avais été invitée pour fêter notre réussite au BAC et ou mes parents m'avaient laissée aller exceptionnellement n'étant pas encore majeure. La seconde fois lors de la soirée d'intégration à la FAC, puis après a d'autre reprise lors de soirée très arrosée à la FAC sponsoriser par des marques d'alcools, j'étais invité je crois car après quelques verres je me laissais baiser docilement par tous les mecs qui en avaient envie. Moi je me rendais à ses invitations car j'aimais bien,surtout me faire défoncer le cul mais aussi sucer des bites et avaler leur jus,tout en me laissant insulter.

Je connaissais très bien le déroulement de ces soirées où les mecs après avoir un peu alcoolisé et offert quelques joints aux filles qui se laissaient faire, ne cherchaient plus alors qu'à baiser les plus salopes, celles qui se laissaient faire docilement ce qui était mon cas, j'étais devenu une salope accro à ce genre de soirées.

Bien sûr personne de ma famille ni même mon fiancé n'étaient au courant. Je me suis donc marié en fin de dernière année de FAC et après avoir été reçu au concours pour devenir prof ,mais étant classé vers la fin des reçus. Je préviens malgré tout mon fiancée que je n'étais plus vierge avant notre nuit de noce , il me dit que lui aussi ne l'était plus, mais qu'il n'était pas très porté sur le sexe, je lui répondis qu'il était normal qu'a 28 ans il a ai déjà coucher avec des filles .

Nos vacances d'été se passaient très bien , nous ne nous connaissions en fait que très peu mon mari et moi, lui passait son temps dans les livres alors que moi me faisait bronzer je pus constater aussi on peut d'attrait pour le sexe car nos ébats étaient plutôt bref, quand il me baisait c'était assez rapide et il éjaculait très rapidement en moi , sans même me solliciter une fellation.

Cela se compliqua car lui est professeur de math sur Toulouse et moi j'attendais ma première affectation de professeure et lorsque le papier de l'éducation nationale arrive et que je suis affectée dans ce lycée en zone d'éducation prioritaire en Seine Saint Denis et que malgré la tentative de mes parents et beau parents, riche bourgeois influent qui essayèrent de changer cette affectation cela fut refusé, certainement que ma note à l'examen y était pour beaucoup. Je n'avais que le choix de refuser le poste et ne pas avoir de travail et de rester femme au foyer a m'ennuyer ou alors accepter le poste, je me résolus à y aller car je voulais vraiment essayer d'enseigner.

Notre mariage étant plus un mariage arrangé entre nos deux familles qu'un mariage d'amour, on décida mon mari et moi qu'il était inutile que je fasse le trajet toutes les semaines et que je ne reviendrais donc sur Toulouse que lors des vacances soit environ toutes les six semaines .Donc arrivé en région parisienne je pris une chambre dans un hôtel pas trop cher; le temps de trouver un logement,

Lors de la pré rentrée je me rendis compte qu'il y avait beaucoup de jeune professeur et qu'à part ceux des matières vraiment technique peu avais choisi cette affectation malgré tout j'étais la seule nouvelle affectée, le proviseur nous expliqua que même si les élèves étaient assez compliqués à gérer beaucoup cherchait pas sortir de la avec un travail , Je reçus mon emploi du temps et même si j'avais peu d'heure de cours celle-ci était très mal répartie , j'avais des coupures systématiquement d'au moins deux heures entre chaque cours.

Le proviseur, un homme dans la cinquantaine, assez froid , me pris à part en final me disant que les élèves n'étaient pas si dur que l'on pouvait le croire et me fit bien comprendre qu'en fait mes cours leur servaient as peu de chose, que le principal était qu'il n'y ai pas de chahut et que je ne m'intéresse qu'aux élèves qui étaient intéressé à apprendre une langue, je compris que mes cours n'avaient que peu d'importance dans la notation finale , que je devais juste faire en sorte qu'ait pas trop de bruit , pour ne pas déranger les cours qui se déroulait dans d'autre salle de cours .

