Un Soir de Noël

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David nous confesse son attirance pour sa belle-mère.
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Atelier94
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Les protagonistes principaux de cette histoire :

— David Duplot : 20 ans

— Nathalie Vallien : 41 ans

— Manu Vallien : 18 ans

— Angelo Duplot : 45 ans

Je m'appelle David Duplot, j'ai aujourd'hui 31 ans. L'histoire que je vais vous raconter est en partie vraie, mais aussi fictive.

Elle raconte mon fantasme enivrant voir même maladif que j'ai envers Nathalie, mon ancienne belle-mère (l'ex compagne de mon père).

A l'époque, je vivais avec mon père qui s'est séparé de ma mère lorsque j'étais tout petit. Pour faire court... Disons que j'ai rarement vu ma mère qui s'est très peu préoccupée de mon existence.

J'ai grandi aux côtés de mon papa qui a fait son maximum pour que je ne manque de rien, hormis la présence d'une mère.

Il rencontra Nathalie, une jeune et séduisante veuve d'une quarantaine d'années alors que j'avais à peine 15 ans.

Natalie était l'une des nouvelles secrétaires des bureaux de l'entreprise de mon père et très rapidement, la beauté de cette mature aux cheveux blonds bouclés et aux yeux bleus, a séduit mon père qui tomba rapidement amoureux d'elle.

Quelques mois plus tard, après m'avoir tant parlé de cette femme, je la rencontrai, elle et son fils unique, Manu, lors d'un dîner prévu pour l'occasion au restaurant.

Je ne vais pas vous cacher que je n'avais aucune envie de faire leur rencontre. Ma vie, entre hommes célibataires avec mon père, me plaisait très bien, et j'avais peur que cette femme vienne fourrer son nez partout, et compromettre ma liberté dans notre grande villa située dans le centre ville. Mon père était très souvent absent durant la journée, et j'avais donc carte blanche pour faire ce que je voulais.

Mais la beauté de cette femme et son élégance naturelle m'a scotché sur place. A table, je bégayai à chaque fois qu'elle m'adressait la parole pour en savoir plus sur moi. Je rougissais et je ne comprenais pas pourquoi je perdais tous mes moyens en sa présence.

Les mois ont passé, et bien-sûr mon père leur proposa de venir s'installer chez nous... Et moi j'étais très nerveux à cette idée.

Et d'une je perdais ma liberté, et de deux j'allais vivre quotidiennement avec cette femme qui me troublait à en perdre mes moyens.

Ce fut en fait, les cinq plus belles années de ma jeunesse!!!

J'ai appris à vivre avec une femme à la maison. Nathalie était une femme ordonnée, autoritaire, mais très sympathique.

Mais surtout... C'était une femme qui était toujours très bien habillée. Prenant toujours soin de son accoutrement pour ne pas paraître négligée. Je me régalais d'observer ses jambes toujours habillées de bas nylon... Le plus souvent noirs.

Bien évidemment, les expéditions dans la chambre conjugale de mon père furent nombreuses, et c'est de cette manière que j'ai appris que ma belle-mère avait un penchant secret pour les bas maintenus par un porte-jarretelle.

Je comprenais à présent pourquoi papa était si fou de cette femme que j'imaginais seulement habillée de sa lingerie.

Pas la peine de vous cacher que j'ai passé de longues nuits à me masturber comme un fou en pensant à cette femme qui vivait sous le même toit que moi.

Certains pourront dire que ma situation était en fait géniale, mais allez vivre tous les jours avec la femme de vos fantasmes sans pouvoir faire quoi que ce soit. C'était une véritable torture.

Et bien évidemment, un jour, tout a basculé.

C'était cinq ans après qu'ils eurent emménagé chez nous, un soir de noël en plus. J'avais 20 ans et je sortais tout juste avec Karine, ma petite amie de l'époque.

Mon père avait invité les parents de Natalie pour réveillonner, des gens très sympathiques qui m'ont offert un jeu vidéo auquel je languissais de jouer.

