Une jeune épouse si innocente

BÊTA PUBLIQUE

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Une semaine après son dernier sacrifice afin d'obtenir un délai pour que son mari se prononce pour la vente de son entreprise, tôt le matin, Carol décida de consulter ses mails.

- Oh mon Dieu... Frissonna-t-elle brutalement en découvrant qu'une fois encore elle avait reçu un mail du vil concurrent de son mari.

Se rappelant les immondes mails qu'il lui avait envoyés auparavant, elle hésitait à ouvrir celui ci.

Comme elle avait encore plus peur de ne pas l'ouvrir ignorant ainsi le danger qui la menacerait, elle cliqua sur le message.

Paniquée, elle déchiffra avec horreur :

- Hello chérie... Ta protection est terminée... Aimerais-tu la renouveler? ... Si oui, téléphone-moi aujourd'hui que l'on puisse négocier un nouveau dé-lai... Sinon... Tu sais ce que je vais faire de ma vidéo et des photos... A t'entendre rapidement ma petite chérie! ...

Il avait joint les trois photos qui avaient accompagné son premier mail, ces premières photos qui la montraient mains liées dans le dos, couverte de foutre de la taille aux cheveux! ...

Elle fit tout de suite le numéro de la"compagnie de commerce du moyen orient"

- Monsieur Akbar... S'il vous plait... Pour... Pour Ca-rol Nishimoto! ... Balbutia-t-elle éperdue.

Un frisson de peur parcourut brusquement son corps, alors que la standardiste lui répondait :

- Monsieur Akbar attendait votre appel... Je vous le passe tout de suite.

Carol frémit en entendant la voix familière au bout du fil.

- C'est vous ma ravissante amie... J'ai attendu votre appel toute la matinée... Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail...

- Mais... Mais... J'ai fait tout ce que vous vouliez... J'ai convaincu Jean de vous vendre sa compagnie... Il... Il m'a dit qu'il vous a rencontré il y a une paire de jours et vous avez réglé les conditions de la vente... Marmonnait-elle affolée.

Au bout du fil Rashid se mit à glousser, il se réjouissait d'entendre sa ravissante proie paniquer au bout du fil.

- Mais chérie... Rien n'est encore signé pour l'ins-tant... Il ne s'agit que d'une entente verbale... Et tu connais le seul engagement oral que j'apprécie vraiment, chérie... Tu comprends ce que je veux dire... Je parle du type d'accord oral que tu m'as prodigué il y a une paire de semaines...

Bouillonnant de dégoût, Carol se rappela le type d'ac-cord oral auquel Rashid se referait.

- Mon Dieu... Comment pourrai-je oublier cette horri-ble journée? ... Il m'avait obligée à me prosterner à genoux... Et j'avais du le contenter... Avec ma bouche!

Frissonnait-elle encore de révulsion à ce souvenir.

Carol pausa la main sur son estomac secoué de nausées, se remémorant alors comment elle avait du avaler son foutre gras avant de le vomir ensuite dans les toilettes du restaurant.

Tôt l'après-midi même, ayant bloqué son après-midi et son début de soirée, Nerveuse, Carol se dirigeait vers les docks.

Tournant sur la jetée 11, elle vit le navire de transport af-frété par la "compagnie du commerce du moyen orient".

Elle rangea sa voiture, puis gagna la passerelle qui re-liait le bateau au terminal.

Elle s'identifia auprès du marin posté au pied de la pas-serelle, elle le vit alors vérifier sur son planning de bord avant de l'aviser :

- Vous devriez trouver monsieur Akbar à deux ponts d'ici, du coté de la cale N° 3 à l'arrière du navire.

Après moult hésitations Carol gravit la passerelle, chan-celant sur ses hauts talons blancs qu'elle portait le matin même à son bureau.

En pénétrant sur le bateau, Carol trouva tout de suite l'escalier qui lui permit de descendre deux étages plus bas.

Se dirigeant vers l'arrière du navire, elle entendit retentir toute proche la voix familière de son bourreau, a voix qui lui répondait lui sembla aussi assez familière, mais elle ne parvint pas à en identifier l'auteur.

Le claquement de ses talons sur le sol métallique avait signalé son arrivée, le visage souriant de Rashid apparut en bout d'allée alors qu'il l'accueillait fort civilement.

- Par ici ma chérie... Tu es aussi ponctuelle que d'habitude! ...

