Un Couple Pas Comme Les Autres 05

Jules

Nous sortons de la maison, Véra se dirige vers le fond de la cour, en direction des anciennes étables.

--Il travaille là-bas?

--Pas exactement.

Quand nous sommes presque arrivées, je ne peux m'empêcher de poser une question qui me titille.

--Au fait, quand tu dis sacré braquemard, ça veut dire quoi.

--Pratiquement cinq centimètres de diamètre et quarante de long en érection.

--Tu déconne, ce n'est pas un homme ça.

--Mais qui t'as parlé d'un homme.

A ce moment-là, nous entrons dans l'étable pour nous trouver nez à nez avec un magnifique âne.

--Mes amies, je vous présente Jules, mon amant.

Aïcha va vers Jules pour le caresser.

--La vache, tu te fais enfiler par un âne?

--Oui, et devant comme derrière, c'est divin, mais je ne suis pas égoïste, je peux vous le prêter, il est très docile et très doux, et en plus, il adore se faire une petite chatte ou un beau cul.

--Mais pourquoi as-tu acheté un âne?

--Il n'est pas à moi, il est en gardiennage, c'est une amie qui me l'a laissé pendant un an, elle est en mission à l'étranger, je l'ai encore neuf mois.

--Tu pratiques depuis longtemps?

--A peine plus de deux mois, en fait, il m'a prise par surprise.

--Tu peux expliquer?

--Tu sais que je ne porte jamais de sous vêtement, un jour, je suis venu en robe courte, assez ample, nettoyer son box. Il pleuvait et je ne l'avais pas fait sortir. A un moment, je lui tournais le dos, courbée en avant pour récupérer la fourche qui m'avait échappé des mains. J'ai senti son souffle sur mes fesses découvertes. Sur le coup de la surprise, j'ai failli me retourner, mais je ne sais pourquoi, je n'ai pas bougé et je suis restée dans la même position, légèrement penchée en avant. Il m'a sauté dessus et posé son torse sur mon dos, je me suis écroulée sous son poids. Il s'est reculé comme s'il avait compris qu'il avait fait une connerie. Je me suis relevée, c'est là que j'ai vu que sa bite était sortie et pendait sous son ventre. Instantanément, j'ai compris que ce n'était pas la première fois, et que mon amie était zoophile. J'ai fait valser ma robe, je me suis appuyée sur sa mangeoire et j'ai attendue. Ça n'a pas été long, deux secondes plus tard il était sur mon dos et je sentais sa bite essayer de trouver le chemin du bonheur. Je l'ai guidée avec ma main et d'un seul coup, un gigantesque braquemard s'est emparé de mon sexe.

--Ça ne t'a pas fait mal?

--Pas du tout, mon sexe coulait comme une fontaine tellement j'étais excitée.

--Tu as aimé?

--Tu ne peux pas savoir à quel point, d'ailleurs, maintenant, c'est au moins une fois par jour.

--Et Ludo, qu'est-ce qu'il en pense?

--Tu sais très bien que Ludo est bi, il consomme comme moi, moins souvent, mais il aime bien.

--Et que va-t-il se passer dans neuf mois?

--Soit on garde Jules, soit on achète un autre âne, voire un cheval, je suis très tentée pas cette dernière solution.

Je regarde Jules, Aïcha est à côté de lui, elle a fait valser sa djellaba pour se frotter nue contre lui. Sa bite est sortie et, de temps en temps, se redresse brusquement pour retomber entre ses jambes. Aïcha est agenouillée à côté de lui, elle se saisi de sa bite et la lèche.

--Elle est bonne?

--Délicieuse, mais j'ai envie de la sentir au fond de moi, bien plantée dans mon petit cul.

Véra vient vers Jules, elle le caresse, il bande encore plus.

--Prend appui sur sa mangeoire, je m'occupe du reste.

Aïcha s'appuie sur la margelle de la mangeoire, les jambes légèrement écartées.

--La chatte ou le cul?

--Le cul, la chatte, c'est pour mes maîtresses.

