Une Famille Formidable

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Hypnose Familiale
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Guillaume apprend l'hypnothérapie pendant son cursus universitaire. Sa tante Sophie veut arrêter de fumer, alors il se propose de l'aider. Avec cynisme, il prend quelques libertés avec elle tandis qu'elle est sous hypnose, ce qui aboutit à un véritable dévergondage de toutes les femmes de la famille. Tante Jennifer a également besoin d'aide, tout comme sa petite sœur Sandra, sa mère Jade et la colocataire de Sophie, Cynthia. C'est un jeune homme très occupé.

« Guillaume, es-tu sûr que ça va marcher? » M'a demandé ma tante Sophie.

Elle faisait référence à une tentative visant à l'aider pour arrêter de fumer. J'ai été formé à l'hypnothérapie pendant mon cursus universitaire, mais je manque de pratique et j'ai besoin de m'exercer. Traiter les névroses de ma tante Sophie me paraissait une bonne occasion d'acquérir un peu d'expérience, tout en rendant service à une personne que j'apprécie beaucoup.

J'apprécie beaucoup ma tante Sophie parce qu'elle est à la fois très belle et très discrète. Je l'ai déjà vu en maillot de bain, et je sais qu'elle a un corps splendide. Mais elle s'habille de manière si chaste et si pudique que l'on ne peut se douter de ce que ses vêtements amples cachent. Et elle a un caractère en or, très calme et réservé. J'ai un réel béguin pour la sœur cadette de ma mère, et la pensée d'être seul avec elle à ma merci me fait trépigner ma baguette magique. Ce qui n'est pas convenable pour un thérapeute, même débutant.

Après plus de 300 heures d'études sur l'hypnothérapie, j'avais découvert des techniques controversées qui peuvent amener un sujet à accepter des choses intolérables en pleine conscience. Et ce sont ces techniques que je n'ai pas pu essayer jusqu'à présent, et que je voulais tester sur ma tante Sophie. Après l'avoir installée confortablement dans un fauteuil profond, je me suis assis sur une chaise, juste en face d'elle.

Sophie, la trentaine, a plus d'écart avec sa sœur ainée, ma mère, qu'avec moi. De taille moyenne, avec des cheveux blonds mi-longs qui encadrent un joli visage, et un corps tout en courbes capable de satisfaire n'importe quel homme. Elle cache ses atouts sous un gros pull et une jupe ample qui lui descend sous les genoux. Sa seule note de fantaisie, ce sont ses pieds nus dans des sandalettes, avec ses ongles de pieds peints en rouge.

J'ai lentement construit son état hypnotique, l'entraînant vers un état de torpeur avec mes mots. C'est une patiente réceptive. Je lui ai suggéré le dégoût du tabac par l'intermédiaire de plusieurs exercices. Ensuite, je lui ai demandé si elle voulait fumer une cigarette, mais elle a refusé, en prétendant que cette odeur lui était désagréable. Plutôt satisfait de cette première étape, je me suis orienté vers une technique plus contestable.

Après l'avoir convaincue de la chaleur ambiante, je lui ai demandé de se mettre à l'aise. Elle sembla hésiter, puis elle a ôté son gros pull, se montrant avec juste son soutien-gorge renforcé de matrone qui lui couvrait les seins. Je l'ai convaincue que seul son petit copain Bernard pouvait la voir, ce qui était déjà arrivé, et qu'elle pouvait quitter sa jupe sans crainte. Mais elle restait là à se tortiller, en proie à un dilemme.

Alors, pour la persuader, je lui ai dit que Bernard souhaite qu'elle retire sa jupe, que la chaleur augmente encore, et qu'il va lui aussi ôter sa chemise et son short. Aussitôt, je me suis levé, et j'ai rapidement enlevé mes effets, en me mettant totalement nu. Je me suis assis, en cachant ma bite douloureuse entre mes jambes. Sophie ôta sa jupe qu'elle laissa tomber sur son pull. Sa culotte est de type "confortable" ce qui sied peu à une jeune femme. Je l'ai rassurée en lui disant que Bernard la trouve très jolie, mais qu'il souhaite qu'elle s'habille plus sexy.

« Je ne suis pas une fille sexy » Répondit-elle d'une voix bougonne.

« Bernard dit qu'il te trouve très séduisante. Regarde ce que tu lui fais » J'ai écarté mes jambes, permettant à ma grosse bite raide de surgir d'un coup.

