Une Femme Amoureuse Pt. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Submergée par la jouissance, la femelle séduite se plaignait doucement, incapable de se défendre. Ses râles ne faisaient qu'exciter l'étalon en rut. Puis, lentement, vaincue, conquise, tout son être se mit à l'unisson, acceptant la domination sexuelle du partenaire improvisé. Plus la bitte merveilleuse la pénétrait et plus le bonheur l'ensevelissait. La femme était domptée, déjà les cuisses, les hanches, les reins, accordaient leurs mouvements au rythme vigoureux du jeune homme. Son ardeur commençait à la ravir, elle lui prit le visage et l'embrassa sur les lèvres, fière d'être désirée de cette façon. Bientôt il fit valser le fin voile de tissu pour avoir la magnifique peau nue contre lui. Elle ne pouvait plus rien faire, la puissance sexuelle de son fils la clouait de plaisir, elle sentait sa bitte si profondément en elle. Puisque c'était fait, pourquoi ne pas en jouir le plus possible!

« Plus fort, Tom, baise-moi fort, Tom! »

« Tiens, ma chérie! Tiens! Caresse mes couilles! »

« Oh! Salaud! Elles sont si belles, je les aime déjà! »

« Et ma bitte? Tu l'aimes? »

« Enfonce là bien, Thomas! C'est du bonheur! J'aime ta bitte Thomas! Défonce-moi chéri, c'est trop bon! »

« Tiens! Tiens! Oh! C'est le paradis! »

Ils entamèrent une danse infernale faite de passion et de mots d'amour. Malgré son jeune âge, Thomas maîtrisa bien deux gros orgasmes et leurs cris de jouissance, jusqu'à ce que l'harmonie de leurs désirs se confonde et explose.

« Vas-y fort, chéri! Oh je viens! Ne te retiens pas! »

« Tu veux tout? »

« Oh oui! Enfonce-toi! Baise-moi! Remplis-moi! Oh! C'est bon! Allez, chéri, je jouis! maintenant, chéri! »

Elle allait en faire exploser des couilles, pensait Thomas. Le dialogue infernal se poursuivit longuement. Tandis que le corps féminin avait déjà éprouvé de nombreux éclairs, soudain une force inconnue, jamais ressentie, souleva la femme, et la porta au-devant des coups de son partenaire. Elle gémit, se plaignit, s'offrit, cuisses ouvertes. Le jeune homme devint fou et grogna sa satisfaction. Charlène criait sans retenue quand les jets chauds vinrent contenter ses muqueuses gourmandes, projetés violemment jusqu'au fond du vagin. Les mains sur les glandes masculines, elle hurlait son besoin de les vider. Alors, il se laissa aller, éjaculant avec une énergie incroyable pendant des temps infinis, accroché aux lèvres de sa mère. Charlène avait l'impression de toucher au paradis, elle ne pouvait plus réfléchir, le corps englué dans un bien-être total, même sa bouche soudée à celle de son fils n'arrivait pas à s'en décoller. En fait, c'était son véritable premier orgasme. Son ventre, sa poitrine, son cœur, tout appartenait au seul mâle qu'elle ait jamais connu de sa vie. Plus que tout, c'est l'intensité de sa jouissance, la manière dont les seins tremblaient, dont la respiration s'exhalait, haletait entre deux gémissements qui enivraient son partenaire. L'extase anéantissait Charlène, la rendant presque incapable de parler, juste balbutier son bonheur. Le jeune homme explosait d'amour pour sa mère, il la savait en pleine volupté, vibrante de contentement, il entendait avec fièvre tout ce qu'elle lui disait dans son abandon. Il la possédait entièrement et rien n'aurait pu l'empêcher de la combler en lui injectant son nectar.