Le vin blanc coulait à flots durant l'apéro et n'ayant pas l'habitude de boire beaucoup, je ressentis rapidement que l'alcool me faisait tourner la tête.

Tout le monde le sait, l'alcool vous aide à vous détendre et à être moins coincé. En voulant à tout prix aider Nathalie à servir les plats qui nous attendaient dans la cuisine, je venais la voir pour lui offrir mon aide sans me gêner de poser mes mains sur ses hanches au passage ou sur ses épaules... Gestes non déplacés mais que je ne me permettais pas à l'origine.

Sans doute est-ce le fait qu'elle me sourit tendrement à chaque fois, je prenais de l'assurance et l'envie d'oser plus.

Nous étions passés à table lorsque Nathalie est descendue au sous-sol pour prendre une bouteille de vin rouge prévue pour servir avec le plat de gibier qu'elle avait cuisiné toute l'après-midi.

Mon père avait oublié de lui dire que la bouteille était posée sur une caisse et non sur l'étagère à vin. Je me proposai d'aller lui dire pendant que tout le monde commençait à manger le foie gras accompagné de toasts et d'oignons confits.

Ma tête tournait en même temps que je descendais les escaliers. Nathalie était là, dans la semi-pénombre du sous-sol.

Penchée en avant dans sa robe mauve, elle recherchait la bouteille en question en étant sûre qu'elle se trouvait en bas de l'étagère.

Le pan de sa robe avait remonté très haut... Assez haut pour voir la lisière des ses bas noir et les sangle noires de son porte-jarretelle qui les maintenaient bien haut sur ses superbes cuisses.

J'étais comme paralysé par cette vue, juchée sur les talons de ses escarpins noirs, son cul cambré en ma direction comme un appel de venir lui sauter dessus.

Mon cœur battait fort, je m'approchais d'elle, encore et encore. Me voilà juste derrière cette femme qui m'excite depuis plus de cinq ans.

Elle ne m'a pas entendue, plus concentrée à trouver cette satanée bouteille comme elle disait sur un ton agacé.

Et puis... Mes forces m'ont lâchée et je me suis jeté sur elle.

—Mais... Mais qu'est ce que!!!! S'écria Nathalie qui se retourna d'un coup vers moi, après avoir senti l'arrière de sa robe se retrousser au-dessus de ses fesses cambrées seulement habillées par un string mauve dont la fine ficelle disparaissait dans la raie.

En voyant ce string si fin, si fragile, je suis devenu encore plus excité. Malgré le sombre de la pièce, elle me reconnut très rapidement, et elle a tellement hurlé que je crois que si l'alcool n'était pas présent dans mes veines, je me serais enfui sans demander mon reste.

—David.... David, mais qu'est ce qu'il te prend???

Je ne savais pas quoi répondre sur le coup, mais une force intérieure me persuada que maintenant que j'étais démasqué, je ne pouvais plus revenir en arrière.

Nathalie tenta rapidement de se redresser en rabaissant sa robe convenablement mais je fus plus rapide qu'elle et je la poussa en avant tout en tirant encore plus sa robe vers le haut pour laisser son bas du corps entièrement nu, mis à part sa lingerie qui ne couvrait pas grand-chose.

Pour ne pas tomber, ma belle-mère se cramponna à l'étagère en face d'elle tandis que je me permis de lui infliger deux claques au cul qui raisonnèrent dans tout le sous-sol.

Ne me demandez pas pourquoi, est-ce dans le feu de l'action que j'ai voulu faire ceci, je n'en sais rien.

—David... Mais ça va pas, laisses moiiiii!!!! Hurla Natalie en me regardant derrière elle.

Malgré la folie de cet instant, j'avais remarqué qu'elle ne se dégageait même pas. Elle aurait pu facilement se retourner pour me gifler ou me repousser, ou encore même crier fort pour alerter mon père.

Non, elle me regardait penchée en avant et le cul nu, se tenant à cette étagère pleine de bouteilles et de poussière, jouant la femme surprise par mon comportement inattendu.

