Un Nuit Dans Un Château

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Un couple passe une nuit dans un château.
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Note : cette histoire est tirée d'un échange épistolaire d'un couple hétérosexuel, obligé de vivre séparément pendant 1 an. C'est donc une histoire à 4 mains qui vous est proposée ici, chacun devant poursuivre l'histoire de l'autre. Bonne lecture!

Lettre 1 [lui] :

Imagine-nous tous les deux, quelque part dans un immense château, le chemin était assez long pour y arriver mais la vue était magnifique, sur la campagne. Il fait déjà nuit quand nous y arrivons et nous nous allongeons nus sur le lit, dans l'idée de nous reposer après cette éreintante randonnée.

Mais les choses dérapent...et ma main "glisse" sur ta poitrine découverte. Je commence à promener mon doigt sur tes seins, dans ton cou, à effleurer tes tétons. Ta main se trouve sur mon entrejambe, tu serres ma queue durcie. Je suis au-dessus de toi, je t'embrasse, te mordille la lèvre. Ta respiration se fait plus rapide. Tu me branles de plus en plus vite. Je te serre dans mes bras, pour ensuite te mettre au-dessus de moi. On fait un 69...ma langue glisse sur tes lèvres, autour de ton clitoris. Je le mordille à peine, tu pousses un petit gémissement. Je sens ta langue brûlante se promener sur mes testicules, sur ma queue, tu la prends en bouche. Les va-et-vient de ta tête me rendent fou, mon sexe durcit encore.

Soudain, tu te relèves, tu te décales un peu sur le côté, tu te mets à quatre pattes en t'appuyant sur les coudes. La vue de tes fesses et de ton dos cambré s'offre à moi, je glisse mon doigt dans ta vulve mouillée. Je te doigte doucement, tu cambres le dos encore plus. Tu me demandes en murmurant de te pénétrer... ta position est terriblement excitante, je m'exécute. Mon sexe glisse en toi, tout doucement, tu gémis encore, un peu plus fort cette fois. Je mets mes mains sur ta taille, je t'agrippe. Ma queue fait maintenant des va-et-vient de plus en plus rapides, de plus en profond. J'enlève une main un instant, pour te mettre une fessée puissante. Tu fais un petit mouvement en avant, j'en profite pour t'allonger sur le ventre et te prendre encore plus profondément. Tu poses ta main sur mes fasses pour accompagner mes mouvements. Je te mords dans le cou, je te glisse deux doigts dans la bouche. Tu les suces comme si c'était ma queue. Nos deux corps ne font presque plus qu'un, nos respirations sont saccadées, tu m'ordonnes d'aller encore plus fort, je m'exécute et immédiatement ta main serre les draps encore plus fortement. Tu ne gémis plus, tu cries de plaisir.

Le château est grand et l'endroit est à nous pour toute la nuit, à suivre....

Lettre 2 [elle] :

Soudain tu arrêtes les va-et-vient, et brusquement tu t'enlèves de moi. Tu me prends la taille et me relève, m'intimant de te suivre. Docile, je te suis, sans poser de question. Nous arrivons dans la pièce d'à côté, grande, spacieuse et très peu lumineuse, seules quelques bougies éclairent certains coins. La salle ressemble à une cuisine, inutilisée depuis longtemps. Tu me pousses vers le centre de la pièce, jusqu'à ce que je heurte une table. Tu me hisses sur son rebord, et très doucement tu m'embrasses, d'abord dans le cou, sur les épaules, tu me mordilles le lobe d'oreille. Enfin tu fais pénétrer ta langue dans ma bouche, avec vigueur, tout en m'empoignant les seins, au rythme de notre baiser. Tu t'interromps soudainement, je cherche ton regard, tu me fixes droit dans les yeux, et joueuse, je fais de même. Sans que je n'aie le temps de comprendre quoique ce soit, tu me gifles la joue droite avec tant de vigueur que mes yeux s'emplissent de larme. Je continue à te regarder dans les yeux. Sans nous quitter du regard tu descends doucement, très doucement, à hauteur de mon sexe, que tu commences à lécher de haut en bas, toujours les yeux plantés dans les miens. Ta langue épouse la forme de mes lèvres, effleure mon clitoris, et alors que ma respiration se fait de plus en plus irrégulière, tu insères un doigt dans mon vagin, très vite rejoint par un deuxième. Tu les laisses se balader, taper contre mes parois, chercher toujours plus loin. Bientôt tu fais pénétrer un troisième doigt, et tu les écartes, plantés dans mon vagin, le plus fort que tu peux, jusqu'à m'en faire gémir de douleur. Tu continues toujours à me regarder fixement, en écartant toujours plus, en me léchant parfois. En te relevant tu m'effleures la joue, la même que tu as giflé quelques minutes plus tôt. Puis tu me pousses en arrière, brutalement, et mon dos cogne la table. Tu ramènes mes fesses le plus au bord de la table possible et écartes mes jambes, de sorte que je m'offre tout à toi. Tu frottes ton sexe dur contre ma vulve trempée, je te supplie de rentrer en moi mais tu m'ignores. Ma respiration est de plus en plus forte et ton sexe de plus en plus dur. Enfin, tu me pénètres, avec une telle force que je gémis de douleur. Tu fais plusieurs va-et-vient, très fort, et de plus en plus rapidement. Tes mains se baladent sur mon corps, agrippent mes seins, les frappent, les malaxent. Je me retiens de crier, j'ai peur que tu te fâches...