Comme elle s'avançait timidement sur le seuil métallique de la cale, Carol regarda l'auteur de l'autre voix familière qu'elle n'avait pas identifié.

- Tu connais Dave, n'est ce pas ma chérie! ... l'inter-rogea Rashid.

Et de fait elle connaissait Dave Mathews dont elle avait repris le département financier dans la compagnie de son mari.

Carol grinça des dents en observant l'arrogant banquier qu'elle méprisait profondément.

Même si Dave Mathews s'avérait jeune et élégant, Carol se détourna de lui, il semblait croire qu'il était un véritable cadeau aux yeux des jeunes femmes qu'il cô-toyait.

Il cherchait à la perturber, Carol lui avait soufflé son poste et il avait été obligé d'aller chercher du boulot ail-leurs.

Carol se retrouvait face à face avec l'homme qui devait ruminer sa rancune envers elle.

Elle se rappelait clairement comment il l'avait appelée à plusieurs reprises pour garder son poste de directeur fi-nancier dans la société de son mari.

Puis il avait alerté son mari, cherchant à obtenir sa réin-tégration dans ses fonctions, mais Jean l'avait alors avi-sé qu'il ne pouvait rien pour lui, il avait promis à son épouse d'avoir les mains libres en ce qui concernait le département financier si elle venait travailler avec lui.

- Madame Nishimoto... Je suis si heureux de vous rencontrer à nouveau... Je n'ai jamais eu le plaisir de vous reparler depuis... Depuis pas mal de temps... En fait depuis que vous avez pris en main le département financier de la compagnie de votre mari... Me spoliant de mon poste! ... Vous ne vous êtes jamais demandé ce que je suis devenu après cette terrible épreuve... Vous m'avez presque em-pêché de retrouver un poste dans une banque... Vous rendez-vous compte de tout cela délicieuse madame Nishimoto? ... La questionna-t-il un rictus aux lèvres.

- Dave est mon partenaire financier dans cette re-prise, ma chérie! ... Lorsque je lui ai signalé que j'avais besoin de fonds pour acquérir la "Compa-gnie Nishimoto de vente et transport ", Dave pensa tout d'abord qu'il s'agissait d'une plaisanterie, il se figurait que jamais votre mari ne me revendrait son affaire! ... Mais mon cher Dave se montra beaucoup plus intéressé lorsque je lui révélais que j'avais des appuis à l'intérieur de la compagnie... L'aide de la très sexy épouse de jean Nishimento elle-même... L'avisa Rashid hilare.

Il semblait à la malheureuse Carol que le sol se dérobait sous ses pieds en entendant le banquier lui préciser d'une voix ironique :

- Akbar m'averti que vous aviez accepté de l'aide r dans cette affaire... Et comment vous avez orale-ment scellé le marché! ...

Carol avala sa salive et, paniquée fixa le ricanant Dave, réalisant que l'arrogant banquier savait pertinemment qu'elle s'était agenouillée entre les cuisses de Rashid pour sucer son énorme queue noire! ...

Retenant ses larmes, Carol se sentait défaillir, ses jambes ne la supportaient plus! ...

Carle était figée par la peur alors que Rashid s'approchait d'elle l'avisant :

- Dave m'a proposé un fantastique tau d'intérêt... Mais il avait besoin d'un encouragement décisif... Ma chérie...

Rashid posa alors sa main sur ses fesses qu'il pelota rudement avant de poursuivre :

- Comprends-tu quel encouragement pourrait amener Dave à m'accorder ce tau exceptionnel qu'il ma proposé? ... Pourquoi n'escorterais-tu pas Dave jusqu'à la cabine du capitaine à l'avant du cargo pour m'aider à le convaincre de tenir sa proposition! ...

Frémissante de révulsion Carol réalisait ce que sous-entendait Rashid... Elle faisait l'objet de la négociation... Il la prostituait pour s'assurer le concours de ce bâtard de banquier! ...

Un moment plus tard, Elle remontait l'allée menant à la cabine du capitaine, l'impudent Dave Mathews lui tenait fermement l'épaule.

