Un Amour Non Conventionnel 16

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Grégoire joue les intermédiaires.
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Récit n'a pas de balises

Partie 16 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/19/2021
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J'allais devoir assurer la sécurité de mon épouse. Non pas que je n'en m'en sentais pas capable, car même si je n'ai pas le corps d'un bodybuilder, je suis assez grand, relativement bien musclé et bien proportionné. Même si je n'ai jamais eu à me battre, j'ai pratiqué quelques sports de combats dans mon adolescence. Mais le poids de ma responsabilité était grand. Je n'avais pas le droit de faillir et devait être prêt à tout si Beth se sentait menacée.

Je demandais à Beth la permission de m'inscrire dans un cours de self défense, afin de me remettre à niveau. Elle me donna son accord avec un petit sourire en coin à la condition que je trouve un cours dont les horaires soient compatibles avec son agenda, c'est-à-dire que je devais être rentré et prêt à l'accueillir comme son rang l'exigeait quand elle rentrait de son travail vers 18h.

C'est ainsi que les semaines qui suivirent, je me remis à l'entrainement, avec deux cours de self défense par semaine, le lundi et le jeudi en début d'après-midi. Cela me laissait le temps de m'occuper des tâches ménagères de la maison, et de préparer les soirées du vendredi soir quand Beth planifiait ses rendez-vous avec ses amants.

Un samedi matin, après une nuit passée à nouveau avec Grégoire, Beth me dit :

- Grégoire m'a dit hier qu'il avait des clients pour moi. Il m'a demandé de passer sur le site de son garage cet après-midi pour me donner ces contacts. Tu m'accompagneras. Je veux que tu portes bien entendu ta cage de chasteté en présence de mon amant et tu m'attendras dans la salle d'attente.

- Comme il te plaira Beth.

Nous nous présentâmes au garage de Grégoire vers 14h. Beth entra en 1er, moi lui ouvrant la porte pour la suivre ensuite quelques pas derrière elle. L'entrée de Beth ne passa pas inaperçue. Beth s'était habillée hyper sexy pour l'occasion avec une robe ultra courte couleur pastel. Les mécaniciens, employés de Grégoire m'ont fait penser au Loup de Tex Avery. Leurs yeux sortaient de leur orbite et les langues pendaient. J'entendis quelques sifflements. Grégoire sorti de son bureau pour accueillir Beth. Il resta discret, par respect pour moi et surtout devant ses employés.

- Attends-moi sagement ici pendant que je m'entretiens avec Grégoire, me dit-elle d'une voix suffisamment forte pour que tout le monde puisse l'entendre, en rentrant dans le bureau de Grégoire.

Celui-ci referma la porte derrière lui. J'entendis des rires du côté des mécaniciens. Je m'assis dans la salle d'attente et commençai à feuilleter les magazines d'automobiles mis à la disposition des clients. Vingt minutes plus tard, Beth et Grégoire était toujours en pleine conversation. Quelques bruits sourds s'échappaient parfois du bureau mais sans que l'on comprenne la raison de ces bruits.

Un des mécaniciens, typé magrébin, vint me rejoindre.

- Hé mec, elle en met du temps ta copine dans le bureau du chef. Elle négocie une révision? me dit-il avec un sourire moqueur.

- Cela ne vous regarde pas. Occupez-vous de vos affaires.

- Hé tu me parles sur un autre ton d'accord? On connait les gouts du patron, et vu comment ta meuf elle est arrivée sapée dans le bureau du chef, je pense qu'elle les connait également.

- Ecoutez. Je vous le répète, occupez-vous de vos affaires.

- Quoi? Cocu. Sinon quoi? me dit-il en rapprochant son visage du mien pour essayer de m'intimider.

Je me levais pour le toiser, et sans lui le laisser le temps de se préparer, je lui fis une clé de bras, l'obligeant à se mettre à mes pieds.

- Retourne à ton poste avant que je ne te fasse vraiment mal.

Je défis ma clé de bras pour le laisser partir. C'est à ce moment-là qu'il me prit en traitrise et tenta de me donner un coup de clé à molette qu'il avait gardé à proximité de lui. Mes automatismes de mes cours de self défense se mirent immédiatement en place, et j'esquivais son attaque avant d'utiliser son déséquilibre avant pour le projeter contre le mur d'en face.