« Sophie, regarde son sexe ! » J'ai ordonné. Mais sa réaction m'a surpris. Elle sembla choquée en prétendant qu'elle ne l'avait jamais vu en plein jour. Ce fut une révélation. Je savais maintenant que Sophie et Bernard avaient des relations sexuelles, mais je ne savais pas que c'était uniquement dans une pénombre propice.

Je lui ai ordonné d'ôter son soutien-gorge pour Bernard, mais elle a hésité longtemps, et j'ai dû répéter mon ordre à plusieurs reprises. Finalement, avec des gestes effarouchés et pleins de grâce, elle m'a obéit. Elle a révélé de beaux seins blancs, bien ronds, avec des tétons tendus et bruns foncés. Elle se couvrit de ses mains.

« Laisse Bernard admirer tes seins, enlève tes mains. Ils sont si beaux, il aime tes seins si émouvants ! »

Encore un moment d'incertitude, puis elle a lentement posé ses mains sur ses genoux, révélant à mes yeux ravis ses gros seins laiteux et leurs tétons sombres. L'émotion m'a coupé la parole un instant, avant de reprendre mes instructions. L'important, c'est de ne pas la laisser se reprendre.

« Présente-toi à Bernard. Laisse-le t'admirer ! » Elle s'est levée, puis elle a tourné lentement sur elle-même, alors je lui ai demandé d'enlever sa culotte.

« Regarde Bernard ! Regarde ce qu'il fait ! » Je caresse ma bite. J'espère qu'elle sera intéressée. Mais elle n'a pas de réaction marquante, elle reste indécise, avant de dire du bout des lèvres :

« Il touche son sexe »

Bon, ce n'est pas faux, mais dit comme ça, ce n'est pas très excitant. Je lui explique qu'elle doit utiliser les mots du langage amoureux comme bite, chatte, nichon, mais elle n'a pas de réaction visible. Finalement, je lui répète mon ordre d'ôter sa culotte. Elle retire lentement sa culotte. Sur son pubis, son buisson touffu manque d'entretien.

« Bernard aimerait que tu rases ton pubis. Il te trouverait encore plus séduisante »

« Je veux bien essayer » fut sa réponse surprenante. Je me suis levé, j'ai pris sa main, et je l'ai emmenée vers la salle de bains. « Bernard va t'aider ! »

Plus tard, nous sommes passés de la salle de bain à la chambre. Je voulais qu'elle se voie nue devant un grand miroir. Sophie n'a plus son buisson touffu. Sa chatte rasée est toute lisse. J'en ai profité pour glisser mes doigts dans sa chatte humide pendant l'opération, et j'ai fini par obtenir un léger frisson de sa part. Elle semblait réticente au début, mais elle est devenue rapidement sensible et ardente.

« Regarde-toi dans le miroir » Lui ai-je ordonné en me tenant derrière elle.

Elle se regardait, face au miroir, en détaillant les différences.

« Tu es une très belle femme, très sexy, et très désirable » Lui ai-je murmuré à l'oreille. Je me tiens tout près d'elle, et ma bite dressée se presse entre ses fesses. Je l'ai enlacée, et mes mains ont empoigné ses seins lourds. Ils semblent si gros par rapport à sa taille si mince.

« Nous devons t'habiller plus sexy, pour être encore plus séduisante » lui dis-je en m'éloignant, et en la laissant se regarder devant le miroir. J'ai fouillé dans les tiroirs de sa commode pour trouver soutien-gorge et culotte. J'ai réussi à dénicher un ensemble neuf. Il avait l'air un peu coquin, probablement trop au goût de Sophie, c'est pour ça qu'il était resté dans son emballage.

« Tiens, enfile ça » Lui dis-je, en lui tendant. Elle a hésité longtemps avant de le passer. Elle était superbe avec ses seins à peine cachés par le soutien-gorge noir en dentelle, et sa chatte à peine voilée par la dentelle noire.

« Tu es sensationnelle » Ai-je ajouté, sincère. Elle m'a souri pour la première fois. J'ai dû chercher longtemps avant de trouver une robe qui n'était pas trop sage, ni trop désuète.

« Bien ! Allons acheter des vêtements appropriés » Lui dis-je en me rhabillant. Je lui ai suggéré d'aller faire du shopping avec Bernard (moi, en fait), puis je l'ai sortie de son hypnose.