De grosses larmes ruisselaient sur ses joues, Carol reniflait misérablement alors qu'il commentait ironiquement :

- L'arrogante et fidèle madame Nishimoto va payer mon exclusion de la compagnie maritale... Elle veut me dédommager en s'agenouillant à nouveau comme une pute sur ses genoux... Pour sucer ma bite comme elle a sucé la grosse mentule noire du concurrent de son mari! ... Vous n'êtes qu'une pute madame Nishimoto.. N'est ce pas? ... Et je vais te baiser comme la chienne que t'es au fond de ton âme! ...

Arrivée dans la confortable cabine du capitaine, Carol se tenait au centre de la salle alors que son bourreau prenant un siège et lui intimait :

- Tu as entendu ce que t'as dit monsieur Akbar! ... Il ne te reste plus qu'à me convaincre de l'aider! ... Commence par te débarrasser de ta robe... montre-moi ton corps voluptueux petite pute! ... Effeuille-toi pour moi! ...

Totalement résignée, Carol tendit le bras dans son dos pour descendre le curseur de sa robe vert tendre.

Refrénant ses larmes, elle descendit sa robe sur ses hanches.

Elle grinça des dents alors que Dave Mathews commen-tait :

- Tu n'es qu'une pute de bas étage ma petite chérie! ... Jean sait-il qu'il a épousé une pute? ... Tu lui as bien caché ton jeu n'est ce pas sale chienne! ... Quand je pense qu'il croit que sa femme est la plus douce et la plus fidèle des compagnes! ... Tourne-toi vers moi salope! ...

Carol cherchait désespérément à penser à autre chose, cherchant à chasser de son esprit ce qu'elle était obligée de faire.

En sanglotant, elle laissa tomber sa robe sur la moquette, s'entortillant autour de ses chevilles.

Elle ne portait plus que son soutien-gorge de fine den-telle, sa culotte assortie et ses hauts-talons.

- Et maintenant ton retrousse tètes! ... ordonna son bourreau.

Folle de honte elle dégrafa son soutien-gorge qui chut au sol tandis qu'il poursuivait :

- Et maintenant expose tes charmes les plus secrets... Ta délicieuse foufoune! ...

Elle roula sa petite culotte sur ses hanches qui ne tarda pas à rejoindre sa robe encerclant ses hauts talons blancs.

Et maintenant ma chère madame Nishimoto monte ton adorable petit cul sur le lit! ...

Elle se dirigea lentement vers le lit.

- A quatre pattes salope! ... Lui intima-t-il autoritaire-ment.

Tête basse, figée par la honte et l'humiliation, Carol jeta un oeil sur le coté en entendant un bruit de vêtements que l'on

quitte.

Il se déshabillait promptement dans sa hâte de la rejoin-dre sur le lit.

Elle grimaça en sentant le lit s'affaisser, déjà les mains de Dave lui palpaient rudement la croupe tandis qu'il in-tervenait à nouveau :

- Salope de chienne je ne te raconte pas le plaisir que je vais prendre à te sauter! ... Exactement comme la pute que tu es vraiment! ...

Il caressait la tendre texture de ses fesses il ne croyait pas encore à sa bonne fortune! ...

Après avoir été évincé par cette foutue salope, il avait maintenant la possibilité de faire payer son attitude à cette satanée salope! ...

- S'il vous plait... Je vous en prie... Je suis désolée... Ne me faites pas ça... Je vous en prie... Le sup-pliait-elle pitoyablement.

Ses pleurs et ses lamentations ne faisaient que renforcer sa bandaison.

Agrippant ses tendres hanches, il l'empala de toutes ses forces en grognant lourdement.

- Je te baise enfin foutue salope! ....

- Nooooooooooonnnnnnn... Mon Dieu... Nooooooooonnnnnnn! ... Sanglotait Carol alors que l'homme qu'elle méprisait tant, planté dans son dos, introduisait brutalement sa bite dans sa fentine.

- Ohhhhh... Ohhhhhhhhh... Ohhhh... Ohhhhhhh... Ohhhhhhh... Grognait Carol alors que Dave Mathews allait et venait allégrement dans sa foufoune maintenant correctement lubrifiée alors que son pubis venait heurter ses douces fesses à chaque coup de boutoir...

- Oh mon Dieu... Nooooonnnnn... Faites que je ne ressente rien d'autre que du dégoût! ... Adjurait-elle Dieu alors qu'involontairement ses sphincters vagi-naux se crispaient sur la bite de son suborneur.

