Une Douche Tourne Mal

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Impuissante, une jeune femme en prend plein le cul.
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Ceci est une suite à mon premier récit ; pas besoin de l'avoir lu pour comprendre le second cependant.

Bonne lecture.

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Je ne sais pas combien d'orgasme j'ai eu la nuit dernière, mais, au bout d'un certain nombre, mon corps a lâché prise et je me suis évanouie. Habituellement je tiens assez bien la distance, mais là, la situation est quelque peu particulière :

Récemment j'ai été soumise à la volonté de personnes malveillante qui m'ont mise dans une combinaison en latex intégrale, torturée sexuellement pendant un bon moment, pour enfin me laisser, attachée, suspendue, baillonée, 1 gode vibrant dans le vagin et 1 dans le cul pendant une nuit complète.

Une nuit un peu particulière je disais ...

Je ne sais pas trop ce qui me réveille ...

Soit c'est le "manque" soudain d'objets vibrants dans mes parties génitales, soit l'arrivée de sons autour de moi.

"Putaaaaain ... T'as vu ces seins?"

"Oh, le morceau!"

"Je passe en premier, y'a pas moyen ..."

Plusieurs voix d'hommes m'entourent. Ils continuent à parler, mais je ne saisie pas grand chose du fait de mon réveil soudain. Et puis, malgré toute ma réticence à ce qu'il m'arrive, mon vagin semble pulser autour du vide qu'a laissé le gode. je dois me concentrer après tant d'orgasmes.

Une voix prend le dessus.

"Messieurs!"

CLAC!

Une bonne fessée sur mon postérieur vient à la fois finir de me réveiller et mettre le silence dans l'assemblée.

"Messieurs, bonjour ... Nous réunis en ce jour pour accueillir dans nos rangs une nouvelle recrue, qui, je l'espère, se révélera être un atout sensible pour notre commerce. Comme le veux l'usage cette chère dame est maintenant libre de nous communiquer son désaccord quant à sa situation. Mademoiselle?"

Comprenant qu'il me parle je saisie l'occasion pour faire entendre ma voix.

"Mmmgmggmggmmmmh!"

Le bâillon, j'oublie.

"Très bien. Qui ne dit mot consent. Ce pourquoi nous pouvons commencer la séance. Messieurs je veux voir cette fille crouler sous les bites pour les prochaines heures."

"HOURRAAA!" L'assemblée semble bien heureuse de la précédente annonce.

"Tu vois ..." La voix du 'présentateur', est proche de mon oreille, me chuchotant les prochains mots. "... D'ici quelques heures on va te retrouver recouverte et pleine de sperme. J'espère que ce n'est pas la première fois pour toi ; sinon ça va te faire une surprise ..."

Oh non, ce ne sera pas la première ...

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3 jours plus tôt je n'étais pas encore à la merci d'une bande de bites qui, par ailleurs, commence déjà à me fourrer pendant que je vous raconte ça ; tous les trous y passent.

3 jours plus tôt je rentrais chez moi, recouverte de sperme. J'avais passé la nuit enfermée dans une cellule pleine d'hommes en chaleurs et j'avais seulement pu négocier une chose :

"Je vois que ça va mal se passer pour moi." Avais-je dis, peu sereine, en voyant les regards mesquins dans les yeux de mes collègues de cellule. "Alors je peux vous proposer quelque chose ... J'obéie à tous vos ordres, tant que personne ne me touche. Sinon je me débat et j'hurle ... Et personne ne veut de griffure à sa bite?" A ces derniers mots tout mon auditoire avait grimacé. Puis :

"A genou! Montre nous tes seins! Et ouvre ta bouche à foutre!" Un des hommes, déjà bite en main, avait sceller notre contrat et je m'exécutais, peu fière de ce qu'il se passa après.

Après une nuit complète dont je passe les détails humides je rentra chez moi.

N'ayant pas prévue de prendre une douche de sperme, je n'avais rien pour m'essuyer outre mon tee-shirt déjà imbibé. Je rentra donc chez moi, recouverte de foutre et honteuse.

Mais tout cela n'avait pas été vain. Je cherchais alors une fille, Solène, disparue quelques jours plus tôt et ma venue au commissariat s'était soldée par :

Une fellation forcée par le commissaire, la révélation d'une adresse où je pourrais retrouver Solène, le remplissage de mon estomac du sperme dudit commissaire, un malaise suite à mon étouffement sur la bite du commissaire et finalement la nuit la plus bukkake que j'avais vécu.

