Une Jeune Étudiante Se Dévergonde 04

Depuis ce week-end un peu fou, avec son frère et Pauline, Florence est déchainée, comme si elle voulait rattraper le temps perdu, quand elle était encore vierge. Les nuits où les 2 filles ne dorment pas dans le même lit sont devenues rares.

- J'ai pas l'intention de payer mon loyer au proprio ce mois ci. Je vais retourner le voir comme le mois dernier. Après tout, loyer gratuit contre une pipe, ça nous permettra de faire la fête et de m'acheter une robe ultra courte que j'ai vu en vitrine d'un magasin près de la fac. Et si il en veut plus, avec protection, il faudra qu'il nous offre l'intégralité du loyer.

- J'y crois pas, lui répond Pauline. Tu es prête à faire la pute avec le proprio?

- Pourquoi pas? si ça nous permet de profiter un peu plus de nos week-ends.

Avant de partir à la fac le matin, Florence dépose un mot dans la boite à lettre du proprio pour lui indiquer qu'elle passera le voir le soir même.

Pour la 1ère fois, Florence met du rouge à lèvres rouge bien voyant, un chemisier transparent ouvert qu'elle a emprunté à Pauline, une paire de bas et des hauts talons. Ainsi habillée, ou plutôt déshabillée, elle descend sonner à sa porte.

- Avec cette tenue là, tu ressembles vraiment à une pute, il va bien s'amuser. Demande lui plus qu'un mois en lui promettant de revenir le mois prochain, je suis sûre qu'il va craquer. Si tu réussis, tu recevras une vraie fessée en rentrant pour te féliciter, lui dit Pauline.

Quand Lucien ouvre la porte, il n'en croit pas ses yeux. L'étudiante, d'apparence bien sage, à qui il a loué l'appartement est habillée comme une jeune pute.

- Bonjour Florence, avec mes amis on t'attendait.

Florence est surprise, elle qui s'imaginait devoir seulement satisfaire Lucien. Ils sont 3. Lucien a invité deux copains du même âge que lui, baraqués, ventrus, avec des chemises douteuses ouvertes sur leurs torses poilus. Tout ce que déteste Florence.

- Regardez qui vient nous voir. La jolie étudiante du dernier étage, la petite salope dont je vous ai parlé. Elle vient pour avoir une réduction sur son loyer. La pauvre, elle a du mal à payer, dit Lucien sans être dupe avec un éclat de rire

Florence au lieu d'être humiliée par ces paroles, est excitée car elle sait déjà qu'elle va arriver à ses fins. Quand elle va vers les deux copains, elle roule des fesses et laisse plusieurs mains lui peloter les fesses, avant de s'asseoir dans le même fauteuil que la 1ère fois. Mais cette fois ci, elle ne les laisse pas voir son entre jambes.

- T'es venue payer ton mois de loyer ou t'es encore venue essayer de négocier un retard, lui demande Lucien.

Florence ouvre légèrement les cuisses pour leur en montrer un peu plus, mais les referme très vite. Elle lui annonce qu'elle devrait pouvoir lui payer le loyer dès le lendemain le 1er du mois. Lucien se dit que pour cette fois, ils ne pourront au mieux que la mater et encore, c'est pas sûr.

- Bonne nouvelle, lui dit Lucien. Pour fêter ça, on va boire un verre tous ensemble.

Lucien sort une bouteille d'alcool fort, espérant que l'alcool va lui faire tourner la tête et qu'il pourra en profiter. Alors que les 3 hommes font cul sec, Florence les laisse boire, mais elle ne touche pas à son verre.

- Tu ne bois pas Florence?

- Non, je boirai le verre et même un autre si tu acceptes ce que je vais te proposer, lui dit Florence qui s'est levée en écartant rapidement les cuisses avant de marcher de long en large au ras de leurs mains, sans se laisser toucher. Et ce serait vraiment dommage que tu n'acceptes pas. Dans ce cas là, je te déposerai le loyer demain dans ta boite aux lettres, comme les mois suivants. Ce mois ci, tu m'offres le loyer du mois à venir, si tu veux profiter de moi ce soir devant tes copains. Et pas question qu'ils me touchent.

