Un gang-bang qui tourne mal Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Que les gens voient la vraie toi? Pas celle qui va au travail ou fait ses courses, ou celle qui paie ses factures, mais celle qui n'est rien de plus qu'une paire de gros nichons, un gros cul à fouetter et une chatte à baiser!

Je dois me retenir pour ne pas hocher la tête pour lui donner raison. J'ai failli le faire et ça me sert de réveil, je ne peux pas me laisser aller à ce point. Je ne peux pas céder à mes sensations.

- Bien! À votre tour! Dit l'homme bizarrement.

Il se tourne et fait face au groupe de ses amis. En s'éloignant, il tend le fouet à l'un d'eux. Celui-ci, un hispanique s'avance et le saisit sans être étonné, comme si c'était prévu depuis le début.

Je déglutis alors que ce gars fait tourner le fouet plusieurs fois devant moi, de façon méchante. Il s'amuse à me menacer pour me montrer à quel point il sait s'en servir. Je sais qu'il essaie de me faire peur, et ça marche. Je voudrais le supplier d'être gentil... Mais je n'arrive pas à sortir un seul mot à ce moment.

SCHLACK!

Cette fois je crie plus fort, car je ne m'attendais pas à ce qui vient d'arriver. Je pensais qu'il allait me contourner pour continuer à me fouetter le cul, mais il ne le fait pas. Il vient de fouetter ma poitrine! Il a juste abattu les liens de cuir sur mes seins. Le cri que j'ai poussé est très aigu, car je n'ai jamais ressenti une telle douleur.

- C'est ce qui arrive aux salopes avec des gros nichons : Dit-il en me frappant à nouveau.

Il frappe mes seins habilement, les faisant rebondir de façon comique alors que de nombreuses lignes rouges apparaissent sur ma chair tendre. Mes deux seins me piquent et me brûlent. Je les regarde sans croire que cela m'arrive que je suis en train de me faire fouetter la poitrine dans un parc. Et le pire dans tout ça... C'est que ses paroles sont une des choses que j'ai demandée que l'on me dise en me punissant.

- Dis-le! Dis-le! Demande l'homme en me montrant le fouet d'une manière menaçante pour me faire comprendre que si je ne répète pas ce qu'il a dit, il me fouettera aussi fort qu'il le peut.

Seule ma lèvre inférieure frémit de façon incontrôlable, car c'est une sensation tellement nouvelle et étrange. J'ai vraiment l'impression que mon esprit peut se briser à tout moment.

- Mon... Je... Balbutié-je en essayant de me rappeler dans quelle langue je parle.

Mes yeux se concentrent sur le fouet, je sens qu'à tout moment il va me frapper avec.

- C'est ce qui arrive aux salopes à gros nichons. Elles se font fouetter les seins! Dis-je rapidement en reprenant mes esprits.

Il sourit et baisse un peu le bras, mais il recommence à me fouetter, pas aussi fort qu'il m'avait menacé.

SCHLACK!

Je pousse un nouveau cri en sentant mes seins se trémousser puis rebondi sous les coups de fouet. Mes deux globes sont maintenant complètement rouges de la punition. Je peux sentir les picotements et les brûlures s'en dégager. De plus, je peux sentir (et voir) que mes tétons sont durs, peut-être plus durs qu'ils ne l'ont jamais été.

SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!

Ma poitrine est fouettée encore et encore. Et je m'oblige à répéter après chaque coup de fouet que c'est ce qui arrive aux salopes à gros nichons. Je remarque que le reste du groupe ne rit plus. Au contraire, ils semblent fascinés par ce qu'ils regardent.

Finalement l'hispanique arrête de me fouetter. Je vois qu'il a l'air essoufflé et fatigué, comme s'il venait de faire l'amour. Il me regarde d'un air étrange, comme s'il pensait que je réagirais différemment au fait qu'il me fouette.

Il se retourne et s'éloigne en lançant le fouet à un autre homme. Celui-ci qui l'attrape est un blanc au visage sévère. On dirait que ça ne l'amuse pas. En fait j'ai l'impression qu'il est contrarié de devoir être l'un de ceux qui me fouettent. Il s'avance vers moi et prend la place de son copain. Il ne dit rien et se contente de me regarder avec son regard noir. Je me prépare à ce que ma poitrine soit à nouveau frappée.

