Une femme piégée 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Je vois ce que voulait dire Johan, elle est vraiment chaude comme la braise! Allongez-la sur le lit et foutez-la à poil!

J'entendais leurs propos, je savais ce qu'ils signifiaient. Jusqu'ici je n'avais jamais laissé personne me traiter comme cela.

Je me retrouvais allongée sur le dos sur mon propre lit, les doigts de Stenn grouillant dans mon intimité, tortillant des hanches pour approfondir ses caresses, alors que Loather me dépouillait de mes vêtements.

Et je les laissais faire! ... Je n'émettais aucune protestation, ne me révoltais pas, mes bras et jambes étaient repoussés de bas en haut, de droite à gauche, jusqu'à ce que je me retrouve entièrement nue...

Loather se trouvait maintenant à califourchon sur mes épaules, il était lui aussi entièrement nu. Sa grosse mentule en semi-érection pointait sur mes lèvres. Il me prit les mains et les posa sur son épais engin, puis il se pencha en avant pressant son gland contre mes lèvres charnues. A peine l'avais embouché que déjà il s'enfonçait profondément dans ma gorge.

Mon corps entier était en flammes, je réalisais alors que j'arquais mes hanches. Stenn cessa subitement de me doigter.

J'étais parfaitement consciente de leurs actes, je pensais qu'il se déshabillait pour succéder à Loather dans ma bouche. Aussi me laissais-je à nouveau submerger par ces sensations exquises.

Je sentis soudain quelque chose de dure se presser contre ma féminité, je sentais soudain ma fentine se distendre pour accueillir quelque chose de bien plus gros qu'un doigt. Je tentais de lui résister. J'ai vraiment essayé. Mes efforts étaient trop faibles, et son assaut trop puissant.

Déjà il forait irrésistiblement son trou dans mon intimité, il m'élargissait comme jamais Göran ne l'avait jamais fait. Il entreprit alors de coulisser lentement en moi.

Même si Göran était entré dans la chambre à cet instant, je subodore que mon corps aurait continué à vibrer à l'unisson des assauts lubriques de Stenn. Je ne contrôlais absolument plus mes sens! Chaque fibre de mon corps résonnait divinement, j'atteignais des sommets jusqu'ici inconnus!

Loather extirpa son chibre de ma bouche, et entreprit der se branler frénétiquement, projetant son foutre sur mon visage et dans mes cheveux.

- Oh bordel Ahhhhhhhh! ... Quel sacré coup... Elle est sacrément bonne... Regardez là jouir!

Je me foutais totalement de ce qu'ils pensaient, tout mon corps frémissait de plaisir... Tout ce que je désirai était de sentir la grosse bite de Stenn exploser dans mon intimité, je savais déjà que j'allais ressentir un orgasme comme jamais je n'en avais éprouvé!

- Cherche une caméra... Ce serait bien étonnant qu'ils n'en aient pas... Je veux une photo de son visage couvert de foutre!

Vous pouvez penser qu'en entendant ces mots, je reprendrai mes sens... Mais non, je ne me contrôlais toujours pas! Je me pourléchais les babines, savourant jusqu'à la dernière trace le foutre souillant mes lèvres... Je n'avais pas la patience d'attendre de me nettoyer le visage!

Mes mains étaient bloquées sur les hanches de Stenn, l'encourageant à m'investir totalement!

Je n'étais pas désappointée, l'accroissement de son rythme de baise annonçait la fin imminente de sa chevauchée... Alors qu'il ralentissait lentement je sentais des geysers de foutre inonder ma chatoune... Je m'arquais sur les hanches, mes sphincters se crispaient sur sa mentule...

Lorsque je me laissais retomber sur le lit, me tortillant de jouissance, je verrouillais mes jambes dans son dos... Le temps que mon corps exulte! ... Je n'avais plus les pieds sur terre... Je me trouvais au septième ciel! Mes veines charriaient des flots de plaisir dans tout mon corps! ...

Lorsque je repris mes sens, ils étaient tous deux rhabillé et regardaient le petit de la caméra de mon Göran.

Je savais le type de photos qu'ils avaient emmagasinés, des photos de moi en pleine action!

