Un Essayage Caliente

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Un moment chaud avec ma petite esclave au centre commercial.
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Après une semaine de statu quo, où ni ma belle-mère ni moi n'avions repris contact depuis notre dernière petite séance à domicile, l'opportunité de forcer à nouveau le destin se présenta à moi.

Cette fois, notre histoire se déroula dans un centre commercial situé non loin de chez nous, où j'étais allé pour acheter des vêtements aux enfants.

Alors que j'errais de boutiques en boutiques, dépité de ne rien trouver, je découvris avec étonnement en retournant dans l'une des coursives que mon succube se trouvait de l'autre côté du plateau central, assise sur un banc, à une dizaine de mètres de moi à peine.

Ma femme n'était pas présente puisqu'elle avait pris sa journée pour aller remonter le moral d'une de ses amies venant de se faire larguer par son copain. L'occasion était trop tentante, et je me décidai rapidement à égayer cette morne matinée.

Il n'y avait pas grand monde à cette heure matinale, malgré tout, il me fallait être certain qu'elle n'était pas accompagnée. Je me plaçais dans une allée comprenant un panel de chaussures éclectiques et composais son numéro tout en observant sa réaction de loin, bien à l'abri des regards.

Au bout de quelques secondes, elle saisit son téléphone et l'extirpa de son sac à main. Lorsqu'elle aperçut mon nom sur l'écran, elle jeta un regard circulaire aux alentours avant de décrocher.

Sa réaction me plaisait.

— Oui?

Sa voix était chaude et douce, mais trahissait une certaine inquiétude.

— C'est moi, tu vas bien?

Je voulais ma voix posée et calme. Je prêtais attention à ses moindres faits et gestes plus qu'à l'excitation qui montait déjà en moi.

— Oui, et toi? Tu as besoin de quelque chose?

— Oui, de toi... Tu es seule?

Sa voix devint plus fébrile.

— Oui mais heu... je ne suis pas chez moi et...

Je lui coupai sèchement la parole, sans lui laisser le temps de continuer sa phrase.

— Je sais que tu n'es pas chez toi. Je ne suis pas loin, je viens de t'apercevoir. Si tu es seule, je te propose que l'on fasse un peu de shopping ensemble. Rentre dans le Zara en face de toi, je t'y rejoins dans cinq minutes. Tu peux déjà commencer à te choisir quelques petites tenues pour ensuite te diriger vers la cabine d'essayage.

— Maintenant?

— Je t'ai posé une question? C'est un ordre au cas où tu ne l'aurais pas remarqué.

À l'autre bout du fil, je pouvais percevoir le rythme de sa respiration s'accélérer, et juste avant qu'elle ne me réponde, entendre sa langue humecter ses lèvres.

— D'accord... maitre.

La façon dont elle prononça ce dernier mot, sur un soupir brulant comme la lave, fit gonfler ma verge en une fraction de seconde.

J'attendis, l'observant s'évertuer à essayer de me démasquer tandis qu'elle s'arrêtait sur des dessous en lingerie. Après avoir attendu cinq bonnes minutes, je m'élançais. Il était temps de la rejoindre. Elle ne s'était pas encore choisi de cabine, préférant s'attarder sur un soutien-gorge noir finement brodé. Sans être vulgaire, elle était toujours aussi sexy qu'à l'accoutumée.

Une paire de bas noir surmontant des chaussures à talon haut de la même couleur, dont une fine lanière entourait sa délicate cheville. Elle était vêtue d'une robe très moulante, épousant chacune de ses formidables rondeurs, gonflant sa poitrine aguicheuse dont les tétons saillants ressortaient au travers du tissu.

Elle afficha un sourire en coin lorsqu'elle me reconnut, dévoilant ses dents blanches mordant furtivement sa lèvre inférieure.

Un rapide coup d'œil dans le restant du magasin pour m'assurer que personne que nous ne connaissions ne s'y trouvait et j'arrivais à sa hauteur. Ma main gauche remonta le long du haut de sa croupe pour se caler au creux de ses reins tandis que ma main droite l'attrapa par la nuque dans un mélange de délicatesse et de fermeté. Sans même nous quitter du regard nous avions abaissés nos masques et nos bouches se rencontrèrent, laissant danser nos langues ensemble le temps d'une poignée de secondes. Lorsque notre étreinte s'arrêta, je lui pinçai légèrement la lèvre en me retirant.