SCHLACK!

Mais il ne frappe pas mes seins. Il claque le fouet en dessous, sur mon sexe. Et il le fait bien, les lanières du fouet frappent mon intimité.

Ça suffit. Je ne peux pas me retenir plus longtemps. La surprise d'être fouettée à cet endroit, mon humiliation publique, la douleur intense, les moqueries, tout cela me submerge et je jouis. Je jouis comme je n'ai jamais joui auparavant.

Des gémissements qui deviennent des cris sortent de ma bouche et je ne peux rien faire pour les arrêter. Même si on me menaçait de mort je ne pourrais pas me taire. Mon orgasme est incontrôlable.

Et le mec devant moi voit ma réaction. Alors il fouette ma chatte de nouveau? Encore et encore...

SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!

Mes cris de plaisir deviennent plus fort, car les vagues qui me traversent sont trop intenses. Mon corps se met à trembler et j'ai des spasmes. Si je n'étais pas attachée, je crois que les gens penseraient que j'ai une crise d'épilepsie. Mon corps se balance dans tous les sens. Je suis même sûre que si tous ces gars voulaient me tenir, ils ne le pourraient pas. Les sensations sont si énormes que mon corps semble ne pas savoir comment les gérer.

Chaque coup de fouet augmente l'intensité de mon orgasme. Et à chaque fois que les lanières me frappent, je ne pense qu'à une seule chose : « Je me fais fouetter la chatte ». Et à cette pensée, le plaisir que je ressens me brûle encore plus fort. Je sais qu'il ne me frappe pas aussi violemment qu'il le pourrait, mais ça n'a pas d'importance. Il atteint un point où mes gémissements de plaisir ressemblent à des gémissements gutturaux d'animal en chaleur. Ma chatte pulse et m'envoie des picotements dans tout le corps, si bien que je suis dans un tel état que j'avance mes hanches pour venir au contact des lanières en cuir.

Cet orgasme est différent de tous ceux que j'ai pu avoir auparavant. C'est méchant et vicieux. Comme si la noirceur pouvait me faire jouir. Je pense à certains films fétichistes que j'ai pu voir. Je me disais alors que seules des personnes sérieusement dérangées pouvaient aimer ça et que c'était pour ça qu'elles étaient folles. Cette pensée que je suis sûrement dérangée est horrible, mais le plaisir qu'elle me procure est vraiment intense.

Les vagues de plaisir se calment enfin. Auparavant la plupart de mes orgasmes s'arrêtaient assez vite, mais pas celui-ci. C'est comme si je redescends lentement et doucement d'un état d'euphorie, alors que je ne voudrais pas que ça s'arrête. Mais après plusieurs minutes, mon orgasme s'estompe jusqu'à ce qu'il soit complètement passé.

Je me retrouve suspendue aux cordes, trempée de sueur. Alors que j'essaie de mieux respirer, j'entends les garçons parler avec excitation de ce qu'ils ont vu et de ce qu'ils ont fait. Ils félicitent celui qui a fouetté ma chatte en disant qu'ils m'ont bien « punie ». de mon côté, je reste là, à regarder comment mes seins sont rouges après avoir été si bien fouettés, et à sentir mon corps tout entier palpiter après avoir été battu.

Je suis sur le point de reprendre complètement mon souffle quand mes cheveux sont attrapés par-derrière, ce qui me fait crier. On me tire la tête en arrière, ce qui me fait cambrer le dos. Je me dis qu'ils veulent faire autre chose à ma poitrine, mais au lieu de ça, deux gars s'approchent et commence à défaire les cordes qui tiennent mes mains aux barreaux. Elles sont rapidement défaites, mais ils laissent celles qui attachent mes chevilles.

Je ne comprends pas ce qui se passe, mais celui qui me tient par les cheveux m'oblige à me pencher. Il tire fortement sur ma chevelure si bien que je suis le mouvement. Je me penche si vite que mes seins se balancent et frappent mon menton. Celui qui tient les cheveux fermement s'assure que je ne puisse me relever, que je reste penchée en avant.