- Pourquoi suis-je si salope? Je fréquente l'église... Je crois en Dieu... Je fais mes prières tous les soirs... Et pardessus tout j'adore mon Göran... Aussi comment avais-je pu me comporter de la sorte? J'étais malade de honte... Je savais qu'ils détenaient des photos compromettantes sur la caméra de Göran...

- Hey, je veux que vous effaciez ces photos!

Stenn me regardait de travers d'un œil railleur. Il était bien loin le sourire qu'il affichait en regardant les photos défiler sur l'écran de la caméra...

- Tu crois vraiment que tu peux nous commander de faire ce que tu veux? Si nous montrons ces photos à ton mari, tu seras bienheureuse si le soir même tu ne couches pas sur le trottoir...

- Je vous en prie je ne voulais surtout pas vous commander... Je vous en supplie, laissez moi effacer ces photos avant que Göran ne rentre...

- c'est déjà mieux... Tu peux demander et supplier... Je peux le tolérer... Mais je n'ai aucune raison d'effacer ces photos!

- Je vous en prie... Si Göran tombait dessus!

- Eh petite madame ordinateur, tu ferais mieux de les copier sur ton disque dur afin de les envoyer par mail... Et pas de tricheries, si je ne les trouve pas dans mon ordinateur en arrivant chez moi, tu feras mieux de quitter le pays ce soi-même... Tu comprends ce que je te dis?

- Oui, je ferai ce que vous voudrez... Mais je vais devoir réduire les photos... Elles sont bien trop grandes pour être envoyées par mail!

- Ne prends pas ce ton avec moi! Et toi sais-tu ce qu'elle veut dire?

- Je pense que je le sais, mais on ferait mieux de demander à Johan ce qu'il en ait, il s'y connait en ordinateurs... Je vais lui demander... Tu ferais mieux de descendre avec elle dans le bureau où se trouve son P.C...

- Suis-moi salope, magne toi le cul... Allons dans ton bureau! ...

- Puis-je me rhabiller s'il vous plait?

- Ne te casse pas pour ça, Dès que j'entendrai Johan rentrer dans la maison tu dégringoleras les escaliers que tu sois vêtue où à poil!

Je me précipitais sur mes vêtements me contentant d'enfiler une petite culotte et une jupe. Je boutonnerai mon corsage en descendant les escaliers... J'avais repoussé mon soutien-gorge qui gisait sur mon lit.

Je me trouvais maintenant assise face à mon P.C, je transférais les images de la caméra sur le disque dur, dans un dossier que j'avais ouvert à cet effet...

Comprends-tu ce qu'elle veut dire quand elle prétend qu'elle doive diminuer la taille des photos?

- Oui, elle a entièrement raison... Ces photos sont de trop bonne qualité... Elles sont trop importantes pour pouvoir être envoyée telles quel par mail... Regarde ce que je vais faire...

Johan tendit le bras au dessus de mon épaule, s'empara de la souris et ouvrit le dossier contenant les photos de mon visage couvert de foutre...

J'aurai pu en mourir tant je me sentais humiliée... Aucun mot ne saurait expliquer ma détresse... J'étais restée étendue sur le dos alors qu'ils prenaient les photos qu'ils voulaient... Je me sentais malade de honte, au bord des nausées...

D'u n seul coup tout sembla remonter, je me précipitais dans les toilettes où je vomis tripes et boyaux en me tenant l'estomac à deux mains tant j'avais mal!

Je me trouvais maintenant à genoux, la tête dans la cuvette des toilettes, malheureuse comme jamais je ne l'avais été!

Comment peut-on ressentir des émotions aussi extrêmes?

En quelques minutes j'étais allée du plaisir comme jamais j'avais rêvé, au tréfonds des profondeurs du désespoir, tout cela à cause de la débauche dans laquelle j'avais sombré!

Combien de temps ai-je passé la tête posée sur le rebord froid des toilettes?

Graduellement je repris le contrôle de mes sens, essayant de rendre aux événements de plus justes proportions...

J'avais été infidèle à mon Göran...

Pire encore, je l'avais trompé dans notre lit conjugal!

Oh mon Dieu, comment pourrai-je jamais me trouver des excuses? Je ne suis qu'une salope, qui se comporte en salope! Je ne suis pas mieux qu'une pute de bas étage!

Qu'ai-je fait!