Véra badigeonne le cul d'Aïcha de graisse, elle amène Jules derrière elle, il lui saute dessus et donne des coups de rein. Son sexe tape ses cuisses, ses fesses, mais ne trouve pas le puits du bonheur. Véra se saisi de sa bite, non sans un immense plaisir apparent, et le guide vers le petit trou d'Aïcha. D'un seul coup, la moitié de ce sexe immense disparaît entre ses fesses et marque un temps d'arrêt.

--Oh oui, putain que c'est bon un braquemard comme ça.

Jules donne deux coups de rein, marque une micro pose et de nouveau deux coups de rein. Aïcha est en transe, elle donne des coups de reins en arrière pour qu'il la pénètre encore plus. Jules donne un dernier coup de rein.

--Ça y est, il se vide, il me remplit le cul de son sperme, il m'inonde, je suis pleine, ça va déborder. Quel pied, quel pied.

La bite de Jules quitte l'anus d'Aïcha pour pendre sous son ventre, il en sort une giclée de sperme. Il ne bouge pas. Du sperme coule entre les fesses d'Aïcha. Soudain, sa bite se redresse et vient taper contre son ventre, il donne un coup de rein et s'enfonce, cette fois-ci du premier coup, dans les entrailles d'Aïcha.

--Putain, il en redemande, oui, oui, je vais finir par jouir, oh oui, encore mon Jules, encore, défonce ta putain de femelle, ouvre-lui le cul, rempli le encore de ta liqueur de vie.

Je ne connais pas Aïcha, mais je découvre une femme pleine de surprise, je ne m'attendais pas à cette sorte de langage. Elle porte une main sur son pubis, un doigt s'excite sur son clitoris. Jules donne deux coups de rein, s'immobilise une fraction de seconde pour redonner une nouvelle série de deux coups de rein. Le sperme coule le long des jambes d'Aïcha, elle se donne à fond à son amant, Jules redonne encore des coups de rein et reste bien enfoncé. Aïcha se raidi, du sperme gicle de son anus, Jules lui redonne une dose de sperme, mais le rectum d'Aïcha est déjà plein.

--Oui, cette fois c'est la bonne, oui, oui, ouiiiiiiiiiiii, aaaaaaaahhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

La bite de Jules sort du cul d'Aïcha, elle pend sous son ventre, il descend de son dos et se retourne vers Véra. Elle vient vers lui pour lui tapoter la tête.

--C'est bien mon Jules, mais ta journée n'est pas finie, il te reste deux belles femelles à satisfaire.

Aïcha reste encore un moment immobile, je vais vers elle. Je la caresse, elle se laisse faire en appréciant visiblement beaucoup. Ma main arrive sur ses fesses, je me penche pour les embrasser, ma bouche descend vers ses cuisses et finit par se trouver juste au niveau de son cul. Une soudaine impulsion fait que je lui écarte les fesses et me retrouve sur sa rondelle en train de lécher le sperme de Jules. Je ne vois pas beaucoup de différences avec celui d'un homme. Je me redresse, Aïcha se retourne, nos bouches se trouvent et un long baiser nous uni.

Pendant ce temps, Véra s'est déshabillée, elle s'est agenouillée à côté de Jules et lui lèche la bite. Il réagit de temps en temps, sa bite se redresse subitement pour venir frapper son ventre. Ils semblent bien se connaitre tous les deux. Véra se lève et vient s'appuyer sur la mangeoire du box. Jules n'hésite pas une seconde, il lui saute dessus et donne de grands coups de rein pour finir par s'introduire en elle d'un seul coup. Son visage traduit le bonheur qu'elle éprouve en recevant cette énorme bite en elle.

--Oui, vas-y mon Jules défonce moi le fion, vas-y, j'aime.

A ces mots, je regarde mieux ce qui se passe, effectivement, Jules ne s'est pas enfoncé dans sa chatte, mais dans son anus. Je peux parfaitement voir sa rondelle distendue par la taille du sexe qui la pénètre. A chaque coup de rein, Jules s'enfonce un peu plus, il en est déjà à plus de la moitié de son sexe.