Tu te retires, aussi brusquement que tu es venu, et m'ordonne de me mettre sur le ventre. Je m'exécute. Je ne peux plus te voir. J'entends tes pas derrière moi, tu attrapes quelque chose dans la pièce. Je t'entends revenir, je frémis. Je sens quelque chose de froid sur mon anus, tu viens de cracher. Sans détour tu y rentres un doigt, tu fais quelques allers, le retire, et y insère à la place une longue bougie de cire, allumée, que tu as récupéré dans la pièce. Je ne dois pas bouger, je n'ose respirer. Tu claques ta main sur ma fesses droite, y laissant une marque rouge vive, je sursaute, de douleur et de surprise. Je sens de la cire qui coule lentement sur mes grandes lèvres, se mélangeant à ma mouille, j'ai la tête qui tourne tellement j'ai mal, je respire fort, tu m'interdis de gémir, encore moins de jouir. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir, mais je t'obéis.

Lettre 3 [lui] :

La bougie fond doucement. Chaque goutte de cire te fait gémir plus fort. Savoir que tu m'es soumise m'excite follement, les marques rouges sur ton corps me donnent envie de te faire encore plus mal. Tout à coup, je saisis la corde posée sur la table à côté de moi. J'attache tes poignets à tes jambes, tu ne peux presque plus bouger. Je saisis tes cheveux violemment et fourre ma queue dans ta bouche, si profondément que tu commences à étouffer. Plusieurs fois, je frappe ta joue avec mon sexe. Tu aimes ça, tu me regardes avec envie. Je te prends par le cou et t'ordonne de te lever. Tu t'exécutes. Je vois tes fesses rougis, ton maquillage qui coule et ton entrejambe mouillée. Je te pousse vers un coin de la pièce, tu avances difficilement avec les mains dans le dos. Un vieux tuyau rouillé court le long du mur. Deux lanières en cuir pendent. Je te mets dos au mur et défait tes liens. Tu soupires mais le répit est de courte durée et tu te retrouves avec les mains attachées aux lanières. J'attache tes chevilles à 2 anneaux au sol, tu es à nouveau immobile, totalement offerte à moi. Je suis juste derrière toi, tu sens mon souffle dans ton cou, mes mains caressant ta poitrine endolorie. Tout à coup, je t'assène à nouveau une fessée. Tu cries de surprise. Deuxième fessée, je t'ordonne te taire. La troisième fois, ce n'est plus une main mais une cravache qui s'abat sur tes fesses. Tu sursautes de douleur. Je te saisis par le cou et te crache dans la bouche. Tu ne dis rien, tu as peur, tu ne sais pas encore ce qui va t'arriver. Je te prends par les hanches, mon sexe se frotte à ta vulve, puis à ton anus. Grâce à la bougie, il est dilaté. J'insère doucement mon sexe, tu gémis. Je pose ma main sur ton con et commence les va-et-vient dans ton cul. Avec chaque va-et-vient, la douleur se fait de moins en moins forte, tu essayes difficilement de bouger ton bassin pour accompagner les mouvements de ton sexe, mais tes liens t'en empêchent.

Voyant que tu commences à trop prendre plaisir, je me retire. Je te bâillonne et te couvre les yeux avec un tissu épais. Je t'insère une boule dans le vagin, tu ne sais pas ce que c'est précisément, mais tu sais qu'elle est en toi. Soudain, tu ne me sens plus. Je suis sorti de la pièce. Pendant de longues minutes, tu restes là, attachée. La mouille coule le long de ta cuisse, l'attente t'excite encore plus. Soudain, tu sens la boule vibrer en toi. Tu gémis et te tors de surprise et de plaisir. Puis plus rien, et ça recommence à nouveau ensuite. Chaque fois, tu sens le plaisir croître, tu repenses à ma queue, aux va-et-vient entre tes cuisses, tu essaies à demi-voix de m'appeler pour que je vienne.