Thomas n'avait jamais vécu un plaisir si fort, des flots de sperme lui parcouraient la verge pour être projetés au fond de la vulve gourmande. Il se sentait massé, serré, aspiré par la chair féminine, rien ne pouvait lui faire arrêter de juter en elle. Pendant de nombreuses minutes, il fut agité des tremblements du coït infernal. Quel bon coup pensait-il en évaluant déjà le montant à demander à chacun de ses amis friqués.

Les mots d'amour et de passion qu'ils se murmuraient à l'oreille se mêlaient étroitement à des marques de tendresse et de désir. Progressivement la tempête se calma, sans pour autant cesser complètement. Charlène revenait peu à peu sur terre, Tom, son fils, l'avait littéralement violée, la prenant de force, elle ne s'était pas vraiment défendue, alors elle ne pouvait lui en vouloir. Les yeux plongés dans les siens, elle saisit son visage entre ses mains et plaqua encore une fois sa bouche sur la sienne, elle aimait trop le contact de sa langue sur la sienne et le goût de sa salive.

« Oh, Thomas... Que m'as-tu fait? Que nous arrive-t-il, mon chéri? »

« Il fallait que je te baise, maman! On en avait tant envie, tous les deux! Je t'aime si fort! »

« Je le sens bien! C'était si merveilleux! »

« Tu m'en veux? »

« Non, je n'ai jamais été aussi heureuse! »

« Tant mieux, car je n'ai pas fini! »

« Arrête, veux-tu... »

Mais le jeune homme ne voulait pas. Doucement, il reprit ses pénétrations en la regardant au fond des yeux, la mettant au défi de se séparer de lui. Les bruits de succion ne pouvaient que les exciter, ils savaient tous les deux ce qui les causait. Charlène avait encore dans son ventre, dans sa peau, dans son cœur, les sensations merveilleuses ressenties sous les jaillissements du sperme chaud. Cet acte tabou, défendu, impossible, la brûlait au fer rouge et accentuait son bonheur. Son vagin adorait trop le beau membre pour s'en séparer, le plaisir infernal se réveillait sans cesse. Pourquoi se dégager, elle venait de baiser avec lui, le foutre épais débordait de sa chatte, que pouvaient-ils faire ensemble de plus terrible, rien! Rien que s'aimer follement! Charlène ferma les yeux et se laissa bercer par leur nouvelle danse charnelle, écartant les cuisses au maximum, elle appuyait sur les reins de son homme pour mieux vivre l'interdit de folie. La simple évocation du tabou qu'elle franchissait exaltait ses sensations et enflammait sa vulve pour le beau pénis lui créant des frissons partout. Comme elle le voulait son Thomas, comme elle l'aimait! Redevenue femme, plutôt que mère, sa main partit chercher les glandes masculines, heureuse de les sentir s'écraser sur elle. Le sperme coulait le long du membre expulsé par les pénétrations vigoureuses et rageuses du jeune homme. Elle suça ses doigts en le regardant pour l'exciter et cela eut son effet puisqu'immédiatement il se mit à la bourrer de toutes ses forces, en lui disant des horreurs si agréables. Le bonheur était partout, jusque dans la moindre parcelle de son être, un soleil éclatant, des éclairs d'argent enflammaient son esprit et se répandaient en elle pour venir exploser dans les pointes de ses seins. Il suffisait qu'il les touche pour qu'elle meure! Quand Tom les mordit, elle hurla de plaisir et tendit son corps comme un arc s'offrant frénétiquement à ses coups violents.

