Une branlette inoubliable

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Une anglaise offre une nuit mémorable à un jeune parisien.
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À « Marcel ».

Inspiré d'une histoire vraie.*

~*~*~

Ah, Paris. Qu'est-ce qu'une fille anglaise, simple comme moi, allait faire là-bas?

Les français, bien sûr.

~*~

J'ai rencontré Louis à l'aéroport Charles de Gaulle. Ma valise était retardée à la douane, et la sienne aussi. Pendant un long moment, nous avons attendu nos valises, sans se parler, jusqu'à ce que finalement la foule ait disparu et qu'il ne reste que lui et moi. J'ai finalement été amenée à bavarder avec lui. On attendait encore, et on a alors commencé la conversation. Je venais de rater le dernier train de la soirée, en direction de Lille, et réservé un autre pour 8h le lendemain.

Alors que nous parlions, Louis était plaisant, mais distant à la fois. Un beau gosse de vingt-huit ans, il était grand, à peu près un mètre quatre-vingt-dix, et s'habille élégamment, comme la plupart des français (surtout si on compare avec les anglais). Avec ses lunettes et sa chemise rayée, il avait un air très intelligent... et naïf. Il fallait le corrompre, lui montrer un peu comment s'y prendre.

Finalement, les valises sont apparues, s'écroulant par terre après avoir été lâchées sur nos pieds par un ouvrier qui ne prit même pas la peine de s'excuser.

« Est-ce que qu'il y a un hôtel pas cher autours d'ici où je peux rester ce soir et prendre le train demain? », je demandais à Louis avec mon français imparfait.

Louis m'a fixé d'un air interrogateur, avec ses yeux bleus-gris.

« Vous savez, Paris est pas très sûre à cette heure-ci. Les hôtels pas chers sont pas sûrs non plus, et ça m'étonnerait qu'ils acceptent des check-ins spontanés à cette heure. Si je peux vous conseiller quelque chose, c'est de trouver quelque part d'un peu bien, mais c'est forcément plus cher. »

« Ah, d'accord. Je suppose c'est la seule option. » je lui répondis.

Une pause.

« Ou... ou vous pouvez rester chez moi, si ça peut dépanner. J'habite pas loin de Gare du Nord. Le canapé est disponible ; c'est pas tout à fait comme un AirBNB, mais ça pourrait aller. Je comprends complètement si ça ne vous intéresse pas. C'est surtout que c'est pas forcément un bon plan de payer beaucoup pour dormir seulement quelques heures. Moi, ça me dérange pas, mais c'est comme vous voulez. » Louis agite alors nerveusement la sangle de son sac à dos.

« Merci, Louis. Ça serait super. »

« D'accord » dit Louis, « le train pour aller chez moi est par là. Je vais vous aider avec votre valise. » Louis s'accroupit pour attraper la sangle du sac.

« Merci. Et, Louis - n'hésite pas à me tutoyer. »

« Comme tu veux » dit Louis, avec un léger sourire, avant de se retourner, se dirigeant vers le train.

~*~

« Nothing good happens after midnight. » Ma mère m'a dit ça de nombreuses fois alors que j'étais ado, essayant de m'encourager à ne pas rester tard avec mes amis.

En fait, je n'ai jamais pensé qu'elle avait raison à ce sujet.

Il était 3 heures du matin. A peine arrivés chez lui, Louis me fait visiter les lieux très consciencieusement : la salle de bain par-ci, le canapé par-là, la cuisine là-bas. « Voilà la machine à café, tu peux te faire un café demain matin. Je vais faire une grasse matinée ; n'hésites pas de sortir quand tu veux. Content de t'avoir rencontrée. Passe une bonne nuit, et je te souhaite un bon voyage. »

Sur ce, il disparut dans sa chambre. J'en profitais alors pour aller me changer et enfiler ma chemise de nuit. Je m'allongeais sur le canapé et m'endormit presque aussitôt.

Après avoir dormi paisiblement quelques heures, soudainement, je me réveillais, le front brûlant, en sueur, avec la gorge sèche.

J'avais besoin de quelque chose... Un verre d'eau, peut-être.

Mais où était la cuisine? C'était une cuisinette, typique des petits appartements parisiens, à peine plus grande qu'un placard. Étrangement, et ça n'était vraiment pas pratique, elle était cachée derrière une porte, au lieu d'être rattachée au salon, comme on aurait pu imaginer.

Est-ce que c'était la porte de droite ou celle de gauche? Je ne me rappelais plus.

Voilà les deux portes, divergeant d'un salon jaune.

Et moi -- j'ai pris la porte de gauche --

Et c'est ça qui a tout changé.

~*~

J'ouvris la porte. Immédiatement, j'ai heurté quelque chose -- quelque chose de doux, endormi, et pourtant ... dur.

C'était Louis. Il m'a alors regardé, les yeux écarquillés. « Madame, » il a balbutié, (Madame? je suis une jeune fille, moi ; il était nerveux, le pauvre) « Excusez-moi -- j'étais en train de prendre un verre d'eau ; je me suis réveillé soudainement et je n'arrivais pas à me rendormir. J'espère que je ne vous avez pas fait mal. La salle de bain... - ce qu'il pensait que je cherchais -- c'est par là. »

« C'est pas grave... Merci, Louis. »

Et pourtant, je ne bougeais pas. Je le fixais dans les yeux. Et là, avec une impulsion folle, dans un désir exquis et électrique, irrésistiblement, j'ai vu ma main se diriger vers la bosse qui poussait dans son caleçon, à moitié cachée par l'obscurité, et je l'ai caressé. Louis a reculé.

« Qu'est-ce que tu fais? » Il m'a demandé l'air sévère.