Les deux gars qui m'ont détaché les mains commencent à les attacher à nouveau, mais avec d'autres cordes. Celles-ci sont beaucoup plus longues. Chacun d'entre eux en attache une à mes poignets puis ils se déplacent sur le côté pour forcer mes bras à être écartés sur les côtés.

C'est alors que je comprends ce qu'ils veulent faire. Sachant que c'est complètement inutile, je ne me donne même pas la peine de dire quoi que ce soit ou d'essayer de me défendre. De toute façon, je suis trop fatiguée et accablée pour faire autre chose que rester là.

L'autre extrémité des cordes est attachée aux marches des barres de singe de chaque côté. Il s'agit pour eux de m'attacher les mains de nouveau, mais plus bas et sur le côté, afin que je ne puisse pas me redresser. Pendant qu'ils font ça, je sens très bien la pointe d'excitation qui flotte dans l'air. Comme si quelque chose d'important allait se produire.

- Commençons alors... Mais souvenez-vous de mes ordres!! Dit le chef alors que ses amis testent les cordes pour être sûr que je ne peux pas bouger.

Ils se rassemblent en face de moi comme pour discuter de la suite. Puis deux des garçons s'approchent de moi. Je les regarde et je vois qu'ils veulent paraître cool , mais je sens bien qu'ils sont terriblement excités par ce qu'ils sont sur le point de faire.L'un des gars me contourne alors que l'autre s'arrête devant moi.

- C'est le moment pour un vieil ami! Dit en gloussant celui devant moi, qui est un des noirs.

Ses amis se mettent à rire aussi. Pendant ce temps il défait sa ceinture, baisse son pantalon et libère sa bite à quelques centimètres de mon visage. Derrière moi, j'entends le même genre de sons et je comprends que lui aussi vient de baisser son pantalon.

- Tu vas t'y habituer, salope! Nous allons tous passer, toute la nuit et longtemps! Grogne méchamment celui qui est derrière moi. Et je sens alors qu'il place sa bite à l'entrée de ma chatte.

Je sursaute à cette sensation et mon corps se crispe. En un éclair, de nouvelles émotions m'envahissent avec de nouvelles pensées. Je me dis que je n'ai jamais cru que je ferai l'amour comme ça, attachée dans un parc public. Ou que je ferais l'amour avec des étudiants.

Mais ensuite, je commence à ressentir d'autres choses. Le fait de sentir une bite à l'entrée de mon sexe est étrange, car ça fait longtemps que je n'ai pas fait l'amour. La plupart des fois où je l'ai fait, j'étais couchée sur le dos et rarement penchée en avant comme aujourd'hui.

Toutes ces émotions me submergent, me faisant me sentir étonnée et accablée. Celui qui est devant moi profite de ma surprise et de ma bouche ouverte pour enfoncer sa bite dedans. Il a un petit rire montrant qu'il apprécie ma réaction de surprise. Il le fait d'une façon assez brutale, car il s'assure à pousser son membre jusqu'au fond de ma bouche.

D'un seul coup, je ferme les yeux en gardant mes dents écartées, goûtant cette saveur familière d'une bite dans ma bouche. Je sais bien que je vais passer pour une pute, mais je n'ai pas vraiment le choix. Après tout, je suis attachée et je viens d'être fouettée. Ce n'est pas comme si je pouvais réellement me rebeller.

Puis je sens autre chose. Celui qui est derrière moi glisse facilement sa queue en moi. Je sursaute à nouveau, mais cette fois mon corps se détend alors que sa bite s'enfonce tout au fond. Ce que je ressens est difficile à décrire. C'est à la fois violent et libérateur. Comme si sa bite était une clé pour déverrouiller une partie de mon âme. C'est stupide, honteux et pervers, mais je ne peux m'empêcher d'en ressentir un immense plaisir. Je crois que la taille de sa bite et tout à fait normale, mais j'ai l'impression d'avoir la plus grosse queue de la planète dans ma chatte.

Je me sens trop humiliée quand j'entends les rires de tous les gars qui regardent ma réaction. J'ai une bite dans ma bouche, et je savoure ce sentiment. Une partie de moi se sent honteuse, car je mouille abondamment. Je ne pense pas avoir été aussi excitée de ma vie. C'est facile pour celui qui est derrière moi, de me violer, car ma chatte ne lui offre aucune résistance.

