Un Mariage ça se Fête

Informations sur Récit
La route d'une fille du mariage à la tricherie.
4.3k mots
4.19
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1
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/02/2019
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Sylvie 36 ans petite blonde énergique avec un corps pour faire tourner les têtes de personnes des deux sexes, marié depuis 18 ans à Louis 42 ans plutôt petit et bedonnant suggérant un penchant pour l'oisiveté. Derrière elle un mariage obligé, Ève sa fille le lui rappelle constamment, autrement dit Ève fait à sa tête sachant que sa mère avait offert sa chatte à plusieurs mecs au même âge qu'elle.

Malgré cela, Sylvie a tendance à être complice avec sa fille et rarement Louis à droit à son opinion. De là à semer un doute dans la tête d'Ève sur la paternité de Louis, il n'y a qu'un pas. Aussi quand vient le temps de ramener Ève à la raison, c'est une tâche difficile qui attend Sylvie. Ève vient à peine d'avoir 18 ans et voilà qu'à son premier copain elle est tombée en amour et maintenant elle veut se marier. Sa mère c'est bien qu'elle est encore vierge et ne connaît rien au sexe, à preuve l'autre jour elle a sentit la verge de Patrice sur sa cuisse et depuis elle ne cesse de poser des questions à sa mère sur le phénomène, après tout le mariage est pour bientôt.

De son coté Patrice est un peu niais pour un garçon de 19 ans, les filles lui ont toujours tournées le dos. Depuis 3 ans il a découvert le plaisir de dormir sur le ventre ainsi que les inconvénients. Maintenant quand il lui arrive de se coller sur la cuisse d'Ève, c'est son short qui subit les contre coups de sa passion.

Ève n'est pas très à l'aise avec ces frottements et trouve étrange les taches qui apparaissent sur le jean de Patrice ainsi que l'odeur qui s'en dégage après. Comme il se montre plus conciliant quand elle lui explique qu'elle n'est pas prête à aller plus loin que les effleurements qu'elle tolère sur ses seins, elle laisse aller les choses.

Comment en 2019 avait-elle pu échapper à cette liberté sexuelle qui est prisée par la majorité des filles de plus de 14 ans. Même les cours sur la sexualité donnés à l'école ne lui avaient pas ouvert les yeux, tout au plus elle donnait l'impression qu'elle savait de quoi elle parlait quand elle disait qu'elle voulait se garder vierge pour le mariage.

Durant la dernière année Ève était devenu beaucoup plus femme, elle avait toujours sa figure de gamine mais sa poitrine avait prit du volume bien qu'elle n'en soit qu'a du 34B ses tétons étaient rendus extrêmement sensibles et parfois ils devenaient tellement longs que son degré d'excitation ne laisse aucun doute. Mais rien n'arrivait à rivaliser avec ses fesses bombées qu'elle avait développées en faisant du sport. Un cul tellement parfait que ses leggings disparaissaient dans le profond sillon que formaient ses magnifiques lunes.

Nul ne peut douter des tourments que les pauvres testicules de Patrice devaient éprouver lorsqu'Ève se montrait détachée de toute sexualité. Aussi quand elle parla de mariage, Patrice se montra réceptif au projet. Patrice était amoureux fou d'Ève mais il avait surtout depuis un an développé un désir lascif de glisser sa queue dans la chatte chaude d'Ève du moins c'est ainsi qu'il en avait entendu parler du sexe féminin, c'était chaud, huileux et surtout terriblement jouissant.

Patrice comptait les jours avant son mariage encore une semaine et il pourrait faire l'amour avec Ève. Son père étant mort alors qu'il n'avait que 6 ans et étant trop gêné pour avouer à sa mère son ignorance il s'était tourné vers un gars au travail qui lui avait expliqué comment faire et lui avait prêté une vidéo.

Une incertitude le frappa de plein fouet quand il vit l'énorme phallus noir qui se glissait dans la petite chatte blanche. Ce que la nature lui avait offert n'avait rien de comparable avec l'organe qui prodiguait à cette jeune fille un orgasme incroyable. Patrice avait hâte de donner à Ève un tel plaisir mais serait-il à la hauteur. Imaginant Ève crier son plaisir et en réclamer encore, Patrice cracha sa semence sur sa poitrine.