Heureusement que si mon Göran n'en savait rien, il n'en souffrirait pas!

Plus important encore, mes bébés, ils n'ont jamais rien fait de mal! Pourquoi devraient-ils souffrir de mon comportement?

Quoiqu'il advienne, il faut que je me tire de cette galère, en laissant Göran en dehors de tout cela!

Il me prendrait mes bébés! Je n'aurai alors d'autre alternative que de me suicider!

Mais même cela punirait mes bébés pour quelque chose que j'aurai fait de mal! Non! Göran ne doit jamais rien savoir!

Je baiserai avec ces trois hommes selon leurs volontés, du moment qu'ils ne révèlent pas mon secret à mon Göran!

J'avais entendu leur lourd badinage, tandis que Johan travaillait les images gravées sur mon P.C... Mais jusqu'ici je n'avais rien retenu de leurs propos.

- Regardez-moi ces photos... Tu as tellement zoomé sur sa cramouille qu'elle tient toute la place sur cette image! On peut voir chaque détail de sa moule, chaque poil la cernant!

Visez-moi ce flot de sperme s'écoulant de sa chatoune!

Ils bavaient sur chaque détail de mon anatomie! Je revins silencieusement et me tint silencieuse dans le vestibule... J'y restais cinq bonnes minutes avant qu'ils remarquent ma présence... Ils continuaient à baver tout détaillant méticuleusement mes charmes intimes largement exposés sur les photos rapportant ma performance!

Jusqu'à ce jour, seuls le médecin qui m'avait accouché et Göran avaient vu mes parties intimes...

- T'es revenue... Je leur ai expliqué que pour les envoyer par mail il était nécessaire que tu diminues la résolution des images... Je ramènerai demain matin trois CD vierges, tu pourras ainsi nous graver les photos à leur bonne taille...

- mais cela veut dire que je devrai conserver les photos sur mon disque dur jusqu'au moins demain matin!

- Oui, cela te pose un problème? Cela ne risque pas de les endommager!

- Mais si Göran tombe dessus!

- Cela ne te tracassait pas tant auparavant, puisque tu conservais les mails de ton petit ami et ces histoires cochonnes! Je vous ai bien dit les gars, je parie que la lecture des histoires qu'elle conserve vous ferez bander comme des ânes! Ce type qui les écrit doit être un sacré dépravé!

- S'il vous plait ne dite pas de telles choses à son sujet!

- Oh ma chère... aurai-je touché une corde sensible? Tu n'aimes pas qu'on te dise la vérité en ce qui concerne ton petit ami!

- Ce n'est pas vrai, ces histoires ne sont pas perverses!

- se faire emmancher par des chiens et des chevaux te parait donc normal?

- Ca ne se passe pas comme ça!

- Je ne vois pas de différence... Ces histoires mettent en scène des femmes qui baisent avec différents animaux... Vous êtes sacrément dépravés tous deux, pour trouver ça normal!

- Je sais qu'il met en scène des scènes avec des animaux, mais ce ne sont que des prétextes, ce qui compte ce sont les sentiments qu'il traduit, les sensations qu'il exprime, le reste ne fait sert qu'à faire évoluer l'intrigue... Seul l'histoire est importante...

- Pour moi, c'est un pervers... Mais je suppose que si tu as des chaleurs pour ce type, tout ce qu'il fait te semble merveilleux! On dit que l'amour est aveugle... En tout cas, le temps c'est de l'argent les gars, autrement dit il est temps de reprendre le boulot! Quant à toi, Rappelle-toi bien que je connais le nombre de photos figurant sur ton P.C, ainsi que la taille du dossier qui les renferme, aussi ne t'avise pas de les effacer ou de diminuer leur taille!

En passant devant moi Stenn m'épingla contre le mur. Ses jupes s'engouffrèrent directement sous mes jupes droit dans ma cramouille et il me doigta avec frénésie... Toute protestation était inutile, cela ne ferait qu'aggraver ma situation!

Aussi sachant que Johan ne tarderait pas à le rappeler à l'ordre, je le laissais faire passivement.

Johan apparut quelques secondes plus tard et tomba en arrêt en voyant Stenn me doigter brutalement...

Comme je l'ai déjà concédé, je ne suis qu'une chienne en chaleur, il suffit de quelques secondes et déjà mes cuisses s'ouvraient alors que je gémissais sourdement.