L'orgasme ne retombait pas! Malgré tout par moment elle reprenait un peu conscience, bougeant ses hanches et ses cuisses pour mieux serrer le gros membre et le sentir profondément. Le rayonnement infernal des vagues de jouissance fut soudain accentué par leurs lèvres collées, leurs langues s'épousant avec passion. Cela appelait d'autres satisfactions et les reins du jeune mâle s'activèrent au moment même où elle caressait ses couilles. Charlène se tendit à nouveau pour un orgasme dévastateur, elle cria son bonheur, l'encouragea à la remplir, à l'inonder, et il explosa au plus profond d'elle. Ce n'était pas assez, il lui fallait la chaleur du miel directement sur son utérus, sa matrice, ses ovaires! Elle s'ouvrait fort pour ça! La voix féminine accompagna leur volupté commune par des râles, des gémissements et des mots d'amour et de désir. Thomas fut longtemps agité de soubresauts réflexes, injectant profondément dans la vulve son sperme brûlant et épais. Charlène coulait dans l'extase, heureuse, comblée, son ventre de plus en plus assouvi et anesthésié par le merveilleux jus chaud masculin. Son corps en plein voyage ne faisait que pomper la grosse verge avec une fièvre déclinante. Encore une fois elle prit la bouche de son fils et l'embrassa passionnément. Ils restèrent longtemps collés l'un contre l'autre, la verge complètement enfoncée dans le vagin amoureux. Ils se regardaient sans comprendre ce qui leur arrivait.

« C'est extraordinaire, Thomas! Extraordinaire! Je me sens ouverte pour toi! »

« Tu veux que je te baise encore? Maman? »

« Laisse-moi reprendre mon souffle! Tu vas me tuer! »

« Je t'aime trop pour ça! »

« Je le vois bien! Et puis, il faut nous alimenter un peu, non? Si tu veux encore me prendre... »

« Évidemment que je vais encore te faire l'amour, et toute la nuit, si tu m'acceptes dans ton lit, oui? »

« Je ne vois pas pourquoi je dirais non, tu viens de me donner ton sperme deux fois! Je ne vais plus pouvoir m'en passer, je crois! Mais avant, mon chéri, montre à ta mère ce qui l'a envoyée dans les nuages! »

Tom se redressa sur ses genoux et avança sa verge vers le visage de la femme, Charlène regarda avec passion la belle tige de chair toujours gonflée. Elle était maculée de gélatine blanche très épaisse, et quelques gouttes perlaient encore du méat rouge sang. Elle referma ses lèvres sur le gland adorable et le nettoya de la semence altérant sa belle majesté. Doucement elle lécha avec soin toute la verge, pour finir par y appliquer des tas de baisers sur les deux boules qui battaient entre les jambes de son garçon. Ces marques d'intérêt faisaient déjà se redresser la grosse tige. Elle y déposa aussi quelques bécots et demanda à son fils de se calmer pour le moment.

En sortant du lit, comme elle tendait le bras vers sa nuisette, Thomas lui fit remarquer qu'elle n'en aurait pas besoin, il la voulait nue en permanence. »

« Tu vas bander sans arrêt! »

« Je veux pouvoir te sauter ou te sodomiser quand on en aura envie. »

« Me sodomiser? Tu y vas fort, Thomas, tu exagères, non? »

« Je regarde ton cul magnifique depuis des années! Tu as des fesses sensationnelles! J'en ai toujours eu envie! Alors là, tu ne vas pas y échapper, je vais mettre ma bitte à l'intérieur et te défoncer le cul, ma chérie! »

« Ah Ah Ah! Tu pourrais mieux parler à ta mère! »

« Pour le moment, tu es ma femme! Ma pute! Mon trou à bite! Et j'ai bien l'intention de te la mettre autant que j'en aurai envie! »

La façon dont son fils la réduisait au rang d'esclave sexuelle éveillait une bouffée d'amour dans le cœur de la femme. Jamais un homme n'avait eu autant envie d'elle et dominée comme ça! Ils étaient tous à genoux devant elle, alors qu'il était si agréable de se soumettre à la volonté, à aux désirs, surtout de cet homme-là. Et dire qu'elle le croyait timide!