Ève de son coté s'était ouverte à sa mère sur son inexpérience. Sylvie s'en voulait de n'avoir pas remarquée l'asexualité de sa fille mais le mal était fait et il ne restait plus que 6 jours avant le mariage. Sylvie réalisa qu'une semaine intensive sur l'internet pourrait parfaire l'éducation d'Ève ou du moins atténuer le choc qu'elle allait vivre.

Sylvie avait toujours eu une sexualité très active et avait au cours de sa vie pourvu à son plaisir sans attendre après Louis. La pente était abrupte pour susciter le goût du sexe à sa fille. Le premier soir Sylvie trouva plusieurs sites sur la masturbation féminine. Ève se montra bousculée par la leçon, à voir les femmes se caresser et se donner autant de plaisirs, elle réalisa qu'elle avait passé à coté de quelque chose. Quand Sylvie lui avoua s'adonner aux mêmes caresses, Ève feignit de s'endormir afin d'écourter la soirée et aller consommer l'enseignement maternel.

Ève ne perdit pas de temps, à peine s'était-elle glissée sous les couvertures qu'elle glissait une main dans ses sous-vêtements déjà trempés. Pour la première fois de sa vie d'une main fouineuse elle sentit son clitoris émerger de son capuchon. Les babines de sa chatte se gonflèrent de plaisirs et sa mouille suinta doucement au travers de sa culotte. Quand son autre main vint câliner l'ouverture de sa chatte, Ève fut foudroyée par un orgasme puissant. « Ohhhahhhhhhh. » Quand Sylvie entendit les murmures venant de la chambre de sa fille, elle comprit que sa fille était en plein étude physique.

Le lendemain soir quand Ève voulut aller dormir, Sylvie prétexta avoir besoin de s'assoupir elle aussi. Tous deux montèrent se coucher. « Vient dans ma chambre une minute ma chérie j'ai quelques choses pour toi. » Sylvie fouilla sous son lit et en sortit une boite qu'elle remit à sa fille. « Passe une bonne fin de soirée ». Après avoir été chassé de la chambre de sa mère, Ève se précipita dans la sienne curieuse de connaître le contenu de la boite.

Ève n'en revenait pas du contenu de la boite, elle avait sous ses yeux la collection des jouets personnels de sa mère. Elle savait que cela existait, ses copines lui en avaient parlé et elle en avait vu par accident sur le net mais c'était la première fois qu'elle pouvait en toucher. Après examen elle glissa le plug anal dans le trou qui lui était destiné, Ève constata qu'elle pouvait tirer du plaisir en jouant avec cet endroit oublié.

Sylvie tendait l'oreille afin de savoir ou en était sa fille avec ses jouets. Après une certaine période de silence, Sylvie reconnu le bourdonnement de son dildo préféré ( Big Jos ) un phallus noir d'au moins 10 pouces. Elle en était certaine, d'après le changement de son de l'instrument, sa fille le tenait dans l'ouverture de sa chatte. Sylvie savait bien qu'elle ne parviendrait pas à le prendre, elle était si petite. Mais elle pourrait jouir sans perdre sa virginité et ainsi assouplir l'entrée de sa chatte. Patrice allait être en mesure d'introduire son modeste engin sans lui causer de mal le soir du mariage.

Sylvie en était sûre, avec le temps sa fille apprécierait la démesure de Big Jos et elle se fera un plaisir de le partager avec elle. Le reste de la semaine c'est avec la mouille de sa chatte sur les doigts qu'Ève passa ses soirées, elle trempait Big Jos dans sa mouille avant de le sucer et le vendredi soir elle était devenu une parfaite salope ayant besoin de se faire défoncer. C'est Patrice qui allait voir des étoiles lors du lendemain soir.

Tout était près pour le mariage, les mariés partiraient pour la montagne tout de suite après le souper de noce et la danse. Mr. Wilson le propriétaire de la firme ou travaillait Patrice avait un chalet isolé dans la montagne et leur avait prêté en cadeau de noce. Des cavaliers à cheval les conduiraient la haut car le sentier était cahoteux et se divisait en plusieurs chemins dans la montagne. Ainsi les tourtereaux passeraient deux semaines tranquilles en amoureux.

