Un jour de pluie

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Comment oublier le mauvais temps.
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C'était un jour d'automne particulièrement pluvieux. A ne pas mettre un chat dehors. Vraiment.

J'en avais profité pour envoyer quelques mails à droite et à gauche, histoire d'entretenir des contacts.

Une vieille copine m'avait répondu. Et nous nous étions retrouvés dans une chat-room.

- Clairement un temps à rester sous la couette non?

- Oui, ou à faire des câlins, me répondit-elle.

- Pas gagné, ma copine est absente ce week-end.

- Mon mec aussi...

- Vraiment pas gagné pour les câlins, enfin bon, sauf si tu veux que je passe.

- Je doute que mon mec apprécie.

- Je suis certain que ma copine n'apprécierait pas du tout. Mais bon, d'un autre côté, je n'ai pas vraiment l'intention de l'informer...

- Tu me tentes là.

- Si tu veux, je passe, on discute, et on avise.

Une heure plus tard, douché de frais, je sonnais à sa porte.

Elle était, comme d'habitude, rayonnante. Simone était une petite brune d'un mètre soixante cinq, quelques kilos en trop sur les hanches, mais un sourire ravageur et des yeux bleus à damner un saint.

- Je me suis permis d'amener une bouteille de vin, pour combattre le froid.

- Et je me suis permis de préparer un petit repas.

Le repas se déroula agréablement, nous devisions de choses et d'autres, et la bouteille de vin se vidait de plus en plus. Nous eûmes droit à une courte interruption dûe à un coup de fil de son ex. Elle revint avec le rouge aux joues.

- Que se passe-t-il?

- Mon copain voulait qu'on fasse l'amour au téléphone. Il est en manque.

- Et pas toi?

- Si, mais bon, tu es là... et au téléphone, pas trop mon truc.

- Prude?

- Il me demande de dire et de faire des trucs...

Et là, le téléphone resonna.

- Mets sur haut-parleur!

- Chérie?

- Oui mon amour?

- J'ai tellement envie de te prendre dans mes bras et de masser tes seins...

Sur ces entrefaites, je passai derrière la belle et commençai à lui caresser la poitrine. Pas beaucoup de volumes, mais des têtons déjà bien érigés.

- Arrête!

- Non, tu sais comme j'aime te caresser les seins et te déshabiller, avant de te sucer les tétons.

Pratique, le petit comique au téléphone me donnait le programme des réjouissances. Je déshabillai Simone illico, elle se révélait peu farouche. Ses petits tétons dardaient fièrement et j'entrepris de les sucoter avec application. Ma belle appréciait, en tous cas, gémissait au rhythme des mes actions.

- Imagine, ma chérie, nous sommes dans la chambre, et là je te bascule sur le lit et je t'enlève ton jean et ta culotte.

Quelques secondes plus tard, nous étions dans la chambre et la belle était nue devant moi.

- Et là, ma bouche descend, descend vers ta petite chatte. Tu es déjà humide?

Je continuai suivant le script et commençai à butiner ma muse qui gémissait de plus belle.

- Oui, je suis humide.

- Imagine, là je te visse gentiment un doigt dans la chatte.

Là elle cria doucement.

- Et un deuxième.

Je la limais à deux doigts et elle ondulait du bassin comme une pro.

- En même temps, je me déshabille et je m'installe à côté de toi, tête-bêche.

Sitôt dit, sitôt fait.

- Là tu me branles lentement, pendant que je continue à te limer et à te butiner avec mes doigts et ma bouche.

Et je sentis la main de Simone se refermer sur ma queue et commencer à m'astiquer. Dieu que sa peau était douce!

- Prends-moi dans ta bouche.

Et elle le fit! Elle gémissait sur ma queue, me branlait d'une main, le téléphone rivé à son oreille.

- Tu as envie que je te baise maintenant?

- Oui, viens en moi, prends-moi!

Elle écarta largement les cuisses et je me positionnai devant sa chatte, ma queue bandait comme rarement.

- Imagine, je te la mets au fond de la chatte d'un grand coup.

Là elle hurla de bonheur, je l'empalais littéralement, elle était étroite et brûlante.

- Tu aimes ça, hein ma salope, dis que tu aimes!

- Oui j'aime sentir ta queue au fond de ma chatte.

- Tu veux que je te bourre à fond?

- Oui, bien à fond!

Je la limais sur un rhythme lent et puissant, elle gémissait à chaque fois que j'étais à fond en elle.

- Maintenant, tu te retournes et je vais te limer par derrière.

Je me positionnai derrière elle, elle avait en effet quelques kilos de trop sur les hanches, mais rien de dramatique. En revanche, son petit trou semblait très serré.

- Là je te bourre par derrière et je te doigte le cul...

A suivre... si c'est souhaité. J'apprécie les commentaires et critiques, ce sont mes seules motivations pour écrire. :-)

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