Tout à coup, un bruit de porte se fait entendre. Tu reconnais mes pas, mais en entend d'autres également. Tu sens mes mains se poser sur tes fesses. Je te détache, je te dis que tu es bonne soumise. En te retournant, à ta grande surprise tu découvres une autre femme. Elle porte un porte-jarretelle et un corset noir. Je te prends par la main et te ramène dans la chambre, la femme nous suit. Je te fais t'allonger, la femme s'allonge à tes côtés. Elle commence à te toucher le sexe. Tu tentes de l'embrasser, elle ne le refuse pas. Je vous rejoins dans le lit. Tu prends ma queue et tu me branles, tout en te faisant caresser. On se met en petite cuillère et je te pénètre doucement. La femme met son sexe à hauteur de ton visage, tu la lèches. Je te serre dans mes bras et accélère doucement le rythme de mon bassin. Quand tu ne lèches pas notre partenaire, tu colles ta tête contre mon torse. La femme met sa main dans ton cou, te pousses pour que tu l'embrasses. Je continue mes va-et-vient. Tu ne comprends pas vraiment où est passée la domination.

Mais d'un coup, alors que tu commences à sentir l'orgasme monter, tu te retrouves au-dessus de la fille. Un détail t'interpelle, la femme porte maintenant un gode-ceinture noir, énorme. Avant même que tu ne comprennes ce qui se passe, tu te fais pénétrer par le gode. Quelques secondes après, c'est mon sexe que tu sens dans ton anus. Une sensation nouvelle se fait sentir, puissante. Tu te sens remplie par tous les orifices, tu as mal, mais en même temps tellement bien. Tu gémis, tu es passive, ton corps n'est plus qu'animé par nos mouvements successifs. Tu te sens comme une chose, impuissante, incapable de quoi que ce soit, à part d'avoir du plaisir. Tu commences à en trembler. Tu hurles de plaisir, tu jouis. La femme se retire, enlève son gode. Tu l'embrasses, puis tu m'embrasses, tu es exténuée. La femme s'en va et nous restons tous les deux. La nuit est encore noire. Tu te blottis contre moi, je prends ta main dans la mienne. Tu te sens fatigué mais en même temps tellement excitée. Tu en redemandes encore, la chaleur envahit encore ton entrejambe, tu caresses mon sexe encore légèrement dur....

Lettre 4 [elle] :

Je me pose lascivement contre toi, je continue à faire la soumise pleine de bonne volonté. Tu me laisses te caresser. Je te suce et tu donnes le rythme en me poussant la tête avec tes mains, jusqu'à ce que je m'étouffe. Tu m'obliges à te lécher de partout. Ta queue, de haut en bas et de bas en haut, en m'attardant sur ton gland, longtemps. Ton sexe est à nouveau redevenu dur, mais je reste docile. Je lèche tes testicules, et je descends plus bas, encore plus bas, au niveau de ton anus, que je lèche lui aussi, je rentre dedans avec ma langue. Tu prends beaucoup de plaisir, tu essayes de penser à autre chose pour ne pas jouir. Tu fais tout pour tenter de garder la face, de ne pas montrer ta faiblesse, mais je sais que la balle est dans mon camp. Doucement j'insère un doigt dans ton trou, vif et profond, sans attendre aucune protestation de ta part. Tu comprends qu'à partir de maintenant tu n'as plus le choix, c'est trop tard pour reculer. Si tu étais contracté au début, tu commences à te détendre. J'attrape la première chose qui me vient dans la main sous le lit, une cuillère. J'y insère le manche dans ton cul, le froid du métal te surprend, mais pour garder les apparences --toujours- tu fais mine de rien, comme si la douleur ne te déchirais pas. Tu ne m'offriras pas ce plaisir, du moins pas pour le moment. Je laisse la cuillère dans ton trou, et tu commences à t'habituer à cette sensation, nouvelle, difficile à dompter, mais finalement pas si désagréable.

