Une femme piégée par le pervers par

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
102 Admirateurs

Ellen frémit lorsque monsieur Calhoon lui demanda :

-"Oh, madame Ryan, seriez vous assez gentille pour vous occuper de monsieur Lewis, je dois saluer quelques invités qui viennent d'arriver et leur présenter votre mari......"

Un frisson glacé la transperça de part en part en voyant son mari accompagner son patron, la plaisant seule avec ce colosse noir qui la déshabillait de ses yeux concupiscents.

L'obscurité avait envahi les jardins, Elle dut se mordre les lèvres alors que Lewis lui agrippait fermement le coude l'invitant à le suivre dans les jardins.

Le cœur battant la chamade, muette de stupéfaction elle se laissa entraîner au dehors. Elle savait très bien qu'il ne l'emmenait pas humer le parfum des fleurs et se repaître de leur beauté.

Il n'y avait qu'une seule raison pour qu'il l'emmena à l'extérieur, elle ferma les yeux espérant de tout son cœur se mettre en à l'abri dans la grande salle au coté de son gentil mari.

Refreinant ses larmes, Ellen renifla alors que la porte se fermait derrière eux, la main de monsieur Lewis avait quitté son coude et lui caressait maintenant les fesses à travers sa robe du soir noire.

Il la tourna vers lui et la serra contre son torse, posant ses lèvres sur es siennes pour lui rouler un patin fiévreux.

Elle aurait voulu pouvoir se débattre pour s'enfuir loin de cet étranger, mais elle devait se conformer aux ordres de monsieur Calhoon en le "divertissant".

Quelques instants plus tard ils descendaient l'allée menant à la source s'éloignant quelque peu de la luxueuse maison, Ils s'arrêtèrent le long d'un petit muret de pierre.

Il la poussa en avant la courbant sur le petit muret qui s'élevait à hauteur de taille.

Elle pouvait voir quelques couples discutant près de la maison, ainsi qu'au travers des grandes baies vitrées son mari qui se tenait au coté de son patron.

Avec son ventre rebondi, Ellen avait abandonné le port de collants fumés qu'elle portait habituellement avec ses robes noires, ils lui comprimaient trop le ventre.

Les regards des invités se promenant avec concupiscence sur ses longues jambes l'avaient convaincue que personne ne regrettait l'absence de ses collants.

Elle regrettait maintenant de ne pas les porter, frissonnant de dégoût alors que son interlocuteur prenait la liberté de lui caresser ses cuisses nues.

Penchée en avant, affolée à l'idée d'être vue, Ellen surveillait les gens qui discutaient hors de la maison priant pour que personne n'ait l'idée de descendre l'allée.

-"S'il vous plait..... Oh mon Dieu... je vous en prie monsieur Lewis.. Quelqu'un pourrait venir! ..... Je vous en prie, pas ici...... C'est... C'est trop dangereux! ....." haletait-elle, alors que ses mains calleuses tâtonnaient à la ceinture de sa petite culotte noire en dentelle.

Ellen frissonnait sous la fraîche caresse du vent du soir, elle paniqua en entendant le bruit facilement identifiable d'une fermeture éclair que l'on descend.

-"Ecarte les cuisses salopes! ....." s'entendit-il commander par cet homme qu'elle venait de rencontrer.

Il appuyait son genou contre ses cuisses, l'obligeant à les écarter, sa petite culotte chut sur ses chevilles.

Haletante Ellen l'enjamba les rejetant au loin d'un coup de pied furieux.

Jambes bien écartées, jupe retroussée autour de sa taille elle frissonna sentant l'épais gland se glisser entre ses cuisses.

-"S'il vous plait ...... Oh je vous en prie monsieur Lewis ...... Ohhhhhhh ..... Ohhhhhhhhh...... Mon Dieuuuuuuuuu Vous .... Vous êtes si grooooooooooos ........ S'il vous plait ........ Soyez gentil! ....." pleurnichait-elle éperdue.

-"Ohhhhhh...... Ahhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiii... Ohhhhhhhhhhh! ...." grommelait Ellen alors que l'épaisse bite s'insinuait en elle.

C'est alors qu'elle l'entendit avancer d'une voix rude :

-"C'est bien ce que vous vouliez...... N'est ce pas madame Ryan...... Vous n'êtes rien d'autre qu'un fusil à trois coups...... dites-moi quel genre de pute vous êtes madame Ryan? ......"

-"Oh s'il vous plait....... Je vous en prie....... Ne m'obligez pas à vous supplier! ....... Ne m'humiliez pas! ......" se lamentait-elle misérablement.