Ève venait de dire « Oui je le veux » quand en pleine église, elle sentit sa chatte s'humidifier à la pensée que le soir même elle serait remplit pour la première fois par une vrai queue, Patrice ferait d'elle une femme. Ève du se secouer afin de revenir au moment présent. Le curé venait de dire à Patrice d'embrasser la mariée.

Les envies de Patrice aussi étaient ailleurs, enfin il allait glisser sa queue dans la chatte poisseuse de sa bien aimée du moins c'est ce que ses amis avaient dis, une chatte devient toute gluante quand tu mets ta queue dedans. Mais faut savoir comment la rendre dans cet état et Patrice n'était pas tellement expérimenté, sûrement que le désir d'Ève rendrait la chose plus facile.

Avant le souper les mariés allèrent se changer pour être prêt pour le départ à la montagne, Patrice tenta bien un rapprochement avec sa petite femme quand il la vit se changer et qu'il eu un aperçu des dessous d'Ève. Patrice « Oh mon amour, j'ai envie de glisser ma langue le long de tes cuisses jusqu'à ta chatte et te faire jouir. » Patrice l'avait vu dans les films pornos, les femmes aimaient se faire manger la chatte. Ève « Non mon chéri attend à ce soir, c'est la première chose que tu devras faire avant d'entrer ta bite en moi. Pour l'instant j'ai le goût de faire durer le plaisir, depuis que j'ai dis ( oui je le veux ) que ma chatte est toute mouillée, j'ai hâte que tu fasses de moi une femme.

Ève était particulièrement sexy avec ses leggins stretchy et son top coquet quand ils firent leurs entrées dans la salle de réception, des murmures furent entendus de la part de plusieurs hommes et même quelques femmes. Après la danse des mariés, Ève fut invitée à danser divers danses avec plusieurs hommes.

Tim le chef des cavaliers vint demander à Patrice la permission de danser avec la marier. Bien qu'Ève lui ait faite les gros yeux Patrice ne pu refuser cette danse au neveu de son patron. Ève dansait avec un noir pour la première fois de sa vie et commencer par une salsa fut troublant pour elle sur tout quand Tim glissa sa jambe entre ses cuisses et fit une pression sur sa chatte avec sa cuisse. Ève fut soulagée quand la danse s'acheva, sa chatte était mouillée et elle craignait que cela se remarque.

Tim « Reprend un peu d'énergie, je reviens tantôt pour te faire danser la kizomba. » Ève eu un frisson en entendant ses paroles. Mal à l'aise par la réaction de son corps d'avoir été touchée par ce noir de façon si intime, Ève tenta de s'en aller en douce avec Patrice mais il lui fit comprendre que c'est Tim devait les mener au chalet.

Elle eu beau tenter de se cacher, son cœur palpita quand elle vit Tim revenir pour une autre danse. Mais la danse serait pour plus tard, il venait seulement leur remettre à chacun une boisson, « spécialité de la maison comme il dit. »

À peine avait-elle finit son verre qu'une main noir lui prenait la main pour l'entraîner danser. La fermeté employée ne laissait aucune place à un refus. Les jambes toutes molles, Ève suivit l'homme qui l'avait troublé un peu plus tôt. Le rythme était charnel, quelques pas de danse et Tim la soulevait et la faisait glisser sur sa hanche et dans un chassé à droite força son pelvis à s'appuyer sur son clitoris. L'effet fut immédiat, un frissonnement partit de sa chatte et remonta jusqu'à la pointe de ses mamelons.

Tim remarqua le stimulus mammaire et lui fit faire un tour sur 360°, Ève le sentit glisser sa main et lui enlacer un téton au passage. Dans un mouvement avant arrière, il glissa sa cuisse dans l'entre jambe d'Ève qui sous l'emprise d'une montée de libido, appuya sa chatte sur la cuisse de Tim espérant accentuer la vague de jouissance qui émanait de son sexe. Tim se dégagea lui refusant toute satisfaction sexuelle.

Puis dans un balancement purement bestial il la projeta dans les airs, Ève glissa sur sa poitrine les deux jambes entourant les hanches de Tim qui sentit la chaleur de la chatte ouverte. Vicieusement d'un coup de bassin bien appuyé il poussa son membre érigé dans la fissure des leggins formée par le sexe ouvert jusqu'au clitoris engorgé, inutilement Ève chercha le contacte en basculant sa chatte contre le phallus dressé mais Tim l'a laissa de nouveau sur son désir.