Je te demande de te lever, et tu t'exécutes immédiatement, la cuillère toujours plantée dans toi. Mais la douleur est passée, ne reste que le plaisir, cette sensation chaude qui t'envahie. Mais je ne vais pas te laisser ce plaisir pour longtemps. Je prends la cravache, la même qui a servie à me fouetter quelques minutes plutôt, et les yeux rivés dans les tiens, je t'ordonne de te branler. Interdiction d'éjaculer. Tu te branles, de plus en plus vite, sans jamais me perdre des yeux. Mais tu prends trop de plaisir, je lâche le premier coup de cravache, en plein sur ta raie, ce qui fait tomber la cuillère. De surprise et de douleur, tu te cambres et arrêtes toute activité, un deuxième coup et je t'assène de continuer à te branler. Il faut que ça brule. Un troisième coup sur tes testicules, et tu tombes par terre, en criant et en jurant. Tu n'es qu'un faible. Tu n'as qu'à me lécher, mais cette fois c'est moi qui oblige ton visage à venir s'écraser contre ma chatte qui n'arrête pas de mouiller, toute ta face est contre moi, tu étouffes, tu suffoques, mais ta queue délaissée n'en devient que plus dure.

J'attrape un bout de ficelle qui reste et fais un nœud coulant autour de ta bite. Au moindre faux pas, je tire la corde, qui enserrera ta verge, la cisaillant en deux. La peur de cette corde te fait oublier de me sucer, ce qui est un faux pas. Je tire sec sur la corde, ta bite se trouve tiraillée en deux parties, elle devient rouge, du sang gonfle les veines et grossit par la même occasion la taille du chibre, qui n'arrive plus à se contrôler. La violence du coup te mets par terre, sur le dos, à peine conscient. Je détache la corde et me mets à te sucer, doucement, mécaniquement. Je t'enjambe, et rentre ta bite dans ma chatte à présent trempée, et en retrouvant tes esprits nous nous pénétrons mutuellement, comme si nous rentrions à l'intérieur de l'autre.

Lettre 5 [lui] :

Tu me chevauches pendant de longues minutes, régulièrement tu me griffes le torse. Ton bassin ondule sur mon sexe, tu te fais apparemment plus douce mais pourtant tu gardes la cravache dans une de tes mains, prête à me frapper au moindre faux-pas. Nos corps ne font qu'un. Je lèche tes seins, te mordille avec un désir intense. La cravache est toujours dans tes mains. Précisément au moment où je l'oublie tu m'assènes un coup sur les jambes. Tu m'ordonnes de me lever et je m'exécute, puis tu me bandes les yeux. En finissant mon geste, tu effleures ma queue mouillée. Un peu de sperme sort du gland. Tu me prends par la main et commence à m'emmener quelque part. Tu me prends par la queue, encore endolorie. Je te demande où on va, tu ne me réponds mais tu serres ma queue encore plus fort. Je sens que nous descendons des escaliers, le sol commence à devenir froid et humide. J'ai l'impression que nous sommes dans une cave, tu m'enlèves enfin le bandeau.

Je suis ébloui par les chandelles posées un peu partout, une simple table en bois trône au milieu. Des anneaux et des chaînes y sont fixées. Un bâillon en cuir est posé sur la table. Tu me pousses légèrement vers la table, j'hésite. Tu me dis alors : "C'est un ordre, tu es mon esclave." J'hésite encore et immédiatement je reçois comme sanction un coup de cravache sur mon cul. Je m'allonge alors sur la table, tu m'attaches et me bâillonnes soigneusement mais vigoureusement. Mes mains me font mal, les bracelets en cuir me rentrent dans la peau. Puis tu t'en vas, je me retrouve seul dans cette pièce vide. J'ai l'impression que des heures passent sans que tu ne reviennes. L'attente est insupportable, je repense à ton corps et à notre baise, j'en bande presque. Alors que je commençais à me perdre dans mes pensées, je t'entends revenir. Tu es maintenant vêtue d'un porte-jarretelle et d'un corset en cuir noir et chaussée sur des talons hauts. Tu es sublime. Tu viens à mes côtés, regarde ma queue pas tout à fait en érection encore et me gifle de toutes forces. La douleur me fait bander une fois de plus. Je me sens ta chose. Tes doigts se promènent sur me corps, mes bras, mon sexe. Tout à coup, tu me saisis la queue violemment et la fourre dans ta bouche. Tu me mordilles le gland, la douleur me fait bander encore plus. Tu montes sur la table, me chevauche une fois de plus, tes mains me serrent le cou. J'essaye de te toucher les cuisses mais tu me serres encore plus. Régulièrement, tu me lâches : "T'aime ça petite pute". Oh oui j'aime ça, j'aime me sentir comme ta chose, incapable de faire quoi que ce soit à part te donner du plaisir, à toi ma maîtresse. Tu relèves ton corps régulièrement, la vue de ton corset noir, de tes seins rebondis me donne encore plus envie. Je manque de jouir et tu le comprends de suite.