Si mon idée de départ était de réaliser une séance d'essayage un peu piquante, je sentais que les choses n'allaient pas tarder à déraper, pour notre plus grand bonheur certainement.

Nous avons poursuivi notre petit tour dans le magasin, glanant de-ci de-là quelques articles, avant de nous diriger vers les cabines. Etroites mais inoccupées et à l'écart. L'endroit parfait pour laisser libre cours à mon imagination débridée.

Elle me devança de sa démarche féline, m'aguichant de sa robe qu'elle avait remontée légèrement au-dessus de ses lobes fessiers jusqu'au fond de l'espace réservé à l'essayage. Je m'assis face à la cabine dans laquelle elle pénétra. Elle plaça ses affaires sur le crochet et se retourna vers moi :

— Il y a quelqu'un dans les environs?

Elle semblait à la fois stressée et excitée comme une écolière.

— Non, toujours personne.

Elle me décrocha un clin d'œil et entreprit de se déshabiller sans même refermer la porte derrière elle, très lentement, en se déhanchant d'une façon qui avait certainement dû faire bander une flopée d'homme avant moi. J'étais dur comme je ne l'avais que rarement été.

Elle passa ses doigts sur son coup de pied, le caressant en me fixant droit dans les yeux, avant de faire sauter la lichette retenant son escarpin. Elle remonta sur ses mollets, attaqua ses cuisses bien en chair et fini par atteindre le rond de ses fesses si bien galbé. Elle s'arrêta quelques instants, prenant chacun de ses seins dans ses mains pour les tordre avec force afin de faire baisser la tension qui la tiraillait. Elle releva sa jupe sur ses hanches. Elle ne portait évidemment pas de culotte. Sa main glissa le long de sa croupe, ses doigts passant sur ses deux trous à plusieurs reprises. Elle poussa un gémissement et m'offrit un baiser au travers de son reflet dans le miroir.

Je sortis de la transe dans laquelle elle m'avait littéralement fait plonger juste à temps. Quelques instants de plus et j'aurai fini par me masturber à la vue de tous, oubliant le monde qui nous entourait avec une déconcertante facilitée.

Cette petite garce jouait avec moi, me montrant son postérieur, les fesses bien écartées, me servant ses deux magnifiques orifices sur un plateau. Je n'avais bien entendu qu'une seule envie : foncer dans cette cabine et les combler avec ardeur.

Mais alors elle aurait gagné, et je me devais de garder le contrôle. Elle jouait là-dessus, consciemment ou non, et j'allais lui montrer qu'elle était à moi, et pas l'inverse.

Le magasin était toujours désespérément vide, hormis deux employées lassées d'attendre les clients et discutant à l'entrée du magasin.

Quatre pas plus tard, j'étais à l'intérieur avec elle, nos corps pressés l'un contre l'autre. Elle releva la tête vers moi.

— Baise moi, prends-moi s'il te plait, je n'attends que ça depuis la semaine passée!

Elle était sincère, mais hors de question de lui accorder ce plaisir. Pas tout de suite du moins.

— Je peux te donner ce que tu veux, mais n'oublie pas, ce sera selon mes règles.

— D'accord!

Elle opina du chef, mais je me devais de la rappeler à l'ordre. Une légère gifle lui fit détourner le regard quelques secondes.

— Je suis désolée... d'accord maitre.

Satisfait, je la fis passer aux choses sérieuses.

— Tu vas me sucer comme la dernière fois, et si tu fais ça bien, peut-être que je m'occuperai de toi...

Elle se mit immédiatement au travail, ce qui me redonna le sourire car j'avais repris le contrôle. Désormais, la femme que je désirais me désirait tout autant, et je la tenais au creux de ma main.

Elle s'empressa de défaire ma ceinture et abaissa mon pantalon au niveau de mes genoux, dévoilant ma verge gonflée de désir à l'idée de ce qui m'attendait. Elle attrapa de sa main gauche mes parties et les massa dans un mélange de force et de douceur que seule l'expérience pouvait amener. Son autre main passa sous ma chemise et mon pull, les soulevant pour dévoiler mon torse qu'elle caressa tandis que sa langue s'arrêta autour de mes mamelons qu'elle finit par mordre légèrement. Me faisant frissonner.