Avec ma situation actuelle, je risque d'en revivre un certain nombre.

Alors que j'arrivais devant la porte de mon appartement, je pris une pause pour essayer une fois de plus de m'essuyer. Sauf qu'à part mes mains, déjà bien humides, je n'avais rien ; tout ce que je pus faire fut d'étaler plus encore la semence sur mon corps.

Je rentra donc chez moi pour trouver ma colocataire, attablée avec plusieurs hommes. Ils devaient jouer au strip poker, au vue des cartes et vêtements sur table et je pense que ma colocataire perdait. Elle était mon opposée : bimbo au lèvres pulpeuses, cheveux bruns et longs, peau basanée, poitrine sur-abondante et corps svelte. En temps normal mon aspect mignonne de fille jolie, blonde, svelte et juste bien proportionnée pouvait rivaliser, mais là j'avais visiblement passée une nuit à recevoir des jets de sperme sur tout le haut du corps.

La honte me gagna et et partis rapidement vers la salle de douche.

Je sauta toute habillée sous notre douche luxueuse. Nous avions une large cabine de douche ouverte, dont un des murs était recouvert de tuyauteries en cuivre. Une belle oeuvre que nous avions recouvert d'un attirail d'objets utilitaires à la douche par un système de ficelles courtes et solides. C'était la fierté de l'appartement miteux que nous occupions et c'est pourquoi je pus y trouver un moment de pause après une journée forte en émotions.

Une fois l'eau allumées et bien chaude je me déshabilla et profita du jet d'eau chaude pour laisser divaguer mon esprit et juste apprécier le moment.

Je ne sais pas encore si sa venue était volontaire ou réellement accidentelle, mais de toute façon, je ne remarqua pas l'entrée dans la salle de bain d'un des amis de ma colocataire. Je ne remarqua pas non plus lorsqu'il s'approcha. Et je n'eux conscience de sa présence qu'une fois ses grandes mains rugueuses parcourant mon corps dénudé.

Il me poussa contre le mur de tuyau, me bloquant par sa force. Ses mains commençaient déjà à palper mes fesses tandis que j'entendis la voix alcoolisée de l'homme :

"Coucou chérie ... Je croyais que tu étais encore dans la cuisine."

Comme dit précédemment je ne sais pas encore si il me confondit réellement avec ma colocataire ou bien qu'il joua sur ça.

Bien évidemment je tenta de me sortir de son emprise, mais sa force physique surpassait aisément la mienne. Il saisit mes mains, les faisant passer au-dessus de ma tête.

"Tu veux jouer? D'accord ..."

Grâce à une des ficelles sur la tuyauterie il m'attacha les mains en hauteur, au point où je me retrouva sur la pointe des pieds pour rester stable. Comprenant que j'allais subir un mauvais sort je tenta d'appeler à l'aide.

"A L'AIDMMMMMH!"

Une de ses mains se posa rapidement sur ma bouche, étouffant mes cris. Je continuais de me débattre, mes mes mains étaient fortement liées et l'homme possédais une force au diapason de sa carrure de gorille.

"Chhhuteuh ... Faudrait pas embêter les autres."

De sa main libre il saisit une serviette de main et s'en servit de bâillon improvisé en la nouant autours de ma tête. Ça et l'eau continuant de couler sur nos corps suffirent à étouffer une grande partie de mes appels.

"A'f'h ..."

Quoi que je tentais de dire se retrouvait déformé par la serviette et noyé par l'eau.

Mais alors que je tentais de retrouver la parole je sentis les mains et un autre membre caresser mes fesses. Il fit passer ses pouces dans la raie de mon cul et écarta cette dernière, révélant mes parties génitales à son chibre. Il n'attendit aucun feu vert et m'asséna directement un coup de rein, espérant me pénétrer au plus vite. Dés que je sentis son sexe s'approcher du mien je fis jouer de mes reins pour éviter l'assaut.

"Arr... Arrête de bouger!"

"Gh! Mmf!"

Il retenta une fois de plus, mais je continuais mes mouvements.

"Mais t... T'es chiante là."

D'une poigne forte il souleva ma jambe gauche. Surprise par ce mouvement je m'étouffa un peu dans ma serviette ce qui lui laissa amplement le temps de m'attacher le genou à hauteur de mon torse, un peu plus à gauche. Il essaya de faire de même avec ma jambe droite, mais j'avais déjà repris conscience et commençais une fois de plus à me débattre.