- Par le diable Stenn, n'as tu pas assez profité de ses charmes aujourd'hui?

- Ca va patron... Laissez-moi la baiser encore une fois... Elle ne demande que ça!

- C'est sur mon gars! Mais je pense que même si tous les marines de la navy lui passaient sur le ventre, elle en réclamerait encore! Vise-moi cette salope, mes lampes à inflorescence mettent plus longtemps à s'allumer qu'elle!

- Cela ne me prendra pas bien longtemps patron... S'il vous plait... Je me la tape et je travaillerai gratuitement pour rattraper le retard!

- Mais tu as déjà une heure à rattraper... De plus ce boulot doit impérativement être terminé demain soir!

- Je commencerai une heure plus tôt demain matin... Allez patron soyez gentil! Vous savez très bien que le boulot sera terminé si on se met sérieusement à l'œuvre!

- C'est bon, mais fais vite! Elle n'a nul besoin de préliminaires! Et ne t'épuise pas, je veux que le boulot avance quand tu en auras fini avec elle!

- Ca marche pour moi... Surenchérit Loather.

Je les entendais discuter de leurs petites affaires, je restais muette. En fait je n'étais pas loin de jouir, mes cuisses étaient grandes écartées, mes jambes tremblantes, j'étais sur le point de choir au sol.

- Allons-y alors, montons dans sa chambre, prenez-la en sandwich, ça ira plus vite, je vais prendre de nouvelles photos... Décidez lequel de vous deux se fera son trou du cul! On n'a pas de temps à perdre en discussion!

Avec leur aide, je remontais à nouveau les escaliers, me déshabillais et m'allongeais à plat dos sur le lit. Ils se dévêtirent promptement, je roulais sur Loather mes jambes éteignant ses hanches. Stenn se posta dans mon dos. Il avait visiblement lubrifié sa grosse bite, je pense avec mon jus féminin, il commença par enfouir un doigt dans mon anus, après l'avoir inspecté il décida qu'il était assez graissé pour y enfouir sa mentule.

Je le sentais pousser contre mon œillet crispé qui s'entrouvrit, je poussais un cri aigu. Il m'écarta brutalement les fesses. Je ne disais pas un mot, me laissant faire mollement. Il poussa jusqu'à forer son trou dans mon intestin. Ils me baisèrent en chœur pendant cinq bonnes minutes. La douleur avait lentement décru dans mon trou du cul martyrisé. Mais cela avait éveillé mes démons.

Je me gourmandais durement alors qu'ils me labouraient de concert. Des sensations indésirables m'envahissaient, j'avais envie de leur crier :

- BAISEZ-MOI PLUS FORT! Mais je ne parvenais pas à prononcer ces mots!

Comme j'essayais de rassembler mes forces, Stenn résolu d'adopter un rythme de chevauchée plus rapide.

Je me savais sur le point de jouir, je ne pensais plus qu'exulter en même temps qu'eux. C'est alors que comme il me pilonnait puissamment, il projeta des jets de foutre crémeux au fin fond de mon intestin, quelle sensation enivrante!

Et comme déjà auparavant mes sphincters se contractèrent sur la bite de Loather qui projeta à son tour des flots de semence dans mes profondeurs, on aurait dit que ces deux bâtards n'avaient pas joui depuis des jours!

Je flottais dans des nimbes bienheureuses provoquées par mon orgasme, sans tenir compte de leurs commentaires et du fait qu'il prenait des photos.

Cette fois, comme l'avait promis Stenn, ils m'abandonnèrent gisant sur mon lit, tandis qu'ils retournaient travailler. Johan transféra ces nouvelles photos sur mon P.C puis il partit rejoindre ses ouvriers. J'avais déjà vu de nombreux ouvriers à l'œuvre, mais l'attitude de Stenn et Loather me surprenait grandement, Ils ne plaisantaient pas entre eux, travaillant sans échanger un mot. Cela me rappelait vaguement un vieux Charlie Chaplin "les temps modernes", ils agissaient comme deux robots répétant leurs gestes de façon synchronisée.