"-Pas sans mon autorisation esclave. Tu vas être puni, tu veux vraiment ça?". Difficilement à travers mon bâillon, j'essaye de te dire non, je fais des signes de la tête. "Tant pis pour toi, tu l'auras mérité". A peine as-tu dis ça que je te vois prendre un gode-ceinture, le même avec lequel tu as été pénétré tout à l'heure. L'heure de la vengeance est venue. Tu m'attaches un collier en cuir autour du cou avec une laisse. "Comme ça tu ne pourras t'échapper". Tu me détaches ensuite et me tire par ma laisse au sol. "Mets toi à quatre pattes, petite chienne." Je m'exécute. Tu me prends la queue par derrière, la branle violemment. Je sens au même moment le gode toucher mes fesses, puis mon anus. Tu me craches sur la raie, sans autre cérémonie, le gode s'enfonce en moi. La douleur est atroce et pour tant même pas un quart du gode est rentré. Tu commences doucement des va-et-vient, tout en me branlant. Tu me mords le cou, jusqu'au sang j'ai l'impression. Je ne te reconnais plus, une dominatrice semble s'être emparée de toi. Doucement, le gode s'enfonce de plus en plus. Tes va-et-vient, au départ maladroit, se fond de plus en plus précis. Tu te retires et me retourne sur le sol humide. Tu tires sur la laisse et me colle encore une fois ta chatte sur le visage, je respire à peine mais ça ne m'empêche pas de te lécher, ma maîtresse. Puis tu me relèves les jambes et me prends de nouveau en missionnaire inversé. Tu m'ordonnes de te toucher en même temps. Je fais de mon mieux mais la position est inconfortable, le gode s'enfonce alors encore plus en moi, je pousse un râle. Mes doigts frottent encore plus vite ton clitoris. Pour la première fois depuis qu'on est descendu, je te vois jouir, tu me craches dessus. Je ne sens presque plus de douleur à cause du gode, j'aventure mes mains sur ton corset mais immédiatement tu me gifles.

Alors que je ne m'y attendais pas, tu te retires et te relève soudain, en lâchant par la même occasion la laisse. Je respire normalement enfin. Quelques secondes plus tard, tu poses ton talon aiguille sur ma queue, et appuie doucement mais de plus en plus fort, alors instinctivement je me tourne sur le côté. Étonnement, tu ne me fouettes pas, mais me demande juste de t'embrasser les jambes et de ne pas les lâcher. Alors tu saisis ma laisse et me conduis vers une petite porte, sur le côté droit de la pièce. Tel un chien, je te suis à quatre pattes, collé à tes porte-jarretelles. A ma grande surprise, une baignoire s'y trouve. Il n'y a pas de vapeur, l'eau semble froide. Tu me détaches et m'ordonnes de monter dedans, l'eau est effectivement très froide, mais c'est apaisant. Tu montes à ton tour, et t'installes en face de moi, nue. Ta main remonte vers ma cuisse et vers ma queue, avec une douceur étonnante, tu me branles. Malgré l'eau froide, je bande. "Approche-toi, fais-moi jouir de toutes tes forces". Je m'approche, je ferme les yeux, ma bouche cherche la tienne, tu m'offres un simple baiser. "Pénètre-moi....". Le contact chaud de ma queue dans ton vagin décuple mon plaisir, je commence doucement mes va-et-vient, tu gémis. Tes tétons pointent à cause du froid, tes yeux sont fermés. J'accélère encore, tes bras m'enlacent. J'essaye d'aller encore plus profondément, je ralentis mon rythme, tu m'enlaces encore plus fort. J'ose enfin te caresser la joue, la poitrine, tu ne m'arrêtes pas. L'eau froide ne fait plus effet sur nos corps bouillant. Je vais de plus en plus vite entre tes cuisses, tu les écartes encore plus. Je sens ma queue se raidir, je vais de plus en plus fort, tu gémis de plus en plus fort aussi, tes gémissements se transforment en cri. Je t'embrasse, ma langue rencontre la tienne. Ma respiration se fait de plus en plus saccadée. Mes coups de reins aussi. Puis vient le coup de rein final, un râle commun nous échappe. Je reste en toi, ma queue est agitée de petits spasmes. Nous nous levons et pendant que nous sortons, ta main descend soudainement au niveau de mon entrejambe, tu saisis ma queue et la presse légèrement pour faire sortir les dernières gouttes de sperme, que tu t'empresses de lécher. Je te serre par la taille, t'embrasse le front. Nous sortons par la porte opposée, la cave est déjà un lointain mais prégnant souvenir. Une terrasse s'ouvre à nous, nous nous allongeons nus sur la banquette, l'un contre l'autre. Le jour se lève.....

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