Un Amour Non Conventionnel 18

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Beth est la femme de Thierry cette nuit.
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Partie 18 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/19/2021
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Le lendemain, samedi, Beth avait rendez-vous avec Thierry, son deuxième client.

J'aidais Beth à se préparer en la lavant dans le bain que je lui avais préparé, puis en l'assistant dans l'essayage de ses tenues toutes aussi sexy les unes que les autres. Finalement elle choisit une robe de soirée bleue nuit avec un dos nu, un string ficelle blanc des bas autoportant et des talons aiguilles de 10 cm. Elle était tout simplement magnifique, et j'enviais vraiment ce Thierry.

Je conduisis Beth à l'hôtel qu'elle avait réservé et l'accompagnais dans la chambre 242. Elle appela la réception et fit monter une bouteille de champagne avec deux flutes à champagne. Je restais debout pendant que Beth se prélassait sur le divan de cette Suite.

Vers 19h, quelqu'un frappa. Beth me fit signe pour aller ouvrir.

- Bonsoir. Je suis Thierry. C'est bien la chambre 242?

- Oui. Rentrez. Beth vous attendait.

- Et vous êtes?

- Pierre. Son chauffeur et garde du corps.

- Oh. OK.

Thierry rentra dans la pièce. Beth vint à sa rencontre avec une grand sourire. Thierry s'arrêta net. Il était déjà visiblement sous le charme.

- Bonsoir Thierry. Je suis Beth. Je vois que vous avez fait la connaissance de mon assistant Pierre.

- Euh oui. J'avoue que ne m'y attendais pas. Ça fait très impressionnant.

- J'espère que cela ne vous gêne pas. Nous vivons dans un monde ou l'insécurité est bien présente. Même si Maxime vous a fortement recommandé, je ne vous connais pas, et pour un 1er rendez-vous, mon garde du corps est toujours présent pour s'assurer de ma sécurité.

- Euh ; Il va rester là toute la soirée?

- Oh non ne vous en faites pas. Il nous quittera quand je me sentirai en sécurité, et m'attendra patiemment à l'extérieur le temps que nous finissions notre affaire.

- OK.

- Un verre de champagne?

- Volontiers. Merci.

- Pierre. Sers-nous s'il te plait.

- Bien Madame, répondis-je

- Vous avez l'enveloppe?

- Oui bien sûr.

- Donnez-là à mon assistant.

Thierry me tendit l'enveloppe. Je l'ouvris et vérifiai que les 2000 € y étaient. Je fis un petit signe de tête à Beth pour lui confirmer que tout était en ordre.

- Faisons connaissance. Cet excellent champagne nous accompagnera très bien. Qu'attendez-vous de moi?

- Euh. En fait je n'ai pas trop l'habitude...j'ai bien déjà loué les services une ou deux fois d'une Escort Girl, mais cela fait longtemps que je n'ai pas eu...euh...enfin depuis le décès de mon épouse.

- Je comprends. C'est douloureux.

- Elle me manque beaucoup.

- J'essaierai d'être à la hauteur de votre femme. Comment était-elle?

- Vous lui ressemblez beaucoup. En plus jeune bien sûr. Quand Maxime m'a montré une photo de vous, j'ai su qu'il fallait que je vous vois.

- C'est gentil. Vous aviez beaucoup de tendresse pour votre femme?

- Oui je l'aimais beaucoup.

- Je serai votre femme ce soir. A travers moi vous lui ferez l'amour.

- Merci.

- Comment s'appelait-elle?

- Steffie.

- Alors je serai Steffie ce soir. Pierre. Tu peux disposer. Attends-moi devant le porche de l'hôtel. Garde ton smartphone bien allumé.

- Bien Madame.

Je pris congé et j'ai rejoint ma voiture garée sur le parking de l'hôtel. Beth avait de l'empathie. Thierry allait passer une excellente soirée.

Trois heures plus tard, je reçu un SMS de Beth m'indiquant qu'elle me rejoignait dans quelques minutes. Je lui ouvris la porte dès que je l'aperçu sortir de l'hôtel. Elle avait les cheveux un peu en pagaille mais tout avait l'air de bien aller.

- Tout s'est bien passé?

- Oui. Je te raconterai une fois arrivé à la maison. Met le moteur en route. Thierry paye la chambre. Nous n'avons pas besoin de l'attendre.

J'avais hâte d'entendre le récit de Beth. Aussi, je ne perdis pas de temps pour nous ramener à la maison. Je lui ouvris la portière puis la suivis respectueusement.

- Déshabille-toi et rejoins-moi dans la chambre.

- Bien Madame.

Je laissais mes vêtements sur une chaise à l'entrée et me dirigeai, nu, portant uniquement ma cage de chasteté, vers notre chambre. Beth m'attendait avec un air hautain. Elle avait envie de jouer.