En sentant ses muscles intimes se serrer et se desserrer sur sa bite palpitante, Dave se moqua de sa ravissante jeune proie :

- T'as l'air d'aimer ça chérie! ... Oh chérie tu jutes comme une salope maintenant! ... Exactement comme une petite chienne en rut! ...

Cependant Dave voulait qu'elle se rappelle toute sa vie de ce jour.

Rashid lui avait confié qu'il avait été le premier à glisser sa bite dans sa bouche, mais que jusqu'ici il ne l'avait pas encore enculée, Dave pensait qu'il était concevable qu'elle fut encore pucelle du trou du cul! ...

Une poignée de main avec Rashid avait clôturé leur en-tente, il lui avait offert d'être le premier à casser le cul de la somptueuse petite pute en échange du taux d'intérêt exceptionnel qu'il lui offrait.

Alors que la jeune femme s'empalait maintenant d'elle-même sur sa grosse bite, Dave sourit, il savait qu'il au-rait bien vite l'occasion de se farcir son trou du cul qu'il espérait bien vierge! ...

Lui flattant lascivement la croupe, il empoigna fermement ses hanches extirpant lentement sa mentule de sa chagatte accueillante.

Carol venait tout juste de s'adapter au rythme que lui imposait son bourreau, lorsque étonnée elle le sentit se retirer de sa moule embrasée, elle était juste sur le point de jouir! ...

Pantelante, elle se tourna vers lui, le sentant promener son gland dans sa raie culière. C'est alors qu'il se mit à presser son gros champignon contre son anus effrayé.

- Que... Que faites-vous? ... L'interrogea-t-elle frénétiquement détournant son visage à la vue de son cruel rictus.

Ses mains agrippaient fermement ses hanches, alors que son gland turgescent frappait à la porte de ses reins, elle tendit les mains empoignant la tête du lit, cherchant à échapper à son étreinte en rampant.

- Je vais te donner une bonne leçon ma petite chérie... Eructa-t-il pressant férocement son gros champignon contre son anus affolé.

- Oh mon Dieu... Non... Pas ça! ... Je vous en prie... Pas ça... Je ne l'ai jamais fait... Sanglotait-elle éperdue.

Dave sourit à cette confirmation, il savait maintenant qu'il serait le premier à casser le cul de cette somp-tueuse salope.

Il raffermit sa prise sur ses hanches, sa bite était prête, en grognant sourdement il donna un féroce coup de rein.

- Allons y chérie! ...

- Aieeeeeeeeeeeee... Arretez... Arrêtezzzzzzzzzz... Hurlait-elle desespérée.

Ses plaintes réjouissaient grandement Dave... Se plan-tant dans son anus virginal, il rit de ses lamentations iro-nisant grassement :

- Tu n'es qu'une sale petite chienne en chaleur, sa-lope! ... Je vais t'enculer pour te remercier de m'avoir chassé de mon poste de directeur! ... Qui est-ce qui, en dédommagement, va se faire enculer maintenant? ...

- Owwwwwww... Owwwwww... Arrêtez... Je vous en prie arrêtez... a fait malllllllllll... Sanglotait Carol affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Je ne pourrai pas en supporter plus! ... Oh mon Dieu... Faites moi mourir... Priait-elle, jamais elle n'avait enduré d'expérience aussi douloureuse.

En entendant rire cet homme qui la sodomisait sauva-gement, elle comprit qu'elle ne devait attendre aucune pitié de sa part, il ferait en sorte d'accroître encore sa douleur et son humiliation! ...

- Oh mon Dieu.. Comment peut-on être assez pervers pour se livrer à des actes aussi dégoûtants... Se demandait-elle horrifiée.

- Ma chérie, t'es si étroite... Foutrement étroite... T'as vraiment un succulent petit cul madame Nishimoto! ... Se gargarisait-il en lui défonçant la rondelle.

- Si doux et si chaud... Bordel j'en crois pas ma bite! ... Dire que te dépucelle le trou du cul! ... S'esclaffait-il hilare.

Coulissant sauvagement dans son intestin rétif, le lit grinçant sous les virils assauts, Dave sentait sa mentule vibrer follement. Il se mit à grogner :

- Oh chérieeeeeeeeeeeeeee... Oh ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais me vider dans ton délicieux petit cul! ...

Figée par la douleur, Carol demeura à quatre pattes sur le lit, frémissante de douleur alors que Dave Mathews extirpait sa bite souillée de son trou du cul meurtri.