Au bout de cinq ou six coups de rein, sa bite se plie un peu, il se vide en elle. Jules descend, il va dans un coin du box et reste immobile, sa gigantesque bite se rétracte lentement dans son fourreau. Je regarde Véra, elle est restée dans sa position, semblant attendre autre chose. Je vois du sperme couler le long de ses cuisses, j'ai envie d'aller le lécher, mais quelque chose me retient.

--Il va revenir?

--Oui, dans une petite minute, c'est comme ça toutes les fois, après plusieurs coups il se détend un peu, et là, ça fait trois fois de suite.

Jules revient vers Véra, sa bite est de nouveau sortie et pend sous son ventre, il lui saute sur le dos en redressant sa bite qui vient comme par miracle s'enfoncer d'un seul coup dans ses entrailles. Je regarde mieux pour constater que cette fois il lui remplit le vagin.

--Oui mon Jules, vas-y, je t'attends.

Jules donne trois coups de rein, sa bite s'enfonce encore plus, j'ai un peu peur qu'il la déchire, mais elle semble tout à fait à l'aise et en redemande.

--Oui, encore, encore.

Elle porte sa main gauche à son clitoris.

--Vas-y, fait moi jouir.

Jules s'est immobilisé deux secondes, il redonne deux coups de rein, s'immobilise, un autre coup, s'immobilise à nouveau pour finir par deux coups avant que sa bite ne se plie et que le sperme sorte du vagin de Véra. Il se vide en elle. Véra se raidi, elle crie son plaisir.

--Oui, oui, je jouis, je jouis, merci mon Jules, merci, merci.

Son plaisir dure un petit moment, même après que Jules se soit dégagé et retourné dans son coin. Aïcha me devance et vient se glisser devant Véra pour lui lécher le vagin. Je m'agenouille derrière elle pour m'occuper de son anus qui laisse encore couler du sperme. Nos deux langues s'activent sur le corps de Véra, ce qu'elle semble aimer.

--Oui mes chéries, oui continuez, je vais jouir encore, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Je sens son corps se raidir sous l'effet de l'orgasme que la dévaste. Les mains d'Aïcha viennent prendre ma tête et le faire glisser entre les cuisses de Véra. Nos bouches se soudent pour un baiser lubrifié par le sperme de Jules. Véra se redresse, nous nous séparons pour nous retrouver debout toutes les trois et nous enlacer et nous embrasser. Quelques minutes plus tard, nous sommes assises sur le rebord de la mangeoire de Jules.

--Bon, on va attendre un petit moment et se sera le tour de Lulu.

--Je suis impatiente après ce que je viens de voir, mon sexe n'est qu'une fontaine à cyprine, ça dégouline le long de mes cuisses.

A ces mots, Aïcha s'agenouille devant moi et commence à me lécher les cuisses.

--Tu le veux devant ou derrière?

--Comme tout le monde, j'ai envie de son braquemard dans le cul.

Aïcha est remontée le long de mes cuisses, elle est maintenant sur mon clitoris, sa langue experte ne met pas longtemps à me faire monter au paradis, d'autant que Véra s'occupe de mes seins.

--Oui ma chérie, oui, oui, tu me fais jouir, oui, aaaaaaaaahhhhhhh.

Mon corps explose dans un gigantesque feu d'artifice, il faut dire qu'il était sous très haute tension. Quand je reviens à moi, je vois Véra qui caresse le sexe de Jules. Il commence à prendre de très bonnes proportions. Aïcha me fait mettre en position. Je sens une main qui me badigeonne de la graisse de Véra. Trois doigts s'enfoncent dans ma rondelle et font de rapides aller retours. Quand elle juge que mon sphincter est suffisamment détendu, elle me libère, c'est à ce moment que je sens Jules me sauter dessus. Sa bite se glisse entre mes cuisses, mais se dirige vers mon vagin qu'il ouvre jusqu'à ce qu'une main le dirige vers la vraie cible. Un énorme engin m'ouvre le sphincter et s'enfonce de plus de vingt centimètres dans mes entrailles. Je suis possédée par une bite géante, jamais je n'ai ressenti une telle émotion, un tel bonheur, jamais je n'ai été remplie de la sorte, je veux en profiter au maximum. Je porte ma main à mon clitoris.

