Une jeune épouse si innocente

BÊTA PUBLIQUE

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Dave se réjouissait de la voir se débattre mais il la tenait fermement l'obligeant à avaler sa semence sa bouche en étant remplie à ras bord.

Il la vit soudain étouffer, ses yeux roulèrent dans ses orbites, elle suffoquait.

Il rit à pleins poumons alors que la somptueuse salope palissait à vue d'œil.

Extirpant son gros chibre de sa bouche gonflée, il rit à gorge déployée alors que la jeune femme empoignait son estomac à deux mains secouée d'immondes nau-sées, ses lèvres s'entrouvrirent alors qu'un flot de sperme gluant jaillissait de sa bouche s'étalant sur son menton.

Révoltée par cet acte barbare qu'elle avait subi, elle sentait son estomac se retourner.

Elle se pencha sur le rebord du lit sur le point de vomir tripes et boyaux.

Elle allait souiller le sol de la cabine du capitaine du navire, heureusement son bourreau attrapa la poubelle et la plaça sous sa tête.

Finalement une fois son estomac soulagé, elle se laissa tomber sur le confortable matelas, reniflant pitoyable-ment toute honte bue.

Son bourreau avait fini de s'habiller et quittait la cabine riant à pleine gorge.

C'est alors qu'elle entendit la porte de la cabine s'ouvrir à nouveau, elle jeta un oeil anxieux et vit Rashid qui souriait railleusement en se moquant :

- J'ai entendu que tu as fini par conclure un accord oral avec Dave... Tu utilises vraiment tous tes charmes pour subjuguer tes interlocuteurs... Prête à écarter à nouveau tes cuisses en grand? ...

Elle n'avait tiré aucun plaisir, aucune satisfaction de sa copulation forcée avec Dave Mathews, elle ne pouvait cependant empêcher les muscles de ses cuisses de se crisper à l'idée d'accueillir la grosse bite noire de Rashid dans sa foufoune impatiente.

Mais Rashid ne se déshabillait pas pour la rejoindre sur le lit, Elle se retrouva entièrement nue entraînée le long de l'allée par son maître chanteur qui lui tenait l'épaule.

- S'il vous plait Rashid... dites-moi où nous allons... Je vous en prie... Laissez moi enfiler une robe... Tout le monde... Tout le monde peut me voir entiè-rement nue... Le suppliait-elle affolée.

Comme ils approchaient de la cale à l'autre bout du navire, elle entendit retentir la voix de quelques matelots.

Alors que Rashid s'avançait la poussant devant lui dans le large hall, Carol tentait de dissimuler ses charmes de ses mains et de ses bras sous l'œil captivé de six asiati-ques qui reluquaient ses charmes dénudés.

Les tenues de ces hommes étaient répugnantes, couvertes de saletés et de poussière à force de travailler dans la cale.

La sueur dégoulinait le long de leurs corps à force de travailler dans cet atmosphère surchauffé.

Rashid s'exclama

- C'est le moment de faire une pause les gars! ... Je vous ai amené une petite récompense pour récompenser votre travail de la semaine dernière...

L'un des hommes, apparemment le contremaître donna ses ordres, sous sa direction ses hommes étalèrent une épaisse couverture verte sur le sol de la cale.

Cherchant toujours à dissimuler de son mieux ses char-mes elle vit le contremaître donner un nouvel ordre, ils commencèrent tous à se foutre à poil.

Puis le grimaçant contremaître lui empoigna le poignet et l'entraîna vers la couverture étendue au sol.

Comme les spectateurs enthousiastes applaudissaient et sifflaient elle se retrouva étendue à plat dos sur la couverture.

Elle ne pouvait rien faire d'autre que fermer les yeux., alors que le contremaître empoignait ses cuisses les ou-vrant en grand.

- Oh mon Dieu... Ohhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhh... Frémit-elle alors qu'il enfouissait son visage entre ses cuisses.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Oh Doux Jésuuuuuuuuuuuuuuuuusssssssss... s'écriait Carol alors que l'Asiate parcourait sa fente d'une langue agile.