« Oui, mon chéri! Tu me feras tout ce que tu veux! Je suis en train de tomber raide dingue de mon fils! Prends la vaseline dans le tiroir, je vais en avoir besoin, elle est forte, tu es beaucoup plus puissant que ton père! »

« Si tu aimes avec moi, je ne veux plus qu'il le fasse, ton cul est à moi, je l'aime trop! tu veux? »

« Elle est tellement forte qu'elle ne rentrera peut-être pas! Enfin, nous verrons si j'aime ça... »

« Je vais te le faire aimer! Je suis amoureux de toi depuis des années! Alors ça ne changera pas beaucoup. »

« C'est pour ça que tes amies s'en vont? »

« Oui, je ne vois que toi! Tu me rends fou! »

« Allons dans la cuisine, mon chéri, je vais préparer notre souper, quelque chose de solide pour reprendre des forces! Tu pourras me "sauter" comme tu voudras. Profites-en tant que nous sommes seuls. Ton père ne verrait pas les choses de cette façon! »

Elle avait raison, Thomas devait s'occuper de son père s'il voulait continuer à profiter d'elle et aussi réussir son bizness. L'attachement éprouvé pour sa mère était sans commune mesure avec ses amourettes. Son cœur battait dés qu'ils posait les yeux sur elle et pourtant Dans la cuisine, Charlène mit la table rapidement. Elle s'habituait au regard ardent de son fils, il avait les yeux qui voyageaient de ses fesses à ses seins. De temps à autre elle venait l'embrasser et lui donner sa poitrine à sucer. Comme il avait exigé qu'elle reste nue, elle avait demandé la réciprocité et les réactions de sa bitte étaient merveilleuses à voir. Il suffisait qu'elle se coule dans ses bras et le bel ustensile de chair se dressait pour ses mains. Elle ne pouvait pas s'empêcher de soulever ses gros testicules. Tenir amoureusement ses couilles lui semblait indispensable et vital. Un baiser sur sa bouche et elle continuait sa tâche.

Lorsque tout fut prêt, il voulut qu'elle s'assoie sur ses genoux. Mais ils se désiraient en permanence, Charlène en était si heureuse, alors rapidement il engagea sa verge dans la chatte lubrifiée. Avec les doigts, il récupéra le sperme expulsé du conduit accueillant. Encore une fois, le membre envahit toute la vulve, la déformant un maximum, le gros tuyau de chair propageait un bien-être fou dans le corps de la jeune femme. Elle ne pouvait s'empêcher de se tourner vers lui pour lui donner ses lèvres ou constater son excitation pour ses fesses et son anus. En la fixant au fond des yeux, il commença à enduire sa jolie petite ouverture. Elle se laissait faire, sachant ce qui était inévitable. De toute façon les mouvements du pénis dans son vagin avaient déjà complètement anesthésié sa volonté, elle trouvait si merveilleux de se livrer à ce mâle-là. Il lui avait courbé le dos, pour mieux admirer ses reins. Elle s'offrait à son regard de désir, soudain inquiète de la douleur à ressentir avec le gros dard. Mais pour rien au monde elle ne l'aurait empêché, car malgré son appréhension, elle en avait envie. C'était un acte de soumission si pervers, surtout envers lui. Partout en elle, des frissons l'électrisaient. Les attouchements du jeune homme sur son anus finissaient par l'exciter. Thomas avait la technique, ce n'était pas la première fois qu'il apprenait à une femme ce bonheur-là. Il avait fallu de nombreuses séances pour que Caroline aime que, même de vieilles bittes l'enculent. Quand il jugea que l'orifice était suffisamment préparé, il commença à torturer le clitoris dressé, le pinçant entre ses doigts, le serrant fort, ou le caressant doucement. Charlène sentait monter le plaisir lorsque le jeune homme la poussa sur la table. Elle cambra les reins pour faciliter sa tâche, il admira un moment les fesses offertes, posant simplement son gland sur l'entrée infernale.