Mes cours se déroulaient sans heurts je constatai que la grande majorité des élèves était originaire d'Afrique (noirs et maghrébins) ,et qu'à peine 2 ou 3 élèves par classe sur plus de 25 semblaient s'intéresser à mes cours mais j'arrivais à avoir peu de bruit , certains discutent entre eux dans le calme, d'autres étaient sur leurs téléphones et quelques-uns faisaient leur devoir en fait je ne rencontrais pas de problèmes de chahut, mais je pouvais voir leur regard sur moi , je portais au cou une étoile de David qu'ils avaient du bien remarqué et surtout que j'avais pris surtout des minijupes dans mes bagages donc j'étais presque toujours avec une minijupe certain avaient le même regard sur moi que les garçons qui me baisaient en partouze.

Mais mon premier souci était de me trouver un appartement, vu le faible salaire d'un professeur surtout débutant , il me fallait donc chercher dans des quartiers plus mal fréquentés que je ne l'espérais, si je n'avais pas une aide financière au départ, et comme je ne voulais pas demander à mon mari qui payait le crédit de la maison que l'on avait acheté, je me résolus donc à demander à mon père et lui téléphonais.

Mon père me répondit qu'il pouvait m'aider mais juste en dépannage, ne voulant pas léser mes frères et ma sœur qui n'avait pas eu d'aides de sa part ; j'entendis alors ma mère me dire , si tu veux ma chérie je peux venir passer quelques jours à paris et t'aider as te trouver un appartement, mon père avait dû mettre le haut-parleur sur son téléphone.

Ma mère arriva donc à paris, prix une chambre dans un hôtel assez chic, elle me dit j'ai trouvé plusieurs adresses de logement à louer pas loin de mon lycée sur internet, et avoir des rendez-vous pour les visités le mercredi après midi, j'avais exclu de mes recherches ce secteur le trouvant trop mal fréquenté mais je ne lui en parlai pas.

Le mercredi après midi on visita donc plusieurs logements plutôt en mauvais état , lorsqu'on arriva au dernier et le plus cher de sa liste sans vraiment être trop cher , il venait d'être rénové, le propriétaire un grand noir dans la quarantaine nous fit visiter, il s'agissait d'un F1 avec une chambre assez grande et un joli salon avec cuisine ouverte une salle de bains avec une douche a l'italienne , lors de la discussion je lui demandai si la rue était assez calme car j'avais remarqué deux bars dans la rue dont un presque en face de l'immeuble ; il me dit alors qu'il était la depuis tout petit, que si avais un problème quelconque avec une personne il s'en occuperait personnellement car il connaissait tout le monde dans le quartier, on repartit en disant que l'ont allaient réfléchir. L'appartement étant au premier on redescendit alors que lui monta à l'étage.

Arrivés dans le hall on fut alors abordé par cinq jeunes d'une vingtaine d'années, trois Noirs et deux Maghrébins .

Il me sembla reconnaître deux des noirs ainsi que les deux Maghrébins comme élèves de mes classes.

- Bonjour Mademoiselle , qu'est ce qui vous amène ici .

- Poussez-vous, laissez-nous passer .

- ce n'est pas as toi que je parle la vieille c'est à Mademoiselle Rachel

- Mamadou si je ne me trompe pas laissez-nous passer si vous voulez me parler on se verra au lycée.

- Qui sont ces jeunes, tu les connais?

- Oui ce sont des élèves que j'ai en classe au lycée.

- On ne vous veut pas de mal juste discuter un peu avec vous.

- Là je suis avec ma mère, on n'a pas trop de temps .

- On a bien cinq minutes, c'était le dernier appartement que l'on avait à visiter, et si ce sont des élèves que tu as en classe tu peux bien prendre le temps de les écouter .