Plus il s'enfonce et plus je gémis sur la bite que j'ai dans la bouche. Je sens chaque aspérité de sa queue frotter sur les parois de ma chatte. J'ai déjà souvent baisé, mais jamais ça n'a été aussi intense. J'ai l'impression d'être droguée, car je sens chaque petite chose de façon extrême.

Finalement, il est tout au fond de ma chatte. Sa bite est enfouie dans mon ventre et il reste un moment comme ça pour que je le sente bien. Pendant un long moment, les deux gars ne bougent pas. Ils restent immobiles en m'empalant par les deux bouts, me faisant bien sentir cette possession de mon corps. Ce sentiment est extrêmement humiliant et j'ai envie de crier : « Allez-y! »

Avec habilité, ils commencent alors à bouger. Il pousse lentement vers l'arrière, puis vers l'avant tout aussi lentement. Incapable de m'en empêcher, je gémis sur la queue dans ma bouche, tellement j'apprécie la sensation de la bite dans ma chatte.

Au début ils vont très lentement, mais ils accélèrent à chaque poussée. Je gémis toujours, mais mes gémissements commencent à être étouffés lorsque celui qui est devant moi enfonce sa queue dans ma gorge. Le gars violente l'arrière de ma gorge qui est toujours douloureuse de ce qu'ils ont fait bien plus tôt.

- Souris chérie! Dit celui qui tient le caméscope près de mon visage.

Il approche tellement vite l'appareil que j'ai l'impression qu'il va me frapper avec. Mais il rigole avec ses amis tandis qu'il recule pour avoir toute la scène. Dans ma tête j'imagine la vidéo qui est enregistrée. On doit d'abord voir mes yeux, puis, en dézoomant, la bite de ma bouche, puis comment je me fais baiser par deux gars en même temps.

Je pousse des petits cris comme je ne l'ai jamais fait auparavant, alors qu'ils commencent à être plus brutaux et qu'ils me baisent dans un rythme régulier. La sensation de la bite frottant les parois de ma chatte ainsi que celle d'étouffement avec le sexe dans ma gorge me maintiennent dans un état de forte excitation. Sans oublier que mon corps est déjà bien puni et douloureux.

- Prêt? Demande l'homme que je suce.

L'autre lui répond « oui » et les deux se mettent à rire et joignent leurs mains au-dessus de mon dos. Je le vois en levant les yeux, mais je ne comprends pas pourquoi.

- Messieurs, voila la tour Eiffel! Crie le chef du groupe sur le côté.

Je ne comprends pas d'autant plus que les deux gars continuent à me baiser et que les autres applaudissent. Et puis je comprends ce qui se passe. J'ai déjà entendu parler de cet acte sexuel où deux hommes en baisent une autre et se tapent dans les mains en hauteur.

Et comme je m'y attendais, je jouis encore. Seulement cet orgasme est différent, car il ne vient pas de mon ventre, mais d'entre mes jambes. Il jaillit de mon clitoris, c'est une sensation que je n'ai jamais ressentie. Vagues après vagues, des ondes puissantes me traversent. Je gémis bruyamment alors qu'ils continuent à me pilonner. Cet orgasme et plus aigu que tout ce que j'ai pu ressentir, mon clitoris palpite fortement. C'est une sensation si agréable que je me surprends à vouloir libérer mes mains, non pas pour m'échapper, mais pour titiller mon clitoris pendant que je jouis.

- La salope jouit encore! Dit quelqu'un.

J'entends des rires, mais je vois à peine ce qui se passe. Je laisse les vagues de plaisir prendre le dessus, ce qui, je le sais, permet au groupe de voir à quel point je suis une femme perverse. Ce sentiment se double d'une sensation de tourbillonnement au niveau des yeux.

Encore une fois, je peux sentir chaque petite chose qui se passe, la façon dont la bite écarte les parois de ma chatte, la salive et la bave qui coulent sur mon menton pendant qu'on baise mon visage. Je peux même sentir comment mes seins gonflés frappent les jambes de celui qui est en face de moi et qui enfonce sa queue violemment dans ma gorge.