- Retire-moi ma robe.

- Oui Madame.

- Embrasse mes pieds.

Beth s'installa dans le fauteuil de notre chambre et me tendis ses pieds l'un après l'autre. Je léchais avec avidité ses petits pieds exquis, m'enivrant de leur odeur.

- J'ai été la femme de Thierry pendant ces quelques heures. Mais cela ne te gêne pas que je sois la femme d'un autre, n'est-ce-pas Esclave?

- Oh non Déesse. C'est votre droit bien entendu. Je ne vis que pour vous servir, Madame.

- Oui continue. Lèche-moi également sous la plante des pieds. Oui tu n'as aucun droit. Que des devoirs comme me servir et m'honorer, m'aider à me préparer pour mes amants. Je vais te raconter ma soirée avec Thierry.

- Merci Madame.

- Thierry est un gentleman. Sa femme lui manque beaucoup. Je lui ressemble. Il m'a demandé d'être sa femme ce soir. Je me suis totalement donné à lui cette nuit. Je lui appartenais. Toi tu avais abandonné tes droits. Cette nuit Thierry avait tous les droits. J'ai été sensuelle, chaude. J'ai commencé par lui tailler une pipe. Malgré son âge, Thierry doit approcher de la cinquantaine, il a une grosse queue et il a de l'endurance. Je l'ai sucé quinze bonnes minutes sans qu'il montre aucun signe qu'il soit proche d'éjaculer. Toi Esclave tu n'aurais pas tenu une minute.

- Je ne suis pas digne de vous Déesse.

- Tais-toi et continue de me lécher le clito. Ou en étais-je? ah oui après quinze minutes de ce traitement, il m'a relevé et m'a fait m'allonger sur le dos sur le lit. Il a retiré mon string ficelle avec ses dents et a commencé à me lécher. J'ai eu mon 1er orgasme à ce moment-là. Il a pris ensuite un préservatif et m'a pénétré comme ça avec sa grosse bite. Il m'a bien remplie. Il a commencé par des petits mouvements lents puis a accéléré petit à petit. C'est là que j'ai eu mon deuxième orgasme. Thierry était fort et puissant. Il me comblait. J'étais à lui. Après vingt minutes il a enfin joui en moi. J'avais perdu le compte du nombre d'orgasmes qu'il m'avait procuré. Qu'en dis-tu esclave?

- J'envie beaucoup Thierry et je suis content qu'il vous a satisfait, Déesse.

- Oui tu peux l'être. Je l'ai sucé une nouvelle fois et il est rapidement devenu dur à nouveau. Je lui ai alors demander de m'enculer. Cela ne te gêne pas, esclave, que ta femme demande à un autre homme de l'enculer, alors qu'elle ne t'autorise pas toi-même de le faire?

- Oh non Déesse. Je sais que ce privilège est réservé à vos amants. Un esclave ne peut espérer un privilège comme cela. Ce n'est que pour les males dominants.

- C'est cela. Et toi tu es un esclave soumis à ta femme. Thierry m'a sodomisé pendant une demie heure avant encore d'éjaculer en moi. Tiens j'ai gardé les préservatifs. Avale pour moi. C'est mon cadeau pour mon esclave obéissant.

- Merci maitresse.

Beth me fit ouvrir la bouche et déversa toute le sperme contenu dans les préservatifs de Thierry. J'avalais tout sans broncher, fier du cadeau de Beth. Elle avait pensé à moi et c'était tout ce qui comptait.

- Je t'aime Pierre. Plus que tout. Ne l'oublie jamais. Viens à côté de moi maintenant.

- Je t'aime aussi Beth.

- Tu as aimé mon petit numéro?

- Oh que oui. Tu es une vraie Domina maintenant. Tu me combles.

- C'est parce que je t'aime.

- Merci Beth.

- Comment s'est passée ta soirée?

- Tranquille et remplie de pensées pour toi. Ah oui ma sœur Amélie m'a appelé.

- Comment va-t-elle?

- A priori très bien. Elle a une grande nouvelle à nous annoncer. Elle souhaiterait venir nous voir le weekend prochain.

- Bien sûr. Elle peut venir quand elle veut. Nous lui devons tant.

- Elle ne sera pas seule.

- Oh elle veut nous présenter un petit copain? Enfin. Elle mérite tellement d'être aimée. Elle a si grand cœur. Comme toi. Cela doit être de famille n'est-ce pas mon amour? Dis-lui de venir avec son ami. Tu prépareras la chambre d'amis.

Nous finîmes par nous endormir chacun dans les bras de l'autre. Heureux, sexuellement satisfait et impatient de retrouver ma sœur qui avait tout fait pour que nous soyons à nouveau uni.

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