"On va jouer ..."

Je ne compris pas exactement ce qu'il voulut dire par là, ce pourquoi je fus surprise lorsqu'il me tira les cheveux violemment. Voulant à tout pris éviter la douleur je cambra mon cors en arrière. Il profita du mouvement pour saisir mon sein gauche de sa grosse paluche et passa directement mon téton entre son pouce et son index pour le pincer.

La douleur de mes cheveux tirés en arrière et de mon téton, l'étouffement par l'eau et la serviette suffirent à me mettre dans un état semi-conscient dont mon assaillant profita pour attacher mon genou droit à hauteur de torse, un peu plus à droite de mon corps. Je repris rapidement conscience lorsque je sentis son pénis s'appuyer contre mon anus.

"MMMMGHGGFF!!!"

"Allé ... Tais toi! Et prend CA!"

Malgré mes plaintes, mes tentatives de mouvement inutiles dans ma position et sa semi-molle il pressa fortement son gland contre mon trou. Au début ça allait encore, rien ne rentra.

Il saisit alors mes reins avec ses deux mains et retenta un autre assaut plus fructueux. Cette fois-ci mon anus ne pus retenir la chose en dehors de mon corps et commença à se dilater. Ce ne fut malheureusement pas suffisant.

Malheureusement pour lui puisqu'il comptait bien rentrer.

Malheureusement pour moi puisque mon anus était déjà très douloureux de la première tentative.

Sentant qu'il n'était pas loin d'être en moi il se positionna mieux sur ses appuies, se cramponna bien à mes reins et prit un bon élan.

"GGGGGGGGGGGGGGGGGGH!!!"

Yeux écarquillés, cri étouffés, j'étais pénétrée.

Le début était douloureux, lorsque mon anus tenta de résister, mais dés que le gland passa cette première défense ce fut comme une vague entière qui déferla dans mon intérieur, accompagnée d'un flot de douleur.

"GGGH!"

Un coup de rein supplémentaire. Je sentais son pénis finir son érection en mon intérieur, dilatant encore plus mes boyaux.

"GFH!"

Un coup de rein légèrement plus rapide. Je l'entendis pousser un petit râle de bonheur.

"GH!"

Un coup de rein bien plus véloce.

"GH GH GH GH GH GH ..."

Il pris son rythme de croisière, entrant et sortant de moi, sans s'arrêter, labourant mon cul comme un pauvre champs.

Il saisit mes seins, un dans chaque main, s'en servant comme poignées pour son mouvement. Sa poigne était trop forte et me broyait les loches et moi je ne pouvais rien faire. Mes mains étaient attachées au-dessus de ma tête, mes genoux de chaque coté et une serviette me servait à étouffer ma voix plaintive.

Je ne sais combien de temps dura le tout ; sans aucun doute trop longtemps. Mais au bout d'un moment il lâcha un de mes seins pour me saisir les cheveux. Il tira aussi fort qu'il put, continuant ses va-et-viens, mon corps se cambra, l'angle étant meilleur sa bite s'enfonça encore plus douloureusement. Le rythme s'accéléra, je crois qu'il grogna, je pense qu'il me pinça le téton plus fort que jamais et je suis presque sûr qu'il me cracha au visage plusieurs fois ...

De toute façon ce fut une autre partie assez floue dans ma tête. Et je revins réellement à moi quand, d'un mouvement de rein bien plus violent, il s'arrêta au plus profond de mon cul.

"MMMMMMMMMUH!"

Je sentis son membre pulser plusieurs fois et une certaine chaleur dans mon intérieur.

Tout doucement il commença à sortir de moi. Une fois proche de la sortie mon anus commença à suivre son mouvement, comme pour le sommer de rester, mais un BOP sonore vint finir l'acte.

A ce moment là je pensa que tout cela était fini, qu'il allait me détacher et que j'aurais pu m'expliquer avec lui un minimum. Et lorsqu'il dit :

"C'était ... Top!"

Je pensa qu'il voyait aussi une fin à ce coït et qu'il prévoyait de me détacher.