C'est alors qu'il se retire soudainement. Il le fait si rapidement que je crois que quelque chose ne va pas, peut-être que la police fait irruption dans le parc. Mais il prend sa bite dans sa main et la branle frénétiquement en la pointant sur moi. En un instant, du sperme chaud est projeté sur mon visage. C'est une longue giclée qui va du côté droit de mon front jusqu'au bas de ma joue gauche. Puis un jet jaillit, cette fois-si sur mes lèvres fermées. Un troisième puis un quatrième jaillit également. Il est clair que le gars essaie de couvrir autant de mon visage possible avec son foutre.

Personne n'a jamais éjaculé sur ma figure. Je n'ai jamais permis à un de mes amants de jouir directement sur moi, même lorsque je lui faisais une fellation. Et là, j'ai bien l'impression qu'ils vont tous le faire. C'est très humiliant de sentir la chaleur collante du sperme qui glisse lentement sur ma figure. C'est vraiment dégoûtant et pourtant c'est si excitant en même temps.

- M'y voilà!

J 'entends celui qui est derrière moi dire ces mots et se retirer lui aussi. Tout de suite je ressens un besoin quand il quitte ma chatte. j'ai l'impression que mon corps subit un manque. Mon cerveau me dit de lui crier de remettre son sexe dans ma chatte, mais heureusement je ne le fais pas.

Le garçon jouit... Mais sur mon dos. Je sens qu'il se raidit et qu'il déverse sa semence giclée après giclée sur mon dos courbé, du haut de mes fesses jusqu'au bas de mon dos. Comme d'habitude, les autres rient pendant qu'il se libère. Les deux gars me couvrent de sperme. Je sens d'autres jets, mon humiliation est accentuée par leurs rires.

Mon orgasme s'étant estompé et mon sexe brûlant d'être rempli à nouveau, je lève les yeux pour voir ce qu'ils font. Les deux gars qui viennent de me baiser reculent en remontant leur pantalon. C'est alors que celui qui tient la caméra s'approche pour faire un gros plan de mon visage couvert de foutre. Il fait ensuite le tour pour filmer entièrement mon corps nu, abusé et bien baisé. Les commentaires recommencent :

- Elle est jolie comme ça, non?

- On dirait qu'elle est comme chez elle!

- Tu vas avoir encore de la bite, chérie, ne t'inquiète pas!

- J'ai hâte de me la faire!

- Je vais la baiser si fort cette salope que ses seins vont lui frapper le visage!

- Au suivant! Crie le chef au milieu des railleries.

L'ambiance ressemble maintenant beaucoup à une ambiance de fête. Certains applaudissent, d'autres rigolent, mais ils font tous beaucoup de bruits. C'est une fête et je suis le divertissement. Je suis surprise qu'ils n'aient pas amené de la bière.

Voilà, deux autres garçons s'avancent vers moi. Comme la première paire, l'un se place devant moi et l'autre derrière. Une fois de plus, je me retrouve avec une bite dans ma bouche que j'avais ouverte, tandis que l'autre enfonce sa queue dans ma chatte, ce qui me donne une nouvelle sensation de chaleur.

Ils me baisent en double comme leurs copains l'ont fait auparavant. Mais ces deux-là sont plus brutaux. Lorsqu'ils donnent des coups de rein, ils le font aussi fort que possible. C'est comme s'ils voulaient entendre des cris de douleur de ma part à chaque fois qu'ils s'enfoncent en moi. Et ils commencent vraiment à me faire mal, car l'onde de choc de leur corps sur le mien me donne l'impression que je suis écrasée.

Et comme précédemment, pendant qu'ils me baisent, le connard avec le caméscope s'approche, recule et fait le tour. Il fait des gros plans et des plans larges et capture l'intégralité de ce qui se passe. Il fait aussi beaucoup de commentaires, me traite de pute, et me dit que j'ai signé pour ça.

Bientôt les deux gars qui me baisent éjaculent. l'un le fait sur mon visage en semblant viser mes cheveux. L'autre gicle sur mon dos en essayant de salir les zones encore propres.

Et ça continue. Deux par deux ils me prennent en sandwich. Certains sont doux, d'autres plus brutaux, mais d'autres sont plus cruels en tirant mes cheveux ou en giflant mon cul déjà bien brûlant. Aucun d'entre eux ne semble se soucier du foutre qui me recouvre, car ils me baisent et me touchent librement à tour de rôle.