--Oui mon Jules, j'aime ta bite, je suis à toi, fait de ta femelle ce que tu veux.

Jules donne deux coups de rein, s'immobilise, deux autres coups, s'immobilise, trois coups avant de se vider en moi. Sa bite se ramolli et sort me mon anus, je le laisse faire tout en me masturbant, je sais qu'il va revenir. Quelques secondes plus tard, il me saute dessus, cette fois-ci, c'est moi qui m'empare de sa bite pour la diriger dans le bon orifice.

Je suis de nouveau transportée par cette possession hors norme. Je donne un grand coup de rein en arrière pour qu'il s'enfonce encore plus, je veux qu'il me mette sa bite en entier, j'aimerais sentir ses couilles contre mes fesses tout en sachant que ce n'est pas possible. Jules se comporte comme d'habitude, la différence avec la première fois, c'est que mon doigt a été remplacé par la bouche d'Aïcha qui a réussi à se glisser devant moi. Les deux actions combinées me font décoller en quelques secondes, juste au moment où Jules se vide en moi.

Je suis tétanisée par un gigantesque orgasme qui prend possession de mon corps, le transportant au-dessus des nuages, voire dans la stratosphère. Je ne sais plus qui je suis, ce que je fais, juste que mon corps me donne un plaisir jusque-là inconnu. Je reviens à moi doucement en sentant la bite de Jules qui m'abandonne, je flageole. Véra et Aïcha viennent vers moi pour me soutenir, elles en profitent pour me caresser, ce que je ne refuse pas allant même jusqu'à onduler du bas ventre pour leur faire comprendre que j'ai encore envie de jouir, mon corps en redemande. La langue de d'Aïcha se pose sur mon clitoris tandis que sa main droite se positionne sur mon anus.

--Oui, vas-y, la place est bonne.

Ses doigts en pointe se glissent entre mes fesses encore lubrifiées, ils atteignent ma rondelle, la force et continuent leur chemin en entraînant derrière eux sa main. Mon anus s'ouvre sans aucune difficulté, la main d'Aïcha progresse lentement jusqu'à ce que mon sphincter se referme sur son poignet.

--Je suis en toi, ma main est entièrement entrée dans ton cul, quel spectacle.

--Baise moi, j'ai envie de sentir ta main s'activer dans mon fion.

Aïcha commence des aller retours rapides et de plus en plus amples. Elle rajoute de la graisse de temps en temps. Elle finit par faire entièrement sortir sa main pour l'enfoncer immédiatement après. Je suis transportée dans un autre monde, j'ai l'impression que mon anus est ouvert pour lasser entrer tout ce qui peut se présenter.

Mon corps fini par céder, Aïcha me libère l'anus pour poser ses mains sur mes fesses et me plaquer contre sa bouche. Ce nouvel orgasme est moins intense que le précédent, mais je fini quand même par m'écrouler sur Aïcha, mes jambes ne me tenant plus. Je réussi à me relever avec l'aide de Véra, nous relevons Aïcha pour finir dans les bras l'une de l'autres. Quelques minutes plus tard, nous rentrons à la maison sans même enfiler quoi que ce soit sur nos corps.

Une fois rentrées, nous nous précipitons sous la douche. La douche est évidemment crapuleuse, mais nos corps commencent à saturer, nous allons nous allonger sur des transats sous un sol pleureur. Nous discutons de tout et de rien jusqu'à ce que nous en arrivions à nos vies. Je veux en savoir plus sur Aïcha.

--Tu viens de rompre avec ton copain, mais je vois que tu aimes aussi les femmes, et même que tu les connais très bien.

--C'est normal, je suis lesbienne, je n'ai pas rompu avec mon copain, mais avec ma copine, c'est Louis qui lui a dit de dire que c'était un copain, il avait peur que je sois mal reçue.

--Et bien, il avait tort.

--J'ai vu, et j'en suis particulièrement heureuse.

--Tu le connais depuis longtemps?