Nous avons dévalisé un magasin d'articles coquins, avec des sous-vêtements très osés, puis nous sommes allés dans une boutique plus classe pour lui acheter une tenue seyante pour la soirée. J'ai emmené ma tante Sophie dans un restaurant dansant. Elle est magnifique pendant que nous dînons ensemble. Nous avons dansé entre les plats, des danses sensuelles, et j'ai frotté ma bite congestionnée contre elle toute la soirée.

Tout le temps, elle était convaincue d'être avec Bernard, son chéri. Nous avons passé une excellente soirée, en nous amusant beaucoup, avec son joli sourire, sans montrer aucun signe de sa personnalité stricte et austère, et sans cigarette non plus.

Je l'ai raccompagnée chez elle pour la sortir davantage de son état hypnotique, la laissant dans une attitude positive, sans besoin de cigarettes. J'allais la quitter, rentrer chez moi, car je n'étais pas prêt à profiter de ma tante Sophie dans un état hypnotique. Elle m'a vraiment surpris quand elle m'a chuchoté :

« S'il te plaît, reste encore un peu, j'ai envie de faire l'amour » Elle m'a enlacé et embrassé pour la première fois. Un baiser brûlant et passionné. Elle m'a entraîné dans sa chambre, allumant les appliques murales avant de se déshabiller devant moi.

« Allez, fais comme moi, déshabille-toi, chéri » M'a-t-elle encouragé en s'allongeant sur le lit, les jambes écartées et ses doigts taquinant sa chatte. J'ai réfléchi à sa démarche et aux conséquences pendant une fraction de seconde. Visiblement, il y a un truc qui cloche. Mais je chercherai plus tard, et je retire rapidement mes effets pour la rejoindre sur le lit. Ma bite est déjà presque totalement dure.

Agenouillé entre ses cuisses, je pose ma bite sur sa chatte rasée. Elle a juste tendu la main pour palper ma bite. Elle a émis un commentaire sur la taille de ma bite mais honnêtement, à ce moment-là, je n'y ai pas prêté attention. J'ai essayé d'ajuster ma position pour aligner le bout de ma bite vers son ouverture humide. Elle a empoigné ma bite pour frotter mon gland de haut en bas dans sa fente, ramassant son jus au passage.

Elle m'a positionné à l'entrée de sa chatte en disant : « Sois doux, s'il te plaît, tu es tellement fort »

Je me suis avancé, glissant ma bite dans sa moiteur. « Ouche, vas-y doucement, s'il te plaît ! »

Elle était douce, humide et chaude. Une véritable fournaise. J'ai dû patienter et progresser lentement, car elle est très étroite. Plus je la pénètre, plus elle devient ardente et amoureuse. Une passionaria qui se révèle. Entré complètement en elle, je reste immobile, la laissant ondoyer des hanches sous moi. Je suis sur elle, et c'est elle qui me baise. La sensation est féérique.

Je l'embrasse, et sa bouche suce la mienne avec passion. Ses jambes enroulées autour de mes hanches me pressent contre elle, et notre rythme progresse en intensité. Sa bouche émet des gémissements saccadés, accompagnés de soupirs et de petits cris bien féminins. Mon désir s'enflamme et je heurte de plus en plus durement ma bite au fond de son intimité.

Un reste de conscience m'arrête, et je lui demande si elle est protégée. D'une voix mourante, elle me confirme que je peux jouir en elle. Plus que ses mots, c'est le ton de sa voix qui m'a rendu fou. Je n'ai jamais été aussi violent en baisant une femme que ce soir-là.

Ma bite heurte son col avec toute la violence dont je suis capable, jusqu'à ce que mes mouvements deviennent erratiques, en giclant ma semence au fond de sa chatte. Vidé, au propre comme au figuré, je m'effondre sur elle hors d'haleine, ma bite encore palpitante, tandis qu'elle me câline tendrement.

« Guillaume chéri, je n'ai jamais été aussi heureuse ! »

Oh, putain ! Elle vient de m'appeler Guillaume ! Je sursaute, je me soulève, un tas de questions me brulent les lèvres, mais elle m'attire sur elle en me suppliant de continuer. Je garde mes questions pour plus tard, et je m'occupe de ma tante Sophie dans le besoin.