Mes doigts passèrent dans ses cheveux d'ébène, alors qu'elle s'abaissait pour passer aux choses sérieuses. Elle affirma sa prise sur mes bourses en les calant dans sa paume, la contractant à un rythme régulier mêlant douleur et plaisir tandis que ses doigts s'arrêtèrent à la lisière de mon anus pour en stimuler la périphérie. Sans plus de cérémonie, je vis mon gland disparaitre dans sa bouche pour rapidement buter contre l'entrée de sa gorge.

— Tu es parfaite, si tu arrives à la mettre entièrement dans ta bouche, je pense que tu pourrais augmenter tes chances de te faire baiser...

Elle engouffra l'entièreté de mon membre dans son écrin doux et chaud. Durant de longues secondes, elle maintint la position, son nez collé contre mon bas-ventre, sa langue effectuant des va-et-vient rapides autour de mon membre palpitant qui cognait régulièrement contre son palais.

Lorsqu'elle ne put plus tenir, elle se retira, un long flot de bave s'écrasant dans un bruit spongieux sur le parquet.

— Tu es très douée, lui dis-je, essoufflé, je crois que tu as droit à une petite récompense...

Elle sourit et se retrouva plaquée contre le mur du fond de la cabine.

Elle me suppliait de lui faire du bien, et je comptais bien exaucer son vœu.

Je lui intima l'ordre de se cambrer afin de m'offrir ses fesses. Elle s'exécuta dans la seconde, non sans lâcher un petit râle d'excitation. Je me penchais vers elle pour l'embrasser, lui offrant ma bouche afin de l'empêcher de faire trop de bruit, de peur que l'on puisse nous entendre. Pendant ce temps ma main suivait la courbe de ses fesses, se plaçant sur le dessus alors que mon auriculaire et mon index écartaient ses magnifiques cuisses. Elle se crispa sous mes caresses, bougeant son bassin alors que mes doigts effleuraient ses lèvres et le pourtour de son petit trou.

Je prenais un plaisir fou à sentir ses mouvements devenir de plus en plus chaotiques alors que je ne faisais que la doigter en surface. Elle transpirait abondamment, et je sentais sa mouille sirupeuse couler le long de mes doigts.

— Attrape ma queue et branle moi pendant que je te fais du bien ma petite salope.

Elle l'a saisi avec tellement de force que je craignis que plus une seule goutte de sang ne puisse plus y passer. Malgré tout, ses mouvements me faisaient du bien, alors je décidai de la récompenser pour ce qu'elle m'apportait.

Cette fois j'écartais ses lèvres, et je faillis jouir lorsque mes doigts pénétrèrent dans sa cavité humide débordante de cyprine. Je les insérais en elle de plus en plus vite, conscient que nous n'avions pas des heures devant nous lorsqu'un flot s'échappa de son vagin pour maculer mes doigts et s'écraser lourdement sur le sol. J'inspirais profondément, me délectant de cette odeur puissante et agressive de sexe qui envahissait la cabine.

Nous ne pouvions être plus excités, et je n'avais à présent qu'une seule envie, lécher ce fruit interdit pour en goûter sa saveur.

Je délaissais sa tête pour me positionner derrière elle, mes mains sur ses fesses, les écartant au maximum, ce qu'elle sembla apprécier au vu des frissons qui la secouèrent.

Impatient, j'enfuis mon visage au creux de ces demi-lunes halées. L'odeur sucrée qui se dégageait de son entre-jambe accentua mon envie de profiter de cet instant désiré depuis des années. Ma langue caressa sa vulve doucement, partant de son anus pour finir sur le haut de son vagin, où je pouvais sentir une légère toison naissante. Mon pouce massait son clitoris sous de petits cercles concentriques tandis que je pénétrais ses deux trous de plus en plus profondément de la pointe de mon organe buccal.