Elle frissonnait d'humiliation, il lui tapotait la croupe tout en ricanant :

- Et maintenant tu vas pouvoir ramener ton petit cul si fidèle à ton bien-aimé salope! ... Tu pourras lui dire que tu as aidé à la vente en offrant tes fesses aux investisseurs...

Le corps de Carol était secoué de spasmes de douleur émanant de son fondement ravagé.

La douleur était intense, de plus sentir un flot de foutre gras suinter de son anus endolori pour s'étaler sur ses fesses était vraiment insupportable.

- Te voilà avec un trou du cul tout neuf ma salope! Ricana encore son suborneur ravi.

- Au revoir ma chérie... Je rentre à la banque finali-ser les prêt consenti à monsieur Akbar! ... Cela va me rapporter un sacré bonus, mais pas aussi suc-culent que celui que tu viens de m'offrir! ... Gloussa-t-il railleusement.

- Que se passe-t-il madame Nishimoto... T'es tétani-sée... Tu ne peux plus bouger un cil! ... Ton petit trou du cul te brûle après le sort que je lui ai fait subir? ... Se moqua-t-il ironiquement.

Puis il fit le tour du lit yeux braqués sur la ravissante jeune femme sanglotant de honte et de douleur dont le visage se trouvait à peine à quelques centimètres de sa taille.

Sa bite raidit de nouveau à la penséehumilier une fois de plus la fière jeune femme qui fustigeait ses sens.

Il lui saisit sa noire chevelure à deux mains en gloussant :

- Tu vas me nettoyer la bite salope, avant que j'enfile mon calecif! ... Après tout ce ne sont que les dernières traces de ton pucelage anal! ...

Carol était à nouveau au bord des larmes tant il lui faisait mal en lui tirant les cheveux.

Dès qu'elle ouvrit la bouche pour se plaindre, il enfouit sa grosse mentule dans sa bouche.

Elle frissonna de toutes ses fibres en sentant la puanteur de cette bite honnie et son goût révulsant! ...

- Allez salope... Grouille-toi de nettoyer minutieusement mon chibre! ... Lui ordonna l'ar-rogant banquier alors qu'il grognait de plaisir en la baisant en bouche.

- Oh oui, ma chérie... Oh, oui... Ohhhh... Oh, oui... Lèche encore ma bite... Cajole-moi...

- Lèche-moi!... Ahhhhhhh, oui... Comme ça... C'est excellent!... Lèche encore ma bite ma chérie... Gémissait Dave fou de plaisir alors que sa pauvre proie se démenait de son mieux sa bite en pleine gorge.

C'était l'ultime humiliation qu'il pouvait infliger à cette sa-lope qui lui avait ravi son poste! ...

Il coulissait de plus en plus furieusement entre ses lè-vres gonflées, enfonçant sa bite frémissante de quelques centimètres dans son arrière-gorge.

L'estomac soulevé de nausées alors que la révulsante bite coulissait dans sa bouche, Carol priait pour sortir de ce cauchemar, pour qu'on arrête de lui faire subir de tel-les violences.

- Oh mon Dieu... Sucer Rashid était une chose... Mais cet immonde salopard m'oblige à sucer sa bite alors qu'il vient tout juste de me sodomiser! ... Bâ-tard... Ce que j'aimerai mordre sa répugnante bite puante, la déchirer et la balancer par le hublot! ... Pensait-elle haineusement.

Mais ce n'était qu'un vœux pieux, elle savait qu'elle ne pouvait pas se le permettre, sa vengeance serait terrible. Elle était entièrement à la merci de ce pervers, elle se remit à cajoler sa bite de façon à en finir au plus vite.

Dave frissonna de plaisir en la sentant reprendre ses succulentes sucions, il était au bord de l'explosion.

- Oh ma chérie... Mon petit cœur... Tes lèvres sont si douces... Ahhhhhhhhhh... Oh oui comme ça... Lèche-moi encore... Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouir... Je jouis... Avale mon foutre... Avale tout mon foutre... Ahh-hhhhhhhhhh... Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Grognait-il éper-du de plaisir.

Il tenait fermement sa ravissante proie par ses longs cheveux soyeux noirs, Dave était conscient de ses re-gards suppliants, elle essayait de tordre son cou en tous sens pour déloger la bite qui vomissait son foutre gluant dans sa bouche révoltée.

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