Plus tard, elle m'a expliqué qu'elle était sortie de l'état hypnotique lorsque je lui avais rasé la chatte dans la salle de bain. Bernard n'aurait jamais fait ça, et cela a dû créer un conflit dans son esprit, qui l'a réveillée. Elle n'est pas du tout en colère contre moi, elle adore notre romance, et elle a pris sa décision de me baiser en dansant, pendant le dîner.

Je viens de raccrocher après avoir parlé au téléphone avec ma tante Sophie. Nous sommes amants depuis deux semaines. Bernard a été éconduit le lendemain de notre première nuit d'amour. Son appel concernait ma tante Jennifer, l'épouse de Bruno, le frère de mon père.

Jennifer a remarqué des changements chez Sophie, dans ses tenues, son comportement, et l'abandon de la cigarette. Du coup, ma tante Jennifer aimerait bénéficier de mes services, elle aussi. Aussitôt, je m'inquiète. Est-ce que Jennifer est au courant des détails de notre relation?

Sophie me jure que non. Aucune confidence. Ma mère, sa sœur Jade, la tuerait sur place si elle l'apprenait. Je n'ose même pas imaginer ce qu'elle me ferait subir, à moi !

Ma tante Jennifer est une belle femme dans la trentaine, plutôt mince, avec de petits seins, des cheveux noirs coupés courts, et un rire contagieux. Nous nous entendons très bien. Je suis allé chez elle, et elle m'ouvert dès que j'ai sonné à sa porte. Nous nous sommes installés dans son salon, et j'ai attendu qu'elle m'explique ce qu'elle espérait de moi.

« Sois charitable, j'espère que tu me comprendras à demi-mot, c'est si difficile pour moi de l'expliquer à qui que ce soit, mais j'ai un gros problème » M'expliqua Jennifer.

« Ton oncle Bruno et moi, nous n'avons plus du tout de rapports sexuels maintenant, depuis qu'il est devenu impuissant, après cette maladie, l'année dernière. Cela nous a changés. Nous sommes si dissemblables que notre mariage est à bout de souffle, maintenant. Je ne le supporte plus ! »

« Oh merde, c'est terrible ! J'aimerais pouvoir t'aider, mais je ne sais pas si ... En fait, je ne sais pas ce que je peux faire, mais je ferais n'importe quoi pour t'aider ... »

Jennifer me regarde avec les larmes dans les yeux. Un silence pesant s'installe, elle me regarde, des larmes roulent sur ses joues, et puis elle sanglote. Désemparé, je me suis assis à côté d'elle pour la prendre dans mes bras. Je la serre contre moi pour qu'elle puisse pleurer sur mon épaule. Je lui parle doucement en essayant de la calmer. Il lui a fallu une éternité avant qu'elle ne se calme, et cesse de pleurer. Un sentiment d'impuissance s'est installé en moi, et cela me brise le cœur.

« Tu es si belle, et je t'aime vraiment. J'aimerais tellement pouvoir t'aider, mais l'hypnose ne peut rien améliorer dans son cas » Elle s'est blottie tout contre moi, avant de murmurer : « Et moi, peux-tu m'aider? »

Je ne sais pas quoi répondre, je reste silencieux, elle me dévisage, son visage si proche du mien... Elle pose sa main sur ma joue, nos lèvres se rapprochent ... Nous nous sommes embrassés. Très doucement, comme par erreur, nos lèvres se sont séparées momentanément, puis notre baiser a repris, fiévreusement, avec nos lèvres pressées qui s'écartent et nos langues qui luttent et s'enroulent.

Tous mes bons sentiments sont passés par la fenêtre. Enivré par la passion de cette belle femme qui s'offre à moi. Elle escalade mes genoux, s'installe à califourchon, enlève son haut, et m'offre ses petits seins aux tétons si durs. Mes lèvres sont passées de sa bouche à ses mamelons en un éclair. Je les ai léchés, sucés et mordus jusqu'à ce que je l'entende haleter de plaisir.

À bout de souffle, ses mains sur ma tête, je ne sais pas si elle essaye de m'interrompre ou m'encourage à continuer. Je poursuis mes attentions buccales sur ses mamelons, voulant prolonger l'intensité de son plaisir. Je peux sentir l'humidité de son entrejambe entre nous.

Je la soulève et la dépose sur le canapé, attrapant au passage son pantalon et sa culotte pour retirer le tout. Sa chatte est soigneusement taillée en ticket de métro. Ma bouche est attirée par sa chatte, ma langue glisse dans sa fente pour taquiner l'orifice convoité.