Plusieurs secondes durant, je la fis languir en prenant mon temps, sachant pertinemment que tout cela la rendait folle. Je tenais à ce qu'au-delà de ce plaisir, elle ressente aussi de la frustration afin de lui rappeler sa condition. Elle n'était pas aux commandes. C'était le jeu auquel elle avait accepté de jouer, le contrat que nous avions établi ensemble.

Elle tourna son visage rougi vers moi, et haletante, m'adressa son ultime désir :

— Prends-moi, s'il te plait, baise-moi! Peu importe le trou, mais possède-moi!

Elle voulait que je lui fasse l'amour. J'en mourrais d'envie aussi, mais tout comme la dernière fois elle commettait le faux pas de me demander quelque chose pour son propre plaisir...

À vrai dire, cela m'amusait plus que ça ne m'irritait ; après tout, difficile d'enlever des années d'habitudes et de réflexes en tant que dominatrice.

Je mourrais d'envie de la prendre comme la chienne qu'elle était, mais je devais m'y résigner. Je n'allais pas encore pouvoir gouter au fruit défendu de la plus convoitée des façons, mais ce n'était que partie remise.

Mes mains saisirent le devant de ses cuisses avec puissance, entravant ses mouvements. Ceci me permit de profiter d'un plus grand contrôle, et à elle de se concentrer sur ce qu'elle ressentait sur le moment.

Mon organe fouillait avec avidité son intimité, pressé que j'étais d'en extraire la moindre goutte, d'en établir la cartographie la plus profonde.

Au bout de quelques secondes ses jambes commencèrent à vaciller, secouer de spasmes violents. Je connaissais cette réaction, et savais par conséquent que le temps m'était compté avant qu'elle ne puisse plus continuer.

— Tiens-toi prête, je vais te faire jouir ma belle.

Ma langue enlaça son clitoris, et de cette pointe tendue comme un arc je me mis à titiller cette petite excroissance hautement sensible qui ne tarda pas à faire voir ses effets sur ma muse. Mon pouce glissa avec une étonnante facilité dans son anus, bientôt rejoint par deux autres.

Elle plaça une main devant sa bouche, afin d'éviter de laisser échapper un malencontreux cri susceptible de nous mettre dans l'embarras, et de l'autre agrippa mes cheveux.

Je dévorais à présent littéralement son con, suçant et recrachant successivement cette petite masse rosâtre alors que mes doigts pilonnaient son anus à une cadence infernale.

Sa prise se resserra soudain violemment, j'écartais de mes deux mains sa magnifique chatte béante, et lors d'un dernier passage se terminant sur sa douce petite rondelle, je sentis plusieurs petits jets éclabousser mon menton. Je m'empressai de lui fournir un appui, car ses forces s'étaient soudainement évaporées. Elle termina à genoux, à mes côtés. Elle, ses bas et ses chaussures trempées, moi, le menton dégoulinant de son nectar, le pull tout autant souillé.

Nous nous sommes souri et embrassé. Elle était épuisée, mais terriblement belle.

Mais nous n'en avions pas fini, et j'avais une idée pour le grand final de ma petite soumise.

Il me suffit de me lever pour qu'elle comprenne instinctivement qu'il lui restait une dernière chose à faire. Se plaçant sous moi, elle emplit sa bouche de mes testicules, tour à tour mordant, suçant et léchant mes bourses sans me lâcher du regard alors qu'elle me masturbait avec une vigueur que je ne lui connaissais pas. J'étais tellement excité que je ne mis pas plus d'une poignée de secondes à jouir, et elle le comprit immédiatement au râle que je laissai bientôt échapper au travers de mes dents serrées. Prête à tout pour me satisfaire, elle se positionna face à moi, la bouche grande ouverte, la langue sortie.

Un tapis rouge à foutre.

Un large sourire suivi d'un gloussement de satisfaction accompagna mon premier jet de foutre maculant sa langue rose.

Se calquant sur la fréquence de mes jets, elle pressait mes couilles en cadence afin de les vider au maximum.

Le second fusa directement dans le fond de sa gorge.

La forçant à incliner son visage vers le bas, elle se prit une giclée en pleine face, éclaboussant sa joue gauche en grande partie. La dernière giclée recouvra son front du sommet du nez jusqu'à la racine de ses cheveux. Harassée, elle prit la peine de me sucer encore quelques instants le temps que mon pénis cesse ses soubresauts. Envahis par une douce plénitude nous nous échangeâmes à nouveau quelques baisers.