Quelques instants plus tard, alors que le contremaître lui bouffait toujours le gazon, elle le sentit changer de position.

une colonne de chair bien raide heurta alors ses lèvres.

Quelques secondes encore et elle se mit à sucer la bite de l'homme qui lui bouffait si délicieusement la chatte.

Les spectateurs applaudirent à la vue de leur chef chercher à s'installer en position de 69.

Soudain Carol le sentit tourner sur lui-même et quelques secondes plus tard elle se retrouvait allongée sur lui pour un très classique 69, elle suçait avidement la bite de cet homme qui dégustait voracement sa chatoune.

Le contremaître était un expert du bouffage de gazon, il utilisait avec habileté sa langue, Carol frémissait de plai-sir alors que son jus intime lui inondait la bouche.

Ses grognements de jouissance étaient étouffés par l'énorme bite qui lui emplissait la bouche alors que sa tête coulissait gloutonnement sur sa hampe.

Quelques instants plus tard un succomba à un orgasme intense alors que la bite qui lui emplissait la bouche ex-plosait entre ses lèvres caressantes.

Cette fois elle ingurgita la totalité de sa semence sans aucune hésitation.

Comme le contremaître épuisé avant besoin de récupérer, les 5 marins s'approchèrent au plus près de la couverture, réclamant leur tour.

Un des hommes s'étendit sur le dos, ses acolytes empoignèrent Carol pour l'empaler sur sa virilité dressée.

- Ohhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... grommelait-elle en s'embrochant sur l'épaisse mentule.

A quatre pattes, une paire de mains lui agrippèrent les cheveux, relevant son visage de façon à ce qu'elle puisse emboucher une autre bite raidie.

Incapable de dire un mot, la bouche encombrée par un gros chibre, elle fut reconnaissante à Dave de l'avoir dé-floré analement plus tôt, lui évasant le goulot, la bite qui s'enfouissait maintenant dans son trou du cul était au-trement plus épaisse que la sienne.

Elle du empoigner à deux mains les bites deux hommes qui ne la fourraient pas pour les branler au rythme de la sauvage chevauchée qu'elle endurait.

Elle était en parfaite position pour satisfaire simultanément les 5 Asiatiques, c'était une chose qu'elle n'avait jamais envisagée même dans ses cauchemars les plus sombres, la réalité la détrompait imparablement.

Jamais Carol n'oublierait cet après-midi de débauche. Elle avait satisfait, en même temps, les appétits de 5 hommes, couverte de foutre, elle gisait maintenant sur la couverture. Son trou du cul, sa bouche, sa chatte étaient pleins de foutre, quant aux deux marins qu'elle branlait, ils avaient éjaculé sur ses cheveux et son visage.

Comme le contremaître se montrait à nouveau opérant ainsi que deux de ses compagnons, elle dur se remettre à genoux.

Immédiatement une grosse bite s'enfouit dans sa bou-che alors que deux autres l'embrochaient en cul et en con.

Aussitôt les trois autres matelots poussèrent de vifs en-couragements les poussant à se presser car eux aussi voulaient reprendre les débats.

Carol ne put s'empêcher de jouir encore et encore ou-blieuse du temps qui s'écoulait alors qu'ils la baisaient de façon répétée toute l'après-midi.

La semaine suivante, les papiers officiels de cession fu-rent signés dans la salle de conférence de la compagnie Nishimoto.

Une fois les divers documents signés, Rashid Akbar se fendit d'une allocution coin cernant les ex-employés de la compagnie qui allaient maintenant rejoindre son consortium.

Carol poussa un soupir de soulagement en lisant le message que Rashid lui avait fait parvenir une demi-heure avant le début de la réunion.

Assise derrière son bureau elle ne pouvait s'empêcher de repenser à cet enchaînement d'événements qui avait débuté 2 mois plus tôt.

Elle avait maintenant perdu le compte des hommes qui avaient satisfait leurs appétits sexuels en abusant de ses charmes.