--J'ai vingt-trois ans, et je le connais depuis vingt-deux ans, j'étais avec ma mère quand elle a été voir son amie à la maternité le jour de la naissance de Louis. Il parait que je lui ai caressé la joue. Nous sommes comme frère et sœur. C'est la seule personne qui sache tout de moi.

--Tu n'aimes pas les hommes?

--Non, je suis lesbienne depuis toujours. Je n'ai plus jamais eu la moindre attirance pour un garçon ni pour un homme, c'est le corps d'une femme qui m'émeut, depuis toujours.

--Mais tu viens de te faire enculer par un âne.

--Oui, j'aime avoir quelque chose dans le cul de temps en temps, mais pas dans le sexe. J'ai découvert ça par hasard avec une copine.

--Comment?

--Un fois, chez elle, on faisait l'amour et un de ses doigts m'a effleuré l'anus, j'en ai ressenti une vive excitation. Je lui ai demandé de recommencer, au bout d'un moment, elle m'a enfoncé le doigt en entier et j'ai aimé. Depuis, j'ai des godes chez moi et souvent, je m'encule avec en me masturbant, j'adore.

--Ça devait être dur quand tu étais adolescente.

--Au début, je ne comprenais pas que les garçons viennent vers moi, mais très vite, une fille a compris, elle était comme moi, nous sommes devenues très amies, voire plus, jusqu'à la fin de Rhéto, elle a suivi ses parents en France ou elle vit maintenant.

--Tu ne la vois plus?

--Si, de temps en temps, on passe un week-end ensemble, soit elle vient, soit je vais à Lyon. Je peux vous dire que c'est la fête quand on se retrouve, on ne quitte pas le lit pendant deux jours, je fini le week-end trois fois plus fatiguée qu'au début, mais j'aime bien. C'est d'ailleurs ce qui a déclenché ma rupture avec ma copine.

--Ça ne me parait pas si anormal que ça.

--Sauf qu'elle aussi elle avait fait de petits accros au contrat, mais de toute manière, je commençais à me lasser, elle était un peu trop jalouse.

--Et tu n'as pas d'appartement?

--Non, le bail était à son nom, je suis à la rue, heureusement il y a Louis, mais je ne veux pas trop rester chez lui, il vient de rencontrer une nana, il parle de s'installer avec elle chez lui et je ne voudrais pas être une gêne.

--Si tu as des problèmes, j'ai une grande maison, si tu as besoin de quelques jours, tu seras la bienvenue.

--Merci, je m'en souviendrais.

--Ne le prends pas mal, mais je te trouve bien délurée pour une maghrébine.

--Je suis maghrébine et théoriquement musulmane, mais mes parents ne pratiquent pas, je ne suis pas excisée, et je n'en ai rien à foutre de la religion, je suis athée. Je suis Belge, née en Belgique et je vis comme une belge, vive le roi!!

--Ça a le mérite d'être clair.

--Et comme certaines belge, j'aime le sexe, j'adore même, je ne peux pas passer une journée sans jouir au moins une fois voire deux.

--Et tu fais comment pour jouir au moins une fois?

--Quand je suis en couple, je fais l'amour avec ma chérie, et quand je suis seule, je me masturbe.

--Tu aimes te masturber?

--Oui, j'adore, d'ailleurs, je me masturbe pratiquement tous les jours, même quand je suis en couple, quand ça me prend, je peux être n'importe où, à mon boulot, dans la rue, dans un magasin, dans un bus, dès que j'ai envie, il faut que je le fasse, sinon, je deviens odieuse.

--Odieuse?

--Oui, le manque me rend odieuse, je suis capable de faire des conneries.

--Comme quoi par exemple.

--Et bien comme il y a un mois, traiter mon patron de con parce qu'il ne comprenait pas ce que je lui expliquais alors que j'avais envie de ma masturber depuis plus d'une heure et que la réunion s'éternisait à cause de lui.

--Et il l'a pris comment?

--Il m'a viré.

--Et tu t'en sors?

--Tu sais, Aïcha signifie « celle qui est vivante » alors je sais faire ce qu'il faut pour survivre, d'ailleurs, je commence un nouveau boulot en septembre.

--Ok.