Un Petit Coup De Main Pour Papa

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Bérengère était ravie de passer du temps avec son père.
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Rainett
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Bérengère était ravie d'avoir l'opportunité de passer du temps avec son père. Lorsque le directeur de la maison de retraite lui a appris qu'il avait eu un mauvais comportement avec certaines pensionnaires et avec le personnel féminin, elle a compris que ce ne serait peut-être pas les retrouvailles sereines qu'elle espérait.

Quand ma grande sœur Bérénice m'a appelée pour m'apprendre qu'elle allait s'absenter trois semaines pour partir en vacances avec son mari, et me demander si je pouvais m'occuper de papa en son absence, j'ai été ravie d'accepter. Je n'étais pas venue le voir depuis près d'un an et j'étais vraiment mortifiée par mon comportement, c'était l'occasion rêvée de me racheter.

Il y a presque deux ans que Bérénice avait finalement dû admettre qu'il était devenu trop difficile à gérer pour elle, et nous avions dû prendre la difficile décision de le placer dans un institut spécialisé. Il avait été un gestionnaire de fonds très prospère dans une grande banque d'affaires, et l'argent n'était pas un problème. C'était une résidence très, très agréable, il avait une grande chambre, et ce n'était qu'à vingt minutes en voiture de chez Bérénice, donc elle pouvait lui rendre visite régulièrement.

Notre mère, Barbara, était décédée d'un accident vasculaire cérébral alors qu'elle n'avait que cinquante-deux ans. Papa s'était rapidement détérioré mentalement après sa mort et, au moins au début, nous pensions que c'était à cause de son chagrin. Un an plus tard, on lui a diagnostiqué la maladie d'Alzheimer.

Même s'il allait bien la plupart du temps, il avait des périodes pendant lesquelles il perdait la tête. Chaque crise semblait aggraver son état et, lorsqu'il allait mieux, il ne retrouvait pas toutes ses facultés d'avant. Il avait besoin d'une assistance vingt-quatre heures sur vingt-quatre que nous ne pouvions pas lui fournir. Donc la maison de retraite, médicalisée et sécurisée, nous paraissait la meilleure solution.

C'était il y a presque deux ans, et j'ai honte d'avouer que je ne l'ai vu que trois fois pendant toute cette période. Ce n'était pas délibéré, c'est juste de la procrastination. Chaque fois que je devais venir le voir, je remettais à plus tard, à cause de tout un tas de mauvaises raisons. En toute honnêteté, je savais que de voir la forte individualité qu'avait été mon père disparaître sous mes yeux me briserait le cœur. C'était troublant, égoïste et égocentrique de ma part de laisser tout les soucis à Bérénice et je me sentais incroyablement coupable, mais le fait était là.

Quoi qu'il en soit, tout était arrangé et je logerai chez eux pendant leur absence. Le seul petit problème, c'était que je devais retarder mon arrivée de cinq jours parce que j'avais encore des problèmes avec mon mec qui s'absentait souvent, mais qui n'acceptait pas que je m'absente. Mais Bérénice pensait que papa pourrait se passer de visites pendant cette courte période.

Mon couple battait de l'aile. Comme ses nombreux prédécesseurs, il n'était pas assez conforme à ce que j'attendais d'un homme. Mon amie Méline prétend que c'est parce que je les compare toujours à mon père, et qu'aucun d'eux n'est à la hauteur de ses normes élevées. Mais aussi, elle voit un psy depuis l'âge de quinze ans, et elle analyse toujours tout.

Quand je suis arrivée à la maison de retraite, la réceptionniste m'a informée que le directeur aimerait me parler. Je suis allée dans son bureau, et il est allé droit au but.

"Il n'y a pas de moyen facile de dire cela, Mademoiselle Cirière, ou puis-je vous appeler Bérengère?"

"Bérengère ira très bien." J'ai répondu.

"Eh bien, Bérengère, votre père se comporte de manière grossière avec certaines pensionnaires, et les jeunes femmes qui travaillent ici on peur de rentrer dans sa chambre pour assurer leur service."

"Oh mon Dieu. Je suis vraiment désolée." J'étais vraiment surprise, et je ne savais pas quoi dire.