Tim « Tu feras une excellente partenaire de danse quand tu auras appris à te laisser guider. »

Tim se retira et la laissa rougissante au milieu de la piste de danse toute honteuse de s'être abandonner dans une pulsion sexuelle devant tout le monde. Patrice était abasourdi devant l'ivresse de sa jeune femme pour cette danse absolument scandaleuse. C'est la tête penchée pour éviter le regard des invités qu'Ève rejoignit son amoureux.

Un silence lourd régnait entre Ève et Patrice quand son patron sourire en coin vint leur offrir de prendre un dernier verre avant leur départ pour la montagne. Ève n'avait pas l'habitude de boire aussi quand elle eut fini son verre elle fut contrariée quand il lui en présenta un deuxième mais comme il dit « Un mariage ça se fête » Ève se dit qu'il avait raison et d'ailleurs elle se sentait excitée probablement du au premier verre, à la danse qui l'avait éveillé et à l'idée qu'elle goûterait au plaisir de devenir une femme avant la nuit.

C'est sans méfiance qu'elle appréciait les drôles de sensations qui se développaient dans son corps. Tim voyant Ève s'agitée sur sa chaise comprit le besoin qui grandissait en elle, sa mixtion spéciale fonctionnait à merveille. Tim savait qu'Ève était sur le point de franchir la frontière du désir physique à un besoin vital de se faire baiser. Encore une demi-heure et le retour en arrière ne serait plus une option pour cette jeune brebis. Le temps pressait de se mettre en route.

Ève dans son excitation pensait à son Patrice, elle était inquiète, elle l'aimait, le désirait mais ces dernières semaines un rien lui avait fait perdre le contrôle et il était venu prématurément. Il s'était montré terriblement piteux quand elle lui reprocha de ne pensé qu'à lui. Sexuellement, elle avait prit son temps mais maintenant avec les informations fournit par sa mère, le besoin d'un mâle imbibait de plus en plus sa chatte. La question qui lui trottait dans la tête était, Patrice saurait-il lui faire connaître les plaisirs de la pénétration comme sa mère lui avait fait miroiter.

Tim apparut sans prévenir et fit sursauter Ève « Vas te changer, nous partons dans quelques minutes lui dit-il! »

Ève fut traversée d'un frisson quand Tim lui ordonna d'aller revêtir le skinbody blanc qu'il venait de lui donner. Était-ce l'intonation dans sa voix quand il lui avait ordonné Ève n'en savait rien mais elle avait été stimulée pendant quelques secondes, sa chatte s'était crispée devant cette manifestation d'autorité et le simple souvenir de comment ce noir avait su amené ses sens à fleur de peau réussit à amplifier son excitation.

Ève en était toute troublée, elle ne comprit pas pourquoi elle devait retirer ses vêtements et revêtir cette espèce de salopette blanche pour monter à cheval. Tim lui avait expliqué qu'une fois la randonné terminée elle serait bonne pour la poubelle, ainsi ses leggins ne serait pas endommagé. Quand ce fut fait, en se voyant dans le miroir, sa chatte se comprima. La combinaison était tellement mince qu'elle laissait voir sa culote qui épousait sa chatte provoquant un incroyable cameltoe, ses petits tétons durcis étaient aussi visibles que le reste.

Quand Patrice la vit revenir toute vêtue de blanc, la surprise en fut toute une et il ne pu éviter d'avoir une érection en devinant les formes d'Ève au travers de son habillement. Patrice se montra contrarié quand on lui dit qu'il monterait dans le chariot et resterait en arrière pour apporter les denrées nécessaires à leur lune de miel. Ève irait de l'avant avec Tim et deux autres cavaliers afin d'aller au chalet préparer leur nuit de noce.

Tim « Pour que vous ne trompiez pas de chemin en cours de route, je vais laisser des morceaux de tissus attachés aux branches d'arbres, vous n'aurez qu'à les suivre.»

Devant l'autorité de Tim Ève se sentit obligée d'obéir, docilement elle se laissa guider par ce grand noir qui se montrait intransigeant. D'une main ferme il la fit monter sur la selle tandem. Ève n'en était pas certaine mais elle avait eu l'impression qu'il lui avait caressée les fesses en la faisant monter. Le malaise se continua quand il s'installa en arrière d'elle, la promiscuité la troubla aussitôt.