Lucien et ses copains sont surpris et déçus, leurs pantalons ne cachent pas leur excitation due au spectacle qu'elle leur a donné en se levant, la chatte épilée d'une fille de 19 ans. C'est pas tous les jours.

- En plus d'être une petite salope, et une bonne pipeuse, t'es une maline, lui dit Lucien

- Je suis étudiante, et c'est juste pour m'aider à faire mes études, leur dit Florence avec un grand sourire. Je ne suis pas une pute. Vous êtes le seul à qui je peux demander de l'aide. C'est un peu comme si vous étiez un vieil oncle qui aide sa nièce. Et si vos copains veulent faire partie de la famille, c'est possible si vous me donnez le double du loyer.

Florence tente un coup de poker. C'est tout ou rien. Lucien se lève, va dans le buffet et sort la somme d'une vieille boite en fer. Elle a déjà une idée pour le mois suivant, mais ne leur dit rien. Elle leur annoncera plus tard.

Florence coince les billets dans la jarretière de ses bas comme une pute et s'approche des 3 pour se débarrasser de son chemisier et de sa jupe, tout en les caressant par dessus leur pantalon.

A poil, Lucien lui appuie sur les épaules pour la mettre à genoux et lui laisse ouvrir sa braguette pour sortir sa queue mi bandée.

- Alors les amis, vous me montrez les vôtres, lequel de vous a la plus grosse?

Florence a tous les culots. Pendant qu'elle suce Lucien, elle branle les deux autres queues, chacune dans une main. Elle passe de queue en queue tout en continuant de branler les deux autres. Lucien ne tient pas longtemps, et quand elle sent qu'il va jouir, elle sort la queue de sa bouche et dirige ses jets de sperme sur ses seins.

Pendant tout ce temps, les mains des 3 hommes jouent avec ses tétons, lui malaxent les seins et caressent sa fente et son œillet, mais au moment où l'un d'entre eux tente d'enfoncer son doigt dans son cratère, elle l'arrête immédiatement.

- Vous pouvez caresser, toucher, mais pas de doigt ni de queue dans mes trous. Je suis vierge et vos bites sont trop grosses.

Florence préfère leur mentir, pour leur proposer un autre marché pour la suite.

- Georges et Maurice, celui de vous deux qui jutera en dernier, gagnera le droit de se faire sucer jusqu'au bout et j'avalerai son jus.

Par vengeance, Florence veut frustrer Lucien. Elle se dit que c'est le meilleur moyen qu'il accepte sa proposition pour le mois suivant. Florence s'applique, elle veut les faire jouir le plus vite possible tout en leur donnant l'impression qu'ils en ont pour leur argent. Elle serre les lèvres et alterne les allers-retours rapides avec des mouvements plus lents. C'est Georges qui crache en premier sur ses seins. Maurice a le droit de rester au fond de sa gorge quand c'est son tour de se vider. Florence tient sa promesse.

En partant, après avoir bu un nouveau verre d'alcool pour passer le gout, elle leur annonce que si ils veulent lui dépuceler le petit trou, il faudra y mettre le prix.

- J'attends vos propositions comme une aide exceptionnelle pour mes études, ce serait dommage de rater ça.

Elle remonte à l'appartement le chemisier et la jupe à la main. L'alcool aidant, elle ne pense même pas à se rhabiller au risque de croiser un autre locataire.

Elle court sous la douche dès la porte passée, après avoir jeté sur la table de la cuisine les billets et sans prendre le temps de raconter à Pauline.

Une fois lavée, démaquillée, et coiffée, elle rejoint Pauline dans le salon et lui raconte. Pauline est époustouflée par son culot.

- Tu te rappelles de ce que je t'avais promis avant de descendre?

Florence vient se coucher en travers de ses cuisses.

- Fesses moi, punis moi, punis moi sévèrement, fais moi jouir s'il te plait. Avec ces vieux cons, j'ai pris aucun plaisir. J'ai juste simulé quand ils m'ont caressée avec les grosses pattes.

Le lendemain soir, Florence descend comme d'habitude chez Samir, l'épicier de son quartier faire quelques courses. Mais tout ne va pas se passer comme d'habitude.