Lorsque la voiture de mon Göran s'arrêta devant la maison, j'ouvris la porte et accueillis mes enfants. Ma gorge se serra alors que mon Göran me souriait à pleines dents, mes yeux se remplirent de larmes. J'avais bien du mal à garder mon calme, je ne savais pas ou je trouvais les ressources pour me dominer.

Göran se dirigea vers moi, je lui ouvris mes bras en grand, J'étais folle de joie, et plus encore lorsque Helle m'étreignit.

Je les dévorais de baisers avant de tourner les talons les entrainant vers la maison.

Alors que les deux enfants faisaient la course pour arriver le premier devant le poste de télé, j'essuyais les larmes qui perlaient au coin de mes paupières avant de me retourner vers Göran.

Je l'étreignis fermement le couvrant de baisers amoureux.

- Hey Camilla, tu cherches à m'étouffer?

- Oh mon Dieu non mon chéri, Je t'aime tant mon Göran!

- Que se passe-t-il ma Camilla... Des problèmes?

- Non rien mon chéri... C'est seulement que je t'aime tant!

- Je le sais bien ma chérie, mais généralement tu ne cherches pas à me le montrer en m'étouffant! Est-ce que tout va bien? Que s'est-il passé de fâcheux aujourd'hui? Que fait la camionnette de maçons devant le garage?

- Rien de moche, c'est juste que la journée m'a semblé longue, interminable, sans personne avec qui parler... J'avais juste besoin d'être réconfortée...

- Viens ici...

Il encercla ma taille de ses mains et m'attira à lui jusqu'à ce que nos lèvres se touchent...

C'était ce que j'attendais de la vie, un mari tendre et amoureux! Il m'embrassa tendrement pendant 30 secondes, mais une demande l'interrompit :

- Quelle joie de voir un couple vraiment amoureux!

C'était Johan qui sortait une grosse boite à outil de sa camionnette.

Göran me reposa instantanément au sol, comme si nous étions encore des écoliers qui venaient de se faire prendre à s'embrasser dans la cour de récréation.

- Ah c'est vous Erricson! Je me demandais ce que faisait votre camionnette dans la cour?

- Rien de bien grave, ne vous tracassez pas pour cela... Mais nous avons été obligés de nous presser... On avait un gros problème avec les portes... Mais grâce à votre aimable épouse, et grâce à l'aide de mes ouvriers, on s'est débrouillé pour faire au mieux.

- Comment les as-tu aidée ma chérie?

- Je n'ai pas fait grand chose en réalité... Je les ai laissés juste laissé utiliser mon P.C...

- Votre femme est bien trop modeste... Sans on aide, nous n'aurions pas pu visiter autant de sites très intéressants!

- C'est sur, elle se sert parfaitement de son P.C. Il faudra bien qu'un jour elle m'apprenne à s'en servir... Toutefois, du fait de ce problème, pensez-vous quand même terminer les travaux demain?

- Oui, nous serons là vers 7 heures et demi, en commençant tôt nous devrions avoir terminé avant que vous rentriez du travail.

- Je réfléchis à autre chose, mais si vous avez des objections, dites les moi...

Göran avait entamé la conversation en parlant à Johan, mais maintenant, il se tournait vers moi me regardant dans les yeux.

- Johan, ma femme a l'habitude de vivre en société, à son travail elle baigne dans la foule.

- Göran, il n'y a aucune raison d'embêter monsieur Erricson avec mes problèmes!

- Laisse moi continuer chérie, il n'y a aucune raison de ne pas en parler à monsieur Erricson, il peut refuser de nous rendre service si cela l'ennuie...

- C'est bien vrai monsieur Holmund, mais s'il y a quelque chose que je puisse faire pour vous madame Holmund, je serai très heureux de vous faire plaisir.

- Tu vois ma chérie... C'est comme je vous le dis Johan, elle a vraiment l'habitude de vivre avec des gens autour d'elle ce week-end, je pense qu'elle s'est profondément ennuyée assise toute seule dans sa maison, et je me blâme de ne pas y avoir pensé plus tôt. Mais cela ne devrait pas vous gêner outre mesure, je pensais simplement que vous-même, ou vos ouvriers pourraient lui tenir compagnie lorsque vous feriez votre pause, si cela ne vous ennuie pas j'aimerai que vous veniez vous asseoir avec elle dans la maison pour la distraire de sa solitude.

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