Il n'en fallut pas plus pour me conforter dans l'idée qu'elle en avait autant envie que moi, et grâce au vin ingurgité, j'allais lui donner le résultat de ces cinq années de patience qui bouillaient dans mes couilles prêtes à être vidées pour cette soirée du réveillon.

Sans rien dire, j'ai baissé mon pantalon à mes chevilles et mon boxer aussi pour libérer mon membre dur comme du bois dont le pré-sperme, suintait au bout de mon gland gorgé de sang. Natalie regarda mon pénis en faisant de gros yeux, puis ensuite mon visage... toujours penchée en avant, c'était clair, belle maman, voulait sa bûche de noël avant l'heure.

—David... Tu ne vas tout de même pas faire ça?

—Tais... Tais toi, tu en meurs d'envie, avoues-le!!! Bégayais-je en lui donnant une autre claque au cul avant de coller ma verge entre ses fesses rebondies.

—David... Non, non, non, ça suffit, arrête ça!!!

—Tais toi salope, et cambres toi bien pour que je te prenne comme tu le mérites!!! Ordonnais-je en lui faisant plier les jambes afin que son entre-jambe soit à la parfaite hauteur pour mon pénis bandé.

Sans plus attendre, j'écartais sans ménagement son string sur le côté et je pointai mon gland à l'entrée de son vagin que je trouvai très chaud sur le coup.

Très vite, malgré mon manque d'expérience avec les femmes, je trouvai l'entrée de son puits d'amour dont ses lèvres s'écartèrent tendrement afin de laisser glisser toute ma pine dans son ventre.

C'était divin, un mélange de douceur et de chaleur mais surtout la récompense de tant d'années de fantasmes sur cette femme qui me devait être intouchable à vie.

Natalie gémit fortement en lâchant un «Ooooooooh!!!! » de surprise tout en fermant les yeux.

Sans plus attendre, je l'attrapai à chaque hanche et commençai à la sauter le plus fort possible, faisant claquer mon ventre contre son cul qui rebondissait à chaque impact.

C'était fou, c'était dingue, je baisais obscènement ma belle-mère au sous-sol tandis que mon père et Manu mangeaient juste à l'étage au-dessus de nous.

—Mmmmm... Ohhhhh David non, David noooooooon!!!!! Gémissait-elle en s'accrochant à cette putain d'étagère dont les bouteilles faisaient du bruit à chaque va et vient que j'administrais à belle-maman.

Plus je la regardais avec sa robe mauve retroussée juste en dessous de ses seins, ses bas et porte-jarretelle noir, ses talons noirs et son ridicule string de salope tiré sur le coté... Plus cette vue alimentait mon envie de la prendre encore plus fort, l'excitation était sans fin.

Je regardais mon membre entrer et sortir de sa chatte légèrement poilue, son trou du cul juste au dessus, m'attirait tout autant. Sans aucune gêne, j'ai retiré mon sexe et je me suis penché en avant pour lui lécher l'anneau anal.

En temps normal, je n'aurai jamais fait ça, mais pris dans le feu de l'action, je lui ai léché le trou à merde en prenant un plaisir fou à lui lubrifier le sphincter.

—Ooooooh David, noooon, c'est sale, même ton père ne m'a jamais fait ça mmmmm!!!! Protesta mollement Nathalie, qui remuait des fesses à chaque coup de langue.

L'envie de sodomiser cette femme était très présente dans ma tête, j'en ai rêvé tant de nuits. Et voilà que l'occasion se présentait à moi... Qui ne l'aurait pas prise?

Je me suis redressé, je sentais que mon gland n'avait jamais était aussi dur qu'à cet instant, j'ai pris mon sexe dans la main et j'ai visé droit dans le cul de ma belle-mère. Le fion de Nathalie s'ouvrit petit à petit accueillant d'abord mon gland et ensuite toute ma barre de chair veineuse.

—Aaaaaaah mon dieu David.... Oooooh noooon mmmmm!!!! Lâchait-elle tandis que je commençais à enculer la femme de mon père.

Il n'y avait plus rien à faire, ni à dire, seulement se laisser prendre par derrière par le fils de son homme qui sortait et entrait de son trou du cul à une vitesse folle.