Sentant son suborneur extirper sa grosse bite de sa fentine n'y laissant que l'épais gland à l'entrée, Ellen donnait des coups de cul pour s'empaler totalement sur la colonne tendue, les mains posées sur ses hanches l'empêchaient de réaliser ce vœu.

-"Oh s'il vous plait....... S'il vous plait..... baisez-moi... Je vous en prie...... baisez-moi... baisez-moi comme la salope que je suis! ....... Je ne suis rien d'autre qu'une petite pute bon marché! ...... Engrossée par le patron de mon mari...... Je veux que me baisiez avec votre grosse bite noire! ....... Fourrez-moi profondément! ....... Ramonez ma petite chatte! ....... Oh ouiiiiiiiiiiiiiii......."

-"Ouiiiiiiiiiii...... Encore....... Encore... Plus profond! ...... Fourrez votre grosse bite dans mon ventre de femme enceinte! ...... Ouiiiiiiiiiiiii...... Ohhhhhhhh, oui........ baisez-moi comme une chatte en chaleur! ....... Ohhhhhhhhhhhh... Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... C'est si bonnnnnn...... Si bonnnnnnnnnnnn....... " marmonnait Ellen complètement désorientée.

Si Ellen avait fait un peu plus attention aux gens déambulant hors de la maison, elle aurait remarqué que

Mike Phelps après avoir allumé une cigarette s'approchait d'eux.

Mike était un des jeunes débutants travaillant sous les ordres de Darrin, il préférait se balader à l'extérieur de la maison, il se sentait gêné au contact de toutes ces huiles.

Alors qu'il déambulait une cigarette à la bouche, il lui sembla entendre les plaintes d'une femme.

Dissimulé derrière une haie, dans l'obscurité, il se dirigea vers ces gémissements.

Il n'en croyait pas le témoignage de ses yeux à la vue de la guindée madame Ellen Ryan se faisant baiser allégrement à peine 5 mètres de lui.

Max Lewis la tenait par la taille alors qu'il la labourait férocement de dos.

-"T'es une vraie salope ma chérie! ... Seule une jolie petite pute dans ton genre pouvait se laisser engrosser par ce vieux salaud de Calhoon! ... Oh oui chérie... Prends ça... Ah mon Dieu... Lève... Lève les yeux et tu pourras voir ton cornard posté au coté de l'homme qui t'a engrossé! ..."

Les yeux grands ouverts à force d'incrédulité, Mike Phelps dévorait des yeux les deux amants qui jouissaient follement.

Il ne parvenait pas à croire qu'il voyait la si rigide femme de son patron se faire baiser comme une truie sous ses yeux ébahis.

-"Oh mon Dieu... Ohhhhhhhh... Je... Je jouiiiiiiiisssssss! ..." entendit-il clairement la ravissante jeune femme mugir d'une voix rauque.

Il entendit alors le colosse noir qui avait la bite bourrée au fin fond de l'utérus de la beauté frémissante grogner :

-"Ahhhhhhhhhhh ... Ma salope ... Je vais te remplir ton ventre de femme enceinte avec mon foutre de nègre! ... Uhhhhhhhhhh... Oh chérie... T'sont vraiment bonne! ... La meilleure pute que j'me sois faite depuis un bon moment! ...

Mike avait déjà rencontré la femme de Darrin à plusieurs reprises, et l'avait toujours considérée comme une femme élégante, distinguée et fidèle.

Il avait bien tort, ce n'était pas une dame respectable, il le comprenait à la voir gémir et grogner arquant son ferme cul pour mieux sentir la bite de cet étranger noir qui la ramonait avec vigueur.

-"Oh mon Dieu... Je serai drôlement content de me faire le cul de cette salope..." se disait-il avec concupiscence.

Quelques instants plus tard, comme ils avaient repris leur souffle, Mike put voir l'adorable jeune femme se pencher en avant et chercher quelque chose dans la pelouse.

Il remarqua alors l'homme à ses cotés tendre la main attrapant quelque chose qu'il jeta dans sa direction.

Sa bite se mit au garde à vous en entendant madame Ryan haleter :

-"Nonnnnn... Que... Que voulez-vous encore? ... Qu'a vous fait de ma petite culotte? ... Où est-elle? ... Je dois la retrouver! ..."

Il entendit alors la grosse voix de son amant la couper :

-"Une pute dans ton genre n'a pas besoin de porter de culotte! ... Allez ma petite salope retournons au salon rejoindre les autres invités..."

Puis il vit l'homme entraîner la ravissante jeune femme vers la maison.

Pouvant à nouveau respirer librement il s'agenouilla dans l'herbe et entreprit de chercher la petite culotte égarée.

Un large sourire s'afficha sur son visage lorsqu'il trouva le soyeux trophée.