Cependant, ce connard à merde, décida qu'il devait aller pisser avant tout. Je ne le compris que quand il ne me détacha pas ; je regarda à travers l'eau qui me tombait toujours sur le visage et la brume qu'avait provoquée la précédente relation sexuelle pour voir son ombre au dessus des toilettes (présentes dans la salle de douche). Et ce ne fut qu'après de longues minutes d'inactivité et le début d'un ronflement que je compris qu'il s'était endormi sur le trône.

Ma position, loin d'être confortable ne me permit pas de me reposer et je dus seulement attendre. De longues minutes durant lesquelles l'eau me coulait dessus ...

Au bout d'un moment je sentis un autre liquide me sortir du cul. Petit à petit le sperme du ronfleur s'écoula de mon anus, gouttant doucement sur le sol de la salle de douche. Comment je sus que ce n'était pas de l'eau? Et bien des minutes entières de positions inconfortables vous font prendre conscience de beaucoup de choses.

Ce ne fut qu'une éternité plus tard que l'homme endormi se réveilla, remit nonchalamment son pantalon et sortit de la pièce. Je n'en revint pas sur le coup. Incapable de parler et choquée qu'il ne me détache pas je ne pus pas lui faire savoir que je voulais toujours qu'il me détache. Mais ma peine fut assez courte, puisque, après une autre éternité, une nouvelle personne rentra dans la pièce, me découvrant dans ma position fortement suggestive. A ce moment là j'étais trop faible pour vraiment comprendre ce qu'il se passait.

Quelques bras forts me soulevèrent, me déposèrent à terre et je repris petit à petit conscience de mon environnement : quatre homme imposant, au regards lubriques se tenaient debout, autours de mon corps nu, agenouillé tandis que la voix droguée de ma colocataire, maintenant à moitié nue, s'élevait :

"Et bien, les garçons, on est parti pour un peu de fun ce soir."

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Le fun se termine d'ailleurs de mon coté, dans le présent. Un dernier jet de foutre s'étale sur tout mon visage, une bonne partie entre dans ma bouche, obligatoirement ouverte par le bâillon anneau, je sens la bite dans mon vagin se décharger, une boule de geisha de mon anus est violemment retirée de ce dernier, un de mes seins mordu jusqu'au sang alors que l'autre reçoit une baffe ou deux, mon cul prend un énième coup de fouet et mes cheveux sont tirés en arrière. Alors que mon visage fait face au plafond je vois de nombreuses bites apparaître dans mon champs de vision et finir leurs actions dans ma bouche. Cette dernière fait maintenant office de réceptacle à sperme.

"Glbglglbgl ..."

Une main vient me boucher le nez.

"Maintenant tu avales tout ou tu te noies dedans."

J'essaie encore de me débattre, mais mes mains et bras sont attachés ensemble dans mon dos et mes jambes son liées de telle sorte que je ne puisse pas les dépliées. Finalement après quelques secondes je comprends que, impuissante, je ne peux m'en sortir qu'en vidant ma bouche d'une manière ou d'une autre. Alors, une gorgée après l'autre, j'avale doucement le sperme.

Une fois finie les mains me lâchent, me laissant choir sur le sol. Je suis pleine. Par tous les trous et toutes les possibles manières j'ai été remplie et recouverte de sperme.

"On ne voudrait pas que tu t'ennuies alors on t'a prévu des copains pour cette nuit."

De nouvelles mains viennent me saisir et plusieurs objets me sont fixés sur le corps : un bâillon-boule d'une taille dépassant l'entendement, un nouveau masque devant mes yeux, un plug dans le cul, un dans le vagin et des pinces sur les tétons. Malgré que je me sache solidement attachée je tente de me débattre, mais une baffe monumentale m'enjoint à penser l'inverse.

Me sachant solidement attachée je n'essaie plus rien durant la mise en place des objets.

"A demain."

La voix de mon tortionnaire est suivie du bruit d'une porte se refermant et de la mise en route des vibrations de l'attirail que j'ai sur le corps.

"MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMH ..."

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J'espère que cette histoire vous a plu et si c'est le cas n'hésitez pas à me le faire savoir via les commentaire.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Bonnard !

C'est tout ce qu'on aime

trouchardtrouchardil y a plus de 6 ans

bonne histoire. Le retour en arrière est bien vu. On veut en savoir plus.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Un autre chapitre excellent !

J'aurais bien aimée être un invité de la colocataire ;)

Mais il me tarde encore plus de connaitre la suite !

Comment la mignonne Jena a-t-elle fait pour se mettre dans un tel pétrin ...

Bravo et merci pour ce moment de lecture !

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