Le bruit fit sortir Grégoire de son bureau. Il était un peu débraillé, et venait visiblement juste de réajuster son pantalon. Mon épouse le suivi 30 secondes plus tard, affolée.

- Ali, espèce de connard, dit Grégoire, qu'est ce qui te prends d'attaquer un client? Je t'avais prévenu de changer d'attitude. Cette fois-ci c'est la goutte d'eau. T'es viré. Ramasse tes affaires et rentre dans ta cité. Je te ferai parvenir ton chèque de licenciement.

- Ça va Pierre?, dit Beth avec un regard affolé. Tu n'as rien?

- Non tout va bien. Ne t'inquiètes pas ce minus n'avait aucune chance contre moi.

- Je suis désolé Pierre, me dit Grégoire. Cela ne se reproduira plus.

- Tout va bien Grégoire. Beth, tu as fini? Tu as eu les informations que tu demandais?

- Oui

- Alors allons-y si tu veux bien.

Beth me suivit sans un mot. Nous reprîmes le chemin de la maison. Beth n'osait pas me regarder. La tension dans la voiture était intense.

- Pierre. Je suis vraiment désolé...

- Ce n'est rien Beth. Ce n'est absolument pas de ta faute.

- Je t'ai exposé. Encore une fois. Quelle sotte encore une fois...

- Non Beth. Tu as fait ce que tu devais faire. Tout le monde ne peut pas comprendre notre mode de vie. Nous rencontrerons toujours des personnes toxiques, qui interpréteront mal notre relation et se croiront en droit d'agir comme Ali a pu le faire.

- C'est ma faute. Je vais arrêter.

- Non Beth. Je suis ton garde du corps, et je ne laisserai personne mal te traiter ou de me manquer de respect. Je suis soumis seulement à toi. A personne d'autre. Les toxiques l'apprendront à leur dépends.

- Tu n'es pas fâché contre moi?

- Jamais. Tu es la raison pourquoi je respire tous les jours. Je t'aime Beth.

- Je t'aime plus que tout aussi Pierre.

Je rentrais la voiture dans notre allée, puis rejoignis Beth dans la maison. Elle me prit la main, me fit m'assoir dans un fauteuil du salon et m'embrassa tendrement.

- Alors, raconte-moi ta « discussion » avec Grégoire.

- Humm. Il m'a donné le nom de deux futurs clients : Maxime et Thierry. Il m'a donné un nouveau smartphone avec un nouveau numéro de téléphone. Il m'a dit qu'il ne fallait pas mélanger vie personnelle et business. Ce téléphone sera mon téléphone professionnel. Les clients me contacteront sur celui-ci.

- C'est un excellent conseil. Décidemment ce Grégoire me plait bien.

- Oui il a beaucoup de qualités, me dit-elle en souriant. Et il sait négocier. Il m'a demandé de lui tailler une pipe en échange qu'il donne ce numéro de téléphone à Maxime et Thierry. Je me suis appliqué bien sûr à remplir ma part du contrat. Il venait d'éjaculer dans ma bouche quand les bruits à l'extérieur nous ont obligés à voir ce qui se passait.

- Je suis désolé Beth.

- Non non on avait fini. Ne t'inquiètes pas. Même si je n'aurais pas refusé une bonne pénétration. Tiens pour la peine je te fouetterai ce soir dans notre Donjon.

- Comme il te plaira, Beth.

- Mais pour le moment j'ai besoin d'autre chose. Rejoins-moi dans la chambre et déshabille-toi.

Je suivis Beth et laissai mes vêtements au pied de notre lit. Elle prit la clé du cadenas de ma cage de chasteté et me libéra. Mon sexe se mit immédiatement à bander dur.

- Pour le moment, je te veux en moi. Tu es MIEN et je suis TIENNE. Honore ton épouse, ta déesse. Pénètre-moi profondément.

Nous fîmes l'amour tendrement, reconnectant nos âmes s'il y en avait vraiment besoin. Par cet acte nous proclamions l'amour infini que nous nous portions. Je lapais et avalais tout le sperme que j'avais répandu en Beth. Nous étions heureux.

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