- Venez dans ce local on sera plus à l'aise pour discuter.

C'est le grand noir que les autres appelais Bouba qui venait de dire cas , il était le plus âgé devait avoir plus de 25 ans ( Je sus plus tard qu'il en avait 26 ) en ouvrant une porte, ont entra dans une pièce a l'odeur très forte de fumée de cannabis, les jeunes devais juste en sortir après avoir fumé, ce jour-là je n'étais pas en jupe comme très souvent je portais un legging avec un teechirt assez long qui arrivait en haut de mes cuisses . La situation semblait assez tendue , je voyais que mes élèves étaient gênés et ne savaient pas trop comment s'y prendre pour me parler devant ma mère,alors que moi je commençais à être excitée cela venait-il de cette odeur de cannabis qui me

je voyais que mes élèves étaient gênés et ne savaient pas trop comment s'y prendre pour me parler devant ma mère,alors que moi je commençais à être excitée cela venait il de cette odeur de cannabis qui me rappelait les partouses de la Fac ou de la présence de ces cinq homme musclés qui me dépassait tous de plus d'une tête ou peut être de mon manque de sex , depuis la rentrée j'étais excitée pendant mes cours , quand je m'asseyais à la table qui me servait de bureau , je pouvais voir les regards de certains qui discutaient entre eux et qui avait une vue sur mon entrecuisse , d'ailleurs il m'arrivait de les écarter pour qu'il puisse voir le triangle de mes string . Mamadou se lançait alors.

- Vous savez mademoiselle Rachel on aime bien allez en cours avec vous, ainsi que vos tenues, vous savez que vous êtes très excitante, que beaucoup ont très envie de.......

- Non, arrêtez, ne parlez pas de cas devant ma mère.

- Elle pourrait aller attendre dans la pièce à côté que l'on a fini notre discussion.

- S'il vous plaît madame.

- Oui, maman, s'il te plaît, va à côté comme il te le demande, ce sera mieux, ce sont des choses à régler entre eux et moi en privé.

- D'accord, mais ne mettez pas une heure à discuter.

- Il y a une chaise et un lit, bon, pas très propre, vous pourrez vous mettre assise.

Je me trouvais désormais seule debout entre ces cinq hommes dont le plus petit devait faire 25 cm de plus que moi, et je savais à leurs regards qu'ils voulaient me baisée, j'en étais déjà toute excitée commençant même à mouiller.

-Vous savez que vous êtes très excitante, mademoiselle.

- Dites le, vous avez envie de me baiser, c'est bien ça, on n'a pas de temps à perdre.

- Heuuu oui.

Je me recula alors sans attendre leur réponse, me plaçant près d'un vieux lit métallique qui devait faire 70 cm de large , et là devant ces cinq hommes qui me regardaient avec un regard d'envie et dont quatre étaient mes élèves au lycée. Je déposais d'abord mon sac à main sur le vieux matelas juste recouvert par une housse en gros tissus qui était plein de tache qui devait être du sperme.

- Moi aussi, j'ai envie d'être baisé.

- Je savais bien que c'était une salope, je vous l'avais bien dit, à sa façon d'écarter ses cuisses assises derrière son bureau.

- Oui, tu as raison Mamadou, je suis une salope, et j'ai envie que vous me baisiez.

En disant cela, je pris le bas de mon tee-shirt le releva et le passa au-dessus de ma tête suivie de mon soutien-gorge Decathlon en tissu élastique sans fermeture qui rejoignit mon sac à main. Puis posant mes paumes sur ma poitrine plate, je pris mes mamelons entre le pouce et la base de l'index, en les étirant.

- Mes petits nichons vous plaisent???.

- Continue , c'est ta chatte de pute qu'on veut voir.

- Dit nous que tu n'es qu'une salope et que tu a envie de nos bites dans ta chatte.

- Oui, vous avez raison, je ne suis qu'une salope, vous m'excitez, j'ai envie de vos bites en moi.