Maintenant c'était moi qui étais à genoux ... métaphoriquement parlant.

« Pardon... J'ai eu une mauvaise idée. Je suis très désolée. Je... je vais partir maintenant ; je vais quitter ton appartement. »

La bouche de Louis s'est refermée d'un coup. Il m'a évaluée d'un œil critique, comme s'il choisissait ses mots avec prudence. Je m'attendais à un reproche, et je ne pensais alors plus qu'à fuir le plus vite possible, le plus loin possible.

Et là, d'un coup, il a posé ses mains sur mes joues et s'est mis à m'embrasser.

~*~

Il m'embrassait avec une intensité fiévreuse, comme poussé par un besoin vital, un désir primitif.

Je m'étirais pour saisir sa verge. Et quel braquemard : long, épais, avec de grosses veines pulsantes, immédiatement au garde-à-vous. En admirant la grande délectation, je le frottais avec de longues caresses. Bientôt, je sentais une humidité à la pointe. Mon corps se mit à bruler avec désir.

Louis arrachait ma chemise ; je ne portais pas de sous-vêtements. Je déchirais alors son boxer pour libérer son corps, et nous sommes finalement tous les deux nus.

Il me prit par la taille, et me retourna, me poussant sur le lit.

De dos, je continuais à tirer doucement sur sa verge, du bout de mes doigts. La baguette commençait à cuire...

Je regardais Louis. Ses yeux s'étaient refermés. Je regardais sa queue, les veines gonflées à bloc, et elle vibrait dans ma main. Je commençais à caresser plus rapidement.

Je sentais Louis trembler.

Du liquide fit son apparition à la pointe de sa queue. Aussitôt, je l'étalais le long de sa verge, l'utilisant comme lubrifiant. Ma prise sur la bite de Louis se resserrait, avec des caresses plus longues, plus fermes.

Louis gémit de plus en plus fort. Soudain, ses yeux s'ouvrent, et il se mit à me regarder, à la fois embarrassé et affamé.

Je continuais avec le même rythme et caressait ses bourses, délicieusement poilues, les tenant dans ma paume avec douceur.

Louis commençait à gémir dans un rythme régulier. Tenant toujours ses couilles, je me mis à lécher le liquide qui s'écoulait de son membre noble, et parcourant sa longueur avec ma langue. Et là, je pris les couilles dans ma bouche, en continuant de le branler. D'un coup, j'inversais l'action. Je pris toute sa grande verge dans la bouche, jusqu'au fond de ma gorge, et saisissant à nouveau ses couilles dans ma main comme des boules Baoding. Encore et encore, je poursuivais les vas et viens...

Le visage de Louis était crispé, avec un plaisir embarrassé. Embarrassé que ce qui était masque par sa façade ait été découvert. Embarrassé d'avoir si besoin de moi. Embarrassé d'être si exposé.

Soudainement, se saisissant de ma main, il se mit à planer devant moi, à quatre pattes. Pendant ce temps, je continuais toujours de le branler rapidement.

« ...Je veux te prendre... » dit-il, désespérément.

Sa bite a plané au-dessus de mon estomac, et quand il essaya de descendre, je l'arrêtais. Je me remis à le branler rapidement, ce jeune mec avec son cul à l'air, les jambes obscènement écartées.

Je trayais sa baguette magique avec un profond plaisir. Elle était gonflée, enflée, et moi, ivre de désir, conservant le pouvoir au bout de mes mains.

Louis émit alors un gémissement, long et bruyant. « Je vais jouir », dit-il. Le bonhomme -- il ne voulait pas jouir sans avoir partagé le plaisir avec moi. Il ne savait pas à quel point j'avais pris plaisir a simplement regarder le spectacle devant moi.

« Vas-y » j'ai dit. « Je veux que tu jouisses, Louis. »

Je le branlais alors à la pointe, autour du gland, aussi vite que possible, et avec l'autre main je caressais ses couilles. La bite gonflée et dure comme du fer planait au-dessus mes seins, prêt à exploser.

Louis, complètement désarmé, émit une succession de cris brefs et forts. Et là, ses yeux à nouveau fermes, perdue dans sa rêverie, ce jeune homme a explosé. Il y eut une première giclée de jets de sperme épais et crémeux, qui atterrit sur mes seins, mon estomac, et ma chatte. Jet après jet. Se balançant sur les avant-bras, il tremblait avec plaisir, la tête vers le ciel, les larmes lui venaient aux yeux.

Finalement, complètement exténué, il s'effondra sur moi, épuisé physiquement, mentalement et spirituellement. Sa queue, maintenant vide et ignoble, reposait entre nous, tous les trois recouverts de son jus.

Et là, je me suis endormi profondément, dans un sommeil plus reposant que je n'avais pas eu depuis bien longtemps.

~*~

Quelques heures plus tard, je me réveillais et partit en douce du lit.

« Non, » me dit Louis, saisissant mon poignet : « Reste. »

Ses yeux étaient écarquillés, implorants. Je me libérais de sa prise.

« Désolée, Louis. Mon train va arriver bientôt. »

Je me dirigeais vers la porte, et là, pensant à quelque chose, je me retournais. « Dis, Louis -- est-ce que tu connais mon prénom? »

Un regard sans défense, embarrassé. « Oui, c'est... c'est... »

« Au revoir, Louis » je rétorquais, un sourire en coin.

Et comme ça, sans avoir pris le temps de me laver, je sortis de la chambre, enfilait ma robe. Saisissant ma valise, je quittais l'appartement et descendis dans les rues de Paris qui prenaient vie peu à peu. Au loin, à moitié dissimulée derrière la brume matinale, j'apercevais la Tour Eiffel.

FIN

~*~*~

*une fois j'ai donné une branlette à un français.

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