Cela avait été le plus souvent épouvantable, humiliant, elle avait été totalement ravagée par leurs abus, cepen-dant elle ne pouvait nier qu'elle n'avait jamais autant joui qu'entre les bras de Rashid Akbar alors qu'il la forçait à recevoir son énorme chibre dans son étroite petite fou-foune.

Maintenant qu'elle pensait avoir fait le nécessaire pour écarter la menace de cette horrible vidéo, elle était dé-terminer à ne plus appartenir qu'à Jean son mari.

C'est alors que son téléphone intérieur bourdonna, sa secrétaire lui annonça que monsieur Akbar voulait la rencontrer.

- Dites-lui de monter... Lui répondit-elle légèrement stressée.

Elle prit une profonde respiration, elle voulait paraître calme et confiante aux yeux de son ex maître-chanteur.

Bien qu'elle ne puisse nier la crispation soudaine de ses muscles des cuisses alors qu'un flot de cyprine inondait sa fentine émue détrempant le fond de sa petite culotte.

Lorsque le concurrent de son mari pénétra dans son bu-reau, la porte refermée par sa secrétaire, Carol sentit un frisson de nervosité lui parcourir tout le corps alors qu'il se retournait sur la porte et la verrouillait.

Puis il approcha de son bureau et lui tendit une boite emballée comme un cadeau.

Arborant un sourire éclatant il l'avertit benoîtement :

- Comme promis voici l'original et cinq copies de ton clip vidéo! ... J'ai gardé une copie pour mon usage strictement personnel... Pour t-assurer que je ne m'en servirai plus comme moyen de pression j'ai rédigé et signé un document qui te met à l'abri de tout chantage en employant cette copie.

En lisant le document, Carol poussa un gros soupir de soulagement, il était rédigé sur du papier à l'en-tête de la compagnie de Rashid Akbar, signé par Rashid et son notaire.

Il statuait que pas une partie du film qui avait été tourné la nuit de son agression ne pourrait être utilisée pour la contraindre à obéir de quelque façon que ce soit à Ras-hid, s'il transgressait cet engagement Rashid devrait leur revendre la société si chèrement acquise à 50% de sa valeur! ...

C'était bien plus que Carol n'espérait obtenir comme as-surance de sa bonne foi.

Le téléphone intérieur bourdonna de nouveau et sa se-crétaire l'avisa :

- Votre mari est en ligne...

Carol empoigna nerveusement son combiné et répondit immédiatement :

- Hey chéri...

Puis elle l'écouta préciser la raison de son appel avant de répondre :

- Oui... Monsieur Akbar est ici... Dans mon bureau... Il est arrivé un peu plus tôt pour ajouter une paire d'articles à notre convention... Tout est en ordre... Non... Ce n'est pas la peine que tu viennes me rejoindre... On te rejoint tout de suite dans la salle de conférence...

Se levant elle s'adressa à Rashid :

- Je vous accompagne à la salle de conférence...

A sa grande surprise Rashid lui empoigna l'épaule et la tourna lentement vers lui.

Pantelante plus d'excitation que de peur, Carol lui jetant un oeil suppliant alors qu'il précisait :

- Il n'est nul besoin de nous précipiter ma chérie... La conférence ne commencera pas avant une bonne quinzaine de minutes...

Comme il se penchait sur elle, elle entrouvrit les lèvres et permit à sa langue fouineuse de s'entortiller autour de la sienne.

Quelques instants plus tard, agenouillée sur le sol de son bureau Carol regardait Rashid déboucler la ceinture de son pantalon avant de le laisser choir au sol.

Son caleçon rouge se trouvait à quelques centimètres de son visage, l'avant en était déformé par une bosse fort conséquente.

Pointant sa langue Carol suivit le contour de la masse charnue qui gonflait l'avant de son caleçon. Tendant ses mains elle roula son caleçon sur ses hanches délivrant l'énorme virilité de sa prison.

Quelques secondes plus tard, elle lui taillait une savou-reuse pipe.

Une fois arrivée dans la salle de conférence, Carol s'as-sit à coté de son mari alors qu'on servait le café.