"En fait, ce n'est pas rare chez les personnes atteintes de démence, même légère. Une perte du jugement les incite à se comporter comme si tout leur était dû. Nous constatons que parfois, un médicament destiné à réduire la libido peut être utile."

Je n'aimais pas du tout l'idée qu'ils donnent à papa plus de produits chimiques que nécessaire.

"Je vais lui parler avant de décider de ce qu'il convient de faire." Je lui ai dit.

Mon père était dans sa chambre, et elle m'y a accompagné après notre conversation. Quand je suis entrée dans la pièce, il s'est levé et, pour être honnête, il avait l'air bien mieux que ce que je craignais. Comment se fait-il que certains hommes s'améliorent en vieillissant, alors que d'autres dépérissent. Mon père était toujours aussi bel homme, avec sa haute stature et sa crinière argentée qui lui conféraient beaucoup de charme.

J'ai senti mon cœur battre un peu plus vite. Il nous a regardés en souriant, puis son expression s'est transformée en confusion. Finalement, son sourire est réapparu, et il s'est précipité vers moi.

"Chérie. Ça faisait si longtemps." Il m'a enveloppée dans ses bras puissants et m'a pressée contre lui très fort. Cela faisait des années qu'il ne m'avait pas câlinée ainsi, et cela m'a rappelé beaucoup de moments heureux de ma jeunesse.

Comme beaucoup de filles, je suppose, j'avais le béguin pour mon père à l'adolescence. Ce n'était rien de sexuel, j'adorais juste la sensation qu'il me procurait quand il me serrait dans ses bras. Il m'a tenue à bout de bras et a semblé m'examiner.

"Tu es encore plus magnifique que dans mes souvenirs." Bien sûr, c'était agréable à entendre. J'avais un peu peur qu'il ne se souvienne pas de moi, et sa réaction était un énorme soulagement.

Puis il m'a attirée contre lui et m'a embrassée à pleine bouche. Ce n'était pas du tout le baiser d'un père pour sa fille, mais c'était un très beau baiser, très chaste, et je ne savais pas comment y répondre. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à soupçonner qu'il ne savait pas qui j'étais, et c'est quand j'ai senti sa langue s'insinuer entre mes lèvres que j'en ai été sûre.

Avec quelques difficultés, je m'écartais de lui. Il avait l'air déconcerté.

"Papa, c'est moi Bérengère. Ta fille, Bérengère. Je suis désolée que cela fasse si longtemps que tu m'as oubliée." Il n'y avait toujours aucune reconnaissance dans ses yeux et je l'ai dirigé vers le canapé.

Une fois assis, il m'a regardée en fronçant les sourcils.

"Pourquoi me fais-tu cela, Barbara? Où étais-tu, tu m'as tellement manqué ! Quel jeu joues-tu avec moi?"

Il a posé sa main sur mon ventre, tout près de l'aine. J'ai eu un geste de recul, et j'ai vu de l'agacement dans son expression. D'une certaine manière, sa confusion était compréhensible. J'avais vu des photos de maman quand elle avait mon âge, vingt-trois ans. Bérénice et moi, nous étions très semblables à notre mère. Maman et moi étions plus petites et un peu plus rondes, là où Bérénice était plus élancée. En toute modestie, nous étions toutes les trois plutôt mignonnes.

"Ça fait si longtemps." Il a marmonné en commençant à se frotter l'entrejambe, et j'ai pu voir une érection importante dans son pantalon.

"Ce n'est vraiment pas approprié de faire cela, papa." Je l'ai réprimandé, puis je me suis rapprochée de lui, et j'ai doucement essayé de retirer sa main, mais il a agrippé la mienne à la place, et l'a maintenue fermement sur son sexe en érection. J'ai essayé de retirer ma main mais il était étonnamment vigoureux.

"Regarde l'effet que tu me fais encore aujourd'hui, Barbara." Il me regardait d'un air suppliant en massant sa verge tendue avec ma main, et je pouvais sentir son membre trembler en palpitant. J'ai retiré ma main.