« J'en ai envie, Tom! Vas-y chéri! »

Aussi rapidement qu'il l'avait prise dans la chambre il écarta sa petite rondelle avec deux doigts et d'un effort violent enfonça son gland dans l'anus. Charlène hurla et bougea sur la table, son mouvement permis au jeune homme de la pénétrer encore plus. D'une dernière forte poussée il écrasa enfin ses couilles sur la raie culière. Elle avait beau crier et se tordre, il restait acculé à fond. De la main, il recommença à torturer le clitoris en fourrant son pouce dans la chatte. Maintenant elle geignait sans que l'on sût si c'était de plaisir ou de douleur, mais sa voix devenait rauque et ses yeux se voilaient ou se fermaient par moment. Alors que Thomas l'enculait tantôt doucement, tantôt rapidement et fortement. Il la tenait par les épaules pour mieux s'enfoncer, insensible aux cris de sa mère. L'orifice se serrait ou s'ouvrait pour sa verge, il en était fou!

« Tu aimes, ma chérie? Tu aimes? »

« Tu me fais mal! C'est bon! Pince mon clitoris, mon chéri! Oh! Oui! Plus fort, Thomas, encule-moi plus fort! Oh! »

« Tiens, tu es tellement belle! Tiens! Quel cul! Tiens! Tiens! »

Maintenant les brûlures lui enflammaient le ventre, le gros dard devait déformer ses entrailles, sa vulve coulait sans interruption, la jouissance ruisselant jusqu'à ses genoux. L'absence de bitte dans sa chatte la frustrait encore plus et la rendait folle. Puis une bouffée de plaisir intense sembla crisper son vagin et ses reins, elle hurla.

« Ohh, Thomas! Je viens, chéri! »

« Tu vas tout prendre, ma salope! Tu veux jouir? Hein? Tu veux mon jus! »

« Vas-y chéri! Envoie tout dedans! Salaud! Oh c'est bon! Bourre-moi Thomas! »

Il accéléra ses pénétrations et se coucha sur le dos de sa mère. Attrapant ses beaux globes de chair à pleines mains, il se déchaîna, insensible à ses cris de plaisir ou de douleur. Depuis qu'il lui avait pris les seins, la femme ne s'appartenait plus, elle était complètement vaincue par le jeune homme, ouverte, offerte, il aurait pu lui défoncer les reins!

« Tiens-moi chéri, je vais tomber! »

« Tiens! Je viens, maman! Tiens! OHhhh! »

« Oui, chéri! Vas-y mon amour! Attends je vais t'aider! »

« Oh chérie! Je jouis, maman! Oh! »

« Moi aussi mon amour, oh c'est bon! Vide-toi bien! Mets en plein! Je suis à toi, mon chéri! Baise-moi bien! »

Passant une main entre ses jambes, elle souleva les glandes du jeune homme, caressant au passage la belle verge comme elle pouvait. Elle aurait voulu faire bien plus, elle ne pouvait que serrer les fesses pour bien emprisonner le gros tuyau qui arrosait ses intestins. Elle pouvait presque imaginer les jets de sperme dans son ventre et elle en rêvait debout. Thomas lui martyrisait les mamelons et cela créait de violentes bouffées de bonheur parcourant ses seins, pour se noyer dans son anus et sa vulve. Elle aurait aimé qu'il puisse l'enculer comme cela pendant des heures. Mais petit à petit les bourrasques cessèrent sans pour autant qu'il la lâche ou qu'il ressorte! Elle avait du mal à récupérer, une phrase trottait dans sa tête : « J'aime sa bitte, j'aime sa bitte, elle est à moi, c'est mon mâle! ». Le couple était toujours étroitement enlacé.

« Je n'arrive pas à te lâcher, maman! Je te veux te posséder, tu sais! »

« Moi aussi, je le veux, Thomas! Serre-moi encore contre toi un peu, après nous mangerons un bon steak, avec un bon verre de vin rouge. Cela devrait te requinquer et nous irons au lit, OK? »

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

tres belle histoire bien ecritr

ozephirinozephirinil y a environ 8 ans
Une suite ?

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