Il lui demanda si elle voulait un peu de crème avec son café, Carol ne répondit pas... Elle avait bien assez de crème dans son estomac... Une bonne pinte de crème épaisse provenant des couilles de l'homme qui se tenait face à son mari.

Se pourlèchant les lèvres, elle vérifia qu'il ne subsistait aucune trace de son forfait sur ses lèvres charnues, qu'elle avait bien ingurgité la totalité de la substance crèmeuse qu'il avait éjaculé dans sa bouche quelques minutes plus tôt à genoux dans son bureau.

Assise à la table officielle elle fut toute surprise de voir que Rashid avait retenu la proposition de son mari d'ouvrir une agence de consultant financier.

Elle fut encore plus surprise lorsque Rashid précisa qu'il retenait d'autant plus ses services en tant que consultant indépendant qu'il appréhendait sa profonde connais-sance des arcanes financières de la société.

Carol comprit qu'il lui offrait ce poste du fait de ses com-pétences, mais certainement surtout à cause de ses ap-titudes orales...

Rashid observait attentivement Jean Nishimoto et sa somptueuse femme assis

à son côté.

- Si seulement cet imbécile savait que sa femme n'est qu'une chaude petite chienne! ... Bordel quelle succulente pipe elle m'a taillée dans son bureau! ... Mon DIeu... Qu'elle semble sexy avec ses lèvres luisantes de mon foutre! ... Pensait-il ravi.

En la voyant passer constamment sa langue sur ses lè-vres, il comprit rapidement qu'elle savourait encore le goût de son éjaculation! ...

A la vue de sa réaction lorsqu'il avait notifié qu'il enten-dait la retenir en tant que consultante financière après la vente, Rashid soupçonnait, qu'elle refuserait courtoise-ment son offre.

Il pensait que lui ayant donné la bande vidéo et cette let-tre certifiant l'abandon de tout chantage à son égard à l'aide de cette vidéo, elle devait s'imaginer être à l'abri de tout danger.

Il avait décidé de fait de ne plus utiliser ce clip ni les pho-tos extraites de ce film pour la faire chanter.

La vidéo qu'il avait d'elle agenouillée dans son bureau lui suçant avidement la bite plus celle enregistrée dans la cabine du capitaine lorsqu'elle prenait soin de Dave Ma-thews et celle de son gang bang dans la cale dans les bras des 6 asiatiques lui suffirait amplement! ... Glous-sait-il au fin fond de son esprit.

FIN DE L'HISTOIRE.

Le 14 mars 2009

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

C'est bien écrit, mais c'est de la pur fiction... Il est impossible dans la réalité que l'homme ne se rendent pas compte du changement de sa femme ! Entre avoir une femme qui se refuse à certaines pratique et qui tout d'un coup accepte tout, sodomie, fellation, ejaculation buccales, faciale et qui avalé et tout cela en quelque jours ? Soyez juste un réaliste messieurs les auteurs !

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Le récit est bien écrit. C'est juste que je trouve le comportement de la femme inadmissible, irrespectueux, malhonnête et choquant ! Pour une femme qui dit aimer son mari, elle aurait mieux fait d'être avec LUI. Mais peut-être que l'honnêteté ne fait pas parti de son vocabulaire.

Et lui, je trouve trop naïf, comment à t-il fait pour ne pas se rendre compte du changement de sa salope de femme ? Du jour au lendemain, elle accepte de se faire sodomisé de le sucer et d'avaler son sperme. Tant de chose bizarre qui finalement ne rende pas le récit crédible...

AnonymousAnonymeil y a environ 15 ans
content de vous retrouver

Je suis content de votre retour, je vais continuer à me régaler avec vos histoires, en souhaitant que vous nous en proposiez une nouvelle le plus vite possible.

J'espère surtout que vous nous proposerez une histoire dont vous êtes l'auteur, car j'aime beaucoup votre façon d'écrire et vos scénarios qui sont bien plus complexes que les traductions que vous avez la gentillesse de publier. J'ai beaucoup aimer la saga sur l'éducatrice..et pas seulement parce que ma femme a une petite quarantaine d'années...et qu'elle est...éducatrice!

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