Sa bite s'érigea instantanément alors qu'il triturait entre ses doigts l'affriolante petite culotte en soie.

La portant à son nez il respira profondément s'imprégnant de ses subtiles flagrances.

De retour au salon Ellen avala sa salive alors que Max Lewis la tenant par le coude la guidait vers l'endroit où se tenaient son mari et le patron de son mari.

Elle se sentait si dépravée, si honteuse de se tenir à coté de son gentil mari alors que l'homme qui l'avait engrossée, son pervers patron conversait avec lui et que le sperme de l'homme qui la guidait s'écoulait de sa chatte sur ses cuisses.

Elle frissonna et rougit d'humiliation lorsque monsieur Calhoon leur demanda :

-"Oh, avez vous emmené monsieur Lewis faire un petit tour dans le jardin chère madame Ryan? ..."

Un petit moment plus tard, Ellen sourit en saluant Mike Phelps le jeune protégé de son mari.

Son mari agita soudain la main et s'excusa pour aller saluer un de ses clients qui s'approchait.

Calhoon et Lewis se dirigèrent vers d'autres invités, laissant Ellen seule aux mains du protégé de son mari.

Elle soupira soulagée, et se commença à se réjouir, discutant avec ce jeune homme qui lui avait toujours semblé si gentil, si attentionné et qui l'avait toujours traitée avec le plus grand respect.

Alors que l'alcool coulait à flot, Ellen et Mike Phelps déambulaient dans la foule se dirigeant vers le bout de la grande salle de réception, l'aire d'entrée était bien moins peuplée que le reste de la salle.

Cherchant à oublier ce qui venait de se passer dans le jardin, Ellen réclama une autre coupe de champagne.

En approchant des toilettes, elle lui demanda de l'excuser un instant, elle avait juste besoin de se nettoyer les cuisses des rigoles de foutre qui s'écoulaient de sa chatte béante.

Se nettoyant de son mieux, Ellen enfila ensuite le chandail noir qu'elle avait pris soin d'emporter dans son sac.

Sous l'empire du champagne qu'elle avait consommé plus que de raison, elle se réjouissait de la compagnie de ce respectueux jeune homme.

Elle l'entendit alors lui murmurer à l'oreille :

-"Je cherchais justement cette petite salle que j'ai remarquée tout à l'heure... allons-y, je voudrais vous montrer quelque chose que j'ai trouvé! ..."

Ellen suivit le jeune homme se demandant bien ce qu'il avait trouvé qui semblait fortement le troubler.

Une fois entrée dans la petite pièce somptueusement meublée, elle ne remarqua que son jeune compagnon verrouillait la porte dans leur dos.

-"Qu'avez-vous trouvé que vous voulez à toute fin me montrer Mike? ..." le questionna-t-elle d'une voix douce se retournant vers lui.

Il lui sembla que sa mâchoire se décrochait et que son cœur cessait de battre lorsqu'elle vit le jeune homme grimacer un sourire en agitant une petite culotte noire au bout de ses doigts.

C'était sa petite culotte qu'il agitait ainsi sous ses yeux éperdus.

Muette de stupéfaction, figée, elle le vit soudain cesser de secouer sa petite culotte soyeuse, il porta alors le fond de sa petite culotte à son visage et huma longuement les subtiles flagrances le nez enfoui dans le fond de l'affriolant cache sexe en soie.

Yeux braqués sur le jeune homme qui souriait sarcastiquement, elle n'en croyait pas ses oreilles.

-"Je t'ai vu dans le jardin ma petite madame Ryan chérie! ... J'ai vu comment tu distrayais monsieur Lewis! ... Et, si j'ai bien entendu c'est le petit bâtard de ce vieux salaud de Calhoon qui grandit dans ton ventre! ..."

De grosses larmes perlèrent à ses paupières et se mirent à rouler sur ses joues alors qu'elle le suppliait :

-"S'il vous plait... S'il vous plait, Mike... Ne dite rien à Darrin! ... Il... Il ne sait pas que ce n'est pas son bébé! ... Je... Je ferai tout ce que vous voudrez! ... Mais je vous en prie ne dite rien à Darrin! ..."

Mike sourit de toutes ses dents intimant à la malheureuse jeune femme éperdue :

-"T'es si belle ma petite madame Ryan chérie, je ne voudrais surtout pas abattre Darrin avec cette mauvaise nouvelle! ... Je crois que tu sauras me convaincre de ne pas le faire! ... Peut-être bien qu'un baiser pour commencer, madame Ryan! ..."