"Papa, c'est moi Bérengère, ta fille. Tu ne peux pas me faire ça !" Je lui parlais, mais il ne faisait plus attention à moi, il avait sorti sa bite et se branlait furieusement en murmurant des mots inintelligibles.

Je n'avais jamais vu son sexe auparavant, et c'était encore plus imposant que ce que mon esprit enfiévré d'adolescente avait imaginé. Il était plus long et plus épais que la plupart des garçons que j'avais connus, et j'en avais connu pas mal. Son gland turgescent et violacé semblait agressif et luisant de liquide. De grosses veines couraient le long de sa poutre. Je ne voyais pas son prépuce et j'étais comme hypnotisée par cette vision obscène et perverse.

Mes émotions étaient confuses. J'étais horrifiée par l'état dans lequel il se trouvait, j'étais inquiète du mal qu'il pouvait se faire, et je me sentais protectrice envers lui, mais surtout, j'étais terriblement émoustillée par la bite de mon père, celle dont j'avais secrètement rêvée quand j'étais jeune fille.

Je suis restée là à tergiverser trop longtemps, et son sexe commençait à avoir l'air très irrité, sûrement douloureux.

"S'il te plaît, arrête ça, papa, tu te fais du mal." Je l'ai supplié à voix basse, mais cela n'a eu aucun effet.

Je pouvais lire sur son visage qu'il était frustré parce qu'il ne parvenait pas à jouir, mais cela semblait le rendre encore plus déterminé.

J'ai sorti de mon sac un tube de crème pour les mains, mon intention était juste de lui en faire couler un peu pour qu'il ne se blesse pas. Mais quand j'évoquais la quantité de pisse et de merde qu'il avait dû nettoyer pour moi quand j'étais bébé, un peu de sperme ne me semblait pas être un si gros problème. J'ai préféré verser la crème dans le creux de ma main.

Je me suis approchée à nouveau de lui, et sa main a arrêté son action tourmentée. Il m'a regardée avec espoir, puis il a gémi lorsque j'ai enroulé ma main autour de son membre cramoisi et tendu. J'ai utilisé mon autre main pour manipuler ses lourdes bourses et je l'ai masturbé doucement jusqu'à ce qu'il éjacule sur mes mains.

"Merci, ma chérie, tu as toujours des mains si belles et si douces." Il m'a dit rêveusement et s'est penché sur le côté, son visage sur mes genoux. Je pense qu'il voulait dormir sur moi, mais j'avais besoin de me laver les mains, alors je me suis dégagée de lui et je suis allée aux toilettes.

Quand je suis revenue, il dormait profondément, alors je me suis assise à côté de lui pour lui caresser doucement la tête et les épaules pendant que je réfléchissais à ce qui venait de se passer.

Si un travail manuel exceptionnel pouvait sauver mon père d'une vie engourdie par la chimie des drogues, je pensais que c'était finalement juste un petit prix à payer, et je me demandais si Bérénice était arrivée à la même conclusion. Son absence pourrait expliquer ce problème soudain qu'il avait.

J'ai envisagé d'appeler ma sœur, mais j'ai pensé que ce serait injuste, elle avait bien mérité un repos complet pour s'être occupé de notre père, et je devrais le découvrir par moi-même.

Lorsqu'il s'est réveillé une trentaine de minutes plus tard, il s'est comporté comme si de rien n'était. Au début, je pensais qu'il réalisait enfin qui j'étais, mais il s'est avéré qu'il croyait que j'étais Bérénice, ce qui était quand même mieux que sa femme. J'ai essayé de le convaincre que j'étais en fait Bérengère, mais au final c'était plus facile de laisser tomber. Nous avons eu une conversation assez agréable jusqu'à ce qu'il soit l'heure pour moi de partir.

J'avais promis à Bérénice de venir voir papa chaque jour au moins une heure. Donc, je suis revenue le lendemain après-midi. Lorsque je me suis présentée à la réception, il n'y avait aucun message pour moi, ni d'instructions d'aller voir le responsable, ce que j'ai considéré comme un bon signe.

Papa était dans sa chambre, devant son téléviseur, et il a semblé ravi de me voir. Il s'est avéré qu'il était beaucoup trop ravi et, pendant notre câlin pour se dire bonjour, il a posé ses mains sur mes fesses et m'a pressée contre son érection qui enflait rapidement.