Elle voit bien que Samir la suit du regard quand elle fait son choix dans les deux allées de produits. Il quitte même sa caisse et vient la frôler sous prétexte de se rendre dans son arrière boutique. Au retour, ce n'est plus un frôlement mais une main sous sa jupe qui lui caresse les fesses.

Florence sait bien ce que l'on raconte sur les hommes du sud, mais le regard vicieux de Salim la retient.

- Faut pas se gêner, Salim. Ce n'est pas parce que je suis sympa quand je viens faire mes courses que tu peux tout te permettre.

Salim est surpris par la réflexion de Florence. Il se demande si ce que lui a dit Lucien sur Florence est vrai. Il lui a dépeint sa locataire comme une fille délurée et qui ne refuse pas le contact avec les hommes beaucoup plus âgés qu'elle. Il ne peut aller plus loin, une cliente vient de rentrer dans l'épicerie.

Deux jours plus tard, Salim a bien l'intention de tenter à nouveau sa chance avec Florence.

Alors que Florence fait ses courses, il s'approche d'elle et lui passe une nouvelle fois la main sur les fesses en la bloquant au fond du magasin.

- Tu fais ta mijaurée, mais je ne m'étais pas trompé avant hier. Tu viens faire tes courses à poil sous ta mini jupe. Si tu m'en montres plus, et si tu me laisses toucher, ton panier de courses ne te coutera pas cher. A toi de choisir.

Florence lui sourit et relève un peu le devant de sa jupe.

- Plus haut, montre moi ta cramouille

Florence, que l'exhibition en plein magasin, au risque d'être surprise par un client ou une cliente, excite lui montre ce qu'il veut voir.

- J'adore les petites salopes qui se rasent complètement, lui dit Salim qui passe un doigt sur ses lèvres, et découvre qu'elles sont humides.

- Tu peux toucher, mais interdiction de t'enfoncer, ni devant, ni derrière. Je suis vierge.

Rien que t'entendre Florence, Salim est un peu plus excité mais il respecte sa demande. Salim va fermer la porte de l'épicerie pour être plus tranquille.

- Vas y ouvre ton chemisier, et enlève ta jupe. Tu seras plus à l'aise à poil pour faire tes courses. Si tu me laisses toucher jusqu'à la caiss, et jouer avec tes nichons, le panier est gratuit ce soir.

Florence ne résiste pas. Excitée par l'exhibition à poil dans le magasin et par les mains de Salim qui la pelotent et jouent avec ses tétons, elle prend tout son temps pour remplir son panier. Arrivée à la caisse du magasin, elle remet sa jupe et ferme son chemisier avant de ressortir les bras chargés de provisions.

Ce que n'a pas vu Florence, c'est que Salim a tout enregistré sur la vidéo de surveillance de l'épicerie et ne compte pas en rester là.

La semaine suivante, Florence compte bien continuer son petit jeu avec Samir et ainsi faire ses courses à bon prix. Mais cette fois ci, Samir est plus exigeant. Dès son entrée dans le magasin, il ferme la porte à clé et indique « fermé » sur le panneau de la porte avant de l'entrainer dans la réserve.

- Tu vas me sucer, petite salope puisque tu es encore vierge. Tu vas goûter à la grosse queue de Samir. Ca va te changer des nouilles de tes copains de ton âge.

Florence ne s'y attendait pas et se dit que si elle accepte, Samir va en demander plus à chaque fois.

- Pas question, Samir. Tu peux toucher comme la semaine dernière et pas plus, sinon je m'en vais.

- Comme tu veux, lui répond Samir. Regarde bien ces caméras. Elles ont tout enregistré la semaine dernière et ce serait dommage que tous les voisins profitent des photos que je vais leur mettre dans leurs boites aux lettres. Tu vas passer pour la petite pute du quartier.

Florence ne cède pas et repars sans ses courses en claquant la porte du magasin, se disant que Samir n'osera pas. Le lendemain soir, en rentrant, elle trouve dans sa boite une enveloppe sans indication. Elle comprend tout de suite que Samir lui a déposé des photos pour faire pression sur elle.