Comme elle se passait la langue sur ses lèvres asséchées en avançant vers lui, il précisa :

-"J'ai souvent rêva que tu me donnais un baiser madame Ryan... Que tu me donnais un baiser sur le bout de la queue agenouillée entre mes cuisses, me regardant droit dans les yeux! ..."

Les larmes ruisselaient sur son visage, un frisson d'horreur lui parcourut la colonne vertébrale, elle avança d'un nouveau pas et se mit lentement à genoux sur la moquette pelucheuse.

Sachant pertinemment ce qu'il attendait d'elle, Ellen tendit la main, déboucla sa ceinture et déboutonna sa braguette.

Une fois la fermeture éclair baissée ses yeux se rivèrent sur la grosse bosse qui déformait son caleçon.

-"Ohhhhh madam Ryan ... Ohhhhhhh, c'est juste comme dans mes rêves les plus chers! ... Vêtue très élégamment, agenouillée entre mes cuisses tu prends ma grosse bite entre tes lèvres pulpeuses! ... Ohhh chérie... Ouiiiiiiii... Ahhh tu suces comme une pro! ... Oh, chérie... suce-moi encore... Ahhhhhhhhhh... " gémissait Mike Phelps, les doigts enfouis dans sa chevelure il se mit à la baiser frénétiquement en bouche.

-"Ohhhh, ma chérie... Regarde moi... Ohhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... Je veux voir ton regard quand je vais gicler dans ta bouche! ... Oh mon Dieu... Oui... Ouiiiiiiii... Avale... Avale tout mon foutre foutue salope! ..."

Le visage ruisselant de larmes Ellen déglutit et déglutit encore alors qu'il continuait à projeter son jus crémeux a fond de sa gorge.

Mais son éjaculation était si importante que des filets de foutre s'échappèrent des commissures de ses lèvres s'étalant sur son menton.

-

Lorsque le jeune protégé de son mari eut fini de se vider les couilles au fin fond de sa gorge, lui agrippant les cheveux il la remit sur pieds.

Puis il la retourna et la poussa vers une table.

Elle sentit qu'il caressait son petit ventre bombé, puis il la courba sur la table.

Elle se sentit folle de honte en l'entendant murmurer à son oreille :

-"Je me fous bien d'être le second à te baiser en con aujourd'hui ma petite madame Ryan... Je veux être le prochain à te mettre enceinte salope! ... Bordel, t'es tellement trempée que j'ai glissé dans ta chatte comme une lettre à la poste. ... »

Comme la bite du si respectueux jeune homme plongeait dans ses profondeurs, Ellen frissonna de plaisir.

Fermant les yeux, inconsciemment, elle se mit à son diapason, gémissant :

-"Oh, Mike... Ohhhh... Mon Dieu... baise-moi... Encore! ... Traite-moi comme la dernière des putes que je suis! ... Fais de moi ta petite pute personnelle! ..."

Le jeudi suivant, vers 11 heures, Darrin se pointa dans le bureau de son jeune collaborateur et l'interpella :

-"Hey Mike, Ma femme devrait arriver d'ici quelques minutes... Je dois apporter ce rapport au bureau des services commerciaux... Si tu vois arriver ma femme, pourrais-tu lui dire que je reviens dans 10 minutes, nous partirons alors déjeuner ensemble! ..."

-"Bien sûr Darrin, pas de problème, je serai heureux de distraire votre adorable femme jusqu'à votre retour! ..." répondit Mike suavement.

Son patron parti, Mike Phelps jeta un oeil sous son bureau, entre ses cuisses et murmura :

-"T'as entendu ma chère petite madame Ryan... On dispose de trois minutes avant que je ne te serve ton petit déjeuner, une bonne dose de sperme chaud... Ohhhh, oui... Utilise ta langue! ... Oui, comme ça! .... Ahhhhhhhhh... J'espère que tu auras encore faim quand Darrin t'emmènera déjeuner! ...

Arquant le dos contre le dossier de son fauteuil, Mike coulissait frénétiquement entre ses lèvres avides, soudain il s'esclaffa :

-"Oh chérie... Lorsque tu auras accouché du cadeau de ce vieux salaud de Calhoon, j'ai bien l'intention d'être le père de ton prochain bébé! ... Ce sera mon tour de te remplir le bide! ..."

FIN

19 juin 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

Coulybaca
Coulybaca
102 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Une femme piégée 01 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Recession Les factures.
Une Aide Précieuse De menus travaux manuels.
Réveil préhistorique Un homme préhistorique intact est retrouvé en Sibérie.
Nolwenn La Bretonne à Blacks 01 Nolwenn, la belle bretonne à blacks se confesse.
Je N'en Reviendrai Pas Je suis mise à l'abattage dans un bordel au Sénégal.
Plus d'histoires