"Barbara chérie, comme c'est gentil de venir me voir après si longtemps." Il m'a attrapée et il a essayé de m'embrasser à nouveau. J'ai tourné la tête et c'est devenu un bisou sur la joue.

"Je suis Bérengère, papa, pas Barbara ta femme, mais Bérengère, ta fille." J'insistais, pour le convaincre.

"Tu aimes jouer, petite coquine." Il murmurait à mon oreille et ses doigts rampaient sous ma jupe, se dirigeant vers ma chatte par derrière. Il me semblait à cet instant que la seule chose qu'il comprenne se trouvait entre nos jambes.

J'ai pensé que la seule manière d'améliorer son état et de le calmer, c'était de lui permettre d'avoir un orgasme. Cela aurait peut-être un effet calmant et me permettrait de lui parler. C'était le seul moyen qu'il m'écoute. Et pour être tout à fait honnête, j'avais vraiment aimé apporter un peu de joie dans sa vie lors de notre séance de la veille, alors j'ai tendu mon bras et j'ai serré ma main sur son érection.

"Allez, papa, voyons ce que je peux faire pour te soulager, d'accord?" J'ai glissé ma main dans sa braguette et j'ai recommencé à le caresser.

Il s'est penché pour blottir son visage dans mon cou, sa bouche couvrant ma chair de petits bisous. Ses mains étaient partout sur moi, prenant mes fesses et se glissant sous ma jupe. J'espérais que le fait de me peloter pendant que je le branlais le satisferait, mais il commençait vraiment à s'exciter.

Évidemment, il avait d'autres idées en tête. Il m'a faite pivoter et, d'une poussée ferme sur mon dos, il m'a faite basculer par-dessus le dossier du canapé, la tête en bas, les fesses en l'air. Aussitôt, il a troussé ma jupe, et il a fait descendre ma culotte.

"Papa, tu veux vraiment faire ça, je suis ta fille? Papa, je suis ta fille, Bérengère, ta fille, papa !" J'ai essayé de résister, de me débattre, de me relever. J'ai tout essayé, j'ai vraiment lutté, mais j'étais dans une mauvaise posture, et il était beaucoup trop fort pour moi. D'une seule main, à plat sur mes reins, il me maintenait à sa disposition. Il était tellement plus fort que moi.

J'avais commis une erreur, j'avais sérieusement mal évalué la situation. Je l'avais considéré comme mon père, pas comme un prédateur, alors qu'il voyait en moi qu'une femelle à soumettre. De plus, mon corps commençait à me trahir. J'avais tellement imaginé que ce moment puisse se produire dans mes fantasmes d'adolescente que mon corps acceptait l'inéluctable.

Cela allait se produire pour de vrai, et je m'attendais à une intrusion brutale tout en essayant de me préparer mentalement, quand j'ai senti ses mains écarter mes fesses, puis il a enfoncé sa langue dans ma chatte. Mon Dieu, il avait du savoir-faire.

Je l'avais imaginé plein de brutalité, et ses mouvements n'étaient que douceur. Sa langue dansait de mon clitoris jusqu'à mon anus pendant que ses doigts fouillaient les replis de ma chatte sans pitié. En quelques secondes, mon vagin était inondé et tout mon corps tremblait de désir. J'étais sur le point de jouir quand il s'est relevé, puis il est entré en moi d'une seule poussée, longue et phénoménale. La violence de l'orgasme m'a coupé le souffle. C'était mieux que ce j'avais toujours imaginé.

"Tu es tellement mouillée, petite garce. Je savais que tu le voulais autant que moi." Et j'ai réalisé qu'il n'avait pas tort. Tout d'un coup, je n'étais plus qu'une fille soumise au désir d'un mâle puissant.

"Baise-moi fort, papa, baise ta petite fille." Je l'ai supplié d'une voix rauque.

Ses mains poursuivaient leurs explorations, soumettaient mes chairs tendres à leurs délicieuses caresses pendant qu'il me besognait. Je ne sais pas si c'était sa grande taille, ou sa technique, car il me percutait à longs coups profonds, ou simplement parce que c'était mon père, mais les orgasmes continuaient à se succéder en rafales croissantes. Je ne savais pas qu'il était possible de ressentir pareil bonheur.