Ses doigts s'enroulent dans mes cheveux, en rapprochant mon visage de sa chatte moite. Aussitôt, elle exulte en poussant de petits cris bien féminins, et sa moiteur devient torride. Je l'ai léchée comme si je mourrais de soif !

Elle se laisse retomber en arrière, épuisée par la violence de l'effort. Je me relève et me déshabille rapidement, sans savoir où est l'oncle Bruno, d'ailleurs je m'en fiche ! Je m'allonge sur elle, entre ses cuisses ouvertes, ma bite en contact avec l'entrée de sa chatte. Je pousse un peu vers l'avant, et ma bite glisse dans son étreinte moite.

« Oh mon Dieu ! Mais tu es énorme ! » Gémit-elle pendant que je commence à la baiser. « Sophie n'a pas menti ! »

Je reste complètement abasourdi par cette révélation. Ma tante Sophie m'avait promis de se taire ! Mais ma tante Jennifer qui spasme autour de mon pieu me ramène à la réalité. Elle crie, plus fort cette fois, en enroulant ses jambes autour de moi. Elle tressaille et trépigne, me secoue en tous sens, ses ongles plantés dans mes épaules.

Elle gémit et divague lorsque j'attrape ses chevilles pour les placer sur mes épaules, totalement offerte à mes pénétrations profondes et brutales. Le bout de ma bite heurte son col à chaque poussée, et la douleur augmente son plaisir. Mon désir réduit ma résistance, je vais jouir, mais je m'interromps.

« Puis-je jouir en toi? » Mon éjaculation est proche.

« Oui ! Oh oui, jouis en moi ! » Supplie-t-elle juste à temps, car je suis incapable de me retirer. Je grogne et gémis en éjaculant dans ses profondeurs. Nous restons blottis l'un contre l'autre, allongés sur le canapé du salon. Essoufflé, je contemple son joli visage aux traits tirés par l'intensité de l'effort. Jennifer me serre dans ses bras, couvre mon visage de baisers, et me câline tendrement.

Elle me remercie, me dit que je suis un amant merveilleux, ce qui me gêne un peu, puis m'annonce froidement qu'elle va signer les papiers du divorce. En fait, Bruno souhaite divorcer, il a entreprit les démarches, Jennifer était réticente jusqu'à présent, mais maintenant elle veut se libérer de cette relation pesante.

Elle m'annonce sans préambule qu'elle se veut disponible pour moi, qu'elle désire que je la baise encore et encore, qu'elle n'est pas jalouse et me partagera avec Sophie, mais surtout elle me confie son désir d'enfant !

« Tu veux que je te fasse un enfant? » Ai-je demandé anxieusement.

« Je peux l'élever seule, mais je ne t'empêche pas de t'impliquer autant que tu le souhaites ! » a-t-elle déclaré. Ma bite a répondu à ma place, reprenant vie entre ses fesses à l'idée de baiser cette beauté.

« J'adore ta réponse, mon chéri ! » s'est exclamée Jennifer en se tortillant sur ma bite pour la revigorer. Enfouis dans sa chatte, je commence mon travail pour la féconder.

J'ai une vie bien remplie, jonglant entre mes études et mes tantes, Sophie et Jennifer. Jennifer attend que les effets de son injection contraceptive se dissipent pour tomber enceinte. En attendant, on s'entraîne férocement, dans toutes les positions.

Sophie s'est épanouie, grâce à sa nouvelle confiance en elle. Les gens la complimentent, sans savoir que c'est grâce à des séances de baise torride avec son neveu.

C'est les vacances d'été pour ma sœur cadette Sandra qui est rentrée de l'université. Je ne l'avais pas revue depuis septembre, et je reste rêveur devant sa transformation.

Elle a tellement changé ces derniers mois. La chenille a quitté sa chrysalide, et un magnifique papillon est apparu. C'était un garçon manqué, et je découvre une magnifique jeune femme. Les vêtements, bien sûr, des tenues plus féminines ont remplacé ses vieux jeans râpés. Mais surtout de nouvelles courbes charmantes.

Les parents sont partis travailler, je suis seul à la maison avec Sandra, ce matin.

J'ai traîné au lit, Sophie a été trop gourmande hier soir, et j'ai besoin de récupérer. Quand je suis entré dans la cuisine, j'ai trouvé Sandra dans une tenue minimaliste, un short moulant et une brassière de sport.