- Déjà fou toi poil salope.

En disant cela, je baissai mon legging ainsi que mon string, enleva mes baskets et posa le tout sur le lit.

- Montre nous ta chatte de pute, écarte les cuisses, salope, montre nous que tu a envie de nos queues.

- Je m'exécute mettant un pied sur le lit pour qu'il puisse bien voir mon trou, mettant une main pour bien écarter les lèvres assez pendantes de mon sexe, pour qu'il puisse bien voir mon trou déjà bien ouvert et mon clitoris qui est assez gros, de la taille d'un ongle et de l'autre, je mis mes doigts profondément dans ma chatte.

- Elle a vraiment une chatte de pute faite pour recevoir des bites.

- Oui, elle a déjà dû s'en prendre des kilomètres cette salope.

- Vous attendez quoi pour venir me baiser, regarder ma chatte comme elle est ouverte, elle n'attend que vos bites.

C'est seulement à ce moment-là que je remarquai qu'Oumar et Rachid deux de mes élèves avaient sorti leur portable pour me filmer, , je me trouvais piégée et compris aussi pourquoi il voulait que je parle, de toute façon bien trop excitée pour vraiment protester. Mon excitation était à son comble peut être cause de l'odeur de fumé de cannabis qui flottait dans la pièces , je vis aussi qu'il avait tous bessé leur jogging se caressant leur bite dont certaine me parurent énorme, se qui fit encore augmenter mon excitation, je ne pensait plus qu'à me faire baiser et a avoir le cul defoncer , plus rien ne m'interresse d'autre , que ma mere as coté nous entende , qu'elle s'impatiente et pénètre dans la pièce je m'en moquais du moment que je puisse me prendres ses grosse bites et qu'elle me fasse jouir .

- Vous n'êtes que des salops à me filmer, venez plutôt mettre vos grosses bites dans mon cul de salope plutôt que d'attendre la bêtement en me filmant.

Me tournant, j'écartais une de mes fesses pour qu'il puisse bien voir mon petit trou alors que de l'autre main, j'y glissai les trois doigts qui sortaient de ma chatte pour bien me l'ouvrir.

- Oumar approche toi, tu pourras filmer en gros plan mon cul de salope qui n'attend que vos bites pour me faire jouir, j'espère que vous flouterez mon visage si vous mettez les vidéos sur le net.

- Allez y défoncer lui le cul a cette salope, vous voyez bien qu'elle n'attend que ça.

Ils se jetèrent alors sur moi, me prenant comme la chienne que je suis, je pouvais voir qu'il en avait toujours un ou deux pour me filmer, me faisant dire des ignominies sur moi, après qu'il, mais demandé de lâcher la bite que je suçai, je leur demandai même de me prendre en double anal et de se vider dans ma bouche, me traitant moi même de sale dévergondée feuj ne servant que comme trou as bites. Cela a duré plus d'une heure.

Une fois fini, je me rhabillais, prenant mon sac pour en sortir un mouchoir en papier pour le mettre au fond de mon string afin que ma cyprine ne tache pas mon legging, je remarquai que mon téléphone avait disparu.

-Qui a piqué mon téléphone.

-Moi, dit Mamadou en me le tendant, t'inquiète le voilà, on n'est pas des voleurs, je m'en suis juste servi pour te faire un petit film souvenir, bien sûr, je me le suis envoyé comme ça, j'ai ton numéro.

Une fois rhabillé, Bouba a ouvert la porte donnant sur ma mère.

-Vous pouvez venir, on a fini, désormais les choses sont claires entre nous.

-Dites donc, vous avez pris tout votre temps.

-Maman, il y avait pas mal de choses à régler, mais maintenant, il n'y a plus de problème, ils savent comment se comporter avec moi.

-Bon, si les choses sont à présent claires entre vous et que vos relations se passent mieux.