Elle se cambrait à merveille pour que je puisse bien aller au fond de ses entrailles, c'était un pied d'enfer, j'étais au paradis.

Je crois que les mots ne sont pas assez forts pour exprimer ce que je ressentais à ce moment précis.

D'un coup on entendit mon père nous appeler de la cuisine. Nous nous sommes retournés vers la cage d'escaliers derrière nous.

—David.... Retires toi, ton père va nous surprendre!!!

—Mais... Mais je n'ai pas jouis!!!!

—Mais on s'en fout imbécile! Ton père va nous voir comme ça, enlève toi, laisses moi!!!

Elle avait raison, qu'aurait dit mon père en me voyant sauter cette femme qu'il aimait tant. Ce père qui a tant sacrifié pour que je ne manque de rien?

Il ne méritait pas ça de ma part.

Mais... J'étais si excité, cette femme... Cette belle-mère, je l'aimais aussi et cette envie furieuse de sexe était comme un aphrodisiaque intense, je le ressentais brûler en moi à cet instant, si fortement, que je ne pus lui résister.

Je n'ai rien écouté, je me suis planté à nouveau dans son vagin mouillé de cyprine et je l'ai besogné comme un forcené, voulant jouir le plus rapidement possible.

Surprise et accusant le coup, Natalie cria sans pouvoir retenir un seul mot :

—Ah ah ah ah ah aaaaaah noooon ah ah ah ah!!!!!!

Bien évidemment, ses cris stridents alertèrent mon père qui descendit rapidement les escaliers en hurlant :

—Nathalie... Qu'est-ce qu'il se passe? Nathalie???

Au même moment, je suis sorti de son vagin pour lâcher mon foutre de partout sur son cul. Mon sperme, qui n'arrêtait plus de couler, enduisait les fesses de ma belle-mère alors que je râlais la joie de ma libération.

Mon père était juste à mes cotés, juste là, puis tout est devenu blanc.

Et me revoici derrière ma belle-mère dans la cave, penchée en avant à chercher cette fameuse bouteille, le haut de ses bas noir en vue. C'était une simple imagination de ma part, sans doute me suis-je laissé aller dans mes fantasmes et je me suis même pas rendu compte que j'imaginais cette scène et que rien n'était réel.

Mais l'excitation est toujours là... Et si c'était un rêve prémonitoire? Et si ...

Je n'ai pas eu le temps de calculer le pour ou le contre de ce que je voulais vraiment faire à l'instant, ma main gauche remonta le pan de sa robe bien haut.

Assez haut pour dévoiler ses fesses et son string mauve comme dans mon imagination... Est-ce un signe?

Mais d'un coup, Natalie se releva avec surprise et me donna une gifle magistrale qui me fit tomber en arrière sur mes fesses. Je ne savais plus où j'étais, totalement perdu et désemparé. Rapidement, la honte de mon geste fut présente dans mon cerveau.

—Ne t'avises plus jamais de recommencer ça, tu m'as bien compris? Me prévenait-elle avec un regard assassin.

Elle remarqua en même temps la bouteille de vin sur la caisse, elle la prit puis remonta les escaliers, me laissant seul au milieu de ma connerie.

La fin de soirée fut difficile, je n'osais plus la regarder à table. Les jours et les mois qui suivirent étaient trop pesants pour moi. La honte m'habitait constamment, mais l'attirance pour elle aussi.

J'ai donc décidé de prendre mon propre appartement afin d'échapper à cette pression permanente. Nathalie tenta de me parler par rapport à cet incident afin de percer l'abcès mais j'ai refusé.

Plusieurs mois plus tard, l'entente entre mon père et elle se détériora et ils finirent par se séparer. Je n'ai plus jamais eu de nouvelles d'elle.

Les années ont passé, et je ne sais pas ce qu'elle est devenue. Je pense souvent à elle, sa beauté, son charme me manquent et ne me quitteront jamais.

Je l'aimerai toujours.

David

Fin

Atelier94
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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus de 2 ans

Très excitant ! Et bien écrit merci

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