J'ai passé plus de deux semaines magnifiquement heureuses à rendre visite à papa chaque jour. Et chaque jour, et je me suis offerte à son appétit insatiable avec ravissement. Nous baisions un long moment, puis nous discutions. C'est un amant expérimenté et merveilleusement inventif. Il m'a enseignée beaucoup de choses, notamment le plaisir de l'anal que je n'avais que peu pratiqué auparavant.

Au début, j'étais terrifiée par sa taille, mais il m'a préparée très doucement avec sa langue et ses doigts. Il a été très patient, et quand il a finalement placé son gland contre mon petit trou du cul, il a été tellement doux. Je pouvais le sentir pénétrer lentement, puis se retirer un peu, avant de reprendre sa progression.

L'effort pour se retenir de me défoncer le faisait trembler. A ce moment-là j'ai pensé qu'il savait que j'étais sa fille, et que s'il était aussi attentif, c'était pour ne pas me détruire. Quand il fut totalement en moi, j'ai joui tellement fort que j'ai perdu conscience pendant un bref instant.

Après avoir assouvi notre fringale de sexe, nous regardions de vieilles photos, et j'arrivais même à lui faire raconter ses souvenirs de jeunesse avec maman. Dans ses bons jours, il me confondait avec Bérénice, dans ses mauvais jours, il croyait que j'étais maman redevenue jeune. Dans ces cas-là, il se remémorait avec moi le bon vieux temps.

Certaines de ses histoires ont été une révélation, jamais je n'aurais pu imaginer que maman serait impliquée dans des relations sexuelles à plusieurs, ou même lui servir de rabatteuse pour amener des jeunes femmes dans son lit. Apparemment, maman avait été une jeune femme soumise aux fantasmes de son mari, tout autant que je l'étais moi-même avec mon père.

Un des derniers jours avant que Bérénice ne rentre de vacances, il m'a plaquée entièrement nue contre la vitre de sa porte-fenêtre, pour m'enculer debout. Nous avons eu quelques spectateurs mais, par chance, aucun membre du personnel n'était présent. Un petit homme maigrichon s'est même approché pour tenter de lécher mon corps de l'autre côté de la vitre.

Le jour de leur retour de vacances, j'attendais ma sœur chez elle, dans son salon. J'avais un vol réservé pour le lendemain, mais je n'avais pas vraiment hâte de retourner chez moi.

"Comment ça s'est passé avec papa? Il a dû être content de te voir. Il était tellement excité quand je lui ai dit que tu venais." Elle m'a scotché en m'apprenant cela. Ainsi, il m'attendait moi, pas maman ...

"Oh, je lui ai rendu visite tous les jours avant le repas du soir. C'était charmant et très intéressant."

"Ah ! Désolée, j'aurais dû te prévenir. Il est beaucoup mieux le matin, en fin de journée il peut être infernal parfois !"

Est-ce que ça voulait dire qu'il avait été infernal avec elle aussi?

"Il ne t'a posé aucun problème particulier, n'est-ce pas?" Elle voulait savoir.

"Non, pas vraiment, mais c'est un peu bizarre quand il te confond avec maman, n'est-ce pas, Bérénice?"

"Non. Il ne m'a jamais confondue avec maman. Pas une fois. Je ne pensais pas qu'il soit si perdu."

Je réfléchissais à toute vitesse. Je pouvais aussi bien travailler ici, mon boulot de traductrice se pratiquait surtout à la maison.

"En fait, je pensais emménager ici, pour être plus proche de toi et de papa. Est-ce que je peux rester un peu plus longtemps pendant que je commence à chercher un logement?"

"Bien sûr. Ainsi, tu pourras m'aider à lui donner un coup de main quand il le souhaitera, n'est-ce pas?"

"Absolument, Bérénice, absolument !"

J'avais eu un peu peur que papa se comporte mal avec Bérénice à son retour, mais maintenant je ne pensais plus que ce serait un problème. Papa avait deux filles dévouées à son service.

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