-Oui, je crois que tout se passera bien entre nous dorénavant.

-Bon alors au revoir messieurs.

Et on partit ma mère et moi, vers la gare RER.

-Tu sais, il vaut mieux avoir une discussion claire, même si ç'as a pris du temps à partir du moment ou le chose son réglez cas va.

-Oui maman, je crois qu'ils ont compris, dorénavant ils sauront comment se comporter avec moi.

-Je les trouve assez âgés pour être encore au lycée, ils doivent presque avoir ton âge.

-Tu sais, ce sont des élèves qui ont été en échec scolaire, souvent avec des parents parlant à peine le français, et se retrouves dans ce lycée technique pour attendre un métier.

-Oui, ils sont mieux là qu'à traîner dans la rue, c'est bien, tu vois la gare et assez proche de ce logement, tu comptes le prendre, j'espère.

-Oui, je pense même s'il est assez cher, mais c'est le plus propre que l'on a visité, tu ne trouves pas.

-Oui, je crois que c'est un bon choix, je te l'aurais aussi conseillé celui-là. Une fois près de mon hôtel, on prendra un verre dans un bar et je téléphonerai au propriétaire.

Assise face à face dans le RER, je vis ma mère fouiller dans son sac.

-Tient prend un chewing-gum, ta bouche empeste vraiment trop.

-Merci maman.

Ma mère venait de me tendre le chenin gum d'un air détaché, je commence alors à me poser des questions, à telle sentie l'odeur du sperme que j'ai avalée et dont j'ai encore le goût dans la bouche à telle entendue ou pire à telle ouverte la porte et tout vu, elle ne semblait pas préoccuper donc je chassai ses idées de ma tête, je venais de m'offrir as cinq hommes et se savait qu'ils continueront désormais à me prendre, à m'utiliser, à m'humilier et a se servir de moi et cela m'excitait.

Une fois dans le bar, on commande des boissons, je prends un double whisky, ma mère téléphone après avoir mis le haut-parleur pour que je puisse entendre.

-Bonjour monsieur Abdou vous vous souvenez de moi qui suis passée cette après-midi avec ma fille pour votre appartement.

-Oui bien sûr madame.

-Voilà elle serait très intéressée, mais trouve le prix un peu cher, si vous pouviez faire un effort, vous savez, elle est jeune enseignante et leur salaire n'est pas énorme.

-Bon, je vois, je vais pouvoir baisser mon prix, car je pense qu'elle paiera son loyer sans problème étant professeur, je préfère cela à une personne au chômage.

-Une autre chose, je compte lui acheter quelques meubles, mais je ne pourrais pas venir pour les réceptionner, si vous pouviez faire cela nous arrangerait.

-Pas de problème madame, et de mon côté, je vous envoie les index des différents compteurs pour que vous puissiez les mettre à son nom.

-Merci, je vous rappellerai demain, bonsoir.

Après avoir raccroché, elle me dit alors avec un grand sourire aux lèvres.

-Voilà, ton problème de logements est réglé, et ton nouveau propriétaire a l'air très sympathique.

-Oui maman

-Je pense que tu seras très bien là-bas, vais essayer de te trouver pour pas trop cher et ce qu'il te faut pour ton appartement demain, je compte aller chez Emmaüs, ils ont des choses bien, certes pas neuves, mais moins chères, bon, tu me rembourseras petit à petit.

-Merci

-Je vais appeler ton père pour le prévenir et le rassurer.

Elle fit un signe de la main pour dire au serveur de nous resservir la même chose et appela mon père.

-Bonsoir, c'est moi, je t'appelle pour te dire que le problème de logement de ta fille est réglé.

-J'allai justement partir pour dîner chez Jacob et je crois qu'Aaron sera là, je lui annoncerai la nouvelle.

-Oui dit lui qu'on l'a choisi ensemble, c'est un logement pas trop cher et le propriétaire a l'air sympathique et conciliant.

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