Mais lorsqu'elle fit mine de se nettoyer, mon piège se referma sur elle.

— Tu m'as comblé ma belle, mais ce que tu as sur le visage, tu vas le garder jusqu'à ce que tu sois dans ta voiture.

Elle parut interloquée, mais la surprise que j'observais dans ses yeux laissa vite place à une forme de... défi.

— Mais... et si...

— Et si rien du tout. Je suis ton maître, et tu vas faire ce que je te dis. Tu m'as encore désobéi aujourd'hui. Tu n'as pas respecté ta place, tu es ma pute personnelle, tu n'as rien à exiger de moi, ou à me demander. Garder tout ce sperme sur ta gueule de chienne, c'est ta punition.

Elle grommela quelques instants, mais finalement accepta sans dire un mot.

Après un rapide nettoyage de la cabine pour que les suivants puissent l'occuper sans se douter de ce qu'il s'y était tramé, je la regardai une dernière fois avant de sortir de notre cage interdite. Elle était radieuse, et même si sur son visage pouvait se lire une certaine anxiété, je sentais qu'elle aimait ce qu'il se passait.

Prenant une profonde inspiration pour me donner du courage, j'ouvris la porte et... nous étions seuls. Notre petite partie de jambes en l'air avait duré cinq minutes à peine si j'en croyais ma montre, et personne ne semblait avoir remarqué quoi que ce soit.

Ma belle-mère reprit ses affaires et avant de sortir, je crus apercevoir sa langue s'étirer avec peine pour atteindre mon jus situé sur ses pommettes et abordant la commissure de ses lèvres. Je ne savais pas si c'était pour le faire disparaitre de son visage, ou parce qu'elle en aimait la saveur... Peut-être les deux? Rien n'était impossible avec elle.

Elle me rattrapa très vite et plaça son bras sous le mien. Elle eut un sourire en coin, gênée, me laissant penser qu'effectivement marcher jusqu'à sa voiture garée dans le sous-sol du centre commercial n'allait pas être une sinécure pour elle. Les premiers mètres lui servirent à trouver son équilibre sur ses jambes vacillantes, mais très vite elle retrouva sa démarche sexy et assurée. Elle se colla tout de même contre moi, et je pouvais sentir sa peau encore moite sur mon poignet.

Après avoir croisé une des vendeuses qui répondit distraitement à nos salutations, sans rien remarquer, nous nous sommes engagés dans les coursives du second étage.

Il n'y avait toujours pas un chat, excepté...

Un groupe de jeune squattant le bas des escaliers, nous avions donc décidé de jeter notre dévolu sur l'ascenseur qui descendait jusqu'au sous-sol. Après avoir appuyé sur le bouton de commande, je la complimentais sur le sang-froid avec lequel elle avait accepté ma proposition. Et alors qu'elle se penchait vers moi pour me répondre, un couple, dans la trentaine tous deux, nous demanda de retenir la porte qui se refermait. Sans même penser à la situation dans laquelle nous étions, je plaçai ma main devant le capteur pour qu'ils puissent avoir le temps de descendre avec nous.

L'homme me remercia et ils entrèrent. Ce n'est que lorsque je me retournai vers ma compagne, le visage toujours couvert de sperme que je réalisai la portée de mon geste. Elle se pinçait les lèvres, mais il était hors de question qu'elle se dérobe à notre accord. Cette substance blanche et épaisse était devenue plus liquide et transparente, mais restait toujours très visible, contrastant sans toutefois jurer avec ses cheveux noirs et son teint mat.

Le peu de temps qu'il fallut aux portes pour se fermer, j'avais déjà pu remarquer deux choses. La première était le regard insistant de l'homme, certainement à cause de notre proximité et de notre écart d'âge. La seconde était la façon dont la jeune femme scrutait de haut en bas le corps merveilleusement mis en valeur de ma petite esclave.

De longues secondes s'égrainèrent, où je sentis des regards furtifs mais insistants. Ma partenaire de crime pinça soudainement mon bras. Alors que nous venions à peine d'entamer la moitié du trajet, la femme venait de comprendre ce qui clochait.

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