Après s'être éloigné en direction du sentier, Tim offrit à Ève de prendre les rênes, Ève était toute excitée et innocemment elle en attribuait la raison au fait qu'elle montait à cheval pour la première fois de sa vie.

Quand elle vit la cravache dans la main de Tim elle demanda? Ève « Pourquoi cette cravache? Je ne veux pas que vous lui faites du mal. »

Tim « Tu dois comprendre une chose, établir son autorité est une priorité pour être obéit et la cravache est l'outil le plus sûr pour y parvenir, il cause de la douleur mais ne blesse pas. » Ève « Si vous croyez que c'est mieux. » Tim « Surtout ne lâche pas les rênes c'est important. »

Ève sentit Tim poser ses mains sur ses hanches et la forcer à faire un mouvement d'avant arrière sur la selle. Tim « Tu dois suivre le mouvement du cheval en basculant tes hanches. »

Tim se tenait d'une main après le pommeau de la selle et du même coup Ève dans son mouvement avant arrière était forcée d'appuyer sa chatte sur le poignet de Tim. Ève se sentait mal d'éprouver des sensations, son clitoris commençait à durcir et quand elle réalisa que Tim d'un mouvement de pouce obligeait le skin bodys à pénétrer dans les lèvres de sa chatte, elle tenta de freiner ses agissements en se reculant légèrement.

En contre partie, une pression se fit sentir contre ses fesses lors du déplacement à reculons. Ève n'avait aucun doute, ce grossier personnage frottait son membre sur ses fesses, le membre était imposant si elle se fiait au souvenir qu'elle avait du dildo de sa mère. Sa chatte se contracta et projeta une ondée de cyprine qui imprégna sa culotte et le bodystocking, Ève devint embrasée en imaginant la grosseur de la bête. Sa mère avait donc dit vrai sur les attributs des noirs. Ève était honteuse d'être devenu si attisé sexuellement, elle venait de se marier et n'avait pas encore fait l'amour avec son mari et voilà qu'elle était échauffer par un inconnu. Ève s'insurgea devant l'audace de Tim et lui administra un coup de coude. Ève « Éloignez-vous S.V.P. »

Une douleur aigue lui traversa la cuisse droite suivit d'une deuxième. Ève retint son cri, ses yeux s'étaient remplis de larmes quand réalisa que Tim venait de la fouetter. Tim « Voilà ce qui arrive aux chiennes qui ne sont pas docile. » Ève était tétanisée, aucun son ne sortit de sa bouche quand Tim glissa sa main gauche dans son corsage et lui pinça les mamelons l'un après l'autre. Elle eut la même réaction quand de son autre main il déchira l'entre jambe du bodystocking fragilisé par la mouille de sa chatte et l'accrocha à une branche pour indiquer la route à suivre.

Un peu plus loin Tim recommença son manège, cette fois ce fut la petite culotte de nylon qui se déchira sous la violence de la poigne, le dernier rempart de protection de sa chatte venait d'être détruit. Ève lâcha les rênes et tenta de mordre la main fautive. Ainsi sa rébellion laissait ses cuisses vulnérables à la morsure de la cravache. Tim ne s'en priva pas, de sa main gauche bien agrippée à un téton, il bascula Ève vers lui, de l'autre, cingla avec fermeté le dessus des cuisses délicates.

Ève tenta une manœuvre pour se libérer, Tim augmenta la force des coups. Graduellement Ève se laissa aller dans les bras de Tim, les coups devinrent moins vigoureux Tim y allant même d'effleurement sur la chatte de sa victime. Ève n'opposa plus de résistance et tranquillement ouvrit ses cuisses aux caresses.

Ève le jour même de son mariage glissait doucement dans la débauche sous les caresses d'un inconnu. Pendant qu'une main étirait charnellement ses tétines, l'autre avec ses grands doigts enfoncés dans sa chatte recueillait les sucs de son excitation puis l'obligeait à les sucer. Ève tentait de s'y soustraire mais Tim en maître qu'il était, continuait à glisser ses doigts remplient de sève vaginal de plus en plus profondément dans la gorge d'Ève suggérant une gorge profonde. Tim connaissait les bienfaits d'une bonne formation.

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